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Curieux attelage que celui-ci. L’ouverture aux œuvres artistiques se valorise au cœur d’un centre de soins. Pas n’importe lequel, par ailleurs. Le Centre hospitalier du Tonnerrois a fait peau neuve le 01er juillet en inaugurant un espace culturel propice à la contemplation des yeux et au bien-être de l’âme. Renouant ainsi avec les préceptes idéologiques de son passé séculaire lorsque l’établissement possédait encore la vocation d’un hôtel-Dieu. Loin d’être une aberration, malgré les critiques usuelles dès la moindre prise d’initiative intelligente, ce concept insolite vient de vivre son premier été. Sous le sceau de la réussite, tant au niveau de la fréquentation touristique que de la remarquable qualité des artistes qui y dévoilaient leurs œuvres.

TONNERRE : « Pourquoi n’aurions-nous pas valorisé un site patrimonial d’exception ? ». La question méritait d’être posée, en effet, à bien des égards, surtout au vu d’un résultat pour le moins probant. Le nouvel espace destiné à accueillir des œuvres artistiques et culturelles dans le saint des saints de la pratique médicale tonnerroise prouve qu’il n’y a aucune incompatibilité à faire vivre ce lieu historique en y adjoignant des œuvres porteuses d’émotions et de sensibilité.

Sensibiliser les publics à la découverte de l’art…

Depuis qu’il gère la destinée du centre hospitalier local, c’est-à-dire il y a neuf ans, Frédéric ROUSSEL n’a jamais changé d’un iota sa ligne stratégique devant lui permettre tôt ou tard de rendre ses lettres de noblesse à ce site nimbé d’histoire. Partant du simple postulat que « l’art devient un complément de soins, car vecteur de détente et de bien-être », le directeur de l’établissement a pu patiemment travailler à son projet de réhabilitation de cet édifice si caractéristique.

« Des alternatives à la prise en charge habituelle se développent de plus en plus dans les hôpitaux, de manière à répondre à la technicisation des soins, en utilisant l’art, le jardinage ou certains soins de confort à l’instar de la sophrologie ou de la réflexologie, précise-t-il, en outre, accueillir la culture et l’art dans notre univers facilite la sensibilisation d’un plus jeune public venu de l’extérieur, de séduire les visiteurs de passage et, au-delà, d’apporter un soutien aux personnes hospitalisées en intégrant le personnel et les résidents… ».

Un maillage subtil qui a aussi pour vocation de donner une envergure intéressante à l’attractivité du territoire. C’est un argument de taille dont le Tonnerrois ne peut se passer au plan économique.

Le Centre hospitalier du Tonnerrois : un acteur social et culturel ouvert sur le monde extérieur…

« La restructuration de cet espace permettra d’intégrer de nouveaux réseaux et labels touristiques, voire artistiques. Cela augmente l’attrait des visiteurs pour ce site grâce à un nouveau schéma d’animation. On peut considérer l’Espace culturel de l’hôpital de Tonnerre comme un plateau en ébullition qui peut générer un rayonnement culturel pour l’ensemble du territoire… ».

Au-delà de ces objectifs avérés, il y aura nécessairement de nouvelles recettes qui seront ainsi créées. Elles devraient être affectées dans le développement et l’amélioration des parties sanitaires de l’établissement ainsi que le volet médico-social.

Un projet total de 240 000 euros sainement financé par les legs…

Ce sont les terres, les fermages, les bois, la chasse, mais aussi les vignes et le patrimoine immobilier en location qui alimentent l’enveloppe budgétaire nécessaire à la réhabilitation culturelle de l’hôpital. C’est-à-dire les legs reçus depuis la fondation de ce haut lieu des soins en Bourgogne, depuis…1293 !

On ne le sait pas toujours mais le Centre hospitalier du Tonnerrois possède sept hectares de vignes avec appellation et a obtenu l’autorisation de planter un hectare de plus. Seuls 18 centres hospitaliers sont propriétaires de vignes dans l’Hexagone.

Représentant 700 années d’existence avec trois générations de bâtiments sur un même lieu, le site médical de Tonnerre peut s’enorgueillir d’être un trésor non négligeable qu’il convient d’exploiter au-delà de ce qui existe déjà. D’autres sites patrimoniaux l’ont déjà fait en France à partir de telles richesses.

« Tout ce patrimoine, incluant l’espace culturel dans son ensemble, est privé, ajoute Frédéric ROUSSEL dans ses explications stratégiques, quant à son budget, il ne peut être déficitaire. Il convient donc indiscutablement de l’entretenir, de le faire fructifier et d’en faire un vecteur d’attractivité pour le territoire… ».

Dès 2019, le jardin Marguerite de Bourgogne, traversé d’ordinaire par les visiteurs se rendant à l’Espace culturel, sera intégralement réaménagé. Cette opération sera rendue possible avec le concours technique de l’association « Le P.A.R.C. ». L’ensemble sera réalisé en reprenant les lignes architecturales des fondations des bâtiments aujourd’hui disparus. Signalétique, panneaux à vocation pédagogique mais aussi table d’orientation et diagonale de circulation avec la présence de plantations colorées constitueront les éléments essentiels de ce futur chantier. Trente-quatre arbres dont la moitié en variétés fruitières y seront plantés non loin de nouveaux mobiliers destinés à orienter l’œil du visiteur dans d’intéressantes perspectives.

Enfin, d’autres aménagements plus structurels sont aussi prévus. Sur le toit de l’édifice avec la pose d’une nouvelle couverture devant protéger 0,5 hectare de surface (budget de 85 000 euros). La réfection d’une verrière et d’une passerelle, soit un prévisionnel de 130 000 euros de travaux, s’inscrit parmi les priorités.

Pour être tout à fait complet sur cette période charnière de l’établissement, rappelons que les deux expositions « Les Songes de la nef », prise de site sonore et musicale proposée par Alain BONARDI et « Résonance de la Couleur » de l’artiste peintre Caroline COPPEY, sont encore visibles respectivement à l’Hôtel-Dieu et à la Pharmacie jusqu’au vendredi 31 août inclus.


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Parmi les acteurs majeurs du monde de l’entreprise qui renouvelle cette année encore sa confiance auprès du staff et des joueurs de l’équipe professionnelle de football, l’établissement bancaire, représenté dans l’Yonne par son directeur régional, Laurent GUEIT, nous livre ses explications…

AUXERRE : Pourquoi la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté est-elle engagée aux côtés de l'AJ Auxerre ?

C’est un partenariat « historique » qui découle de l’existence même de la Banque populaire de l’Yonne.

Comment définissez-vous le rôle de partenaire dans le cas présent ? Etes-vous simplement financeurs ou apportez-vous d'autres valeurs ajoutées ?

Nous sommes l’une des banques de l’AJA. Nous apportons une contribution à l’école de football dont nous sommes le sponsor du maillot. La Banque Populaire est également partenaire de la section professionnelle à travers la location de place prestige…

Vis-à-vis de vos clients professionnels et collectivités, il est indispensable d'être positionné ainsi sur le terrain, notamment dans le domaine du sport de haut niveau ?

Je ne suis pas sûr que cela soit indispensable vis-à-vis de  nos clients. En revanche, c’est une volonté forte de notre banque régionale de participer à la vie de son territoire. A ce titre, nous avons choisi de sponsoriser l’école de football plutôt que le club professionnel.

Au niveau régional, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté soutient-elle d'autres initiatives sportives de ce style ?

Au niveau professionnel, nous encourageons essentiellement les initiatives inhérentes au sport collectif : Dijon Football Club Olympique, USO Nevers Rugby, Elan Chalon Basket, le football club de Bourg Péronas puisque le Pays de l’Ain est une partie intégrante de notre zone de couverture. Mais, il y aussi un soutien au monde associatif de clubs amateurs, notamment ceux qui se positionnent dans l’organisation de course à pied ou de trails

La performance sportive peut-elle s'appliquer à la performance de l'entreprise ?

J’en suis intimement convaincu. Malgré l’absence de littoral maritime sur notre région, nos équipes s’identifient fortement au team « Banque Populaire Voile ». Nous avons eu le plaisir de recevoir le skipper Armel Le CLEACH et nous avons pu trouver de nombreux points de convergence sur la performance à l’instar de la préparation, de l’exigence au quotidien et du plaisir de parvenir au résultat.

Comment envisagez-vous la saison 2018/2019 au niveau de l'AJ Auxerre ?

J’ai retenu la phrase prononcée par le président Francis GRAILLE : « il est plus difficile de monter en Ligue 1 que de s’y maintenir… ».

Si, le club accède en Ligue 1, seriez-vous toujours partenaires compte tenu des budgets de fonctionnement beaucoup plus élevés pour cette division ?

Nous l’étions du temps de la Ligue des champions. Je souhaite, en premier lieu que l’AJ Auxerre retrouve la Ligue 1. Ce serait un bonheur de continuer le partenariat en retrouvant l’élite… ».


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Autour de thématiques en étroite osmose avec l’actualité (la rumeur, la dénonciation et les non-dits), les comédiennes et comédiens de cette troupe théâtrale de très grande qualité prêteront vie aux personnages imaginés par le dramaturge italien, Carlo GOLDONI, en 1750. Œuvre intemporelle faisant montre d’un cruel modernisme et d’une rare intensité, la pièce « Les Cancans » devrait se délecter avec beaucoup de plaisir par les amateurs de comédie italienne à l’heure où les ragots sont rois…

DRUYES LES BELLES FONTAINES : L’été nous revient avec ses prestations théâtrales de belle facture, proposées, si les conditions météorologiques le permettent, sous le feu éclatant des étoiles et de la lune rayonnante.

Créant ainsi une atmosphère envoûtante, voire extraordinaire dans un cadre chargé d’histoire et de mystères : l’enceinte du château moyenâgeux de la localité de Puisaye Forterre.

Depuis seize ans, désormais, les férus de belles lettres et de bons mots, de scénographies délirantes dans l’art du comique ou d’intrigues policières passionnées à nombreux rebondissements ne se lassent jamais de ces rendez-vous de la période estivale, concoctés par l’association des « Amis du Château ».

La structure du président Félix MOREAU remet donc le couvert avec cette édition 2018. Confirmant ainsi que ces spectacles faisant la part belle aux orateurs et comédiens professionnels ou amateurs se marient à merveille à chaque été. Pour le plaisir des petits et des plus grands.  

Cette fois-ci, c’est une pièce de Carlo GOLDONI, dramaturge vénitien qui sera interprétée sur l’estrade sise devant le donjon de cet édifice du patrimoine culturel local.

Régulièrement jouée par les compagnies théâtrales nationales, la pièce « Les Cancans » donnera une excellente opportunité à la troupe des « Baladins du Château » de se produire une fois de plus à Druyes avec cette même envie qui la caractérise. Comme ce fut le cas la saison dernière avec « La Soupière », une œuvre écrite par le talentueux Robert LAMOUREUX qui maniait la plume et l’humour corrosif à la perfection.

Ces spectacles seront donnés le vendredi 03 août, le samedi 04 août, le jeudi 09 août, le vendredi 10 août et la dernière, programmée le samedi 11 août. Toutes ces représentations débuteront à 21h30 précises.


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Depuis le 01er juillet, l’Hôpital de Tonnerre fait montre d’un éclectisme créatif et d’une originalité insolite en disposant de son propre espace culturel ouvert au grand public. Introduire de la diversité intellectuelle et artistique au cœur de ce patrimoine chargé d’histoire, tant au plan médical que spirituel, correspond à une intense respiration que le directeur du centre hospitalier du Tonnerrois, Frédéric ROUSEL, souhaitait partager autour de lui. L’ancienne salle des malades de l’Hôtel-Dieu, la pharmacie et le cellier accueillent désormais trois espaces d’exposition qui viennent s’ajouter au nouvel emplacement dévolu au musée situé au deuxième étage de l’édifice. Baptisé « Culture à l’hôpital », l’aboutissement de ce schéma pédagogique et instructif se poursuivra au fil des mois avec la réorganisation des jardins…

TONNERRE : Valoriser un site exceptionnel en le rendant plus extraordinaire encore à l’avenir ! L’enjeu est de taille. Il est en passe d’être réussi. Selon la volonté du porteur de ce projet, Frédéric ROUSSEL, directeur de l’établissement tonnerrois, qui s’appuie sur un programme national incitatif depuis une vingtaine d’années de développer l’art et la culture dans le milieu hospitalier.

Une initiative respectueuse du programme « Culture à l’hôpital »…

Conçu en collaboration participative avec les services de la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles) et de l’ARS (Agence régionale de santé), ce concept, dorénavant fonctionnel dans la ville orientale de l’Yonne, invite les directeurs d’hôpitaux, le personnel hospitalier et l’ensemble des acteurs des multiples univers de la culture à construire des projets communs. A condition, qu’ils soient adaptés aux lieux et aux besoins identifiés par la structure accueillante.

Il n’en fallait pas davantage pour le sémillant directeur de ce centre de soins, jamais en manque d’imagination. Entamée depuis 2014, la prospective en faveur d’un développement progressif d’un réseau artistique et culturel efficient fait florès. Les artistes, convaincus de la pertinence et du bien-fondé de la démarche, accourent. Ce sont, en préambule, les exégètes de l’art contemporain qui prennent possession de la Salle des malades de l’Hôtel-Dieu pour y présenter leurs œuvres. Puis, en 2017, une exposition, intitulée tout bonnement « Prendre soin », rencontre le succès dans l’espace Pharmacie de l’établissement. Mais, rien ne sera comparable avec ce qui se préfigure désormais depuis le 01er juillet, date mémorable où a été inauguré officiellement par les édiles de l’Yonne ce nouvel espace consacré à l’art et à la culture.

Immensité et luminosité : des espaces d’accueil qui se suffisent à eux-mêmes…

Erigée au XIIIème siècle, la Salle des malades, structure symbole de l’Hôtel-Dieu, s’admire par ses qualités spatiales, la pureté de ses lignes, l’impression de vide qu’elle dégage. Dans ce lieu où étaient célébrées jadis des messes pour les patients, l’art occupait une place importante. Aujourd’hui, cette nef gothique accueille des installations visuelles et sonores. Le volume et la dimension de cet endroit unique (une salle de 90 mètres de long, de 18 mètres de large et d’une hauteur de 18 mètres) influencent les artistes qui y dévoilent les fruits de leur créativité. C’est une sorte d’hommage contemporain rendu aux artistes d’autrefois…

Quant au Cellier, il présente une exposition permanente : l’idée étant de conserver une œuvre en petit format de chaque artiste qui expose en enrichissant ainsi de manière progressive cette collection, bien vivante…

Destiné à recevoir colloques, séminaires et autres conférences, la salle Courtanvaux abritera les archives permettant aux étudiants et aux chercheurs de pouvoir les consulter dans un cadre adapté à leurs besoins. L’ouverture est prévue en 2019.

Le Pavillon DORMOIS, construit au XIXème siècle, bénéficie d’un nouvel occupant et d’un nouvel emplacement : le musée qui profite d’une scénographie chronologique (voir article). La Pharmacie, devenue salle d’exposition en 2017, s’est spécialisée dans la réception de grands formats. Des résidences d’artistes y sont également organisées.

Quant au parc, et ses 12 hectares de surface en centre-ville, il contient des œuvres en formats monumentaux qui favorisent une première approche culturelle avec les passants. Le jardin médiéval et thérapeutique, appelé le jardin « Marguerite de Bourgogne », est en cours de réaménagement. Trente-quatre arbres dont la moitié de fruitiers devraient être plantés ultérieurement.


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L’agence de marketing et de communication « B3C » vient d’éditer le neuvième numéro de ce magazine apparu à l’automne 2017. Un opus où l’art de vivre et les actualités du nord de l’Yonne fleurissent au fil des seize pages qui composent ce support informatif de proximité. Couvrant l’ensemble de la période estivale, au même titre que son « grand frère », « OUSORTON » dans le domaine des loisirs et de la culture, l’existence de ce média est devenue pertinente dans l’Yonne septentrionale. A la grande satisfaction de son auteur, Christophe DEBURGHRAVE…

SENS : La première saison est bouclée ou presque pour le jeune média de la presse gratuite, « Yonne Côté Nord ». Son neuvième numéro est paru il y a quelques jours à l’amorce de l’été. C’est un produit de seize pages où se croisent informations pratiques, rubriques juridiques, publireportages et agenda culturel.

Conçu par Christophe DEBURGHRAVE, dirigeant de l’entreprise de communication « B3C », et édité à plusieurs milliers d’exemplaires, ce média gratuit est venu étoffer l’offre actuelle sur le Sénonais et le nord du territoire icaunais.

Distribué dans de nombreux points relais à caractère commercial mais aussi des collectivités et administrations, le magazine propose un modèle économique qui repose sur la diffusion d’encarts publicitaires.

Dans ce dernier numéro, un portrait attachant de l’un des artisans de la région fait office de dossier prioritaire. Il est consacré au forgeron coutelier Richard CIACHERA, figure emblématique de la coutellerie hexagonale. Les férus de conseils immobiliers trouveront également les us et coutumes juridiques pratiqués autour de la location immobilière. Quant aux aficionados de l’automobile, ils découvriront les essais de la nouvelle Mégane Renault RS, un pur bijou de la mécanique au service des puristes du volant, avec ses 280 chevaux au compteur !

Mais, avant d’anticiper la période de rentrée, Christophe DEBURGHRAVE s’est pour l’heure accordé quelques jours d’un repos salvateur et mérité en montagne où il peaufine la stratégie de la future saison II d’un produit qui a pris progressivement sa place au sein du landerneau local…

Le lien pour découvrir le numéro 9 : https://fr.calameo.com/read/005306086f10f068ace8a


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