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L’opportunité est heureuse. Elle devrait se poursuivre plusieurs mois durant. La confection de masques dans le cadre des mesures préventives pour faire face à la crise sanitaire représente une aubaine pour les travailleuses de l’association auxerroise. Au nombre de sept, elles exercent leur talent chaque après-midi dans un atelier spécifique qui a vu le jour peu de temps après le début du confinement…

AUXERRE : En attendant que les activités coutumières de la structure spécialisée dans l’insertion ne reprennent leurs droits, AMIDON 89 a mis à profit le savoir-faire de ses salariées au service de l’intérêt général en fabriquant des masques.

Plus de huit cents de ces précieuses protections en tissu (elles sont lavables sur la base de quinze passages en machine à 60 ° et conçues selon les normes de l’AFNOR) sont déjà sorties de l’atelier de production.

Celui-ci occupe gracieusement l’une des salles de la Maison de quartier Saint-Siméon. Là, dans une ambiance besogneuse et assidue, la petite équipe découpe le tissu en différentes bandes d’étoffe. Avant de les assembler, leur ajustant l’indispensable élastique qui aidera à les porter de manière convenable et de les coudre.  

Une petite ruche qui s’affaire sans discontinuer sous la houlette de trois responsables, Marie, Mathilde et Nathalie, qui elles-mêmes mettent du cœur à l’ouvrage avec enthousiasme !

Satisfaites de prendre part à cette activité placée sous le sceau de la solidarité et du civisme, les sept couturières s’accordent bien de temps à autre une salvatrice pause. Mais, elles prennent un réel plaisir à confectionner ces objets qui seront ensuite distribués aux adhérentes de la structure associative. Voire à leurs partenaires : Passerelle, le Club Mob ou encore la Maison de l’Emploi.

Vendre ces masques ne représente pas la priorité pour AMIDON 89. C’est ce que confirme son président, Guy PARIS.

 

 

Un atelier qui rejoindra le siège d’AMIDON 89 place Corot…

 

Le premier adjoint à la Ville d’Auxerre réfléchit pourtant à la question. Mais, il ne souhaite pas pratiquer de la concurrence avec d’autres organismes dont l’objectif est de commercialiser ces articles si recherchés à l’heure actuelle.

Initialement imaginé à partir de trois couches de tissu (« ils étaient très vite irrespirables » confie un brin amusé l’élu auxerrois), les masques à l’estampille d’AMIDON 89 n’en contiennent au final que deux. Suffisant pour apporter les garanties protectrices nécessaires à son usage.

La matière première provient de deux prestataires localisés dans l’Yonne : la Grange aux Tissus de Joigny et le Tissu des Ursules, à Monéteau.

 

 

 

Le 29 mai, devant quitter définitivement la Maison de quartier Saint-Siméon, l’atelier intégrera les locaux habituels de l’association, place Corot. Là où ont repris le 11 mai les activités de repassage, cœur de cible des opérations menées par la structure.

L’avenir de cette spécificité ne devrait pas être remis en cause pour autant. Guy PARIS pense au contraire que « la confection de masques devrait occupée encore un long moment les jeunes femmes qui fréquentent la structure de quatre à six mois avant de se réinsérer dans la vie active ».

Ce qui est le cas de 70 % des personnes utilisatrices des bienfaits vertueux de cette association qui a placé l’altruisme parmi ses codes déontologiques…

 


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C’est fait : le drive de la Caisse Primaire de l’Assurance-Maladie de l’Yonne assurant le dépistage du coronavirus installé à bord de son véhicule est enfin opérationnel au Centre d’examens de santé à Auxerre. Le site de prélèvement fonctionne uniquement sur rendez-vous sept jours sur sept…

AUXERRE : Pas question de faire tout et son contraire dans cet exercice de prélèvement de substances permettant de savoir in fine si l’on est porteur ou pas du coronavirus !

Le dispositif de dépistage ouvert sur le parking du CES, le Centre d’Examens de Santé d’Auxerre dirigé par le docteur Saïd BROUCHE sera accessible uniquement sur rendez-vous et avec le port du masque chirurgical rendu obligatoire pour celles et ceux des patients qui souhaiteraient se prêter à cet exercice médical.

Les amplitudes horaires de cet atelier de prélèvement  sont les suivantes : du lundi au vendredi de 08h00 à 12h30 et de 13h00 à 16h00.

 

 

Avec des exceptions à noter pour le samedi (13h00 à 16h00), le dimanche de 8h00 à 12h30 et même les jours fériés (8h00 à 12h30), si vous ne savez que faire le jeudi de l’Ascension !

Evidemment, on ne se présente pas tout de go sur le parking du CES, 25 Rue du Clos à Auxerre, en face de la Caisse d’Allocations Familiales.

Il est nécessaire au préalable de prendre un rendez-vous auprès du secrétariat du drive en contactant les numéros suivants (06.56.80.67.79.) ou (06.41.90.26.72.).

Le jour J se présenter avec la prescription médicale du médecin traitant ou l’attestation prouvant que le service de traçage du COVID-19 de l’Assurance Maladie a pris contact en amont par téléphone avec l’interlocuteur lui demandant de formaliser ce fameux rendez-vous…

 

 

 


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Durant la période de confinement, le secteur de l’immobilier a connu un virage à 180 ° dans la pratique de ses activités. Une péripétie complexe à vivre que nombreux professionnels avaient déjà connue à la suite de la fameuse crise de 2008. Celle qui perturba tout le système économique mondial. Si l’épreuve d’aujourd’hui est de manière factuelle aux antipodes de ce que la filière avait vécu il y douze ans, la motivation et l’abnégation des professionnels pour y faire face demeurent intactes. Témoignage de l’un des représentants du secteur, Baptiste CHAPUIS, dirigeant du groupe 123 Immobilier…

TRIBUNE : « La période est grave. Elle devrait laisser des traces profondes, indélébiles. Lors de cette période très particulière du confinement, j’ai eu à maintes reprises l’opportunité de pouvoir m’entretenir avec tous types d’acteurs économiques, liés de près ou de loin, au secteur de l’immobilier.

Qu’il s’agisse d’établissements bancaires, de courtage, de notaires, de diagnostiqueurs et de certains de mes confrères, beaucoup sont convaincus que nombreuses sont les structures qui ne se relèveront pas.

Même si nous autres, le groupe 123 Immobilier avons été dans l’obligation de fermer nos quatre agences commerciales durant ce laps de temps, ne pouvant recevoir de public ni procéder à la visite de biens, nous avons poursuivi le travail.

Celui de prospection qui se réalisait par mail et par échanges téléphoniques. A l’instar du suivi des dossiers en cours qui ont pu se réaliser par le biais du télétravail.

Ce fut une période propice à la formation via des plateformes de e-learning. Certains compromis de vente ont pu se réaliser à l’aide d’outils spécifiques comme « Immo Sign », un système de signature électronique que le groupe s’est doté en début d’année. Fort heureusement, les visites des biens avaient pu se réaliser avant le début de l’épidémie.

Quant à l’anticipation, elle fut également au rendez-vous. Avec la projection de la totalité de nos demandes de visites après le 11 mai, date de l’après-confinement.

 

 

Un prix de l’immobilier qui ne devrait pas s’effondrer…

 

Nous avons eu en contact plusieurs personnes habitant dans des appartements qui souhaitaient vendre leurs biens au profit d'une maison avec jardin. Il y a une réelle recrudescence de demandes similaires : c’est l’un des effets majeurs de cette crise sanitaire sans précédent.

De même, nombreux furent les appels de Franciliens et de Parisiens désireux de visiter des maisons avec terrain soit pour l’acquérir dans le cadre d’une résidence secondaire ou pour venir s’y installer dans l’optique d’une résidence principale.

Les conséquences du confinement ont semble-t-il changé les règles du marché ; la démocratisation du télétravail aussi !

Personnellement, même si le prix des biens peut enregistrer un mouvement baissier, je ne vois pas l’effondrement du marché. De leurs côtés, les banques remontent le taux des crédits. Tandis que dans le même temps, les frais notariaux diminuent. Tous les voyants devant nous permettre de garder la confiance sont présents.

Le marché de l’immobilier devrait rester le vecteur d’un optimisme contagieux… ».

Baptiste CHAPUIS

 


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Investie par le préfet de l’Yonne, la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois Cécile RACKETTE a présidé vendredi dernier la première séance de travail du Comité de relance du tourisme et de la culture dans l’Yonne. Une réunion qui avait le particularisme d’accueillir en présentiel et par les moyens audiovisuels adéquats tous les acteurs clés de notre département. Autour d’une méthodologie axée sur la mobilisation, l’accompagnement et la mutualisation, les conditions pour une reprise de l’activité ont été examinées avec beaucoup de discernement en étudiant les obstacles rencontrés afin de mieux les contourner…

AVALLON : Le retour au premier plan des activités touristiques et culturelles sur notre territoire est essentiel. Plus qu’un vœu pieu, c’est une nécessité vitale absolue pour les acteurs professionnels et institutionnels de ces filières mises à mal depuis plus de deux mois par le confinement imputable au coronavirus.

Le sauvetage de ce double secteur est devenu une priorité nationale pour le gouvernement. Mais, cette amorce progressive vers la normalisation ne doit souffrir d’aucune contradiction : elle devra s’exécuter dans le cadre du respect optimal des conditions sanitaires requises afin d’éviter le rebond de l’épidémie. Ce que craignent déjà beaucoup de scientifiques avec ce qu’ils nomment la « deuxième vague ».

Réunis à la fois en présentiel et par le biais des supports techniques de l’audiovisuel, une quinzaine de spécialistes de la sphère institutionnelle et économique de l’Yonne ont pu disserter longuement à l’invitation de Cécile RACKETTE, la représentante de l’Etat qui gère la présidence de ce comité, sur les préoccupations de l’instant.

Premier constat, il apparaît légitime de relancer au plus vite les activités de ces deux secteurs qui ont été profondément impactés par les conséquences de la crise. Un intérêt à cette reprise qui doit rappeler que derrière les images touristiques positives habituelles s’articulent un certain nombre de choses relatives au développement des résidences secondaires, à l’installation de retraités, à l’arrivée d’internes en médecine, au développement de la vie économique y compris par le prisme du télétravail…

Bref : autant d’éléments factuels qui permettent le développement du territoire et la pérennité des services publics. D’où l’idée sous-jacente qui se dégage de ces échanges de travailler à une offre culturelle et touristique sûre et labellisée à l’avenir. Une opportunité à laquelle les différents acteurs de ce rendez-vous se sont ralliés unanimes.  

 

Libre concertation et retour à la notion de confiance…

 

Mais, au-delà de l’attractivité du territoire qui doit s’affirmer coûte que coûte, la priorité de l’instant est de rétablir très vite la notion de confiance auprès des consommateurs mais aussi des professionnels de ces filières.

Un facteur déterminant pour réenclencher la pompe de la fréquentation. Mais qui aura d’ores et déjà des répercussions évidentes sur la rentabilité économique des structures d’accueil. Celles-ci devant vraisemblablement fonctionner dans des conditions différentes désormais.

Cette prise de contact qui aura eu le mérite de poser les jalons initiaux de la réflexion ne nécessite pas d’élargissement du groupe de travail dans l’immédiat. Evidemment, les choses ne sont pas figées.

D’autant que des instructions générales émanant de la gouvernance sont attendues aux alentours du 25 mai.

 

 

 

 

Dès à présent, le Comité de relance a choisi d’abattre la carte de la libre concertation entre ses composantes (CCI, UMIH, Yonne Tourisme, Région,…) par l’intermédiaire de la sous-préfète qui fera office d’ambassadrice du tourisme et de la culture pour tout le département.

Quant aux difficultés, elles occupent avec insistance les esprits des professionnels. Par exemple : comment pourront-ils appliquer les mesures sanitaires requises au vu des coûts supplémentaires engendrés (fréquence en hausse pour le ménage, mise en place de divers équipements de protection…) ?

Autre interrogation qui est revenue dans le vif des débats : est-ce que le modèle économique actuel va permettre d’ouvrir, voire de survivre ?

Certains entrepreneurs ont déjà fait savoir qu’ils ne rouvriront pas leurs établissements à l’heure actuelle car ils ne pourraient assurer l’équilibre de leurs comptes…

 

Des incertitudes persistantes…

 

Mais, d’autres incertitudes plus globales persistent. Nul ne pouvant y répondre avec exactitude. Quid de la baisse du pouvoir d’achat consacré au budget des vacances cette année par les Français ? En ricochet, la présence de la clientèle international est-elle envisageable cette saison ?

Si la levée de ces doutes apparaît d’ores et déjà comme un prérequis obligatoire au lancement de toute stratégie de communication efficiente pour optimiser les atouts de notre territoire, il est clair que le moindre retard pris à l’allumage serait fatal vis-à-vis d’autres départements plus affûtés à la réactivité.

En ce sens, le rôle du Comité devient un atout pour ne pas perdre de vue les réels enjeux de demain.


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Créé par la Jeune Chambre Economique locale, l’évènement mensuel de découverte œnologique se déroulera ce mercredi en fin d’après-midi non pas de manière physique mais dans le respect du confinement. Un rendez-vous proposé en visioconférence qui mettra en valeur les produits du domaine HAMELIN implanté à Lignorelles…

AUXERRE : Officialisée à l’automne 2017, la manifestation éducative de la Jeune Chambre Economique d’Auxerre s’est ancrée petit à petit dans le paysage régional. Faisant même de nombreux émules dans plusieurs villes de notre territoire.

Il est vrai que le concept a de quoi séduire ses adeptes. Il s’agit d’une mise à l’honneur des bars/restaurants et des vignerons du terroir. A travers la découverte de produits de leur cru, à déguster somme toute avec modération selon la formule coutumière.

Jouant avec subtilité sur les mots, l’animation « Tous les 20 (vin) du mois » est de retour avec la régularité d’un métronome chaque mois en mettant en exergue le savoir-faire d’un professionnel des métiers de bouche ou de la sphère viticole.     

Ce mercredi 20 mai, ce sont les vins élevés et vinifiés par le domaine HAMELIN à Lignorelles qui auront les faveurs de ce public de fidèles, férus de retrouvailles malgré la distanciation sociale du moment.

La JCE Auxerre recense en moyenne de 150 à 250 participants par évènement. Des chiffres qui sont synonymes de succès…

Au cours de cette soirée distrayante et amicale, le vigneron proposera une présentation de son établissement autour de la dégustation « virtuelle » de trois crus de Chablis. Une animation à l’aide d’un quizz suivra : elle permettra d’offrir un joli lot à la clef pour l’heureux gagnant !


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