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Week-end pascal oblige, nécessairement, l’actualité nous ramène vers les sources immuables de la croyance, pour nous autres chrétiens, avec la bénédiction papale prononcée par le Saint-Père au balcon de Saint-Pierre de Rome, dans la cité vaticane. Un temps qui se suspend, voire qui s’arrête où des hommes parlent enfin de paix, de réconciliation, de générosité, de bonté, d’altruisme…Un autre monde que celui-là ?

 

HUMEUR : « Quand les hommes vivront d’amour, il n’y aura plus de misère ; les soldats seront troubadours, mais nous, nous serons morts mon frère… ».

Qui ne se souvient pas de cette œuvre mirifique portée par les voix des trois figures québécoises de la chanson francophone, Félix LECLERC, Gilles VIGNEAULT et Robert CHARLEBOIS ?

Et si ces trois-là avaient eu raison en interprétant ce texte si profond, voire bouleversant ?

Verrons-nous, vraiment un jour, la fraternité gagnée enfin l’esprit des hommes de cette planète en totale déliquescence ? La paix retrouvée dans certaines parties du monde, totalement meurtries par la bêtise et la folie des hommes désireux de plus de pouvoir. La joie à partager dans les cœurs de celles et de ceux qui souffrent dans leur quotidien, à cause de la pauvreté, de l’absence d’emploi et de considération…de la maladie et de l’injustice, aussi.

A voir, la foule des grands jours envahir la place de Saint-Pierre-de-Rome en cette période de célébration des fêtes pascales, on ne peut que constater qu’ils sont très nombreux à croire en cela. Venus de toute la planète, même des endroits les plus reculés de la chrétienté. Une utopie ?

Une chrétienté de plus en plus malmenée dans ce monde où l’obscurantisme revient avec la vitesse grand « V ». Il n’y a pas que les chrétiens d’Orient qui sont dans la souffrance, désormais, d’autres ailleurs de par le monde vivent les mêmes angoisses, les mêmes craintes, les mêmes peurs.

 

 

Pourtant, croire, cela n’a jamais fait de mal à personne. Quelle que soient les religions d’ailleurs ! Monothéistes ou pas, car la croyance a toujours habité l’humanité depuis que le monde est monde. Et il en sera sans doute ainsi durant très longtemps…

Croire (en qui ou en quoi que ce soit) permet sans doute à bon nombre de Terriens de vivre mieux dans leur tête, dans leur âme et dans leur quotidien. Tant que cela apporte du bien-être et du positif, autour de nous et en nous.

La croyance aveugle et fanatique n’est en revanche qu’une usurpation qui conduit aux actes les plus fous, parfois sanguinaires.

On connaît la chanson, avec ce quotidien de plus en plus plombé par cet intégrisme religieux, politique, directif qui envahit notre univers. Une menace pour notre existence…et nos libertés.

« Quand les hommes vivront d’amour… » : cette complainte est à réécouter cent fois pour mieux croire en un monde meilleur, on peut toujours espérer !

 

Thierry BRET

 

 


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Malgré les idées reçues, la France n’est pas le pays où l’on fraude le plus. Même si l’imposition est la plus forte. Jusqu’ici, l’OCDE dénonce en permanence, les abus des fraudes fiscales en tout genre, mais semble très impuissante à résoudre le problème. Les paradis fiscaux se développent : îles Vierges britanniques, îles Caïmans et les Bermudes, pour les plus importants. Quant à la crise économique, sur fond de guerres et de crises financières potentielles, elle ne va pas inciter les protagonistes de la fraude fiscale à s’amender…

Au XVe siècle, une fiscalité royale permanente (taille, aides, gabelle essentiellement) s'est imposée. L'expansion des échanges, les créations fiscales sont généralement dues en monnaie. Seuls les prélèvements anciens (seigneuriaux, dîme) restant acquittés en nature. La Révolution supprimera les impôts seigneuriaux et ecclésiastiques.

Avec l'affirmation de l'absolutisme royal au XVIIe siècle, le poids de la fiscalité ne cesse d'augmenter. Les plus grands fraudeurs seront les fermiers généraux, qui détournent à leur profit une part de la collecte des impôts dus au roi. FOUQUET fut la plus brillante illustration de cette infamie sous Louis XIV. La situation fiscale est bouleversée en 1914 avec la création de l'impôt sur le revenu, qui vise à ponctionner davantage les revenus importants, et l'apparition de la déclaration de revenus.

Lorsque la monnaie fiduciaire circulait beaucoup, commerçants et artisans préféraient être réglés en liquide : ils échappaient ainsi, pour la facture, à la TVA et à l’impôt. Le problème, c’est que jusque vers la fin des années 70, le fisc se mettait systématiquement en dehors des règles constitutionnelles : « vous avez fraudez de 18 % », et le commerçant de répondre : « non ! ». Le fisc opérait alors un redressement automatique (il possédait des barèmes par profession), en arguant du fait que ledit commerçant devait prouver le contraire. Le président Valéry GISCARD d’ESTAING mit fin à cette incongruité juridique. Le problème, c’est qu’à l’époque, ne pas tricher d’au moins le taux arbitraire de l’administration, aurait été un acte de mauvaise gestion !

Le pli était pris et dans certains secteurs, les dyslexiques des déclarations fiscales confondaient allègrement la répartition de la fraude : 18 % déclarés et 82 % sous la table… Les commerçants-artisans concernés plaçaient l’argent illicite sous forme de bons de caisse au porteur et le réinvestissaient dans leur résidence principale : ils achetaient les matériaux et payaient leurs collègues artisans au « black ». L’argent sale était ainsi recyclé dans les mêmes circuits illégaux.

 

Évasion fiscale ou fraude : quelle situation ?

 

L’Observatoire européen de la fiscalité (EU Tax Observatory), hébergé par l’École d’économie de Paris, a publié un rapport sur l'évasion fiscale à l'échelle mondiale. Il apparaît que, si la fraude fiscale est caractérisée par des pratiques clairement illégales, d'autres pratiques « se situent dans une zone grise sur le plan légal, entre l'optimisation fiscale et l'évasion, comme le déplacement des bénéfices vers des sociétés-écrans sans substance économique ». Elles permettent aux acteurs économiques qui ont le plus profité de la mondialisation de réduire encore davantage leurs taux d'imposition, ce qui diminue les recettes gouvernementales et accroît les inégalités. En 2021, l’optimisation fiscale représentait en France près de 180 milliards d’euros. En 2023, la fraude concernant les impôts directs et réclamés par le fisc s’élevait à 14 milliards.

Par exemple, en utilisant fréquemment des sociétés-écrans pour échapper à l'impôt sur le revenu, les milliardaires du monde entier bénéficient de taux d'imposition effectifs allant de 0 à 0,5 % de leur patrimoine. Le rapport estime cependant que l'évasion fiscale offshore a été divisée par trois au cours des dix dernières années grâce à l'échange automatique d'informations bancaires.

À propos du taux d'imposition minimum mondial de 15 % sur les multinationales qui avait été décidé en 2021, le rapport regrette l'adoption de nombreuses dérogations qui ont affaibli fortement sa portée !

La lutte contre la fraude fiscale, quant à elle, concerne principalement les entreprises car les particuliers, eux, ont moins de marge de manœuvre pour frauder (surtout depuis la mise en place du prélèvement à la source). La fraude la plus identifiée est celle à la TVA où les entreprises gonflent le montant de la taxe à se faire rembourser par l'État.

 

 

La fraude fiscale représente en France entre 80 et 100 milliards d'euros

 

Il est très difficile de chiffrer précisément le phénomène, mais ce qui est certain, c’est qu’il se compte en milliards d’euros. Entre 80 et 100 milliards d’euros, selon le syndicat solidaire des Finances Publiques. Chaque année, le manque à gagner serait compris entre 20 et 25 milliards d’euros, selon les estimations de l’INSEE. Et sur cette somme, seulement 2,2 milliards d’euros ont été recouvrés par l’administration fiscale, un montant en hausse mais qui reste inférieur aux montants non payés. Contrairement à de nombreux pays, la France ne dispose d'aucune évaluation rigoureuse de la fraude fiscale, ni même de « l'écart fiscal » (estimé en 7 et 27 milliards), tel est le constat formulé par la Cour des Comptes.

La fraude se confond de plus en plus avec l’évasion fiscale mais concerne surtout les grandes entreprises et les plus riches ! Nos braves commerçants et artisans n’ont quasiment plus aucune possibilité de frauder. Ils doivent s’informer de toutes les possibilités offertes par le code des impôts, aux fins de prendre en compte les avantages liés aux exonérations, aux abattements, à la meilleure optimisation liée au statut juridique (nom propre, société, et quelle forme, montages juridico-financiers…). Les syndicats professionnels, l’expert-comptable, le notaire, les consultants peuvent accompagner le conseil. C’est plus judicieux que de pratiquer des comptabilités occultes et parfois, pour des café-restaurants, des caves secrètes pour entreposer les denrées et le vin. C’était vrai jusque dans les années 70.

Il existe aussi la fraude sociale, les salariés non déclarés, dont le coût pour l’Etat est estimé à plus d’un milliard d’euros. L’argent de la drogue représente le recyclage le plus important sur la planète. Les fameux narcodollars atterrissent dans les paradis fiscaux et réapparaissent grâce à des « lessiveuses » : une société écran qui intègre du chiffre d’affaires avec des clients fictifs : cafés, restaurants et casinos. Ces derniers semblent un lieu de prédilection pour la mafia et autres trafiquants : ces établissements sont pourtant soumis au contrôle permanent de la police et des RG…

Le fisc sait aussi s’adapter. Durant ma période bancaire, j’ai pu ainsi participer à une opération plutôt anecdotique : afin d’enlever un important marché de construction, une société française devait verser un « bakchich » de cinq millions de francs. Les cinq millions comptés par mes soins étaient passés en douane avec l’agrément fiscal, estampillé, « fraude permise » !

Cependant, ledit montant ne pouvait pas être intégré dans les charges et représentait un coût pour l’entreprise. Ce n’était pas perdu pour tout le monde : personne n’était dupe, sur les cinq millions, à la sortie, il y en avait réellement trois pour le commanditaire et deux pour le dirigeant de l’entreprise bénéficiaire…

Autres temps, autres mœurs ! Aujourd’hui, les techniques de fraudes ou d’optimisations atteignent des degrés de sophistication jamais égalés, IA oblige…

Lors d’une conférence co-animée par un économiste et un cadre de Bercy, un auditeur intervint : « le contrôle fiscal coûte plus cher que ce qu’il rapporte ! ». Réponse du fisc : « oui, mais imaginez ce que ça coûterait s’il n’y en avait pas ! ».

         

Jean-Paul ALLOU

 


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Elles ne sont pourtant que dans deux ans, les prochaines élections municipales. Et néanmoins, ça se bouscule déjà au portillon ou plutôt sur le parvis de l’Hôtel de Ville avec un embouteillage de potentiels candidats, déclarés, supposés ou non ! A croire que la place est bonne et que c’est la totale plénitude pour administrer et gérer une ville, telle la capitale de l’Yonne ! En cette année olympique, une seule phrase retient notre attention : « à vos marques ? Prêts… partez ! ».

 

Lundi   

En référence à l’attentat qui eut lieu ce jour-là en 2004 en gare de Madrid-Attocha, faisant près de 200 victimes et plus de 1 800 blessés, le 11 mars est devenu depuis 2019, Journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme, à travers toute l’Union européenne. L’hommage rendu à Auxerre, en présence des corps constitués et devant un public clairsemé, s’est conclu tout naturellement par un salut aux porte-drapeaux, des autorités et personnalités présentes, mais au son d’une musique pour le moins surprenante, à savoir, « La Mer » de Charles TRENET ! Bien sûr, c’est toujours mieux que « La Danse des canards », mais l’on peut s’interroger sur l’opportunité d’évoquer « Golfes clairs et reflets d’argent…» en pareille circonstance ! A moins que dans un raisonnement aux accents syllogistiques, les organisateurs aient considéré que le dessinateur CABU, assassiné en janvier 2015 dans l’attentat de « Charlie-Hebdo » vouant une admiration sans borne au « Fou chantant », celui-ci deviendrait troubadour officiel de ladite cérémonie… CQFD !

 

 

Mardi   

« Charlie-Hebdo », toujours… L’une de ses anciennes comparses, Corinne REY, dite « Coco », aujourd’hui dessinatrice de presse au journal « Libération », est victime d’une cabale sur les réseaux sociaux, menaces de mort à l’appui. Son crime ? Avoir fait paraître un dessin évoquant à la fois Gaza et le ramadan, où un habitant famélique tente d’attraper un rat pour se nourrir, avec cette légende, « Pas avant le coucher du soleil »… Un dessin que tout défenseur de la presse satirique aura interprété comme dénonciation multiple de la famine régnant à Gaza, du désespoir des Palestiniens et aussi, de l’absurdité de la religion. Mais les esprits fondamentalistes de tous bords en ont décidé autrement, débordant d’imagination dans leurs messages de haine, « Ils auraient dû te liquider le 07 janvier »… Et dire que trois députés LFI se sont crus obligés de se joindre aux attaques contre Coco, dans l’incapacité de rire de tout faute d’en pleurer. Elle est pire que le terrorisme et fait chaque jour un peu plus de victimes… Longue vie à la connerie !    

 

 

 

Mercredi

Le feuilleton « Aya NAKAMURA » n’en finit pas d’alimenter gazettes et réseaux sociaux. Toujours pas fan, mais de plus en plus révulsé par les bassesses verbales et attaques racistes auxquelles se prêtent les nostalgiques de la « blanchitude » et de la « France éternelle » aux accents d’accordéon. Ils seront sans nul doute ravis d’apprendre qu’Edith PIAF, élevée par leurs délires au rang d’icône nationale intouchable, avait pour grand-mère maternelle, une personne née de l’autre côté de la Méditerranée, qui, avait pour patronyme Emma Saïd Ben MOHAMMED et pour nom de scène « Aïcha », dont le propre père était un berbère né à Mogador, aujourd’hui Essaouira, au Maroc… Comme quoi même la « Môme Piaf » ne descendait pas directement de Vercingétorix et de Jeanne d’Arc !     

 

Jeudi 

Les prochaines élections municipales sont dans un peu plus de deux ans, mais le bal des prétendants est ouvert, avec déjà du monde sur la piste ! Après la démission de Pascal HENRIAT(MoDem) de la vice-présidence de la collectivité auxerroise et de sa fonction d’adjoint au conseil municipal, suivie de celle de l’élu d’opposition Rémi PROU-MELINE (Place publique), c’est au tour de Mathieu DEBAIN (Territoires de Progrès), de se préparer à la bataille en créant l’association « Demain les Auxerrois », dont le nom est déjà à lui seul tout un programme ! On apprend beaucoup des erreurs du passé et l’on se grandit à ne pas les répéter. Est-il nécessaire de rappeler qu’au second tour des municipales de 2020, c’est par le biais d’une triangulaire que l’actuel maire d’Auxerre fut élu… Faut-il s’attendre à un scénario de ce type dans deux ans, tributaire des égos de chacun… ? 

 

Vendredi

La poliomyélite… Une maladie aujourd’hui oubliée, mais qui fit des ravages dans les années d’après-guerre, suscitant angoisses et terreurs chez tous les parents, au moindre signe de céphalée ou de raideur de la nuque de leurs progénitures. Dans les années 80, la maladie touchait encore chaque année plusieurs centaines de milliers d'enfants à travers le monde. La mort cette semaine à l’âge de 78 ans, de Paul ALEXANDER, un Américain prisonnier d’un poumon d’acier depuis l’âge de six ans, seul moyen de survivre face à la paralysie irréversible de ses muscles respiratoires, record du monde en la matière, est là pour rappeler combien le vaccin découvert au milieu des années 50 a pu sauver d’existences. Qu’en pensent les adeptes de la pensée complotiste, « anti vaccins », « anti Macron », « anti tout », se réunissant chaque samedi en haut de la rue du Temple à Auxerre ?         

 

Samedi

« Bière qui mousse amasse la foule » ! Pour la troisième année consécutive, le saint patron de l’Irlande et à travers lui toute la Celtie, ont été fêtés de belle manière à Auxerre, en cette veille de la Saint-Patrick. Si l’incertitude demeure sur le passage à Auxerre du saint patron de l’Irlande, pour y rencontrer Saint-Germain, son retour chaque année est désormais acté et bien installé dans le calendrier des festivités auxerroises… « Allez les verres » ! 

 

 

Dimanche

Aujourd’hui 17 mars, débutait il y a quatre ans le premier confinement pour tenter de contrer la pandémie de coronavirus. La veille, dans une allocution télévisée restée dans les mémoires Emmanuel MACRON évoquait un pays en « guerre sanitaire ». Une guerre qui fit chez nous près de 35 000 morts. Prévu durer deux semaines, ce premier confinement inédit ne prit fin que le 11 mai au matin, soit après 55 jours. L’époque des gestes barrières, des consignes sanitaires, d’une population retranchée, des restaurants, crèches et lieux d’enseignement fermés, de la fin des embrassades, des premiers applaudissements des professions médicales sur les balcons des immeubles, du travail à distance, des masques et du gel hydroalcoolique introuvables… C’était hier, c’était demain…     

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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L’acronyme du jour fait presque penser à un personnage androïde sorti tout droit de la « Guerre des Etoiles » ! L’un de ses mutants qui désire conquérir le monde, celui de l’enseignement et de la formation, en ce qui nous concerne ! « RZIE », tel est son nom ! Ce n’est pas la plaque d’immatriculation d’un véhicule venant d’une lointaine république de l’Est. Non, sa signification est beaucoup simple que cela : « Responsable Zone Import-Export ». Proposé sous la forme d’un « bachelor », dès septembre, il enrichira le panel d’offres de formation de l’enseignement supérieur décliné dans le groupe scolaire privé auxerrois…

 

AUXERRE : Le faire savoir. En parler. Le dire. Communiquer à outrance autour de soi, des semaines durant, celles qui vont précéder son lancement afin de le faire connaître. Auprès des familles et des élèves, une évidence que n’aurait reniée Monsieur de La PALICE. Mais aussi des acteurs des milieux économiques, à commencer par leurs représentants institutionnels. La création de ce nouveau diplôme de l’enseignement supérieur est plus qu’un énième évènement éducatif. C’est aussi un lien, inexorable, et nécessaire avec le monde de l’entreprise, notamment celui qui exerce des activités à l’international.

Aussi – et ce n’est malheureusement pas coutume mais tous ont promis de faire bouger les lignes à l’avenir -, n’était-il pas surprenant de retrouver des responsables de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et de la Maison de l’Entreprise, lors de ce premier rendez-vous explicatif – il en appellera immanquablement d’autres, à commencer par une prochaine session le 09 avril prochain au même endroit – en ces lieux : l’une des salles de réception du campus BTS du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle.

 

Un diplôme proposé en exclusivité régionale à Auxerre

 

Objectif de François-Xavier WILLIG, chef d’établissement coordinateur ouvert à bon nombre de suggestions : la présentation de ce nouveau bachelor à l’international, proposé en alternance, qui concerne naturellement le milieu entrepreneurial de l’Yonne. Les arguments du responsable de l’entité lassalienne auxerroise sont limpides de clarté : « l’international est dans le cœur de nos projets pédagogiques depuis plus de trente ans. Grâce notamment au développement de notre BTS Commerce international… ».

Jusque-là, les choses sont clairement établies. Mais, François-Xavier WILLIG va aller un peu plus loin encore dans ses explications : « aussi, pour donner toutes leurs chances à nos étudiants et pour répondre aux attentes de tous les acteurs économiques, notamment ceux qui travaillent à l’international, nous avons décidé de créer un bachelor RZIE (responsable import-export) de niveau Bac + 3 dès la rentrée de septembre… ».

 

 

Une nouveauté très intéressante dans le panorama auxerrois et icaunais, de surcroît, qui assurera la complémentarité de la préparation des futurs cadres du commerce international dans l’Yonne. On l’aura compris cette filière sera exclusive dans la région…

Cerise sur le gâteau, comme le spécifiera Céline MARTI, responsable pédagogique de l’enseignement supérieur pratiqué sur le campus de St-Jo : « ce diplôme sera préparé en alternance, animé par des professionnels reconnus du secteur, possédant une vision du terrain et une parfaite connaissance des entreprises ».

 

Une passerelle légitime avec le monde de l’entreprise…

 

Ca y est, le mot magique a été lâché ! « Entreprise » ! C’est là que, dans un premier temps – ce fut le cas mardi soir au cours de cette réunion avec la représentativité institutionnelle – et dans un second temps, le 09 avril, en présence des entrepreneurs eux-mêmes et de leurs réseaux, le projet est dévoilé sous toutes ses latitudes afin de travailler en complémentarité le dossier.

Joannick PECHENOT, consultant et spécialiste de l’orientation et de la formation, ajoute : « avec les acteurs du monde économique et institutionnel, c’est l’occasion enfin d’ouvrir les portes de la coopération afin d’imaginer ensemble l’accueil et l’intégration des étudiants au sein des équipes professionnelles sous contrat d’apprentissage… ».

Développant un cursus se décomposant en grands blocs thématiques – administration des achats et des ventes, management, stratégie de développement à l’export, droit des affaires, art de la négociation commerciale, RSE, analyse et gestion financière, anglais de niveau professionnel, etc.-, le bachelor « RZIE » devrait intégrer la première année une douzaine de candidats, en possession d’un BTS Commerce international. Toutefois, une période de mise à niveau est possible pour les titulaires d’un autre diplôme de niveau Bac + 2.

Un diplôme qui sera complémentaire aux offres pédagogiques déployées par le Pôle formation de la Chambre de Commerce et d’Industrie, comme le confiera son directeur, Jérôme MAYEL, ravi de cette rencontre quasi informelle. Un diplôme qui ne peut que satisfaire la représentante de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne, Florence POULAIN, une structure qui accueille les organismes patronaux que sont le MEDEF et l’UIMM, avec leurs préoccupations premières, la recherche de nouveaux collaborateurs qualifiés (cadres) pour doper les carnets de commande que ce soit dans le secteur industriel ou autre.

Ce diplôme Bac + 3 newlook du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle et ses 500 heures de cours à assurer pourraient peut-être faire des probables ramifications parmi le réseau des 150 établissements lassaliens répartis aux quatre coins de l’Hexagone à terme…A suivre !

 

Thierry BRET

 

 


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On la connaît, chez  les spécialistes de botanique, sous le vocable latiniste de « alpinia purpurata ». C’est une gracieuse plante exotique, fleurant bon l’Océanie et les terres au sud de l’Equateur, qui ornemente l’intérieur et l’extérieur des habitations. Dont le rhizome se déguste ! L’a retrouvée dans l’Yonne sous une forme alimentaire apporte déjà du soleil et de la chaleur dans les cœurs. Dans le hameau d’Egriselles, Marie-Sylvianne BLUKER vient d’inaugurer son restaurant à son patronyme. A la sauce réunionnaise et bourguignonne, un bien curieux mélange de saveurs qui devraient pourtant égayer les papilles des épicuriens…

 

VENOY : De l’exotisme au fond de l’assiette ? Pourquoi pas ! D’autant que les offres de restauration proposées dans la localité, chère à Christophe BONNEFOND, ne manquent pas. On y recense la bagatelle de quatre établissements où l’on peut se sustenter sur des registres culinaires divers et variés !

Bref, en accueillant la nouvelle entrepreneuse Marie-Sylvianne BLUKER, la commune se dote d’un nouvel atout dans son jeu gastronomique qui se positionnait déjà dans la diversité et une fourchette de prix (logique dans la restauration !) plutôt éclectique.

Autrefois occupée par une spécialiste de la cuisine marocaine, puis par une autre tenancière qui avait apporté une touche lusitanienne à la cuisine locale, voici la Réunion qui est désormais la bienvenue en ces murs : ceux de l’établissement, appartenant à la bourgade, baptisé dorénavant du patronyme très fleuri et exotique, « Le Gingembre Rouge ». Du nom de la plante exotique qui s’épanouit sous le chaud soleil des tropiques.

 

 

Saveurs locales et exotiques : l’embarras du choix !

 

On y retrouvera des spécialités à déguster sur place ou à emporter qui font frétiller les narines : samoussa, accras, beignets d’aubergine, gâteau au manioc, canard à la vanille, du poulpe, autant de recettes réunionnaises agrémentées de leurs tubercules et légumes locaux que l’on espère épicée mais pas trop pimentée tout de même, sinon gare aux brûlures d’estomac !

Mais, il y aura aussi le pendant de la gastronomie régionale avec son bœuf bourguignon accommodé à la façon de la restauratrice, des œufs en meurette ou l’obligatoire jambon à la Chablisienne !

Côté boissons, « les différentes variantes de rhum arrangées – une cinquantaine de produits préparés sur place - pourrait presque se boire dans des verres à eau » plaisantera à ce propos l’édile Christophe BONNEFOND, ravi de pareille opportunité d’enrichir sa commune d’une activité commerciale supplémentaire, située par la voie cyclable à 2,7 kilomètres d’Auxerre. Pratique et utile à savoir en cas de surabondance de consommation de rhum, non ?!

 

 

De l’amour et de la passion

 

Invitée à prendre la parole, Marie-Sylvianne BLUKER a dû écraser une larme, gagnée par l’émotion, avant de pouvoir s’exprimer. Trop de pression, lors de la séance inaugurale !

« J’ai mis beaucoup de mon cœur et beaucoup d’amour pour créer ce lieu, dira-t-elle en substance, j’espère aussi que ce qu’il y aura dans les verres et les assiettes vous plaira également ! ».

De l’amour, il y en a de manière débordante. Puisque c’est ce sentiment universel qui a permis à la restauratrice de s’installer dans l’Yonne et de vivre son rêve professionnel.

Que du bonheur, en définitive ! L’atmosphère est chaleureuse, colorée, propice au voyage dans la tête et l’esprit. Un univers joyeux où la cuisine est faite maison (elle insiste à maintes reprises, Marie-Sylvianne !) sur ce point qu’il ne reste plus qu’à découvrir, toute la semaine sauf le mardi et le mercredi. Dépaysement garanti !

 

Thierry BRET

 

 

 


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