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C’est sûr : on ne peut pas la louper l’affiche qui a proliféré tel un champignon poussant dans les sous-bois humides de nos campagnes, aux quatre coins de la ville. Y figurent deux personnages au visage souriant. D’un côté, le maire-président de l’Agglomération de l’Auxerrois, Crescent MARAULT. De l’autre, une figure qui nous est familière pour l’avoir vue tant d’années au « 13 heures » de TF1 : Jean-Pierre PERNAUT. Un premier avril de la communication ? Que nenni ! Une vraie réalité à vivre le 20 janvier !   

 

AUXERRE: Pour certains, c’est le coup de génie en termes de communication d’une année riche et intense qui vient à peine de débuter. Pour d’autres, il s’agit d’une exposition marketing totalement décalée, alors que la crise sanitaire repart de plus belle à grand renfort de contaminations imputables à la variante en vogue du moment, soit le virus OMICRON.

Mais dans les deux cas, le résultat est déjà atteint : on ne cesse d’en parler parmi les alcôves prolixes en commentaires de la vie politique et institutionnelle du sérail auxerrois !

Alors que les évènementiels de tout poil, en particulier les cérémonies des vœux proposées par les collectivités et les organismes professionnels, s’annulent en cascade comme il tombe chaque année des feuilles aux branches des arbres, la manifestation concoctée par la Communauté de l’Auxerrois en date du 20 janvier au parc des expositions se profile bel et bien à l’horizon. Sans pour autant avoir changé d’un iota sa ligne stratégique. Et surtout en étant maintenu malgré l’avis de tempête épidémique qui s’abat sur l’Hexagone.

Sur le papier, bien en amont de ce rendez-vous qui se peaufine depuis plusieurs semaines, on nous promettait des surprises. Elles sont là !

 

 

Une cérémonie des vœux qui sort de l’ordinaire et prône l’originalité…

 

La première d’entre elles est de taille. Elle a pris la forme physique de l’ex-vedette du « 13 heures » de TF1, l’indéboulonnable Jean-Pierre PERNAUT, qui, semble-t-il, n’a jamais autant travaillé que depuis qu’il a pris sa retraite à l’automne 2020 !

Le présentateur vedette de la Une a depuis le terme officiel de sa carrière créé sa proche chaîne d’information en mode numérique tout en apparaissant avec une régularité de métronome à l’antenne de LCI, endossant le rôle de chroniqueur usant de son franc parlé. Sans omettre sa présence physique sur bon nombre d’évènementiels de France et de Navarre où sa stature, érigée autour de son professionnalisme et de sa notoriété, fait le reste.

Bref : la cure de jouvence et le retour en première ligne de celui qui faisait les beaux jours de l’information audiovisuelle entre 13 et 14 heures chaque jour en France viennent auréoler un exercice habituellement ronronnant et soporifique : la sempiternelle cérémonie des vœux. L’Auxerrois veut être l’un des premiers bassins de vie de l’Hexagone à profiter d’une nouvelle mouture pour sa présentation : on ne demande qu’à voir !

 

 

Un plateau façon « journal télévisé » accueillant une noria d’invités…

 

Dans les faits, Jean-Pierre PERNAUT, en maître de cérémonie imperfectible aux us et coutumes de la pratique de cet exercice oratoire, reviendra à ses premières amours médiatiques. S’arrogeant le droit d’animer un plateau audiovisuel, façon « journal télévisé », où devrait se succéder une noria de personnalités de strates diverses ayant comme dénominateur commun l’essor et le rayonnement de l’Auxerrois, lieu emblématique du stockage de l’hydrogène en France comme chacun le sait dorénavant ! C’est la seconde surprise. On devrait y évoquer nécessairement l’investissement et le devenir économique…

Pour l’heure, si le cabinet du maire-président de l’Agglomération auxerroise a bien confirmé la tenue de cet évènementiel original sur le fond et sur sa forme à sa date initiale (le 20 janvier à 19h30), rien n’a encore filtré, a contrario, sur la liste de ces potentiels invités qui participeront aux séquences interviewes de l’ex-as des as journalistique de TF1.   

La seule certitude, quant au contenu de cette soirée qui serait limitée à une jauge de deux mille personnes, concerne le thème fédérateur de l’évènement : les changements qui attendent les Auxerrois à l’avenir.

 

 

Moult précautions autour du renforcement sanitaire...

 

Sans doute, la force organisatrice de ce concept cérémonial un peu particulier fait-elle référence aux « Projets de Territoire », esquissés au cours de l’actuelle décennie par Crescent MARAULT et les élus de sa majorité.    

Ceux de l’opposition, vent debout contre le maintien de cette animation au vu du contexte pandémique, se sont déjà engouffrés dans la brèche pour faire part de leur courroux (lire à ce propos l’article à paraître dans nos colonnes), pointant de l’index l’irresponsabilité de la gouvernance actuelle.

Précisons enfin, sur un aspect pratico-pratique, que ces vœux inédits pour l’Auxerrois qui font déjà couler beaucoup d’encre avant même qu’ils ne se soient déroulés se déclineraient de manière assise, dans le respect des gestes barrières et du port du masque après contrôle du passe sanitaire à l’entrée.

En outre, si le nombre de places est limité, cela suppose en amont qu’il y ait eu réservation par voie téléphonique ou numérique. Ce qui est le cas…

Enfin, l’option visioconférence à suivre derrière son écran d’ordinateur n’est pas à exclure si par mégarde et selon la physionomie sanitaire de l’instant « t » tombait sur l’organisation de cet évènement les fourches caudines d’un réel durcissement protocolaire.

 

 

En savoir plus :

Cérémonie des Vœux de l’Auxerrois

20 janvier 2022 à 19 heures à AUXERREXPO

Réservation obligatoire au 03 86 72 44 77

En ligne sur www.agglo-auxerrois.fr

Passe sanitaire et port du masque obligatoires

 

Thierry BRET

 

 


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En voilà un qui se frotte les mains pour l’abondante publicité faite autour de sa commune sans bourse déliée ! Mieux : le président de la CC Serein Armance et maire de Saint-Florentin Yves DELOT a eu les faveurs des médias nationaux qui l’ont longuement interviewés. L’organisation d’une rave party où devaient converger plus de mille cinq cents participants peut parfois s’avérer bénéfique !

 

SAINT-FLORENTIN: Que ce soit sur France Inter, RTL, RMC, Europe 1 ou France Info : pas une radio nationale n’aura oublié de relater lors de ses flashs informatifs les péripéties vécues dans la localité de l’Yonne ce week-end. Une manière insolite de se rappeler au bon souvenir de nos compatriotes, pour celles et ceux qui auraient eu du mal au préalable à situer sur la carte de France la commune de Saint-Florentin.

De surcroît, l’information ne pouvait manquer de passer inaperçue puisque se déroulant pile poil au cœur du passage au Nouvel An. Il y avait donc nécessairement des auditeurs, voire des téléspectateurs en nombre une fois que les chaînes en boucle prirent le relais.

Bref : Saint-Florentin faisant la une de l’info en France, cela n’arrive pas tous les jours ! Même si l’angle choisi n’avait rien de très touristique ni de véritablement culturel encore moins de gastronomique. Un fait divers, somme toute de plus à mettre dans l’escarcelle de l’Yonne qui a connu bien pire par le passé. Mais, un fait divers, tout de même.

 

 

Un peu de tolérance et pas de véritable casse à l’issue…

 

Illégal, ce rassemblement de « teuffeurs » fut lui plutôt mal perçu par les services de la préfecture qui se sont appuyés sur les forces de l’ordre afin d’y mettre un terme dès que possible.  

On retiendra de cet épisode « musical » improvisé et original sur les terres de l’Yonne la bienveillance de l’édile de Saint-Florentin Yves DELOT à l’égard de la jeunesse.

Même si les forces de l’ordre ont procédé à plus de deux mille contrôles et rédigé deux cent cinquante procès-verbaux pour de multiples infractions, force est de constater qu’il n’y a pas eu de véritable casse ou de faits dramatiques durant cette ruée vers l’or où des sonorités furent balancées dans les oreilles par de puissantes enceintes. Elles-mêmes saisies par l’autorité de l’Etat, par ailleurs !

 

 

De là à ce que Saint-Florentin obtienne un blanc-seing pour accueillir régulièrement de tels évènements illicites à l’avenir n’intègre pas les priorités de la municipalité. On s’en doute !

Mais, Yves DELOT, magnanime, a fait part de son étonnement sur les ondes radiophoniques de nos confrères, rappelant que « la jeunesse n’avait d’autre objectif que de vivre un 01er janvier entre eux, dans la joie et l’allégresse ».

Un bon point pour lui et son esprit de tolérance qui atteste que les jeunes savent encore s’amuser, même en très grand nombre, sans provoquer qui que ce soit et déranger on ne sait qui ! Ne serait-ce pas là les ferments de la démocratie ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une table ronde a réuni courant décembre la sous-préfète de l’arrondissement d’Avallon, Cécile RACKETTE, Virginie LAGERBE, alchimiste en couleurs naturelles et Eric CAMPOY, directeur de l’Office Auxerrois de l’Habitat. La femme et son épanouissement professionnel étaient au centre de ce débat, proposé en marge du Congrès régional de la Jeune Chambre Economique…

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Jean-Eric FRAY a rencontré trente-et-une femmes de la région Bourgogne Franche-Comté. Il les a interrogées sur leur parcours professionnel. Ces rencontres sont la trame de son livre « Les Enjouées », publié par « La Huppe Messagère ».

Préfacé par Sonia ROLLAND, l’ouvrage a pour sous-titre : « La joie des femmes actives ». Jean-Eric FRAY justifie ces mots venus renforcer le titre. Il affirme avoir ressenti chez chacune une joie et une fierté certaines.

Tel est le point commun à toutes ces dames appartenant à tous les univers professionnels. C’est là l’intérêt de la démarche. Pour chacun des 31 métiers sélectionnés, Jean-Eric FRAY a cherché une femme acceptant de répondre à ses interrogations.

 

 

Deux beaux exemples féminins de vraie réussite…

 

Virginie LAGERBE avait l’envie de « faire autre chose » de sa vie professionnelle : elle a donc réalisé un bilan de compétences. Elle a créé son métier et l’a imposé. Elle se définit comme coloriste utilisant de la peinture végétale. « Je prends du troène et, en fonction des supports, j’obtiens des teintes différentes » explique-t-elle simplement.

Cécile RACKETTE se souvient que, dans son école, il y avait « sept filles sur 107 étudiants ». Elle dit avoir travaillé dur et ainsi développé une assurance forte. Sa rigueur, son sérieux, sa capacité de concentration en découlent. De la magistrature, au Parquet, elle est passée ensuite à la préfectorale où elle s’épanouit, grâce à la diversité des rencontres et sujets traités.

 

 

Quelle fonction a la préférence ?

 

Directeur de l’OAH, Eric CAMPOY rapporte que, sur 140 personnes, on trouve une moitié de femmes. Il y en a une sur quarante à la régie travaux. Le rapport est inversé pour les métiers de contact ou les fonctions administratives. « Pour ce qui me concerne, j’ai été recruté par une femme maçonne, une véritable exception », témoigne-t-il.

Cécile RACKETTE estime quant à elle à 30 % la part de sous-préfètes. « Nous devons être joignables et disponibles en permanence » souligne-t-elle. Chacun comprend que cela soit difficile à concilier avec la présence de jeunes enfants au foyer. Le parcours professionnel est aussi choisi par chacun en fonction de ses choix de vie.

Depuis des décennies, en France, tout recrutement de salarié est ouvert à toutes les candidatures, masculines ou féminines. Les conditions salariales sont identiques pour un même poste. Une entreprise ne peut jamais que choisir parmi plusieurs candidats.

Les exemples évoqués témoignent de reconversions réussies. Un progrès ne consisterait-il pas tout simplement à accepter plus facilement la mobilité professionnelle parce que la vie n’est pas la même selon que l’on ait 25 ou 50 ans ? La souplesse gagnée profiterait autant aux dames qu’aux messieurs !

 

En savoir plus

https://www.leslibraires.fr/livre/18777666-les-enjouees-la-joie-des-femmes-actives-jean-eric-fray-huppe-messagere

 

Thierry CARABIN

 


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Une chose semble déjà évidente : la consultation engagée par le Département de l’Yonne depuis le 01er décembre sur le possible retour à la normale, soit 90 km/h sur certaines routes départementales, mobilise les internautes de notre territoire. Même s’il reste encore quelques jours d’ici le 31 décembre pour répondre au questionnaire figurant sur le site de l’organe institutionnel, les Icaunais ont un avis et le font savoir !

 

AUXERRE: Visiblement, la prise de pouls des citoyens par le Conseil départemental de l’Yonne sur l’épineuse question de la remise aux normes de la vitesse autorisée à 90 km/h sur nos routes passionne les internautes icaunais. Débuté au premier jour de décembre, via le site numérique de l’organisme, celle-ci s’achèvera le 31 de ce mois, le jour de la Saint-Sylvestre. Peut-être sera-ce l’occasion d’aborder la question entre la dinde et le fromage lors du traditionnel réveillon, susceptible d’être agrémenté par ce genre de propos ! Il faut bien trouver des sujets de discussion divertissants en cette période de rebond de la pandémie !

Toujours est-il que l’hypothétique retour à une vitesse plafonnée à 90 km/h ne concernerait pas la totalité des 4 875 kilomètres de routes départementales que compte notre territoire. Qui plus est, si cela venait à se réaliser en 2022, la décision ne s’appliquerait que sur quelques tronçons clairement identifiés.

  

Patrick GENDRAUD, l’un des 36 signataires à l’époque du refus…

 

L’idée de cette consultation populaire ne correspond pas au fruit du hasard. Que nenni ! On se souvient que l’item était au centre de la dernière campagne électorale des départementales de juin. Notamment des candidats de la liste majoritaire, « Unis pour l’Yonne », conduite par le président Patrick GENDRAUD.

A l’époque de l’application de ce texte de loi en 2018, l’ancien maire de Chablis s’était opposé à sa mise en forme. Il s’était offusqué de ce passage en force et sans consultation au 80 km/h qui avait pris tout le monde de court, suite aux préconisations du Premier ministre d’alors, Edouard PHILIPPE. Rappelons pour mémoire que Patrick GENDRAUD est l’un des 36 signataires d’une tribune rendue publique rédigée par des présidents de département insatisfaits par la tournure des évènements.

 

 

Rendre sa vitesse normale à cinq cents kilomètres de routes…

 

Mis en ligne sur le site de l’organe institutionnel, un questionnaire comprenant quelques réflexions fondamentales sur l’appréciation des Icaunais vis-à-vis de la route permet durant ce dernier mois de l’année de recueillir de précieuses indications, sans doute déterminantes sur le verdict qui sera rendu par la suite.

Grâce à la promulgation du texte législatif du 24 décembre 2019, offrant l’opportunité aux départements de revenir à la vitesse antérieure, le Conseil de l’Yonne a pu se saisir de l’occasion afin de consulter les citoyens. Dans un véritable esprit participatif.

S’appuyant sur ces retours informatifs avant d’entériner leurs décisions, les élus devront tranchés pour que 500 kilomètres de routes départementales, dites pénétrantes (celles en liaison avec les territoires limitrophes) et qui les traversent de part en part, soient concernées par ce retour au 90 km/h.

Dans les faits, cela supposerait le changement de près de 500 panneaux de signalisation, la logique, et le coût de 110 000 euros à la charge du Département pour le faire. Une somme, certes, appréciable pour revenir en marche arrière mais qui ne semble pas être un frein…

 

En savoir plus :

Rappel : l’Yonne reste un département où l’accidentologie est élevée. De juillet 2016 à juin 2018 inclus (soit 24 mois), on dénombre ainsi 225 blessés et 32 tués sur le réseau routier départemental.

De juillet 2018 à juin 2020 inclus, après la mise en place du 80 km/h, ces statistiques s’établissent à 277 blessés et 38 tués sur une période identique.

Aujourd’hui, environ 1/3 des départements métropolitains a fait le choix de revenir, généralement partiellement, à 90 km/h. C’est notamment le cas du Loiret, de la Seine-et-Marne, de l’Aube et de la Côte d’Or, départements limitrophes de l’Yonne, qui ont repassé en moyenne 13 % de leur réseau routier à 90 km/h, en ciblant les axes pénétrants et structurants.

Le réseau routier départemental Icaunais représente environ 4 875 km de chaussée. L’installation, nécessaire, de panneaux de limitation de vitesse à 90 km/h est, en cas de souhait de déroger à la réglementation nationale, à la charge de la collectivité locale gestionnaire du réseau.

 

Thierry BRET

 


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Marcher pour mieux progresser sur le chemin de sa destinée. Pour être enfin reconnu comme de véritables pères, à part entière, qui doivent bénéficier des mêmes droits que la mère, en cas de séparation et de garde d’enfant. Durant plus d’un mois, un groupe d’une dizaine de personnes a parcouru près de 800 kilomètres, de Marseille à Paris, pour alerter l’opinion publique lors d’une action pédestre pacifique. En sensibilisant à chaque étape des représentants de la classe politique…

 

AUXERRE : Motif de la revendication : l’égalité parentale. L’unique et la seule qui offrent aux deux parents divorcés ou séparés les mêmes droits et devoirs en cas de garde d’enfant.

Pour se faire entendre, en sensibilisant le plus possible les médias et l’opinion publique, pas d’autre alternative que d’accomplir un très long périple de près de 800 kilomètres à travers l’Hexagone, du sud depuis Marseille en remontant vers le nord et sa destination finale à Paris.

Un parcours éprouvant pour les organismes à réaliser à pied, il va de soi. Tels des pèlerins sur la route de Compostelle. Mais, attention, il n’est pas question ici de repentance ni de rédemption. Mais, bel et bien de l’affirmation de soi en dénonçant des abus qui s’accumulent depuis trop longtemps.

Comment ? En faisant de la résidence alternée le principe de base fondamental dans le futur de ces relations à établir entre parents divorcés, en renforçant la législation lors de non-représentations d’enfant et surtout en luttant à travers des mesures très concrètes contre l’éloignement géographique volontaire de la progéniture.

Autant de blessures intimes dont souffrent au quotidien bon nombre de ces pères divorcés et séparés, justes bons à être jetés en pâture au plan de la justice et à honorer rubis sur ongle la pension alimentaire !

 

 

Rencontre en haut lieu à l’Assemblée nationale : objectif atteint !

 

Alors quand les membres de ce collectif, baptisé « La Marche des pères pour l’Egalité parentale », ont mis au point leur insolite projet, ils se sont sentis reliés comme les cinq doigts de la main, à l’unisson de leur combat.

Partant du postulat que chacun luttait d’arrache-pied pour obtenir dans leur vie familiale la résidence alternée, ce petit groupe d’une dizaine de personnes s’est entendu très vite sur les modalités à suivre. Tant logistique qu’organisationnelle.

En provenance du Cap d’Agde, de Toulouse, de Nice, de Bordeaux, de Lyon, de Vendée ou d’Alsace, ce petit groupe, mixte, accompagné de leur mascotte un chat qui lui voyageait tranquille dans l’utilitaire suiveur, s’est lancé ce défi à peine croyable : gagner la capitale afin d’y rencontrer le porte-parole du gouvernement après une manifestation nationale organisée place de la Bastille. Tout un symbole !

Le 17 décembre dernier, le collectif a eu le bonheur de se voir ouvrir les portes du Palais Bourbon et de faire part de leurs doléances.

D’après eux, des engagements positifs ont été pris dans le bon sens. Ils ont été reçus par des responsables des cabinets ministériels d’Adrien TAQUET, secrétaire d’Etat chargé de la Protection de l’enfance et du Garde des Sceaux, Eric DUPOND-MORETTTI.

 

 

Une étape dans l’Yonne pour témoigner de la réalité…

 

Dans l’Yonne, le petit groupe a fait étape en Puisaye-Forterre lors de sa récente traversée qui le conduisait vers le Loiret après la précédente étape, vécue du côté de Clamecy.

A Villiers-Saint-Benoît, le collectif a été rejoint par Daniel DELVERT, membre de l’association Egalité parentale et résident à Auxerre. Il a été accueilli par le vice-président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et maire, Patrick BUTTNER.

Daniel DELVERT devait rappeler en substance que « dans l’Hexagone, sur quatre millions d’enfants de parents séparés, seulement 12 % vivaient leurs relations parentales en résidence alternée… ».

C’est nettement moins que dans les pays limitrophes. Ce chiffre s’oriente à la baisse pour les enfants de moins de quatre ans, puisqu’il n’excède pas 4 %.

Pourtant, Daniel DELVERT n’en démord pas : « la résidence alternée représente la meilleure des solutions possibles pour la stabilité de l’enfant ».

Au détour de leurs pérégrinations, les membres du collectif ont eu l’opportunité de pouvoir échanger avec différents élus et parlementaires.

Des rencontres qui se sont avérées passionnantes au sujet de la prévention des conflits familiaux et sur la nécessite de légiférer sur la phase évolutive de la résidence alternée sans pour autant l’imposer. En parallèle, la députée du Vaucluse Souad ZITOUNI avait adressé un courrier officiel au Garde des Sceaux. Preuve que dans la caste politique, les soutiens se manifestent…

 

Thierry BRET

 

 


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