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Et si l’après-coronavirus nous amenait à changer de mentalités, de paradigmes et…de constitution !

« Il faut refuser l’accès aux produits d’importation qui ne respectent pas les normes imposées aux producteurs français et arrêter de faire de l’angélisme avec naïveté ! Un changement des mentalités est salutaire pour pouvoir mieux rebondir dans la gestion de l’après-crise…en encourageant le made in France ». « Il faut refuser l’accès aux produits d’importation qui ne respectent pas les normes imposées aux producteurs français et arrêter de faire de l’angélisme avec naïveté ! Un changement des mentalités est salutaire pour pouvoir mieux rebondir dans la gestion de l’après-crise…en encourageant le made in France ». Crédit photo : PIXABAY.

L’après-crise : « qui id facit » ? Si vous préférez, qui fait quoi ? Comme la tâche s’annonce périlleuse, autant mettre un peu de latin ! Pour mieux le perdre ? Même si beaucoup pensent que l’épidémie est toujours présente, les chiffres liés à la crise sanitaire sont encourageants. Alors, comme le chantait Gilbert BECAUD : « Et maintenant, que vais-je faire ? ». Quelles stratégies, quels programmes pour endiguer la crise économique et financière à venir ? On annonce même un remaniement ministériel : avec qui ? Les spéculations vont bon train…

TRIBUNE : Notre président tient toujours le carnet de chèques pour arroser certains secteurs en crise. Il signe des contrats de prêts à tout va. Sans trop savoir comment on les remboursera ! Une mesure importante est à relever toutefois : une médaille de l’engagement pour le personnel médical ! C’est vrai, ils l’attendaient tous avec impatience !

On ressuscite les « hochets du pouvoir » avec une médaille créée en 1884 ! En parlant de la Légion d’Honneur, Napoléon aurait déclaré un jour : « C’est avec les hochets que l’on mène les hommes » ! Bref, il n’est pas certain que nos braves soldats du médical se laissent mener par le bout du nez !

Et si on changeait un peu notre regard sur nos responsabilités ? Nous sommes tous concernés pour œuvrer vers des solutions efficaces, au lieu de toujours tout attendre de l’Etat.

Les Japonais ont inventé la forme de protectionnisme la plus noble et la plus incontestable : le protectionnisme culturel ! Dès 1950, l’Etat veut se relever de la guerre et décourage les importations. Certes, mais culturellement, pour un Japonais ne pas acheter la production locale, c’est faire injure à son pays ! Aujourd’hui, la dette du Japon représente plus de deux cent cinquante fois son PIB (plus que la France ou la Grèce) : une dette détenue par les Japonais eux-mêmes !

Et les autres pays dans tout ça ? L'Allemagne pilote le comité international de normalisation depuis une décennie. Ce n'est pas un hasard. En exerçant une influence sur le contenu des normes, les entreprises allemandes assurent leur leadership. Les Etats-Unis bloquent nos produits à coups de taxes, la Chine, la Pologne, l’Espagne, le Portugal… faussent toutes les règles de la concurrence en pratiquant des salaires extrêmement bas et parfois des conditions de travail dignes du Moyen-âge !

Oui, on peut tout à fait changer de mentalité et prioriser dans nos achats les produits nationaux et locaux. La viande est plus chère, dites-vous ? Eh bien, on mangera des protéines animales une à deux fois par semaine sans nuire à notre santé ! Chacun, aujourd’hui, a le devoir de bien peser ses arbitrages entre épargne et consommation ! Consommer « Français », c’est aussi nous permettre de nous en sortir. La relance de notre économie passe par la consommation et les investissements vers le « made in France ».

 

Arrêtons de pratiquer les règles de la candeur, pour ne pas dire de la bêtise…

 

Et l’Etat ? Il doit orienter les achats : créer une taxe de non-respect des normes sociales pour des importations venant de pays défaillants sur ce plan. Refuser les produits d’importation qui ne respectent pas nos normes mais qui sont imposés aux producteurs français (les produits bio par exemple)…

Arrêtons d’être naïfs : tout le monde agit pour protéger ses propres productions et nous autres, élevons bien haut l’étendard de la candeur pour ne pas dire de la bêtise…

Qu’attendons-nous pour refuser ces normes internationales imposées par l’Allemagne ! Depuis plus de dix ans, l’Allemagne encourage la dictature des lobbyistes voulue par l’Europe. La dette française devient abyssale : pourquoi ne pas créer un impôt « Corona solidarité », réparti sur tout le monde, particuliers et entreprises, de manière équitable ? Arrêtons d’endetter les cinq ou dix générations à venir ! Toute réduction de salaire réduit d’autant plus le pouvoir d’achat des citoyens, donc la consommation ! Nuisible à court et à long terme.

Notre président a signé des accords commerciaux avec le Japon. Il vient d‘entériner des échanges commerciaux avec le Vietnam et s’apprêtent à accorder de nouveaux avantages dans nos échanges avec la Chine ! Comme le disait Anne ROUMANOFF : « On ne nous dit pas tout ! ». 

Changer de mentalité, c’est également pour l’Etat changer de paradigme. Nos manières de produire engendrent des virus et des crises sanitaires : il faut repenser la production industrielle et agricole. C’est aussi assurer notre avenir et celui de nos enfants.

Aujourd’hui, 45 % de la population mondiale (soit 3,5 milliards d’êtres humains) vit avec cinq dollars par jour et certains avec moins de deux… Le monde a de plus en  plus faim, que fait-on ? On produit de l’éthanol, un agro-carburant, en cultivant des milliers d’hectares de maïs, fortement demandeurs d’eau. Changer nos mentalités, cela passe nécessairement par un changement de constitution !

Un nouveau paradigme afin d’œuvrer efficacement vers un changement salutaire, de nouvelles heuristiques afin de mieux découvrir et analyser les faits : voilà qui nous conduit vers une nouvelle constitution !

 

L’équité mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches…

 

Petits rappels historiques : en mai 2005, la France dit « NON » (à 55 %) au projet de constitution européenne. Afin de sortir du blocage, le Traité de Lisbonne, maquillage de Maastricht, est ratifié par les pays européens et Nicolas SARKOZY entérine le tout par une ratification parlementaire.

Dans les fameux cahiers de doléances de 1789, le peuple demande moins d’impôts, la fin des privilèges et plus de justice. Finalement, les revendications de base sont toujours les mêmes !

Le travail, un toit et du pain demeurent des droits fondamentaux pour tous et pour chacun ! Un constat évident : la fraternité ne fut en aucun cas un thème de la Révolution française, qualifiée de « bourgeoise » par les révolutionnaires russes. L’histoire contemporaine n’a pu trouver ses marques dans nos sociétés libérales.

« Liberté, Egalité, Fraternité » restent des paroles vaines, funestes même, depuis qu’elles sont devenues politiques, trois mensonges », disait Louis VEILLOT.

L’équité est toujours mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches. Nous avons du mal à la faire naître dans les lois sociales. Alors, si travailler, se loger et manger à sa faim est un droit, que faire ?

Simplement, il faut se plaindre à l’Etat français. Chaque citoyen détient sur le pouvoir une créance. Il est temps de la présenter. Pourquoi l’Etat ? Parce qu’il y a des manquements au respect de la Constitution.

Soyons des centaines de milliers à le faire savoir : auprès de nos tribunaux jusqu’à la Cour européenne de Justice. Nous devons harceler le pouvoir ! Il faut que l’Etat respecte à la lettre une Constitution voulue par le peuple en 1958 !

 

Fin de la première partie.

 

Jean-Paul ALLOU

 

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