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Dis donc, Père Noël, et si tu nous apportais plein de jolis cadeaux à déposer au pied du sapin en cette fin d’année 2023 ? Mais, pas nécessairement, ces jouets venant des confins de l’Asie bourrés d’électronique, des bouquins dénués d’intérêt à mettre au pilon, des CD inaudibles à l’écoute, des vêtements que l’on se débarrassera à la première occasion sur un site Internet parce que trop moches ou pas à la bonne taille, et toutes ces choses totalement inutiles, ringardes, voire obsolètes avant même de les déballer que l’on n’oserait même pas offrir à son pire ennemi !

Non, Père Noël, ce que les Françaises et les Français désirent le plus au monde en cette belle fin d’année 2023, si particulière et chaotique, c’est du rêve ! De l’espérance à en revendre, du civisme et du respect à l’état brut ! Du tangible et pas de l’a peu près !

Période de trêve et d’espoir, la célébration de la Nativité et ce, quel que soient les religions, se veut aussi porteuse de fraternité, d’amour, de paix, d’amitié, de promesses. Celle de vivre en paix dans un monde qui se délite un peu plus chaque jour. Celle de connaître des jours meilleurs quand on est dans la peine, la souffrance psychique et morale, la maladie, le handicap.

Cette croyance en ce personnage imaginaire qui aura bercé toute notre petite enfance – du moins l’espère-t-on car le mythe est magnifique à bien des égards quand on l’examine de plus près ! – représente toujours une bulle d’oxygène pour ces parents qui gâtent leur jeune progéniture en leur offrant des cadeaux. Certains, utiles ; d’autres si futiles !

 

Et les adultes dans tout ça ?

 

Et si les adultes se prenaient à y croire, à nouveau ? Que pourrions-nous demander par lettre interposée et sans l’oblitération d’un timbre postal parmi nos souhaits ? Après avoir vécu une telle année 2023, la liste pourrait être très longue, pour combler nos désirs les plus fous et les plus sincères.

L’avancement de la retraite à…60 ans et non à 64 ans tel que cela nous a été imposé de la manière la plus brutale et sans notre consentement – il y a le mythe du Père Noël, assurément, mais en France, il y a aussi le mythe du référendum dont on ne voit jamais la trace ! - ; on y ajouterait parmi les paquets cadeaux la maîtrise de l’inflation et la hausse du pouvoir d’achat !

Merci, par ailleurs, aux valeureux spéculateurs de tout poil de s’enrichir de manière éhontée, abusive et immuable sur le dos de tous les pauvres couillons que nous sommes, nous autres les consommateurs lambda devant satisfaire nos besoins consuméristes ou ceux de notre progéniture !

 

 

Des « bons cadeaux » pour obtenir la paix

 

Sur le plan international, et avec le lot de gabegies planétaires que nous vivons en mode accéléré et que nous avalons telles des couleuvres depuis 2022, on pourrait voir le Père Noël apporter dans sa hotte des « bons cadeaux » donnant enfin droit à la paix et à la sérénité pour des pays et des peuples en déshérence qui en auraient bien besoin.

Bien sûr, le premier d’entre eux serait l’Ukraine qui ne connaîtra pas de trêve des confiseurs, même le jour de la Nativité sous les bombardements meurtriers et aveugles de l’envahisseur russe.

Une simple histoire de famille et de disputes entre Slaves, pourrait souffler Vladimir POUTINE pour qualifier un conflit qui plombe l’économie mondiale – mais pas trop la sienne malgré les sanctions économiques adressées en paquets de douze – et qui menace l’Europe et les pays de l’Est, même si vu de la France, en particulier, cela ne soit guère probable dans les faits. Curieux que nos concitoyens aient la mémoire aussi transparente et si courte quand il s’agit de se remémorer les affres de l’Histoire, période du début des années 1940…au hasard, l’année 1938 !

Le second territoire à y prétendre est évidemment la Palestine. Avec une bande de Gaza, aujourd’hui totalement dévastée et laminée par une puissance militaire, Tsahal, qui ne répond qu’aux principes de la loi du Talion, chère à l’Etat hébreu.

On ne pourra jamais cautionner les actes terroristes et assassins des membres du Hamas – la couverture légitime et suppôt de l’Iran dans cette partie du Moyen-Orient en train de sombrer vers la désespérance et la guerre -, mais ces milliers d’enfants, de femmes et d’adultes palestiniens doivent-ils payer le prix fort de cette barbarie d’un autre âge qu’ils n’ont pas commis ?

Dans les deux cas, cher Père Noël, une simple question à ajouter en additif à notre lettre revendicatrice : jusqu’à quand le massacre ?

 

 

Conserver notre âme d’enfant : le « meilleur est pour demain »…

 

Bien sûr, d’autres régions brûlantes de la planète pourraient aussi bénéficier de la mansuétude et des largesses du fameux bonhomme rouge, faisant le tour du globe avec son traîneau et ses rennes. Ce ne sont pas les conflits qui manquent et qui risquent de se propager dès 2024 avec la crise de l’eau et le réchauffement climatique sur notre bonne vieille Terre ! Non ?

On dit toujours que « le meilleur est pour demain ». C’est peut-être cela, la vraie maxime de Noël, que nous devons tous conserver au fond de nous-même. Une phrase simple à se répéter mille fois, comme une litote qui a force de volonté finira bien par s’ancrer dans nos neurones fatigués et nos rivages où nous vivons au quotidien.

C’est peut-être cela la magie de Noël qui nous permet encore, nous autres les adultes, d’entretenir notre âme d’enfant. Joyeux Noël à toutes et à tous ! Happy Christmas, comme le chantait si bien en 1972, le regretté et pacifiste, John LENNON. Peut-être, certaines et certains parmi vous, ont encore envie de croire au Père Noël…

 

Thierry BRET

 


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Des grognards arpentant les rues, des chevaux conduisant les généraux, des reconstitutions réalisées avec le décorum et les costumes…Auxerre a depuis un moment un faible pour l’histoire de France et le fait savoir à grand renfort de manifestations hautes en couleur et en ferveur qui passionnent les badauds. De quoi revendiquer le statut si prisé de « Ville impériale » qui permettrait d’optimiser une indéniable représentativité patrimoniale. Source de nouvelles recettes en matière économique et touristique ?

 

Lundi 

Exposition estivale sur le maréchal DAVOUT, journées festives en août dernier autour de la comtesse Mathilde de COURTENAY et de l’affranchissement d’Auxerre il y a 800 ans, journée de célébration pour le  158ème anniversaire de la mort du capitaine COIGNET… Crescent MARAULT semble apprécier le passé. De quoi donner du grain à moudre à de possibles concurrents à sa succession dans trois ans à la mairie d’Auxerre, tout prompts à voir en lui un « homme du passif »… Une petite phrase qui avait pas mal réussi à un candidat à la présidentielle en 1981, un certain François MITTERRAND, face à son adversaire d’alors !

 

Mardi  

 

Dans l’ombre du procès de Monique OLIVIER à Nanterre, celui de l’assassin d’Angélique CLERE, qui vient de s’achever à la Cour d’Assise de l’Yonne n’a sans doute pas eu l’écho médiatique qu’il méritait. Hormis la presse locale, la foule n’était pas au rendez-vous le soir du verdict, avec pour seule audience deux familles détruites… D’un côté celle de la victime, naufragée dans sa douleur et de l’autre, les parents de celui qui, condamné à 27 ans d’emprisonnement, dont 18 ans de sureté, ne le reverront sans doute jamais en dehors des murs de sa prison. Autant de vies brisées pour qui le mot « peine » n’aura pas forcément la même signification. Ce procès qui a duré trois jours, a souvent été émaillé de moments d’émotion. Pour ma part, je conserverai l’image du père d’Angélique qui à l’heure où « parole est donnée à l’accusé » avant que le tribunal ne se retire pour délibérer, se bouchât les oreilles et baissât la tête pour ne pas entendre ni regarder celui qui, en pleurs, tentât de trouver les mots pour s’excuser. Mais que pesaient-ils face au souvenir de celle qui, un après-midi de juin 2021, prit perpétuité, sans autre forme de procès… ?

 

 

Mercredi 

Pour un peu, on se serait crus à l’époque révolue de « l’Ecole des fans », qui fit les heures de gloire d’Antenne 2 dans les années 70, sous l’égide du regretté Jacques MARTIN : « tout le monde il a gagné » ! Gauche, droite et extrême droite se sont félicités de concert sur le camouflet infligé au ministre de l’Intérieur mais aussi par procuration, à son « patron président », Emmanuel MACRON, face au rejet du projet de loi sur l’immigration porté par la majorité parlementaire. Que subsistera-t-il de ce mariage entre la carpe et le lapin ? Nul doute que le Rassemblement National a quelque réponse à apporter à la question…

 

 

Jeudi  

Si l’on en croit Sénèque, « seul l'arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c'est dans cette lutte que ses racines, mises à l'épreuve, se fortifient. » Un adage de bon augure pour le chêne installé dans la cour intérieure de la mairie d’Auxerre à en juger par la polémique née du coût de sa plantation. C’est peu de dire que les 70 000 euros annoncés ont fait grincer les dents, que ce soit dans les rangs de l’opposition municipale ou chez nombre de foyers auxerrois. Si cet arbre originaire d’Amérique a pour particularité de voir son feuillage se parer de couleurs rouges à l’automne, la colère qu’il a suscitée chez certains est de la même carnation. L’on connaissait déjà sur les étals des maraîchers la « feuille de chêne rouge », il faudra désormais faire avec celles du chêne écarlate. Quelle salade !

 

 

 

Vendredi  

Ne rien dire, ne rien voir, ne rien entendre… Le « secret du bonheur » selon la tradition chinoise. Complicité coupable en l’occurrence, dans le monde du cinéma français et des médias, depuis longtemps informés des viols, agressions sexuelles et autre propos déplacés attribués à Gérard DEPARDIEU, sans que ne s’écroule l’aura du plus « bankable » d’entre eux. Tant mieux si le reportage de « Complément d’enquête » contribue à déboulonner la statue de notre « Gégé » national et pourtant, comme on l’aimait, costumé en Pantagruel avec son esprit rabelaisien, mais aussi le charme et la grâce d’un Gérard PHILIPPE… Rideau et clap de fin !

 

Samedi 

Rue des Rosiers à Paris, quartier historique de la communauté juive, les affiches rappelant le sort des otages israéliens kidnappés par le Hamas fleurissent les murs… Sur l’une d’elles, quelques mots appelant à un cessez le feu à Gaza, rayés d’un trait rageur, témoignage anonyme de la haine séparant aujourd’hui un peu plus deux peuples à jamais irréconciliables depuis les horreurs commises le 07 octobre en Israël et de l’autre côté de la frontière, ce massacre de civils sans précédents, qui se perpétue aujourd’hui encore sur cette bande de terre surpeuplée en mal de survie. Deux peuples, deux destins, deux tragédies… 

 

 

 

Dimanche 

 

Il était une voix de velours dans un corps de catcheur, à la fois conteur, journaliste, producteur et animateur. Passionné de voyages, il contribua pendant plus de 40 ans aux belles heures de « France Inter », son port d’attache, nous embarquant avec lui à bord d’émissions qui avaient nom « Pas de panique », « Marche ou rêve », « Je vous écris du plus lointain de mes rêves » ou encore, le célébrissime « Tribunal des flagrants délires »… Claude VILLERS s’en est allé ce dimanche et nous restons sur le quai, continuant à marcher, mais à côté de nos rêves désormais, en des pays où nous n’irons plus…

 

Dominique BERNERD

 


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Noël est une fête chrétienne importante et son cortège de traditions donne à beaucoup la nostalgie de l’enfance. Le sapin décoré, la crèche, le Père Noël, la messe de minuit de moins en moins suivie, malgré un horaire plus compatible avec la dégustation de la dinde : 18 h, 19 h ou 20 h selon les paroisses. L’heure de minuit est surtout respectée dans les monastères. Au monastère de « La Pierre Qui Vire », dans l’Yonne, la veillée débute à 23 heures. La messe peut ainsi se dérouler à partir de minuit…

 

TRIBUNE : Aujourd’hui, Noël se présente plutôt mal. Avec un conflit israélo-palestinien qui envenime les tensions avec les chrétiens du monde et notamment de France ; une crise économique et une inflation qui vont lourdement pénaliser les achats de fin d’année, tant sur le plan de la nourriture que sur celui des cadeaux.

Face au drame des guerres et du terrorisme, nous aurons malgré tout du mal à faire pleurer dans les chaumières, sur la raréfaction du foie gras et de la dinde… Beaucoup se contenteront d’un plat de « beursaudes », accompagnées de « treufs » (pomme de terre au lard, en morvandiau) !

 

Les chrétiens constituent la population la plus persécutée au monde

 

« L’index Mondial de Persécution » fête son 30ème anniversaire en 2023. Cet organisme permet de recenser les pays où les chrétiens subissent des persécutions et d’intenses discriminations. Le nombre de pays touchés par des oppressions de tout genre est passé de 40, en 1993, à 76 aujourd’hui ! Le trio gagnant, où les violences sont les plus fortes : Corée du Nord, Nigéria et Yémen.

En 2023, 5 621 chrétiens furent assassinés (80% au Nigéria). 4 542 chrétiens détenus en raison de leur foi, dont 1 750 en Inde. Sur les 5 256 chrétiens kidnappés,  4 726 l’ont été au Nigéria. L’ONG « Porte Ouverte » estime que plus de 360 millions de chrétiens sont persécutés dans le monde, soit un chrétien sur sept !

 

Noël : une fête de plus en plus difficile à vivre pour les chrétiens de nombreux pays

 

Rappelons qu’au Massachusetts, fêter Noël fut interdit jusqu’en 1870… Si dans la plupart des pays musulmans, il n’y a pas de marques distinctes de la fête chrétienne, on comprend moins l’interdiction faite par Israël. Il est proscrit d’afficher des décorations de Noël et autre sapin dans les hôtels et autres lieux d’accueils de touristes. Les contrevenants se verront retirer leur agrément pour l’organisation des fêtes religieuses juives (mariages…).

En Corée du Nord, l’interprétation extrême et autoritaire de l’athéisme tel qu’il est censé être défini dans la doctrine communiste, a conduit à l’interdiction totale de tout ce qui concerne Noël. Il est suggéré que l’état est tellement coupé du monde occidental que de nombreux Nord-Coréens ne connaissent pas la naissance de Jésus, ni même de Dieu. Plus grave, un Coréen surpris à fêter Noël clandestinement, chez lui, encourt la peine de mort ! Les interdictions pullulent et les intégristes de tout poil se font fort de manipuler les populations aux fins de massacrer ou de spolier les chrétiens.

Nous sommes loin des préceptes du sage Averroès. Né à Cordoue en 1126, Ibn Roshd, plus connu sous le nom latinisé d'Averroès, est l'un des plus importants savants du monde islamique, connu notamment pour ses œuvres philosophiques. Averroès reçoit une éducation à la fois religieuse, juridique et scientifique. Il condamna fermement l’intégrisme religieux et la conversion par la violence des juifs en Espagne. Il déclara : « L'ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence. Voilà l'équation… ».

 

 

Les chrétiens en France : proie des prédateurs et des persécuteurs

 

Rappelons tout de suite que le sapin  et le Père Noël, ne constituent en rien des symboles religieux. Malgré tout, certains s’ingénient à vouloir détruire toute trace de Noël : les politiques en tête. Dans certaines municipalités, plus à gauche et surtout chez les écologistes, on assiste à une véritable ruée contre le christianisme. Tout est à l’avenant : interdiction de dire « fêtes de Noël, pas de sapins (parfois des répliques en métal et payées fort cher à des artistes amis). En Provence, les « Verts » déposent des plaintes quand une mairie expose une crèche avec les fameux santons de Provence…

On est rassuré pour les « Verts », il y aura sûrement moins de foie gras sur les tables des fêtes… Jean-Luc MELENCHON a aussi poussé sa ritournelle en affirmant qu’il était faux de dire que la France avait des origines chrétiennes… Même La Poste demande que les sapins ne soient plus présents dans les bureaux ouverts à la clientèle !

Les catholiques sont particulièrement touchés par les agressions et les profanations en tout genre, sans compter l’assassinat du Père AMAL à Rouen en 2016. Les quelques chiffres que lâchent du bout des lèvres les services du ministère de l'Intérieur le prouvent : 1 052 faits recensés, qui se décomposent en 996 actions et 56 menaces. La religion chrétienne est de loin la plus attaquée. La tension est palpable et risque d’augmenter à l’approche des fêtes de Noël. On peut se demander ce que fait le Pape François, par réaction aux agressions des catholiques tant en France qu’à l’étranger !

Ne sacrifions pas les traditions au dictat de minorités agissantes qui voudraient juste nous couper de notre histoire. Le regard des enfants demeure dans nos cœurs. Quant au pied du sapin, ils découvrent les surprises tant attendues. Nous sommes aussi, parfois, ces grands enfants, capable d’émerveillement, de joie et de paix…

Chaque année, la trêve des confiseurs permet d’atténuer, momentanément, la violence de certains conflits. Cette année, rien n’est moins sûr, que ce soit en Palestine, en Ukraine et dans tout le monde occidental. Nous sommes loin du fameux Noël de 1914, où les soldats Français et Allemands se sont retrouvés le 24 décembre. Ils ont trinqué, un verre de schnaps en main, en chantant « Stille nacht, heil’ge nacht… (Douce nuit, sainte nuit…). Il ne s’agissait pas de fanatiques de guerre ou de religion, mais d’hommes libres, qui ont souhaité faire preuve d’humanisme et d’amour du prochain, ne serait-ce que quelques minutes…

« Par ailleurs, la naïveté grotesque des enfants fait peine à voir, surtout si l'on veut bien la comparer à la maturité sereine qui caractérise les adultes. Par exemple, l'enfant croit au Père Noël. L'adulte non. L'adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote. » Pierre Desproges.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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« Qui c’est qui est très gentil ? Les gentils ! Qui c’est qui est très méchant ? Les méchants ! Qui a tous les premiers prix ? Les gentils. Qui roupille au dernier rang ? Les méchants... ». C’est un peu la définition légitime des « risque-tout » (les entrepreneurs) face à leurs éternels opposants, les « risque-rien » (les bureaucrates).

Question simpliste mais ô combien cruciale après coup que l’on aurait pu poser machinalement au numéro un de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME) François ASSELIN, en déplacement à Auxerre – le deuxième depuis huit ans en territoire de Bourgogne du nord cette semaine -, est-il un adepte des chansons de Michel FUGAIN et de son fameux « Big Bazar » ?!

« Les gentils, les méchants ». Le titre a été diffusé très largement sur les ondes radiophoniques en 1972. Déjà un constat brûlant et cruel de la société de l’époque, toujours dans le prolongement des « Trente Glorieuses » et juste avant que ne survienne le premier choc pétrolier de 1973, fatal à l’économie hexagonale. Avec sa célèbre maxime publicitaire : « En France, on n’a pas de pétrole mais on a des idées ! ».

« Les gentils, les méchants ». Dans la bouche du patron des patrons de la CPME, cela se transforme en la formule suivante : « les risque-tout » et les « risque-rien » ! On aura compris aisément que les risque-tout sont celles et ceux qui se lèvent tôt le matin, créent de la valeur ajoutée dans le pays, génèrent de l’emploi et du chiffre d’affaires même au tréfonds des provinces de l’Hexagone en prenant le maximum de risques et en sacrifiant leur existence familiale, permettent de maintenir le cap de cette nation aux pieds d’argile dans un contexte géopolitique de plus en plus complexe au niveau économique, bref, celles et ceux qui entreprennent sans regarder la montre et compter les heures qui les séparent d’un hypothétique week-end de labeur !

 

Les congés payés pendant les arrêts maladies : inadmissible pour la CPME

 

Remonté tel un coucou helvétique qui n’est pas prêt de s’arrêter, François ASSELIN qui ne pratique pas la langue de bois lors de ses interventions orales s’insurge au nom des milliers d’adhérents du premier syndicat patronal de France contre la bureaucratie cocardière de ce pays, en déshérence administrative. Pleine de contradictions et d’envies malignes d’empêcher le système économique de tourner rond. La dernière en date qui a suscité le lancement d’une pétition au sein de la Confédération : les congés payés acquis pendant les arrêts maladies.

On explique les faits. La CPME est résolument opposée à l’acquisition de congés payés pendant les arrêts-maladies, qui découle d’arrêts récents de la Cour de cassation, pris en application d’une directive adoptée à Bruxelles en 2003 avec l’aval du gouvernement français de l’époque.

« Sur le fond, précise-t-on à la CPME, découpler travail effectif et congés payés est profondément choquant. C’est la valeur travail qui est ainsi attaquée. De surcroît, il est parfaitement injuste qu’un salarié absent pendant une longue période bénéficie d’autant de congés qu’un salarié présent à son poste. Par ailleurs, la rétroactivité qui permettra aux salariés de se retourner contre leur employeur et de réclamer des congés payés au titre de leurs arrêts-maladies des trois dernières années est inadmissible… ».

 

 

Une décision qui révulse profondément François ASSELIN et ce dernier en a fait part aux deux cent cinquante participants de la CPME de l’Yonne – il n’y avait pas que des entrepreneurs issus de la Confédération - : cela risque de coûter plusieurs milliards d’euros chaque année aux entreprises françaises, grandes ou petites, et de condamner certaines PME, ce qui est totalement inacceptable. Dans les faits, les choses ne peuvent rester en l’état.

« Le gouvernement doit comprendre l’indignation des chefs d’entreprise et agir. Il en a les moyens, précise François ASSELIN qui possède ses entrées dans les hautes sphères du pouvoir tricolore, à l’Elysée comme à Matignon.

 

 

7 % de chômeurs et des entreprises qui peinent à recruter !

 

Une CPME qui prend aussi toute sa part dans la consultation lancée par l’Etat concernant le sempiternel serpent de mer de la technocratie française : la simplification administrative. Une arlésienne qui pollue celles et ceux qui ne comptent pas leurs heures pour tenter de faire tourner leurs boîtes qui croulent déjà sous une avalanche de normes, tricolores – elles sont au nombre de 400 000 pour faire simple ! – et européennes, il va de soi !

La baisse de l’activité n’arrange rien avec la chute des carnets de commandes. Quant à l’aspect social, il est omniprésent. Tant au niveau des recrutements difficiles à résoudre que des arrêts maladies qui explosent !

« Les entrepreneurs se sentent dépossédés de leur autorité de chef !, lâche tout de go la figure  patronale des Deux-Sèvres à la tête d’une société positionnée dans le bâtiment et le gros œuvre. Les relations sociales nous échappent et on ne les comprend pas… Mais, une entreprise, c’est un lieu de travail où il faut bosser ! ».

Pas de langue de bois, avons-nous dit ! Autre sujet d’incompréhension pour le représentant de ce syndicat : « on est dans un pays où il y a 7 % de chômeurs et on a des entreprises qui ne trouvent pas de salariés à recruter ! ». Un casse-tête chinois ou une autre configuration de l’opposition entre les « risque-tout » et les « risque-rien », termes que François ASSELIN assène régulièrement dans ses propos ?

 

La gifle de trop aux commerçants et aux artisans !

 

Quant à la campagne actuelle de l’ADEME proposant une drôle d’alternative consumériste – l’apologie de la décroissance qui fait pousser des cris d’orfraie aux commerçants et artisans totalement stigmatisés -, la CPME n’y va pas par quatre chemins. Elle exige le retrait sine die de ces spots qui sont largement diffusées aux heures de grande écoute sur les chaînes télévisées de l’Hexagone.

Explications : « L’ADEME et le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires, à grand renfort de fonds publics, ont lancé une campagne de communication faisant, sous couvert de consommation responsable, l’apologie de la décroissance, en prônant une renonciation à l’acte d’achat. Les commerces sont explicitement visés avec un message qui se veut humoristique d’un soi-disant « dévendeur » dont la mission est de faire fuir les clients d’un magasin de bricolage, d’électroménager ou d’habillement.

Une telle campagne à l’approche des fêtes de Noël est une véritable gifle aux commerçants qui subissent l’inflation de plein fouet et s’inquiètent d’une activité économique qui donne des signes de ralentissement. Stigmatiser les commerçants est particulièrement malvenu lorsque l’on sait les difficultés que rencontre ce secteur qui multiplie pourtant les initiatives pour limiter son empreinte carbone. Et que dire de ces industriels français, pleinement engagés dans la transition écologique, qui se battent au quotidien pour faire vivre et dynamiser le made in France ? ».

On appelle cela se tirer une balle dans le pied. A l’heure où l’Etat parle de réindustrialisation à outrance et d’attractivité des territoires à tout crin, le responsable de la CPME ne comprend pas le sens de ces messages donnés à la population.

« Les gentils, les méchants » était l’un des tubes de 1972. Plus de cinquante ans après, le morceau pourrait faire florès à l’audimat de notre France contemporaine confrontée à cette même problématique qui couve depuis longtemps entre les « risque-tout » et « les risque-rien »…

 

Thierry BRET

 


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L’action revendicative orchestrée par la FDSEA et les Jeunes Agriculteurs de l’Yonne tient encore toutes ses promesses en termes de visibilité. Et surtout d’efficacité ! Quinze jours après les premiers retournements de panneaux à l’entrée de nombreuses agglomérations de notre territoire, les effets de cette mobilisation contre des réglementations européennes trop strictes et la charge de travail trop importante, subie par les professionnels, sont toujours visibles ! A croire, que les services municipaux de toutes ces bourgades qui ont été contaminées par cette « épidémie » se sont déjà mis au vert, anticipant ainsi les futures vacances de Noël !

 

Lundi

Dans la série « Yapukafautquon », l’on apprend dans un texte commun, publié sur le site de « La Tribune », que la ministre des Affaires étrangères Catherine COLONNA et son homologue aux Armées, Sébastien LECORNU, considéraient que « l’urgence doit être une trêve durable entre Israël et le Hamas… ». Avec une telle prise de position, nul besoin d’enfoncer des portes ouvertes, elles le sont déjà ! Et pas de doute que si l’info arrive jusqu’aux oreilles du chef sanguinaire du Hamas qu’est le « sympathique » Yahya SINOUAR, comme à celles du « roi Bibi », le Premier ministre israélien Benyamin NETANYAHOU, dont l’énième procès pour corruption a repris à Jérusalem, les deux vont sans nul doute trembler de concert devant un tel diktat et obéiront le petit doigt sur la couture du keffieh pour l’un et sur celle de la kippa pour le second !  

 

 

Mardi

L’évêque de La Rochelle mis en examen pour tentative de viol…, un formateur de police toulousain condamné pour harcèlement sexuel…, un policier municipal costarmoricain en attente de jugement pour avoir crevé les pneus d’une trentaine de véhicules…, un sénateur soupçonné d’avoir drogué une députée pour l’agresser sexuellement…, le patron d’une compagnie de CRS visé par une enquête pour détournement de biens publics… C’est le grand retour des ripoux ! Si tant est qu’ils aient un jour disparu ! Criminels et malfrats de métier vont bientôt crier à la concurrence déloyale !

 

Mercredi

 

Il faut toujours allumer un contrefeu en cas d’incendie ! Un adage que le maire d’Auxerre avait su mettre en œuvre lors de l’un de ses « rendez-vous avec Crescent » en octobre dernier aux Piedalloues, où chahuté à propos de la fin annoncée de la collecte des déchets, il avait su trouver un « ennemi » commun avec le public, en évoquant le sujet des gens du voyage occupant illégalement le vélodrome. Usant de propos « musclés », pour promettre sous peu la libération des lieux… Manifestement, les intéressés n’étaient pas du même avis, à en juger par cette photo prise il y a quelques jours…

 

 

Jeudi  

Pas moins de 80 000 personnes étaient attendues à Dubaï jusqu’au 12 décembre pour ce grand rendez-vous annuel sur le climat que sont les COP. Une machine à « greenwashing » selon la passionaria écologiste Greta THUNBERG, qui avait résumé les conclusions d’une édition précédente de « bla, bla, bla ». Est-il besoin de rappeler que ces discussions entre « grands » du monde débouchent rarement sur du concret, les accords pris n’ayant pas valeur obligatoire et il y a de fortes chances que cette édition numérotée 28 n’échappe pas à la règle. On s’y écharpe sur la sortie ou non des énergies fossiles, appelant le reste de la planète à supprimer la voiture pour la remplacer par un vélo. De quoi sourire, quand on sait le nombre « d’invités » arrivés jusque-là, à bord de leur jet privé et se souvenir de ce qu’a dit un jour la grande dame qu’était Simone VEIL : « Au fond, ce sont toujours aux faibles que l’on fait la morale, tandis qu’on finit par blanchir les puissants… » 

 

Vendredi  

Le 16 novembre dernier, l’on apprenait que le « glyphosate nouveau » était arrivé ! Sans vote majoritaire de ses états membres, la Commission européenne annonçait qu’elle allait renouveler l’autorisation de l’herbicide controversé pour une durée de dix ans. Aussitôt, la FDSEA 89 et les JA de l’Yonne sont montés au créneau, exprimant leur colère en retournant les panneaux d’entrée et de sortie de certaines communes dans le département, notamment le long de l’ancienne nationale 6 entre Auxerre et Avallon. Heu…, non ! En fait me dit-on, cette action symbolique visait à dénoncer des réglementations jugées trop strictes, voire contradictoires et des charges de travail trop importantes. Mais bon ! Il est permis de rêver…

 

 

Samedi 

 

Le parking souterrain de l’Arquebuse amputé de la moitié de ses emplacements ! Un arrêté municipal placardé sur l’une des portes d’accès en explique la raison, à savoir que, compte tenu d’un système de ventilation défaillant, les allées B, C et D seront interdites à la circulation. Mais, précise le document, « jusqu’à la remise en état de l’installation de ventilation par les services de la ville d’Auxerre ». Considérant que ledit arrêté est daté du 06 novembre, il y a urgence, à quelques semaines de Noël ! Pas certain que les chalands privilégiant les enseignes du centre-ville aux galeries marchandes des grandes surfaces environnantes, apprécient la suppression d’une partie de ce parking gratuit.

 

 

Dimanche  

 

Il suffit parfois de quels mots au détour d’une rue, comme ici, place de la République à Paris, pour voir le monde embelli et l’actualité ripolinée de couleurs joyeuses. « Allez-vous faire aimer » …  Tout est dit et rien n’est à rajouter, reste à faire passer le message pour voir ce monde tourner un peu plus rond !

 

Dominique BERNERD

 


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