Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Alors que beaucoup de nos compatriotes  pensent à leurs vacances estivales, en France pour un certain nombre après la période épidémique que nous venons de traverser, louer un logement meublé pour ces quelques jours de farniente semble très attractif…Explications.

TRIBUNE: Et si investir dans la location meublée saisonnière ou permanente vous interpellait ? A quoi faudrait-il s’attendre ?

La location meublée correspond à louer un logement décent, équipé d’un d’ameublement minimum défini par décret comprenant entre autres literie, plaques de cuisson, réfrigérateur, tables et chaises, vaisselle et matériel d’entretien ménager. Cette liste s’applique aux baux signés depuis août 2015.

Comment reconnaître le caractère professionnel d’un loueur en meublé ? La loi de finances pour 2020 est venue modifier les conditions pour déterminer le caractère professionnel d’un loueur en meublé.

Depuis le 1er janvier 2020, sont considérés comme professionnels, les loueurs remplissant les deux conditions cumulatives suivantes : retirer de cette activité plus de 23 000 euros de recettes annuelles ; ces recettes excèdent les autres revenus professionnels du foyer fiscal soumis à l’impôt sur le revenu (traitements et salaires, pensions et rentes, bénéfices industriels et commerciaux –autres que ceux tirés de l’activité de location meublée, bénéfices agricoles, bénéfices non commerciaux, revenus des gérants et associés).

A défaut, il s’agit de location meublée non professionnelles (LMNP). Alors quelles sont les différences au plan fiscal ?

Les régimes fiscaux des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) micro (sous condition de chiffre d’affaires) et réels sont ouverts aux loueurs en meublés professionnels (LMP) et aux LMNP.

Les différences principales résident, pour les LMP, en l’imputation des déficits éventuels de l’activité sur le revenu global et en l’exonération des plus-values de cession sous conditions.

 

 

Le cas particulier de la location d’une pièce de l’habitation principale…

 

Jusqu’alors, les revenus tirés de la LMNP (location ou sous-location) au titre de l’habitation principale étaient exonérées d’impôt sur le revenus à condition de respecter les conditions suivantes.

Les pièces louées constituent pour le locataire (ou sous-locataire) sa résidence principale ou temporaire pour les bénéficiaires d’un contrat de travail saisonnier. Le prix de la location est raisonnable…

La loi de finances pour 2020 instaure une limite d’application de ce dispositif au 31 décembre 2023.

Lorsque les pièces louées ne constituent pas la résidence principale du locataire et que le produit de ces locations n’excède pas 760 euros par an, ce dernier est alors exonéré d’impôt sur le revenu.

Avant de se lancer, pour exercer l’activité de loueur en meublé (professionnel ou non), il convient d’accomplir les formalités nécessaires d’inscription au répertoire SIRENE auprès du centre des formalités des entreprises compétent.

Anne-Sophie MAUPOIS

Un article réalisé en partenariat avec la Chambre départementale des experts-comptables de l’Yonne.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Un mois après la sortie de crise, le représentant de l’Etat reste sur le devant de la scène et veille à ce que tout se déroule pour le mieux dans l’intérêt des Icaunais. Y compris sur le volet de l’économie. L’un des dossiers prioritaires dont il assume la gestion aux côtés des partenaires traditionnels. D’ailleurs, la cellule ad hoc constituée en soutien au redressement de l’activité n’a jamais aussi bien fonctionné…

AUXERRE : Dans son for intérieur redoute-t-il l’amorce d’une seconde vague, le préfet de l’Yonne ? Celle dont beaucoup se font écho par le prisme de la voix médiatique et qui pour l’heure, fort heureusement, ne semble pas concernée l’Hexagone.

Même si de sombres nouvelles en provenance de Chine inquiètent quelque peu les observateurs scientifiques sur la résurgence hypothétique du virus.

Conscient que la COVID-19 est encore présente et continue de circuler sur notre territoire, même de façon modérée, Henri PREVOST s’attèle aujourd’hui à un tout autre chantier que le strict domaine du préventif à outrance : celui de la relance économique. La thématique lui est chère. Elle occupe la majeure partie de son emploi du temps.

Depuis plusieurs semaines, à la tête de la cellule spéciale instaurée dans l’Yonne aux côtés des partenaires idoines, le préfet ausculte avec minutie le terrain en prenant le pouls de la sphère entrepreneuriale. Identifiant du mieux possible, et en les répertoriant, les difficultés qui apparaissent au grand jour.

La semaine dernière, l’un des sujets essentiels de cette sortie de crise progressive a refait surface tel un serpent de mer : le retour des élèves dans leurs salles de cours. Une première réunion où étaient conviés les représentants des chambres consulaires, du MEDEF et de l’Education nationale aura permis d’examiner chacun des nombreux leviers qui font encore figure de freins à cette reprise ô combien nécessaire.

La question de l’apprentissage a servi, elle aussi, de corolaire à ces échanges studieux. D’autant que les centres de formation disposent de nombreuses offres potentielles pour contractualiser les besoins en  alternance des jeunes apprentis.

« Les entreprises se sont concentrées dans la gestion de l’urgence, constate le préfet de l’Yonne, elles ont moins préparé l’accueil des futurs alternants. Il est nécessaire que les jeunes reviennent encours et que les entreprises les intègrent dès leur redémarrage d’activité au sein de leur unité de production… ».

Les aides de l’Etat existent. Elles se symbolisent avec des enveloppes de 5 000 euros qui se destinent à l’accueil d’un alternant mineur ou de 8 000 euros lorsqu’il s’agit de recevoir un apprenti majeur. L’allongement d’un semestre consacré au temps de recherche pour un jeune qui désire entrer en apprentissage est désormais possible.

 

 

S’assurer que les dispositifs destinés aux entrepreneurs fonctionnent bien…

 

Mais, un autre secteur de l’économie capte l’intérêt du haut-fonctionnaire : celui du tourisme. Là-aussi, la cellule de coordination en charge de la relance des activités touristiques et culturelles, pilotée par la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois Cécile RACKETTE, intervient à rythme régulier sur la situation. En étant au plus près des acteurs du terrain et en détectant, branche par branche, les entreprises qui éprouvent de réelles problématiques.

« Ce qui est primordial, ajoute Henri PREVOST lors de ce long entretien qu’il nous accorde à sa table de travail, c’est de sauver les emplois. Le plus possible et de mettre en place tous les moyens nécessaires en notre pouvoir pour aider et accompagner les chefs d’entreprises… ».

Le représentant de l’Etat n’est pas le seul à agir : il s’appuie sur le directeur des finances publiques, l’URSSAF, la DIRECCTE, la Banque de France, le commissaire à la restructuration, les trois chambres consulaires et les présidents des syndicats patronaux.

S’il lui est impossible de prédire l’avenir et de savoir en bout de course le nombre d’emplois et d’entreprises qui seront perdus à cause du coronavirus, en revanche, l’homme est déterminé pour que tous les dispositifs déclinés par l’Etat se muent en succès pour leurs bénéficiaires.

Une enveloppe de 246 millions d’euros de prêts garantis par l’Etat a déjà été consentie aux patrons de 2 107 entreprises du territoire. Le fonds de solidarité a vu se débloquer un budget de 12,9 millions. Quant au chômage partiel, 46 000 salariés y ont eu recours durant ce laps de temps qu’aura durée le pic de l’épidémie.

Nonobstant, les entreprises devront faire face au paiement de leurs échéances avec des recettes moindres. Un signal qui fait tilt dans la pensée préfectorale.

« Nous restons très vigilants puisque les situations sont diverses d’un secteur à l’autre. Même si certaines structures industrielles, positionnées sur des marchés de niche, ont connu a contrario une activité intense, il nous faut être très attentif à l’évolution de la situation… ».

 

 

L'environnement source d'une nouvelle impulsion...

 

Le développement durable figure parmi les orientations fortes que l’Etat souhaite désormais accélérer. Energies renouvelables, circuit court, moyens de locomotion à hydrogène sont autant de mots clés qui résonnent par la voix de son représentant dans l’Yonne.

« On a observé toutes les limites de la mondialisation avec les problèmes d’approvisionnement inhérents à de nombreuses filières économiques durant cette  période, souligne lucide l’hôte de la préfecture, l’accompagnement dans la transformation de notre mode de vie devient une nécessité pour l’Etat… ».

Des changements qui se trouvent sous influence d’un climat en perpétuelle phase évolutive avec la sécheresse qui se fait déjà ressentir par une alerte vigilance.

A ce titre, un plan de relance concernant les investissements locaux va être abondé par l’Etat afin de soutenir les initiatives environnementales des collectivités. La dotation spécifique globale de ce projet s’élève à un milliard d’euros. La somme bénéficiera ensuite d’une répartition département par département. Les EPCI devraient elles-aussi profiter de cette manne « verte »…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ce processus de s'abstenir partiellement ou en totalité de tout aliment pour un intervalle défini est dans la société française source de dualité et de controverse. Le jeûne est assimilé à des contraintes multifactorielles. Le corps médical, pensée dominante de notre bonne santé, reste très réfractaire à cette option et la dévie de son champ d'action alors que cette méthode séculaire est reconnue pourtant efficace. Explications…

TRIBUNE : La peur de l'insuffisance est ancrée dans les gènes depuis l'apparition et l’effervescence de la consommation de masse. Nous l'avons eu en projection grandeur nature par l'affolement d’attroupement dans nos commerces ces derniers temps. In fine, qui se voile la face ?

Dans le cadre d'une pratique thérapeutique, qu'elle soit d'ordre médicinale ou spirituelle, le jeûne est un traitement médical ancestral naturel. Sous réserve bien sûr de s'en émouvoir dans les meilleures règles de l'art.

Nos ancêtres comme Hippocrate, Platon, Aristote, précurseur d'une santé plus authentique lui vouaient une reconnaissance salvatrice. Des effets probants sont reconnus sur l'accroissement des capacités intellectuelles, la détoxification de l'organisme, le repos du pancréas, l’antivieillissement, de redonner un meilleur souffle dans la pratique sportive et des bénéfices sur les effets secondaires de la chimiothérapie *.

Dans une dimension plus anagogique, suspendre pour un temps la fonction digestive conditionne une pause énergétique de l'organisme et permet par effet miroir d'ingérer des émotions beaucoup plus positives. Un aparté pour marteler l'importance de la qualité de nos aliments à ingurgiter pour favoriser une meilleure humeur et la bonne santé de nos cellules !

 

Une histoire qui se répète…

 

En 1880, un événement expérimental témoigne du manque de pragmatisme de notre société si obtus. Le docteur W.A. HAMMOND lance un appel d'offres de 1 000 dollars à tout individu qui s'engagerait à jeûner pendant trente jours. Le docteur Henry TANNER relève le deal de jeûner mais en quarante jours.

« Avec cette somme, si vous gagnez, ce dont je doute, vous ferez un bon repas. Si vous perdez, je vous assure néanmoins que je l'emploierai à vous faire de belles funérailles ».

Par son exploit, cet homme démontrait à la communauté scientifique les potentiels physiologiques de la nature humaine. La dimension de cette épreuve, outre le respect qu'elle suscite, mettait en lumière les facultés étonnantes de la psyché et la résistance corporelle face à des contraintes de force majeure.  Malgré une armada de témoins scientifiques, la confusion des genres a valorisé cette expérience comme un numéro de cirque.

Plus récemment, le docteur Walter LONGO gérontologue italo-américain reconnu pour ses travaux sur le jeûne thérapeutique confronte le jeûne au cancer (chez la souris de laboratoire et des cellules isolées en culture).

 « J'ai récemment fait une présentation devant l'une des plus importantes compagnies pharmaceutiques au monde, et j'ai mis au défi les dirigeants de l'entreprise de mettre au point un cocktail de médicaments, pas un simple médicament mais un cocktail de médicaments, dont les effets seraient plus puissants que celui du jeûne ».

 

 

Une politique sous le signe de la santé

 

Efficacement, d'autres pays ont reconnu cet œuvre thérapeutique. Outre-Rhin, l'Allemagne fervent défenseur de cette officine met à disposition de ces souscripteurs une dizaine de cliniques privées et publiques.

Elles font l'objet de remboursement par des assurances privées. La méthode Buchinger élabore un programme multidisciplinaire permettant d'intégrer au jeûne partiel des exercices physiques, d'éducation nutritionnelle ou de séances de psychothérapie.

En effet, différents types de jeûnes thérapeutiques peuvent se configurer : de 18 heures à l’intermittence de deux ou trois jours ou total. C'est à chacun de paramétrer et de séquencer ses envies sous gouverne d'être accompagné.

Le jeûne est un vecteur de bonne santé trop souvent décrié dans notre société française. Nos confrères limitrophes ne se sont pas fourvoyés des facultés de cette pratique thérapeutique.

Peut-être qu'un jour, notre nation sera au service de cette belle cause : la médecine naturelle...

En savoir plus :

   

 

Lyvia ROBERT

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’après-crise : « qui id facit » ? Si vous préférez, qui fait quoi ? Comme la tâche s’annonce périlleuse, autant mettre un peu de latin ! Pour mieux le perdre ? Même si beaucoup pensent que l’épidémie est toujours présente, les chiffres liés à la crise sanitaire sont encourageants. Alors, comme le chantait Gilbert BECAUD : « Et maintenant, que vais-je faire ? ». Quelles stratégies, quels programmes pour endiguer la crise économique et financière à venir ? On annonce même un remaniement ministériel : avec qui ? Les spéculations vont bon train…

TRIBUNE : Notre président tient toujours le carnet de chèques pour arroser certains secteurs en crise. Il signe des contrats de prêts à tout va. Sans trop savoir comment on les remboursera ! Une mesure importante est à relever toutefois : une médaille de l’engagement pour le personnel médical ! C’est vrai, ils l’attendaient tous avec impatience !

On ressuscite les « hochets du pouvoir » avec une médaille créée en 1884 ! En parlant de la Légion d’Honneur, Napoléon aurait déclaré un jour : « C’est avec les hochets que l’on mène les hommes » ! Bref, il n’est pas certain que nos braves soldats du médical se laissent mener par le bout du nez !

Et si on changeait un peu notre regard sur nos responsabilités ? Nous sommes tous concernés pour œuvrer vers des solutions efficaces, au lieu de toujours tout attendre de l’Etat.

Les Japonais ont inventé la forme de protectionnisme la plus noble et la plus incontestable : le protectionnisme culturel ! Dès 1950, l’Etat veut se relever de la guerre et décourage les importations. Certes, mais culturellement, pour un Japonais ne pas acheter la production locale, c’est faire injure à son pays ! Aujourd’hui, la dette du Japon représente plus de deux cent cinquante fois son PIB (plus que la France ou la Grèce) : une dette détenue par les Japonais eux-mêmes !

Et les autres pays dans tout ça ? L'Allemagne pilote le comité international de normalisation depuis une décennie. Ce n'est pas un hasard. En exerçant une influence sur le contenu des normes, les entreprises allemandes assurent leur leadership. Les Etats-Unis bloquent nos produits à coups de taxes, la Chine, la Pologne, l’Espagne, le Portugal… faussent toutes les règles de la concurrence en pratiquant des salaires extrêmement bas et parfois des conditions de travail dignes du Moyen-âge !

Oui, on peut tout à fait changer de mentalité et prioriser dans nos achats les produits nationaux et locaux. La viande est plus chère, dites-vous ? Eh bien, on mangera des protéines animales une à deux fois par semaine sans nuire à notre santé ! Chacun, aujourd’hui, a le devoir de bien peser ses arbitrages entre épargne et consommation ! Consommer « Français », c’est aussi nous permettre de nous en sortir. La relance de notre économie passe par la consommation et les investissements vers le « made in France ».

 

Arrêtons de pratiquer les règles de la candeur, pour ne pas dire de la bêtise…

 

Et l’Etat ? Il doit orienter les achats : créer une taxe de non-respect des normes sociales pour des importations venant de pays défaillants sur ce plan. Refuser les produits d’importation qui ne respectent pas nos normes mais qui sont imposés aux producteurs français (les produits bio par exemple)…

Arrêtons d’être naïfs : tout le monde agit pour protéger ses propres productions et nous autres, élevons bien haut l’étendard de la candeur pour ne pas dire de la bêtise…

Qu’attendons-nous pour refuser ces normes internationales imposées par l’Allemagne ! Depuis plus de dix ans, l’Allemagne encourage la dictature des lobbyistes voulue par l’Europe. La dette française devient abyssale : pourquoi ne pas créer un impôt « Corona solidarité », réparti sur tout le monde, particuliers et entreprises, de manière équitable ? Arrêtons d’endetter les cinq ou dix générations à venir ! Toute réduction de salaire réduit d’autant plus le pouvoir d’achat des citoyens, donc la consommation ! Nuisible à court et à long terme.

Notre président a signé des accords commerciaux avec le Japon. Il vient d‘entériner des échanges commerciaux avec le Vietnam et s’apprêtent à accorder de nouveaux avantages dans nos échanges avec la Chine ! Comme le disait Anne ROUMANOFF : « On ne nous dit pas tout ! ». 

Changer de mentalité, c’est également pour l’Etat changer de paradigme. Nos manières de produire engendrent des virus et des crises sanitaires : il faut repenser la production industrielle et agricole. C’est aussi assurer notre avenir et celui de nos enfants.

Aujourd’hui, 45 % de la population mondiale (soit 3,5 milliards d’êtres humains) vit avec cinq dollars par jour et certains avec moins de deux… Le monde a de plus en  plus faim, que fait-on ? On produit de l’éthanol, un agro-carburant, en cultivant des milliers d’hectares de maïs, fortement demandeurs d’eau. Changer nos mentalités, cela passe nécessairement par un changement de constitution !

Un nouveau paradigme afin d’œuvrer efficacement vers un changement salutaire, de nouvelles heuristiques afin de mieux découvrir et analyser les faits : voilà qui nous conduit vers une nouvelle constitution !

 

L’équité mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches…

 

Petits rappels historiques : en mai 2005, la France dit « NON » (à 55 %) au projet de constitution européenne. Afin de sortir du blocage, le Traité de Lisbonne, maquillage de Maastricht, est ratifié par les pays européens et Nicolas SARKOZY entérine le tout par une ratification parlementaire.

Dans les fameux cahiers de doléances de 1789, le peuple demande moins d’impôts, la fin des privilèges et plus de justice. Finalement, les revendications de base sont toujours les mêmes !

Le travail, un toit et du pain demeurent des droits fondamentaux pour tous et pour chacun ! Un constat évident : la fraternité ne fut en aucun cas un thème de la Révolution française, qualifiée de « bourgeoise » par les révolutionnaires russes. L’histoire contemporaine n’a pu trouver ses marques dans nos sociétés libérales.

« Liberté, Egalité, Fraternité » restent des paroles vaines, funestes même, depuis qu’elles sont devenues politiques, trois mensonges », disait Louis VEILLOT.

L’équité est toujours mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches. Nous avons du mal à la faire naître dans les lois sociales. Alors, si travailler, se loger et manger à sa faim est un droit, que faire ?

Simplement, il faut se plaindre à l’Etat français. Chaque citoyen détient sur le pouvoir une créance. Il est temps de la présenter. Pourquoi l’Etat ? Parce qu’il y a des manquements au respect de la Constitution.

Soyons des centaines de milliers à le faire savoir : auprès de nos tribunaux jusqu’à la Cour européenne de Justice. Nous devons harceler le pouvoir ! Il faut que l’Etat respecte à la lettre une Constitution voulue par le peuple en 1958 !

 

Fin de la première partie.

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Contexte oblige, la campagne du second tour des municipales adopte une forme novatrice dans sa communication en surfant sur le succès des réseaux sociaux et de la technologie numérique. Ainsi, le maire d’Auxerre, candidat à sa succession, propose quatre rendez-vous en direct lors d’échanges thématisés avec les citoyens.

AUXERRE : La date du 28 juin se profile très vite à l’horizon. Elle est le symbole du second tour des échéances municipales après un long trimestre de flottement qui aura marqué les particularismes insolites de ce scrutin.

Toujours maintenues, les mesures sécuritaires et l’application des gestes barrières n’autorisent pas les candidats au fauteuil de maire à organiser des meetings conventionnels.

Qu’à cela ne tienne : l’usage de la technologie numérique peut en partie compenser cela et bénéficier d’échanges directs !

C’est la méthode que le maire sortant d’Auxerre Guy FEREZ a retenue. En lice pour convertir sa seconde place obtenue au soir du 15 mars avec 33 % des suffrages en une victoire synonyme d’un quatrième mandat, l’édile de l’Yonne a programmé un cycle de quatre interventions sur la toile. Histoire de maintenir le contact avec les Auxerroises et les Auxerrois !

Ces échanges citoyens permettront d’aborder quatre des items essentiels de cette campagne 2020 : le développement durable et les transports, la reprise et l’essor de l’activité économique, le bien-vivre ensemble autour de la santé, la culture, le sport ainsi que les actions à initier auprès de la jeunesse et des seniors. Enfin, pour clore ce mini-cycle, un sujet s’orientera sur l’équilibre optimal entre le cœur de ville et les quartiers.

 

 

Maud NAVARRE et Mani CAMBEFORT donneront aussi leurs opinions…

 

Pour chacun de ces rendez-vous, la population auxerroise est invitée à poser des questions afin d’étayer et d’élargir la pertinence de ces échanges.

Notons, pour être tout à fait complet, que Maud NAVARRE, ancienne cheffe de file de la liste écologique « Les Printemps pour Auxerre » depuis ralliée à l’étendard de Guy FEREZ, participera à deux de ces échanges numérisés (développement durable et transport/le bien-vivre ensemble).

A l’instar du Premier secrétaire fédéral du Parti socialiste de l’Yonne, Mani CAMBEFORT : il disposera également d’un temps de parole pour partager sa vision stratégique sur le nécessaire équilibre entre le centre-ville et les quartiers.

Les questions pourront être posées par trois canaux distincts :

Sur la page Facebook de campagne (@guyferez2020),

Sur le compte Twitter de campagne (@guyferez2020),

Sur la boîte mail de campagne : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

 

En savoir plus :

 

Le programme de ces réunions sur Facebook Live :

Mardi 16 juin à 19h : faire d’Auxerre une ville verte (développement durable/transport) avec Maud NAVARRE,

Vendredi 19 juin à 19h : le développement économique de l’Auxerrois,

Lundi 22 juin à 19h : le bien-vivre ensemble (santé, forces vives, culture, sport, actions en faveur des jeunes et des aînés) avec Maud NAVARRE,

Mercredi 24 juin à 19h : une ville au développement équilibré (cœur de ville/quartiers) avec Mani CAMBEFORT.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil