Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Alors que la quasi-totalité des unités de production sont à l’arrêt partout en Europe, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, appelle au redémarrage progressif de l’activité. Un sursaut vital pour l’industrie automobile dont les usines pourraient reprendre petit à petit leur fonctionnement.

PARIS : Si l’est un des secteurs économiques qui ne sort pas indemne de la crise sanitaire actuelle, c’est bien celui de l’automobile. L’effondrement du marché est abyssal. En l’espace d’un mois, celui de mars, la production s’est délitée à hauteur de - 72,2 % dans l’Hexagone. Soit une chute de - 34 % en moyenne établie au cours du premier trimestre 2020. Son appareil industriel est à l’arrêt à 85 % ! Du jamais vu…

Le phénomène contagieux du coronavirus ne pouvait pas plus mal tomber pour ce pan essentiel de l’économie mondiale. Depuis la fin 2019, le secteur de l’automobile est en proie à un retournement de cycle avec une baisse du marché qui avoisinait déjà 6 % avant le début de la pandémie. 

Une reprise d’activité, même modeste soit-elle, fait déjà figure de grande nécessité pour les spécialistes. Ceux, entre autres, du Comité stratégique de la filière qui était réuni il y a peu par audioconférence pour examiner l’étendue du désastre. Une réunion numérisée qui accueillait la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER.

L’amorce du retour au travail est dans le viseur. Sachant que toutes les entreprises de la corporation sont désormais mobilisées pour mettre en application dans leurs usines et bureaux des protocoles sanitaires très stricts permettant d’assurer la sécurité des salariés. Certaines profiteront du retour d’expérience des dispositions qui ont été adoptées sur les sites industriels de Chine. Là-bas, le redémarrage s’est effectué avec réalisme et succès.

Hormis les unités de production, les professionnels du secteur entendent protéger les activités de logistique, livraison et ventes. Des travaux de mise en place de mesures de protection, auprès des collaborateurs comme de la clientèle, sont en cours.

 

 

Un signal fort des pouvoirs publics est attendu…

 

Attentive aux propos de ses interlocuteurs, Agnès PANNIER-RUNACHER a rappelé que le gouvernement ferait en sorte de créer progressivement les conditions indispensables au redémarrage du secteur via les autorisations de circulation des véhicules de transport, y compris au niveau des différents pays européens.

Dès que le contexte sera favorable, les livraisons de véhicules pour alimenter les réseaux de concessionnaires reprendront. Avant que ne rouvrent enfin lesdites vitrines commerciales qui accueilleront de nouveau la clientèle dans le respect des exigences sanitaires voulues par l’Etat.

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’initiative, très louable, est le fruit de l’étroite symbiose qui s’est développée au fil du temps entre un réseau de bricoleurs bénévoles des « Ateliers des Beaux Boulons » à Auxerre, ceux du collectif « Le Maillet » à Joigny et plusieurs personnes réunies à Sens. Ensemble, et en s’appuyant sur une page Facebook, ils luttent à leur manière contre les effets de l’épidémie en fabriquant des visières de protection destinées aux professionnels de santé…

AUXERRE : Au 08 avril, le bilan des premières réalisations était le suivant : 1 965 visières de protection avaient été produites, 1 233 de ces précieux ustensiles protecteurs avaient été distribués aux personnels soignants des EHPAD de l’Yonne ainsi que dans les centres hospitaliers et aux sapeurs-pompiers. Quant aux demandes qui restaient à fournir à cet instant précis, elles s’élevaient à 1 116 unités.

Depuis le 28 mars, date à laquelle a débuté l’opération, le réseau « MAKERS 89 contre le COVID 19 » (on dirait presque le titre d’un film inspiré par MARVELS !) aura répondu présent par sa généreuse mobilisation.

Composé d’une quarantaine de personnes, ce groupe de bénévoles travaille à la conception de visières homologuées en s’appuyant sur la technologie des imprimantes 3D qui sont ensuite acheminées en direction des professionnels de santé, de sûreté et de sécurité.

A ce groupe initial s’ajoutent celles et ceux qui collectent l’indispensable matière première servant à confectionner les objets, les assemblent et les font parvenir à leurs destinataires. Ce réseau trouve une nouvelle caisse de résonnance en s’amplifiant au quotidien.

 

Un besoin constant de matières premières…

 

Face à la recrudescence des demandes, le réseau doit faire face au manque de réassort, en optimisant son approvisionnement. Comme le précise Loïc VIGNET, l’un des porte-parole de la structure : « Nous avons besoin de plusieurs éléments pour fabriquer ces visières de protection, c’est-à-dire des bobines de filament plastique pour assurer l’impression des supports de visière, des feuilles plastiques transparentes, des élastiques de maintien et autres consommables… ».

Un appel à la générosité a été lancé auprès des milieux industriels et économiques il y a quelques jours par les « MAKERS ». Ils espèrent ainsi avec cette collecte de matières premières récupérer le nécessaire pour assurer la continuité des approvisionnements de ces visières qu’ils destinent à celles et ceux qui luttent d’arrache-pied contre le coronavirus.

 

 

Organisés en cellules opérationnelles, les « MAKERS 89 » s’occupent de la logistique (la collecte des différents ingrédients servant à fabriquer cette visière). Une entité spécifique prend à sa charge la gestion des fournitures en recherchant les professionnels capables de fournir les matières premières. Une autre cellule gère la veille impression. C’est-à-dire qu’elle effectue une surveillance technologique quotidienne pour trouver de nouveaux modèles en lien avec les autres réseaux existants. Les demandes sont traitées par la cellule ad hoc. Elle répond également aux besoins en fonction de l’état des stocks. Le pôle stockage ayant lui la responsabilité de conditionner les supports de visière, les élastiques et les feuilles de plastique en y ajoutant une notice d’utilisation et de montage.

Précisons qu’une cagnotte a été créée. S’élevant à mille euros, elle est reconduite chaque semaine afin de répondre aux nouvelles demandes, aux besoins d’approvisionnement et à l’évolution de la situation.

 

Un prix de revient d’environ un euro par visière !

 

Quant à la communication, elle incombe à la cellule support. Elle a construit des liens étroits avec les médias régionaux qui suivent cette aventure altruiste et solidaire.

Aujourd’hui, les caractéristiques du matériel recherché sont les suivantes : de la bobine de filaments plastiques PLA, ABS ou PETG pour l’impression du support de la visière, des feuilles A4 transparentes pour la visière, des élastiques pour le maintien autour de la tête (x2), des consommables et pièces d’usure pour les imprimantes 3D.

A titre informatif, concevoir de telles visières revient à dépenser pour l’impression d’un support de visière (0,66 euro), élastique pour le maintien autour de la tête (0,10 €), feuille de plastique transparente (0,10 €). Soit un total de 0,86 € !

Auxquels s’ajoutent principalement les frais logistiques et de fonctionnement et d’entretien des machines environ 0,14 €. Soit un prix de revient unitaire d’environ 1 € pour une visière standard. Actuellement, la fabrication est effectuée gracieusement par les bénévoles des « MAKERS ». Le réseau jouera d’ailleurs la carte de la solidarité jusqu’au bout puisqu’il reversera en cas de fonds non utilisé l’intégralité des sommes récoltées à une association en lien avec la lutte contre le COVID 19. Une initiative qui ne manque ni de panache ni de vertu…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« Noël au balcon, Pâques au tison » précise le fameux adage. Mais, au vu du contexte actuel, ce sera plutôt « Pâques à la maison » ! Celles et ceux qui souhaitaient arpenter, tout en respectant les mesures de confinement exceptionnelles déjà mises en place par le gouvernement, les lieux publics, ne serait-ce que pour quelques instants de répit, en seront pour leurs frais. Un arrêté préfectoral applicable ce vendredi 10 avril les contraint à ne plus accéder à certains lieux spécifiques. En particulier, les plans d’eau, les zones forestières, les sentiers pédestres et autres chemins de randonnée…

AUXERRE: Le week-end de Pâques n’autorisera aucune souplesse dans le dispositif de mesures exceptionnelles appliquées sur notre territoire depuis le 17 mars. Il fallait s’y attendre : c’est plutôt l’inverse qui vient d’être décidé dans la plupart des départements français avec son renforcement.

L’arrêté préfectoral à l’estampille du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, daté du 09 avril, le démontre : les restrictions de déplacements dans sa zone de compétences montent d’un cran supplémentaire tandis que les contrôles des forces de l’ordre s’intensifient.

Non pas dans un but coercitif de manière systématique mais bel et bien dans celui de la sensibilisation et de la prévention face aux dangers inhérents à la propagation du coronavirus.

Si le préfet en appelle une fois de plus et de manière très solennelle aux Icaunais à rester à leur domicile, il a aussi ses raisons. En effet, en dépit de toutes les mesures prises précédemment, de nombreux lieux publics demeurent encore trop fréquentés par la population.

« Ponctuellement, précise le représentant de l’Etat, quelques personnes enfreignent toujours les règles du confinement et se promènent à l’air libre sans la moindre justification… ».

Ce week-end pascal au lieu d’annoncer le traditionnel retour des cloches va donc sonner le glas de nombreuses illusions et espérances qui voyaient arriver, peut-être de façon prématurée, le bout du tunnel.

Car le nouveau cocktail de restrictions accentue les interdits de manière drastique. Face à l’immensité des risques, il et vrai.

« Nous pourrions perdre le bénéfice des premières avancées obtenues depuis le début de la mise en application des mesures, souligne Henri PREVOST compréhensif devant le côté perturbateur du confinement, c’est pourquoi cet arrêté est indispensable pour protéger la santé de chacun… ».

 

Une kyrielle de nouveaux interdits à ajouter à une liste déjà longue…

 

Est désormais à proscrire de ses rares moments de loisirs l’accès aux forêts domaniales et massifs forestiers, plans d’eau, plages et berges aménagées ou non pour la baignade, lacs, étangs, parcs, jardins public, promenades, sentiers pédestres, tout type de chemins dont ceux de randonnée et pistes cyclables. Une liste non exhaustive à laquelle il est nécessaire d’intégrer tous les rassemblements festifs ou de détente, tels que pique-niques, barbecues, jeux collectifs, etc.

Pour couronner le tout, il est bon de préciser que cette interdiction s’applique aux déplacements brefs (ceux qui étaient jusque-là autorisés dans la limite de l’heure quotidienne et dans un rayon maximal d’un kilomètre autour du domicile : aux piétons, cyclistes, véhicules non-motorisés, véhicules récréatifs de type quads, moto cross, etc.

Précisons que ces mesures s’appliquent sur l’ensemble du département de l’Yonne, à tous les espaces cités ci-dessus, qu’ils soient publics ou privés mais ouverts à la circulation publique.

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est la résultante d’un vrai travail de mobilisation et de coopération mis en place avec le département francilien limitrophe. Et de l’entraide qui se doit d’exister entre partenaires institutionnels lorsque l’on est dans la panade face à une crise sanitaire hors normes. Le président de l’exécutif départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD n’a pas hésité à se rendre ce mercredi après-midi à Melun afin d’y réceptionner 70 000 masques de protection, ces indispensables ustensiles pour équiper les personnels soignants e les associations ad hoc qui luttent d’arrache-pied contre l’épidémie de coronavirus.

AUXERRE : Il était 13h50 ce mercredi 08 avril lorsque la fourgonnette à bord de laquelle avait pris place le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD quittait l’esplanade du Département de Seine-et-Marne à Melun. Avec dans son coffre, les trente-cinq cartons qui renfermaient la dotation totale de soixante-dix mille masques de type chirurgical.

Deux heures plus tard, la précieuse cargaison était débarquée par une équipe restreinte du Conseil départemental dans la capitale de l’Yonne. A la grande joie de l’élu icaunais !

Car, cette fois-ci, la commande est arrivée à bon port. Et ne sera pas réquisitionnée par les services de l’Etat comme les deux précédentes fois. Provoquant l’indignation légitime du président de l’assemblée départementale qui s’en est montré fort mari.

Aimant privilégier l’action à la démonstration, Patrick GENDRAUD s’était rapproché il y a quelques jours de l’un de ses élus de l’hémicycle, le maire de Saint-Clément Gilles PIRMAN.

 

 

 

L’élu du Sénonais a ce particularisme de siéger dans l’Yonne au sein de l’institution départementale et de travailler au quotidien en Seine-et-Marne, en qualité de directeur de cabinet du président départemental, l’UDI Patrick SEPTIERS.

Soucieux d’apporter sa pierre à l’édifice dans cette course contre la montre pour trouver coûte que coûte ces fameuses protections en tissu, et de répondre ainsi aux besoins de Patrick GENDRAUD, Gilles PIRMAN lui a donc proposé de participer à une commande de masques initiée par Conseil départemental de Seine-et-Marne auprès d’un importateur chinois. Patrick GENDRAUD accepte avec enthousiasme et passe commande de cent mille unités.

« Aujourd’hui, j’en réceptionne 70 000 exemplaires, concède l’ancien maire de Chablis, d’autres sont à venir : je vous tiendrai informé… ».

D’autant que cette livraison précède sans doute de quelques jours un autre arrivage de cent mille pièces de type FFP2 correspondant à la commande réalisée par la Région Bourgogne Franche-Comté il y a peu. Estimation possible pour en prendre possession : autour du 10 avril.  

 

 

 

Une distribution priorisée vers les acteurs de la santé…

 

 

Comme devait le confirmer le directeur général adjoint des pôles Solidarités départementales dans l’Yonne, Guillaume MARION, à réception des premiers cartons, ces masques seront prioritairement acheminés vers les opérateurs de la protection de l’enfance (foyers, équipes d’intervention à domicile, maisons d’enfants à caractère social…) et aux assistants familiaux.

Sont également concernés les établissements accueillant des personnes handicapées (foyers de vie et d’hébergement), les EHPAD qui auraient des besoins de réassort (le renfort des stocks en cours de distribution s’effectue par l’Agence régionale de santé) et les services d’aide à domicile et services de soins infirmiers. Les auxiliaires de vie qui accompagnent journellement les personnes âgées et celles en situation de handicap intègrent cette liste de bénéficiaires.

D’ores et déjà, Patrick GENDRAUD a confirmé lors d’un point presse spécial réalisé au pied du chargement sur le parking du Conseil départemental que « d’autres pistes d’approvisionnement étaient à l’étude pour subvenir aux besoins de l’Yonne ».

Il semblerait que la passerelle établie avec la Seine-et-Marne se poursuive selon les opportunités offertes.

Mais, aujourd’hui, le manque criant de consommables se fait surtout ressentir sur d’autres produits tels que les charlottes, les sur-blouses et les sur-chaussons.

En revanche, la pénurie de gel hydro-alcoolique n’est plus à l’ordre du jour des observations grâce à la fabrication constante de ce liquide protecteur assurée par les services du SDIS et les officines de pharmacie.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Alors que le secteur est sévèrement touché par la propagation inexorable de l’épidémie de coronavirus, le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de l’Europe, Jean-Baptiste LEMOYNE, tenait un point presse depuis Paris ce mardi. Parmi les annonces, celle-ci qui est d’importance : le montant de prêts garantis accordés à la filière s’élève déjà à 552 millions d’euros. Une bouffée d’oxygène pour les TPE et PME d’un segment économique en proie à une crise sans précédent…

PARIS : L’épisode du COVID 19 laissera d’indélébiles traces dans l’activité économique mondiale. C’est indéniable. A l’image de ce que peuvent vivre et endurer les professionnels de la filière touristique (hôtellerie/restauration, bars, loisirs, voyagistes, transporteurs…) pour qui cette infection virologique est devenue un véritable cauchemar perturbant leurs nuits.

Hier, lors d’une conférence de presse téléphonique, Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de l’Europe, a rappelé que « le gouvernement était réactif face aux problématiques actuelles observées par les entreprises du secteur tourisme ».

Le conseiller départemental de l’Yonne a ainsi précisé qu’au total, 552 millions d’euros de prêts garantis avaient été accordés au niveau hexagonal à la filière en souffrance.

D’ailleurs, 11,5 % de ces sollicitations faites dans le cadre de l’obtention de ces prêts se rapportaient au secteur du tourisme.

Le secrétaire d’Etat a détaillé quelque peu la répartition de cette enveloppe budgétaire importante consentie à la filière : les entreprises franciliennes étant celles qui ont perçu le plus avec 145 millions d’euros devant celles implantées en région Nouvelle Aquitaine (69 millions), Grand-Est (48 millions) et le Sud (35 millions).

Il n’a pas été mentionné ce que vont percevoir les structures de Bourgogne Franche-Comté, elles-aussi impactées par la fermeture de leur établissement.

Quant à la reprise de l’activité, elle n’est malheureusement pas inscrite à l’ordre du jour. La priorité demeurant la gestion de la crise sanitaire qui sévit toujours avec vigueur.

Un G 20 du Tourisme, initialement prévu le 09 avril en visioconférence, a été décalé au 25 avril.

Son but sera de coordonner les différents aspects de la relance et de la reprise en évitant un phénomène de dumping qui pourrait s’avérer fatal à la filière…

Avec l’AFP.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil