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Juste avant que ne tombe la décision irrévocable d’annuler sine die le futur évènement sportif de l’Yonne (le 27 août), le travail réalisé en matière de communication et d’information autour de ce premier rendez-vous était très bien ficelé en amont. Au plan national, c’est l’agence de relations presse parisienne, spécialisée dans le domaine du sport, de la forme et du bien-être, BernasCOM, qui avait eu le privilège de décrocher le budget pour en assurer la promotion auprès de nos confrères. Aujourd’hui, les gestionnaires du dossier tombent des nues…

 PARIS : Chargée des relations avec les médias, Sovannah HIM ne cache pas son désappointement. « Je suis stupéfaite devant cette décision si soudaine et abrupte… confie-t-elle. Membre de l’équipe de cette agence de communication de la capitale, elle assurait la gestion du dossier « CRAZY RACE FESTIVAL » depuis près de quatre mois. Sans qu’il n’y ait la moindre difficulté dans le mode opératoire et le comportement avec la société organisatrice, « RUN IN THE WORLD ».

Mais, depuis ce lundi 27 août et la date de l’annulation de l’évènementiel icaunais, les choses ont pris une tournure bien différente.

« Nous n’avons plus aucun contact avec le donneur d’ordre de cette opération… ». Rien de surprenant à cela. Puisqu’un son de cloche identique carillonne auprès des partenaires économiques et des futurs participants grugés à la même enseigne.

Pourtant, les engagements de l’agence parisienne auront été tenus. Spécialiste des relations avec les médias nationaux et régionaux, et notamment la presse spécialisée dans le sport, la forme et le bien-être en France, BernasCOM devait sensibiliser plus de 350 journalistes à grand renfort de communiqués de presse, dévoilant dans le moindre détail les arcanes pratiques de cette première animation en terre de Bourgogne.

Une cinquantaine de nos confrères, intéressés par l’angle insolite de cette épreuve ludique, avait pris soin de relayer abondamment l’information. Peu, en revanche, manifestèrent l’envie de se rendre sur place les 07, 08 et 09 septembre à Champs-sur-Yonne, lieu de l’évènement.

Une grossière erreur de communication de l’organisateur…

Jugeant la méthode choisie par l’organisateur (une simple information délivrée par un e-mail) inadaptée à la situation, les professionnels de l’agence de RP parisienne s’interrogent depuis sur la méthode et les moyens à mettre en œuvre pour atténuer l’effet catastrophique engendré par cette absence de sérieux de leur client.

« Ce n’est pas la première fois qu’une manifestation évènementielle est annulée, poursuit Sovannah, mais là où c’est inédit pour nous, c’est la méthode impromptue adoptée par l’organisateur ! ».

Double problématique : BernasCOM devra raviver ces jours-ci ses nombreux contacts médiatiques pour apporter un explicatif (qu’elle n’a pas de manière officielle) justifiant l’arrêt définitif du projet. Le plus délicat sera de procéder à la gestion des influenceurs qui, à la suite de plusieurs jeux concours spécifiques, avaient remporté des prix à faire valoir sur place le jour de l’évènement dans l’Yonne. D’où des annulations de titre de transport (beaucoup venaient de Paris) et de nuitées dans les complexes de l’hôtellerie icaunaise en perspective…

Un préjudice global de 50 000 euros pour les partenaires…

Parmi ses tâches à exercer, l’agence parisienne n’assurait pas le suivi des inscriptions. Pourtant, une estimation a été avancée concernant le nombre de participants ayant été identifiés au 24 août 2018 : environ 500 personnes.

Bien trop peu pour les objectifs sans doute démesurés de l’organisateur, la société « RUN IN THE WORLD », qui tablait sur une présence physique de plus de 4 000 participants pour atteindre son seuil de rentabilité financière.


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Souhaitant une totale transparence de l’organisateur « RUN IN THE WORLD » depuis l’annulation du festival annoncée ce lundi 27 août par un simple e-mail, sept sociétés partenaires exigent des éclaircissements nets et précis sur la genèse des faits ayant conduit à ce délicat dossier. Une demande qui est portée à la connaissance des participants lésés et du grand public grâce à la publication d’un communiqué de presse…

AUXERRE : « Nous attendons tous de véritables explications de la part de la structure organisatrice de ce festival… ». Responsable de la communication et du marketing au sein du groupe de concessionnaires JEANNIN AUTOMOBILES, Sophie SANCHEZ demande des comptes au dépositaire de cet évènementiel, subitement disparu des écrans radar au beau milieu de l’après-midi de ce funeste lundi 27 août.

La jeune femme n’est pas la seule à se poser des interrogations. Les dirigeants de six autres entreprises (DOMANYS, BIGMAT Groupe GOURMAND, PASSTIME 89, PHOTOBOX 89, RABASKA OUTDOOR et V and B Auxerre) désirent tout autant le grand déballage en matière de communication de la part de l’intéressé. Une communication de crise, parce que manifestement, celle-ci arrive un peu trop tard. Le mal étant déjà fait…

Ce vendredi 31 août, une rencontre entre le responsable de l’ex-société « RUN IN THE WORLD » (celle-ci a cessé officiellement ses activités le…24 août !) et les partenaires économiques est prévue afin, semble-t-il, de faire toute la lumière sur cet épineux dossier qui donne des sueurs froides aux structures professionnelles ayant injecté, pour certaines, pas mal de numéraire dans ce projet de sponsoring, depuis avorté.

Une désolidarisation totale des partenaires avec l’organisateur…

« Tout comme les nombreux participants ayant payé pour participer à cette manifestation, il nous a été informé par un simple e-mail que nous ne percevrons aucun remboursement des sommes que nous avons engagées pour soutenir cet évènement. Nos tentatives pour joindre l’organisateur et obtenir plus amples explications sont pour le moment restées vaines.

Nous tenons à informer les nombreux participants que nos entreprises n’ont aucun lien avec la société RUN IN THE WORLD, responsable de l’organisation de cet évènement et que nous subissons, en tant que sponsor de cet évènement, également un fort préjudice.

Notre confiance, tout comme la vôtre, a été trahie par l’organisateur et nous regrettons très fortement que nos entreprises soient associées à ce type d’agissement qui va à l’encontre de nos valeurs ».

Diffusé depuis mercredi, le communiqué de presse clarifie la situation des partenaires en renforçant ce sentiment de trahison.

Un manque évident de concertation avec les sponsors…

« A ce jour, renchérit Sophie SANCHEZ, nous ne disposons d’aucun élément tangible qui justifie cette prise de décision. Si ce n’est que faute d’un nombre suffisant de participants, l’organisateur ne pouvait honorer la manifestation... ».

Surprise à la lecture du mail adressé à l’ensemble des participants et des sponsors, ce lundi, la spécialiste de la communication du groupe JEANNIN AUTOMOBILES estime qu’il y eu un manque de concertation manifeste dans ce dossier avec les soutiens économiques.

Outre les sponsors et les participants, les prestataires de service (restauration, sécurité, sonorisation, communication, logistique…) ne doivent pas être oubliés de la liste des grands perdants de cette manifestation qui, in fine, ne verra jamais le jour et aura fait pourtant parler d’elle.


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La trente-deuxième édition du fameux festival de jazz, organisée dans la capitale de la Nièvre, du 10 au 17 novembre, sera soutenue à hauteur de 70 000 euros par la Bourgogne Franche-Comté.

NEVERS (Nièvre) : Les organisateurs de la manifestation culturelle bénéficieront de larges subsides en provenance de l’institution représentative de notre territoire. Le Conseil régional a entériné la décision de soutenir l’évènement musical en lui allouant une enveloppe de 70 000 euros.

Créé il y a trente-deux ans, « D’Jazz Nevers Festival » demeure l’un des rendez-vous représentatifs de la dynamique nivernaise autour de la sensibilisation de ce courant musical aux racines américaines.

Considéré comme l’une des manifestations majeures de jazz dans l’Hexagone, ce festival profitera, cette année encore, d’une programmation exceptionnelle. Parmi lesquelles Vincent PEIRANI QUINTET, Régis HUBY ENSEMBLE, Sylvain RIFFLET SEPTET, James CARTER OUTLET QUARTET mais aussi la formation régionale de Franck TORTILLIER.

En parallèle, plusieurs communes de l’agglomération de Nevers accueilleront la « tournée des bouts d’choux » avec cette année, la formation QUARTET NOVO.


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Curieux attelage que celui-ci. L’ouverture aux œuvres artistiques se valorise au cœur d’un centre de soins. Pas n’importe lequel, par ailleurs. Le Centre hospitalier du Tonnerrois a fait peau neuve le 01er juillet en inaugurant un espace culturel propice à la contemplation des yeux et au bien-être de l’âme. Renouant ainsi avec les préceptes idéologiques de son passé séculaire lorsque l’établissement possédait encore la vocation d’un hôtel-Dieu. Loin d’être une aberration, malgré les critiques usuelles dès la moindre prise d’initiative intelligente, ce concept insolite vient de vivre son premier été. Sous le sceau de la réussite, tant au niveau de la fréquentation touristique que de la remarquable qualité des artistes qui y dévoilaient leurs œuvres.

TONNERRE : « Pourquoi n’aurions-nous pas valorisé un site patrimonial d’exception ? ». La question méritait d’être posée, en effet, à bien des égards, surtout au vu d’un résultat pour le moins probant. Le nouvel espace destiné à accueillir des œuvres artistiques et culturelles dans le saint des saints de la pratique médicale tonnerroise prouve qu’il n’y a aucune incompatibilité à faire vivre ce lieu historique en y adjoignant des œuvres porteuses d’émotions et de sensibilité.

Sensibiliser les publics à la découverte de l’art…

Depuis qu’il gère la destinée du centre hospitalier local, c’est-à-dire il y a neuf ans, Frédéric ROUSSEL n’a jamais changé d’un iota sa ligne stratégique devant lui permettre tôt ou tard de rendre ses lettres de noblesse à ce site nimbé d’histoire. Partant du simple postulat que « l’art devient un complément de soins, car vecteur de détente et de bien-être », le directeur de l’établissement a pu patiemment travailler à son projet de réhabilitation de cet édifice si caractéristique.

« Des alternatives à la prise en charge habituelle se développent de plus en plus dans les hôpitaux, de manière à répondre à la technicisation des soins, en utilisant l’art, le jardinage ou certains soins de confort à l’instar de la sophrologie ou de la réflexologie, précise-t-il, en outre, accueillir la culture et l’art dans notre univers facilite la sensibilisation d’un plus jeune public venu de l’extérieur, de séduire les visiteurs de passage et, au-delà, d’apporter un soutien aux personnes hospitalisées en intégrant le personnel et les résidents… ».

Un maillage subtil qui a aussi pour vocation de donner une envergure intéressante à l’attractivité du territoire. C’est un argument de taille dont le Tonnerrois ne peut se passer au plan économique.

Le Centre hospitalier du Tonnerrois : un acteur social et culturel ouvert sur le monde extérieur…

« La restructuration de cet espace permettra d’intégrer de nouveaux réseaux et labels touristiques, voire artistiques. Cela augmente l’attrait des visiteurs pour ce site grâce à un nouveau schéma d’animation. On peut considérer l’Espace culturel de l’hôpital de Tonnerre comme un plateau en ébullition qui peut générer un rayonnement culturel pour l’ensemble du territoire… ».

Au-delà de ces objectifs avérés, il y aura nécessairement de nouvelles recettes qui seront ainsi créées. Elles devraient être affectées dans le développement et l’amélioration des parties sanitaires de l’établissement ainsi que le volet médico-social.

Un projet total de 240 000 euros sainement financé par les legs…

Ce sont les terres, les fermages, les bois, la chasse, mais aussi les vignes et le patrimoine immobilier en location qui alimentent l’enveloppe budgétaire nécessaire à la réhabilitation culturelle de l’hôpital. C’est-à-dire les legs reçus depuis la fondation de ce haut lieu des soins en Bourgogne, depuis…1293 !

On ne le sait pas toujours mais le Centre hospitalier du Tonnerrois possède sept hectares de vignes avec appellation et a obtenu l’autorisation de planter un hectare de plus. Seuls 18 centres hospitaliers sont propriétaires de vignes dans l’Hexagone.

Représentant 700 années d’existence avec trois générations de bâtiments sur un même lieu, le site médical de Tonnerre peut s’enorgueillir d’être un trésor non négligeable qu’il convient d’exploiter au-delà de ce qui existe déjà. D’autres sites patrimoniaux l’ont déjà fait en France à partir de telles richesses.

« Tout ce patrimoine, incluant l’espace culturel dans son ensemble, est privé, ajoute Frédéric ROUSSEL dans ses explications stratégiques, quant à son budget, il ne peut être déficitaire. Il convient donc indiscutablement de l’entretenir, de le faire fructifier et d’en faire un vecteur d’attractivité pour le territoire… ».

Dès 2019, le jardin Marguerite de Bourgogne, traversé d’ordinaire par les visiteurs se rendant à l’Espace culturel, sera intégralement réaménagé. Cette opération sera rendue possible avec le concours technique de l’association « Le P.A.R.C. ». L’ensemble sera réalisé en reprenant les lignes architecturales des fondations des bâtiments aujourd’hui disparus. Signalétique, panneaux à vocation pédagogique mais aussi table d’orientation et diagonale de circulation avec la présence de plantations colorées constitueront les éléments essentiels de ce futur chantier. Trente-quatre arbres dont la moitié en variétés fruitières y seront plantés non loin de nouveaux mobiliers destinés à orienter l’œil du visiteur dans d’intéressantes perspectives.

Enfin, d’autres aménagements plus structurels sont aussi prévus. Sur le toit de l’édifice avec la pose d’une nouvelle couverture devant protéger 0,5 hectare de surface (budget de 85 000 euros). La réfection d’une verrière et d’une passerelle, soit un prévisionnel de 130 000 euros de travaux, s’inscrit parmi les priorités.

Pour être tout à fait complet sur cette période charnière de l’établissement, rappelons que les deux expositions « Les Songes de la nef », prise de site sonore et musicale proposée par Alain BONARDI et « Résonance de la Couleur » de l’artiste peintre Caroline COPPEY, sont encore visibles respectivement à l’Hôtel-Dieu et à la Pharmacie jusqu’au vendredi 31 août inclus.


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Parmi les acteurs majeurs du monde de l’entreprise qui renouvelle cette année encore sa confiance auprès du staff et des joueurs de l’équipe professionnelle de football, l’établissement bancaire, représenté dans l’Yonne par son directeur régional, Laurent GUEIT, nous livre ses explications…

AUXERRE : Pourquoi la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté est-elle engagée aux côtés de l'AJ Auxerre ?

C’est un partenariat « historique » qui découle de l’existence même de la Banque populaire de l’Yonne.

Comment définissez-vous le rôle de partenaire dans le cas présent ? Etes-vous simplement financeurs ou apportez-vous d'autres valeurs ajoutées ?

Nous sommes l’une des banques de l’AJA. Nous apportons une contribution à l’école de football dont nous sommes le sponsor du maillot. La Banque Populaire est également partenaire de la section professionnelle à travers la location de place prestige…

Vis-à-vis de vos clients professionnels et collectivités, il est indispensable d'être positionné ainsi sur le terrain, notamment dans le domaine du sport de haut niveau ?

Je ne suis pas sûr que cela soit indispensable vis-à-vis de  nos clients. En revanche, c’est une volonté forte de notre banque régionale de participer à la vie de son territoire. A ce titre, nous avons choisi de sponsoriser l’école de football plutôt que le club professionnel.

Au niveau régional, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté soutient-elle d'autres initiatives sportives de ce style ?

Au niveau professionnel, nous encourageons essentiellement les initiatives inhérentes au sport collectif : Dijon Football Club Olympique, USO Nevers Rugby, Elan Chalon Basket, le football club de Bourg Péronas puisque le Pays de l’Ain est une partie intégrante de notre zone de couverture. Mais, il y aussi un soutien au monde associatif de clubs amateurs, notamment ceux qui se positionnent dans l’organisation de course à pied ou de trails

La performance sportive peut-elle s'appliquer à la performance de l'entreprise ?

J’en suis intimement convaincu. Malgré l’absence de littoral maritime sur notre région, nos équipes s’identifient fortement au team « Banque Populaire Voile ». Nous avons eu le plaisir de recevoir le skipper Armel Le CLEACH et nous avons pu trouver de nombreux points de convergence sur la performance à l’instar de la préparation, de l’exigence au quotidien et du plaisir de parvenir au résultat.

Comment envisagez-vous la saison 2018/2019 au niveau de l'AJ Auxerre ?

J’ai retenu la phrase prononcée par le président Francis GRAILLE : « il est plus difficile de monter en Ligue 1 que de s’y maintenir… ».

Si, le club accède en Ligue 1, seriez-vous toujours partenaires compte tenu des budgets de fonctionnement beaucoup plus élevés pour cette division ?

Nous l’étions du temps de la Ligue des champions. Je souhaite, en premier lieu que l’AJ Auxerre retrouve la Ligue 1. Ce serait un bonheur de continuer le partenariat en retrouvant l’élite… ».


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