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C’est le revers de la médaille pour un geste qui se voulait au départ généreux et solidaire afin de permettre aux uns et aux autres d’accéder plus facilement au cœur de ville. La gratuité totale du stationnement jusqu’au 31 août intègre déjà l’histoire ancienne. L’adjoint d’Auxerre en charge du Commerce Jean-Philippe BAILLY a décidé jeudi soir de mettre un terme définitif à cette expérience qui aura eu l’heur de propulser les voitures ventouses sur le devant de la scène…en version négative !

AUXERRE : Circulez, y a rien à voir ! D’ici peu, les fameuses voitures « ventouses » qui monopolisaient une majeure partie des places de stationnement du centre-ville dès potron-minet jusqu’à la tombée de la nuit devront regagner prestement le trafic. Sous peine de passer sous les fourches caudines de la police municipale !

Ce qui semblait une idée altruiste et généreuse au départ s’est très vite transformée en une cacophonie innommable pour celles et ceux qui cherchaient vainement à stationner leurs véhicules dans les rues et sur les parkings de l’hyper-centre au fil de la journée.

Présentes du matin au soir, voire du soir au matin, ces voitures ventouses ont eu raison de la patience de l’adjoint en charge du Commerce, Jean-Philippe BAILLY, qui a pris la sage décision d’interrompre ce processus néfaste pour l’activité commerciale. Les clients potentiels ne pouvant garer leur automobile au plus près des boutiques.

En concertation avec différents collectifs de commerçants, l’élu auxerrois a décidé de clore ce chapitre de la gratuité totale du stationnement pour le remplacer par un autre procédé qui jouera davantage sur la temporalité. Le but étant d’encourager les rotations de véhicules.

Parallèlement, Jean-Philippe BAILLY s’est appuyé sur un constat justifiant ce choix : l’amélioration de la situation sanitaire et la diminution constante du nombre d’habitants demeurant chez eux durant la journée.

 

 

Les collectifs de commerçants avaient saisi la municipalité il y a vingt-quatre heures par une lettre parfaitement circonstanciée.

Précisons qu’en son temps, l’ancien adjoint au maire aux Transports, Denis MARTIN, s’était fendu de la même initiative le 19 mai dernier en alertant l’édile d’Auxerre Guy FEREZ sur les nuisances que pouvaient occasionnées ce phénomène de l’immobilité constante des véhicules.

A l’époque où il était un élu d’Auxerre, celui-ci avait diligenté une étude sur le stationnement dans le cadre du Plan de déplacement urbain. L’analyse faite de cet audit démontrait alors qu’une place de stationnement payant accueillait sept voitures successives dans la journée. La même place, gratuite, n’en accueillait qu’une. Soit, pour mille places de stationnement payant, sept mille voitures accueillies contre mille en cas de gratuité.

Mais, au-delà de cette réelle problématique du stationnement, c’est sans doute l’attractivité du centre-ville, son plan de circulation, les cheminements piétons et l’accès aux cycles qu’il serait judicieux de réexaminer en profondeur pour apporter davantage de fluidité dans les rues de la capitale de l’Yonne.  

 

 

 


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L’éolien constitue un vrai cheval de bataille pour la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY, fervente supportrice de la transition écologique. Certaines contraintes inhérentes à l’Armée de l’air perturbent à l’heure actuelle son schéma de développement. En cause : le projet d’extension des couloirs de survol en basse altitude envisagé par le corps militaire.

DIJON (Côte d’Or) : L’essor de l’éolien va-t-il connaître un coup d’arrêt brutal en Bourgogne Franche-Comté du fait de la présence de l’Armée de l’air ? C’est une intrigante question qui s’est étalée dans les manchettes de bon nombre de quotidiens régionaux cette semaine.

Avec en toile de fond, l’épineux problème qui a été soulevé par rapport au projet d’extension des couloirs de survol en basse altitude de nos forces militaires.

Visiblement, et sans concertation jugée satisfaisante avec les acteurs concernés par le dossier (la Région, les SEM, les syndicats d’énergie ou les représentants de la filière énergétique), les militaires peaufineraient à l’heure actuelle leur nouveau plan de survol à basse altitude, appelé réseaux RTBA.

 

 

Conséquence : la concrétisation de ce projet aboutirait inévitablement à renforcer la concentration des parcs éoliens dans des zones déjà denses, voire peu favorables. Notamment dans deux départements ayant le plus fort potentiel d’éolien : la Côte d’Or et l’Yonne.

Un non-sens selon la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY puisque la volonté du gouvernement est d’en assurer un développement plus équilibré.

 

 

Profitant de la venue de la ministre de la Transition écologique et solidaire le 04 juin à Dijon, la présidente de l’exécutif régional a interpellé Elisabeth BORNE afin de solliciter son intervention auprès de la ministre des Armées, Florence PARLY.

Lui rappelant au passage, « que les évolutions des contraintes aéronautiques ne devaient pas prendre le pas sur des activités économiques à part entière comme l’éolien dont nos territoires ont grandement besoin pour leur attractivité et leur autosuffisance en énergie… ».

Rappelons que la Bourgogne Franche-Comté est pleinement engagée dans le développement des énergies renouvelables, en particulier l’éolien, filière compétitive et créatrice d’emplois.

La Région a soutenu la création de plusieurs sociétés d’économie mixte (SEM) et est devenue elle-même actionnaire de trois d’entre elles et d’une société coopérative d’intérêt collectif citoyenne, JURASCIC.

 

 

 

 

 

 


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Pas facile en période de crise de pouvoir élaborer et tenir le budget le plus rigoureux possible pour joindre les deux bouts selon la formule consacrée. L’époque est synonyme de réduction des dépenses, de maîtrise de son bas de laine ou encore d’anticipation au plus juste de son prévisionnel de courses. L’idéal est de s’appuyer sur des conseils pertinents et utiles prodigués par des spécialistes ; comme ceux délivrés par le nouveau podcast de Point Passerelle…

DIJON (Côte d’Or) : Depuis 2008, début de ses interventions en Bourgogne et en Champagne, Point Passerelle a fait de l’éducation budgétaire son cheval de bataille. Surtout auprès de personnes en situation d’exclusion financière et/ou sociale qui peinent à s’y retrouver après un accident de la vie : chômage, maladie, divorce…

Or, cet accompagnement humain et économique salvateur dont sont destinataires beaucoup de personnes prend une nouvelle dimension ce mois-ci avec le lancement d’un podcast inédit.

Il est vrai que l’idée germait depuis plus d’un an dans l’esprit créatif de Marie-Laure LAZZARONI, directrice de la structure associative soutenue par le Crédit agricole Champagne-Bourgogne.

Cette dernière souhaitait mettre à la disposition du plus grand nombre un outil technologique qui puisse donner accès à des astuces de suivi et d’organisation de budget.

Profitant de la longue période d’inertie imputable à la présence du COVID-19, la dynamique responsable a conçu une série d’enregistrements au contenu pédagogique pour expliquer la gestion d’un budget. Ainsi est apparu ce podcast, source d’information ludique et nomade pouvant être écouté partout et sur différents supports : ordinateur, tablette, smartphone…

Côté pratico-pratique, ce podcast est écoutable sur le compte soundcloud hébergé par la banque verte : www.soundcloud.com/cachampagnebourgogne

Son lancement a eu lieu en début de mois. Ce partage de conseils en matière de suivi budgétaire devrait apporter son lot de réponses concrètes à bon nombre d’utilisateurs.   

Rappelons, que l’association Point Passerelle, un lieu d’accueil et de médiation reconnu, s’appuie sur la présence de sept conseillers issus du réseau du Crédit agricole ainsi qu’une quarantaine de bénévoles, anciens salariés ou administrateurs de l’établissement.

En savoir plus :

A consulter la référence :

www.pointpasserelle-champagne-bourgogne.fr

 

 


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C’est la délivrance au plus profond de l’âme malgré une pointe d’angoisse qui lui vrille l’esprit. Et si la clientèle n’était pas au rendez-vous ? Fermé depuis le 15 février, le restaurant semi-gastronomique du pittoresque village de Puisaye-Forterre accueille les épicuriens ce jeudi midi. Dans des conditions quasi ubuesques où le protocole de mesures sécuritaires s’invite presque jusque dans l’assiette. Qu’importe pour Anne DARENNE ! L’essentiel est ailleurs ! Il est synonyme de joie retrouvée derrière les fourneaux après tant d’incertitudes…

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Un trimestre de relâche sans jamais apercevoir le bout du tunnel. Ce fut un vide sidéral pour cette professionnelle qui se nourrit des relations humaines et de la satisfaction de titiller les papilles gustatives des plus fins gourmets.

Un gouffre inéluctable lorsque l’on dirige seule, tel un capitaine à bord d’un frêle esquif, devant faire face à la tempête qui se profile. De l’écume, des grains, des coups de vent, des murs d’eau et enfin, l’espérance. Comme le cap, ce bien-nommé, porteur de ce salut ô combien mérité pour cette cheffe d’entreprise pas ordinaire !

Anne DARENNE a donc retrouvé son sourire. Et des yeux emplis d’effervescence et d’allégresse. Ce jeudi, elle va œuvrer derrière le piano pour produire le meilleur d’elle-même qui se matérialisera sous la forme d’une entrée savamment préparée, d’une viande à la cuisson parfaite nappée de sa sauce à la texture onctueuse et d’un dessert fruité plein de fraîcheur.

Pour l’instant, c’est-à-dire à soixante-douze heures de la reprise en main de sa chère cuisine, la restauratrice n’a pas encore arrêté la composition exacte des deux menus dont elle présentera elle-même l’arborescence en salle.

Le premier, appelé celui du marché, lui permettra à partir d’une base de produits frais et sélectionnés par ses soins de poser les jalons d’un melting-pot culinaire devant permettre aux premiers convives de se sustenter d’une entrée, d’un plat principal, d’un fromage (on pense nécessairement aux succulents petits chèvres de chez Virginie élaborés dans la ferme située à quelques encablures de là) et du traditionnel dessert. Il en coûtera la bagatelle de vingt euros, sachant que ce menu est évolutif chaque midi. Un magnifique prétexte pour biffer sur son agenda plusieurs rendez-vous !

 

 

 

 

Un menu semi-gastronomique pour les grands appétits !

 

Le second, le gastronomique, requiert davantage de temps autour de la table et sans doute une appétence à une plus grande faim !

Même s’il s’articule autour de la même construction, entrée, plat, fromage et dessert mais avec des ingrédients plus raffinés et travaillés dans l’esprit cher aux disciples d’Escoffier.

La carte estivale pourrait comprendre son foie gras maison, un mets forcément accompagné de surprises sucrées dans l’assiette façon shutney à la mangue et compotée d’oignons.    

La fraîcheur donnera le « la » dans ce parcours découverte un tantinet hédoniste avec sans doute la présence de courgettes et de tomates (les vraies, celles qui sont juteuses à souhait et qui possèdent cette saveur si agréable au palais), les pommes de terre nouvelles agrémentant un poisson du jour (cabillaud, lieu noir, lieu jaune selon les arrivages de la marée) voire le filet de bœuf, pièce maîtresse de cette cuisine champêtre si bien charpentée à la tendresse fondante en bouche.

Côté sucreries (il en faut toujours pour ponctuer un délicieux repas), Anne DARENNE privilégiera les fruits travaillés en tartes (prunes, cerises, fraises…). Mais, elle n’en oubliera pas de ravir une clientèle de fidèles avec le fameux nougat glacé, recette que son regretté époux, trop tôt disparu, avait su élever au rang de référence dans ce paisible endroit, situé face au plan d’eau propice à la balade digestive obligatoire.

La carte des vins représente une palette éclectique des incontournables de la viticulture icaunaise avec des irancy, saint-bris, épineuil et chablis à foison.

 

 

Si vous en voulez davantage, il restera aussi la possibilité de prolonger ces instants émotionnels forts en optant pour l’une des sept chambres afin de recommencer dès le lendemain.

La partie hôtelière de l’établissement accueillera en effet ses premiers visiteurs le soir même. Là aussi dans des conditions sécuritaires strictes et rigoureuses : gel hydro-alcoolique, gestes barrières et distanciation physique à tous les étages !

Désormais, alors que la crise sanitaire est derrière nous, il est nécessaire que les gens reprennent goût à la vie en sortant et en consommant. C’est ce que désire la restauratrice de l’Yonne qui espère aussi une ouverture rapide des frontières européennes dès que possible afin de revoir dans sa charmante maison les habituels clients bataves et belges.

En savoir plus :

L’Auberge des Sources

Druyes les Belles Fontaines

Tel : 03.86.41.55.14.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


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De nombreux  élus et autres dirigeants annoncent que nous devrons faire beaucoup de sacrifices afin de sortir de la crise économique à venir ! A la façon de Winston CHURCHILL, qui en 1940 durant la débâcle en Europe, avait déclaré : « Je n’ai à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur… ». Un programme de réjouissances que celui offert par Emmanuel MACRON aux Français. Ils devraient donc souffrir…

TRIBUNE : Pour sortir de la crise, il faudra travailler un peu plus. La formule est signée du patron des patrons, Geoffroy ROUX de BEZIEUX. Ce dernier souhaite revoir le temps de travail, celui des jours fériés, voire les congés payés…

Agnès PANNIER-RUNACHER, secrétaire d’Etat à l’Economie, lui a emboîté le pas : elle prévient qu’il faudra travailler davantage pour rattraper la perte d’activité liée à la crise sanitaire.

Ces beaux discours précisent, avec une bonne dose de miel, que l’on ne demande pas de sacrifices mais un joli coup de collier. Et le MEDEF d’enfoncer un peu plus le clou : « ils (il faut entendre les salariés) savent que leur entreprise et leur emploi sont menacés ». Sans commentaire.

On pourrait ajouter, pourquoi pas, à ces suggestions : le travail à partir de dix ans, dix heures de labeur quotidien, six journées de travail par semaine…

Ne souriez pas : j’ai entendu cela dans les bars bien avant leur fermeture temporaire ! Ah oui j’oubliais, il faut interdire le travail aux femmes pour juguler le chômage !

Bref : l’ombre de la dictature plane au-dessus de nos têtes : déjà, des dérogations aux limites du temps de travail ont été adoptées. Par simple ordonnance, le temps de travail hebdomadaire maximum est passé à soixante heures. Ce fameux coup de collier demandé conduit à une chute de 16 % des ressources des huit millions de bénéficiaires du chômage partiel, qu’on se le dise !

 

Les responsables ne sont coupables de rien…

 

Par le passé, les peuples ont toujours dû régler la facture de l’incompétence de leurs élus : manque d’anticipation, mauvaise gestion des crises, attachement viscéral au pouvoir individuel…Sachant que les responsables ne sont coupables de rien !

Voici donc le retour au premier plan des « vieilles lunes» de l’ère Mitterrand : « je suis responsable mais non coupable » (dixit Georgina DUFOIX à propos de l’affaire du « sang contaminé »).

Aujourd’hui, il existe une autre variante : Christine LAGARDE, l’actuelle patronne de la BCE, reconnue coupable dans l’affaire Bernard Tapie  ne fut jamais condamnée selon la trilogie : « responsable, coupable, intouchable » !

Même le locataire de Bercy, Bruno LE MAIRE y va aussi de son couplet : « il faudra faire des efforts pour sortir de la pandémie ».

Selon le Parti Communiste, pour les Français c’est « la double peine » : « la crise sanitaire et en plus, une attaque des droits des salariés ».

De mieux en mieux et du plus croustillant avec Valérie PECRESSE, présidente de la région Ile-de-France qui a déclaré péremptoire au journaliste Jean-Jacques BOURDIN : « il faut que les Français acceptent de faire des dons : ils devraient céder des RTT, voire diminuer leur salaire » !

Sans vouloir jouer les « Savonarole », il est temps de demander des comptes et des efforts à nos élus ! Des coupes franches dans les budgets de l’Etat seraient par ailleurs les bienvenues.

Les propos de Valérie PECRESSE passent d’autant plus mal, que selon une étude de la revue «  People with money », elle aurait touché, entre avril 2019 et avril 2020 (tout revenu confondu), près de 82 millions d’euros pour un patrimoine personnel estimé à plus de 240 millions ! Quels efforts et dons personnels, voire diminution de salaire, êtes-vous prête à consentir Chère Madame ?

 

 

Même l’Elysée se doit de montrer l’exemple dans la baisse de son budget…

 

D’autres économies peuvent intégrer le domaine des possibles : celui des budgets de fonctionnement des 36 000 mairies (autant que dans toute l’Europe) ; c’est beaucoup trop. D’autant que la création des Communautés de communes a alourdi les coûts. Dans le même sens : il serait bon de restreindre le nombre de parlementaires (570 pour 567 millions de budget) et de sénateurs (340 qui nous coûtent 338 millions). Rappelons que le Sénat a peu de pouvoirs, pour ne pas dire aucun ! Attention, cependant, dès que l’on veut diminuer le nombre de députés, voire de supprimer le Sénat, nos braves édiles brandissent tout de suite les spectres du « poujadisme » et du « boulangisme » !

Le président François HOLLANDE avait promis de passer de vingt-deux à treize régions pour économiser la bagatelle de dix milliards d’euros. Or, la Cour des  Comptes annonce un dérapage de 207 millions d’euros. Résultat : cela nous coûte aujourd’hui plus cher qu’autrefois !

Tout le monde est concerné par les coupes budgétaires, même le président ! L’Elysée reçoit 105 millions de dotation : elles sont en augmentation de 3,7 millions pour 2020 ! Crise oblige…

Dans notre constitution, l’épouse du Président n’a pas de statut officiel. Brigitte MACRON dispose, outre de bureaux à l’Elysée, de six autres lieux de rendez-vous place Vendôme, de quatre collaborateurs dont un chef de cabinet et de sept collaborateurs détachés des équipes du président pour le seul courrier ! En plus, elle dispose d’une coiffeuse-maquilleuse. Combien cela coûte-t-il au global à la France ? On ne le sait pas : une grosse partie des dépenses de l’épouse du Président est intégrée dans le budget total de l’Elysée…

Alors Mesdames et Messieurs, chères et chers élus, si chers à nos portemonnaies, quels efforts individuels et collectifs (sans oublier vos équipes de collaborateurs en tout genre) êtes-vous prêts à consentir réellement ? Quels dons et quelles réductions de salaire êtes-vous prêts à offrir à la nation ? Vos efforts seront présents dans les urnes, à n’en pas douter ! La déliquescence des mœurs et celle des institutions, l’immoralité de certains élus, les gabegies budgétaires à répétition peuvent porter au pouvoir des nationalistes et des fondamentalistes anti-démocraties !

Jean-Paul ALLOU

 

 


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