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C’est la délivrance au plus profond de l’âme malgré une pointe d’angoisse qui lui vrille l’esprit. Et si la clientèle n’était pas au rendez-vous ? Fermé depuis le 15 février, le restaurant semi-gastronomique du pittoresque village de Puisaye-Forterre accueille les épicuriens ce jeudi midi. Dans des conditions quasi ubuesques où le protocole de mesures sécuritaires s’invite presque jusque dans l’assiette. Qu’importe pour Anne DARENNE ! L’essentiel est ailleurs ! Il est synonyme de joie retrouvée derrière les fourneaux après tant d’incertitudes…

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Un trimestre de relâche sans jamais apercevoir le bout du tunnel. Ce fut un vide sidéral pour cette professionnelle qui se nourrit des relations humaines et de la satisfaction de titiller les papilles gustatives des plus fins gourmets.

Un gouffre inéluctable lorsque l’on dirige seule, tel un capitaine à bord d’un frêle esquif, devant faire face à la tempête qui se profile. De l’écume, des grains, des coups de vent, des murs d’eau et enfin, l’espérance. Comme le cap, ce bien-nommé, porteur de ce salut ô combien mérité pour cette cheffe d’entreprise pas ordinaire !

Anne DARENNE a donc retrouvé son sourire. Et des yeux emplis d’effervescence et d’allégresse. Ce jeudi, elle va œuvrer derrière le piano pour produire le meilleur d’elle-même qui se matérialisera sous la forme d’une entrée savamment préparée, d’une viande à la cuisson parfaite nappée de sa sauce à la texture onctueuse et d’un dessert fruité plein de fraîcheur.

Pour l’instant, c’est-à-dire à soixante-douze heures de la reprise en main de sa chère cuisine, la restauratrice n’a pas encore arrêté la composition exacte des deux menus dont elle présentera elle-même l’arborescence en salle.

Le premier, appelé celui du marché, lui permettra à partir d’une base de produits frais et sélectionnés par ses soins de poser les jalons d’un melting-pot culinaire devant permettre aux premiers convives de se sustenter d’une entrée, d’un plat principal, d’un fromage (on pense nécessairement aux succulents petits chèvres de chez Virginie élaborés dans la ferme située à quelques encablures de là) et du traditionnel dessert. Il en coûtera la bagatelle de vingt euros, sachant que ce menu est évolutif chaque midi. Un magnifique prétexte pour biffer sur son agenda plusieurs rendez-vous !

 

 

 

 

Un menu semi-gastronomique pour les grands appétits !

 

Le second, le gastronomique, requiert davantage de temps autour de la table et sans doute une appétence à une plus grande faim !

Même s’il s’articule autour de la même construction, entrée, plat, fromage et dessert mais avec des ingrédients plus raffinés et travaillés dans l’esprit cher aux disciples d’Escoffier.

La carte estivale pourrait comprendre son foie gras maison, un mets forcément accompagné de surprises sucrées dans l’assiette façon shutney à la mangue et compotée d’oignons.    

La fraîcheur donnera le « la » dans ce parcours découverte un tantinet hédoniste avec sans doute la présence de courgettes et de tomates (les vraies, celles qui sont juteuses à souhait et qui possèdent cette saveur si agréable au palais), les pommes de terre nouvelles agrémentant un poisson du jour (cabillaud, lieu noir, lieu jaune selon les arrivages de la marée) voire le filet de bœuf, pièce maîtresse de cette cuisine champêtre si bien charpentée à la tendresse fondante en bouche.

Côté sucreries (il en faut toujours pour ponctuer un délicieux repas), Anne DARENNE privilégiera les fruits travaillés en tartes (prunes, cerises, fraises…). Mais, elle n’en oubliera pas de ravir une clientèle de fidèles avec le fameux nougat glacé, recette que son regretté époux, trop tôt disparu, avait su élever au rang de référence dans ce paisible endroit, situé face au plan d’eau propice à la balade digestive obligatoire.

La carte des vins représente une palette éclectique des incontournables de la viticulture icaunaise avec des irancy, saint-bris, épineuil et chablis à foison.

 

 

Si vous en voulez davantage, il restera aussi la possibilité de prolonger ces instants émotionnels forts en optant pour l’une des sept chambres afin de recommencer dès le lendemain.

La partie hôtelière de l’établissement accueillera en effet ses premiers visiteurs le soir même. Là aussi dans des conditions sécuritaires strictes et rigoureuses : gel hydro-alcoolique, gestes barrières et distanciation physique à tous les étages !

Désormais, alors que la crise sanitaire est derrière nous, il est nécessaire que les gens reprennent goût à la vie en sortant et en consommant. C’est ce que désire la restauratrice de l’Yonne qui espère aussi une ouverture rapide des frontières européennes dès que possible afin de revoir dans sa charmante maison les habituels clients bataves et belges.

En savoir plus :

L’Auberge des Sources

Druyes les Belles Fontaines

Tel : 03.86.41.55.14.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


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De nombreux  élus et autres dirigeants annoncent que nous devrons faire beaucoup de sacrifices afin de sortir de la crise économique à venir ! A la façon de Winston CHURCHILL, qui en 1940 durant la débâcle en Europe, avait déclaré : « Je n’ai à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur… ». Un programme de réjouissances que celui offert par Emmanuel MACRON aux Français. Ils devraient donc souffrir…

TRIBUNE : Pour sortir de la crise, il faudra travailler un peu plus. La formule est signée du patron des patrons, Geoffroy ROUX de BEZIEUX. Ce dernier souhaite revoir le temps de travail, celui des jours fériés, voire les congés payés…

Agnès PANNIER-RUNACHER, secrétaire d’Etat à l’Economie, lui a emboîté le pas : elle prévient qu’il faudra travailler davantage pour rattraper la perte d’activité liée à la crise sanitaire.

Ces beaux discours précisent, avec une bonne dose de miel, que l’on ne demande pas de sacrifices mais un joli coup de collier. Et le MEDEF d’enfoncer un peu plus le clou : « ils (il faut entendre les salariés) savent que leur entreprise et leur emploi sont menacés ». Sans commentaire.

On pourrait ajouter, pourquoi pas, à ces suggestions : le travail à partir de dix ans, dix heures de labeur quotidien, six journées de travail par semaine…

Ne souriez pas : j’ai entendu cela dans les bars bien avant leur fermeture temporaire ! Ah oui j’oubliais, il faut interdire le travail aux femmes pour juguler le chômage !

Bref : l’ombre de la dictature plane au-dessus de nos têtes : déjà, des dérogations aux limites du temps de travail ont été adoptées. Par simple ordonnance, le temps de travail hebdomadaire maximum est passé à soixante heures. Ce fameux coup de collier demandé conduit à une chute de 16 % des ressources des huit millions de bénéficiaires du chômage partiel, qu’on se le dise !

 

Les responsables ne sont coupables de rien…

 

Par le passé, les peuples ont toujours dû régler la facture de l’incompétence de leurs élus : manque d’anticipation, mauvaise gestion des crises, attachement viscéral au pouvoir individuel…Sachant que les responsables ne sont coupables de rien !

Voici donc le retour au premier plan des « vieilles lunes» de l’ère Mitterrand : « je suis responsable mais non coupable » (dixit Georgina DUFOIX à propos de l’affaire du « sang contaminé »).

Aujourd’hui, il existe une autre variante : Christine LAGARDE, l’actuelle patronne de la BCE, reconnue coupable dans l’affaire Bernard Tapie  ne fut jamais condamnée selon la trilogie : « responsable, coupable, intouchable » !

Même le locataire de Bercy, Bruno LE MAIRE y va aussi de son couplet : « il faudra faire des efforts pour sortir de la pandémie ».

Selon le Parti Communiste, pour les Français c’est « la double peine » : « la crise sanitaire et en plus, une attaque des droits des salariés ».

De mieux en mieux et du plus croustillant avec Valérie PECRESSE, présidente de la région Ile-de-France qui a déclaré péremptoire au journaliste Jean-Jacques BOURDIN : « il faut que les Français acceptent de faire des dons : ils devraient céder des RTT, voire diminuer leur salaire » !

Sans vouloir jouer les « Savonarole », il est temps de demander des comptes et des efforts à nos élus ! Des coupes franches dans les budgets de l’Etat seraient par ailleurs les bienvenues.

Les propos de Valérie PECRESSE passent d’autant plus mal, que selon une étude de la revue «  People with money », elle aurait touché, entre avril 2019 et avril 2020 (tout revenu confondu), près de 82 millions d’euros pour un patrimoine personnel estimé à plus de 240 millions ! Quels efforts et dons personnels, voire diminution de salaire, êtes-vous prête à consentir Chère Madame ?

 

 

Même l’Elysée se doit de montrer l’exemple dans la baisse de son budget…

 

D’autres économies peuvent intégrer le domaine des possibles : celui des budgets de fonctionnement des 36 000 mairies (autant que dans toute l’Europe) ; c’est beaucoup trop. D’autant que la création des Communautés de communes a alourdi les coûts. Dans le même sens : il serait bon de restreindre le nombre de parlementaires (570 pour 567 millions de budget) et de sénateurs (340 qui nous coûtent 338 millions). Rappelons que le Sénat a peu de pouvoirs, pour ne pas dire aucun ! Attention, cependant, dès que l’on veut diminuer le nombre de députés, voire de supprimer le Sénat, nos braves édiles brandissent tout de suite les spectres du « poujadisme » et du « boulangisme » !

Le président François HOLLANDE avait promis de passer de vingt-deux à treize régions pour économiser la bagatelle de dix milliards d’euros. Or, la Cour des  Comptes annonce un dérapage de 207 millions d’euros. Résultat : cela nous coûte aujourd’hui plus cher qu’autrefois !

Tout le monde est concerné par les coupes budgétaires, même le président ! L’Elysée reçoit 105 millions de dotation : elles sont en augmentation de 3,7 millions pour 2020 ! Crise oblige…

Dans notre constitution, l’épouse du Président n’a pas de statut officiel. Brigitte MACRON dispose, outre de bureaux à l’Elysée, de six autres lieux de rendez-vous place Vendôme, de quatre collaborateurs dont un chef de cabinet et de sept collaborateurs détachés des équipes du président pour le seul courrier ! En plus, elle dispose d’une coiffeuse-maquilleuse. Combien cela coûte-t-il au global à la France ? On ne le sait pas : une grosse partie des dépenses de l’épouse du Président est intégrée dans le budget total de l’Elysée…

Alors Mesdames et Messieurs, chères et chers élus, si chers à nos portemonnaies, quels efforts individuels et collectifs (sans oublier vos équipes de collaborateurs en tout genre) êtes-vous prêts à consentir réellement ? Quels dons et quelles réductions de salaire êtes-vous prêts à offrir à la nation ? Vos efforts seront présents dans les urnes, à n’en pas douter ! La déliquescence des mœurs et celle des institutions, l’immoralité de certains élus, les gabegies budgétaires à répétition peuvent porter au pouvoir des nationalistes et des fondamentalistes anti-démocraties !

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Parce qu’ils appelaient publiquement à voter en faveur de la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie », six adhérents du Parti socialiste de l’Yonne ont été écartés pour six mois de leur formation politique. Le bureau fédéral du PS a choisi de soutenir le maire sortant Guy FEREZ au second tour des municipales. Une décision qui a fait l’objet d’un vote et obtenu l’aval de la direction nationale…

AUXERRE : La sanction est finalement tombée en fin de semaine. Le bureau fédéral du Parti socialiste de l’Yonne a donc opté pour la suspension durant un semestre de six de ses adhérents après que ces derniers se soient ralliés publiquement à la cause de Florence LOURY et de Denis ROYCOURT, leaders de la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie ».

Une liste qui occupait la troisième position au soir du premier tour des municipales le 15 mars.

En dépit des décisions démocratiques prises par le parti de gauche (à savoir le soutien accordé au maire sortant pour le second tour à l’issue de votes favorables avec l’aval du Premier secrétaire national Olivier FAURE), les six trublions du PS local avaient appelé à faire élire le duo écologiste au nom de leur formation politique. Une position contraire à la déontologie suivie par le Premier secrétaire fédéral de l’Yonne, Mani CAMBEFORT.

Pire, aux yeux de ce dernier, ces six adhérents ne désavouaient pas le maintien de la liste écologiste au deuxième tour prévue le 28 juin.

Avec le risque, de surcroît, d’inciter à davantage de divisions et de favoriser par ricochet l’élection du candidat Les Républicains/UDI Crescent MARAULT en embuscade après être arrivé en tête (37 %) au premier tour.


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Plutôt studieuse que farniente la future période estivale des enfants et adolescents cette année ! Ainsi en a décidé le ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse Jean-Michel BLANQUER qui dévoilait ce samedi matin à Paris aux côtés de Julien DENORMANDIE et de Gabriel ATTAL les diverses facettes du programme « Vacances apprenantes » dont les quartiers sensibles seront prioritaires…

PARIS : C’est dans les salons du ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse, rue de Grenelle, qu’a eu lieu ce samedi matin la présentation du copieux programme dont sera bénéficiaire un million d’enfants et d’adolescents cet été. Un processus validé par le gouvernement pour lutter avec efficience contre le décrochage scolaire qui est lié à la longue période de confinement.  

Le concept baptisé « Vacances apprenantes », de quoi réjouir les frimousses joyeuses des têtes blondes qui n’en demandaient pas tant depuis leur retour en classe (!), bénéficiera d’une enveloppe budgétaire de deux cents millions d’euros.

Le dispositif, gratuit, sera toutefois réservé aux plus modestes des familles. Et en particulier, à celles et ceux de ces enfants qui vivent dans les quartiers dits « sensibles ». Bon nombre de ces gosses n’ont pas emprunté le chemin de l’école depuis le 15 mars dernier, date du début du confinement.

Le ministre de l’Education nationale a ensuite détaillé son plan lors d’une conférence de presse, autour d’une stratégie qui s’articule selon les principes vertueux de vacances épanouissantes et éducatives.

En terme clair, il s’agira pour les participants à ce dispositif de joindre l’utile à l’agréable, c’est-à-dire s’amuser et profiter des joies inhérentes aux congés d’été sans omettre de remettre la blouse le temps d’une séance pédagogique instruit de manière officielle.

Le gouvernement table sur la pratique des colonies de vacances, des écoles ouvertes et autres centres aérés pour que la jeunesse rattrape les manques intellectuels perdus durant près d’un trimestre. 250 000 départs en colonies seront ainsi financés par l’Etat dont deux cents mille seront réservés aux enfants des familles les plus modestes.

Toutefois, il a été précisé que les « enfants ayant décroché de l’enseignement à distance faute d’équipement numérique » seraient également prioritaires pour suivre ces camps de vacances éducatifs.

Les centres aérés à vocation pédagogique devraient accueillir 300 000 enfants. Le développement de jeux à orientation éducative y serait favorisé dans le cadre de la remobilisation scolaire.

 

 

2 500 écoles, collèges et lycées pourraient ouvrir cet été…

 

Quant à l’ouverture des établissements scolaires cet été, elle n’est pas exclue. Jean-Michel BLANQUER souhaite mobiliser près de 2 500 écoles, collèges et lycées dans les villes et les territoires ruraux.

On sait également que des activités de soutien scolaire, des cours d’éducation physique et des actions culturelles compléteront le dispositif pour 400 000 élèves.

Enfin, pour être tout à fait complet sur ce dossier, il faut savoir que 50 000 jeunes âgés de moins de 17 ans pratiqueront l’école ouverte buissonnière cet été. Soit à la campagne, soit sur le littoral. Histoire de se familiariser avec la nature et la découverte du patrimoine local.

Une aide ponctuelle exceptionnelle de trente millions d’euros sera attribuée par l’Etat aux collectivités territoriales qui désirent financer ce dispositif. Sachant que douze millions d’élèves sont scolarisés en France.

Reste le principal levier à ce plan pour qu’il fonctionne correctement : le nombre suffisant d’enseignants mobilisés sur la base du volontariat.

Idéalement, le gouvernement aimerait s’appuyer sur la présence physique de 25 000 professionnels pour que les 400 000 scolaires qui suivront le programme en école ouverte le fassent dans de bonnes conditions. Soit cinq fois plus qu’actuellement en période scolaire.

Mais, le SNES-FSU, syndicat  national des enseignants du second degré, a déjà fait savoir qu’il n’était pas du tout convaincu par la pertinence de ce programme « vacances apprenantes ». Logique, il a le malheur de tomber en pleine période estivale !

 


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L’initiative se veut très sympathique. Un tantinet sportive, certes, mais pas trop. Le but n’étant pas de révéler vos talents de coureurs cyclistes ni de tester votre endurance à l’effort ! Il s’agit plutôt de découvrir la richesse éclectique du patrimoine de l’Auxerrois dans toute sa diversité…

AUXERRE : Premiers coups de pédale prévus le samedi 06 juin. Ce sera un circuit long d’une quinzaine de kilomètres décliné au fil de l’eau qui permettra d’admirer et comprendre l’environnement local et sa diversité.

D’une durée de deux heures, il sera possible de prendre le temps de renaître à la vie après de si longues semaines en état de semi-léthargie. Sachant que celles et ceux qui auraient manqué ce rendez-vous bucolique pourraient renouveler l’expérience le 20 juin.

La direction de la Culture, des Sports et des Evènements d’Auxerre a donc décidé de remettre la « petite reine » en selle. Quoi de plus naturel en somme que de proposer chaque samedi de juin des balades à vélo soit dans la cité de Paul Bert, soit parmi les paysages de l’Auxerrois.

Adaptées à tous les niveaux de sportivité, ces sorties cyclistes prendront leur départ devant les locaux de l’Office du tourisme au 7 place de l’Hôtel de Ville et s’effectueront avec des engins munis de l’assistance électrique.

Il suffit pour y participer de réserver sa séance auprès du contact téléphonique suivant (03.86.52.06.19.) ou par mail (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.). Coût de la manœuvre : 7,50 euros.

Quatre dates à retenir : les 06, 13, 20 et 27 juin. De plus, les adeptes de la découverte à vélo seront accompagnés d’un guide conférencier. Un bonheur ne vient jamais seul, on le sait bien…

 

 


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