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Le courrier daté du 10 décembre avait pour destinataire la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion Elisabeth BORNE. Dans cette missive, l’Union des Entreprises de Proximité (U2P) souhaitait la prorogation de l’une des mesures salvatrices appliquées en cette période de crise : l’aide exceptionnelle aux employeurs de salariés en contrat d’alternance. La pertinence de la démarche n’est plus à démontrer. Il semblerait que sa reconduction soit inévitable…

DIJON (Côte d’Or) : Elisabeth BORNE renouvellera-t-elle les mesures de soutien à l’emploi des jeunes en 2021 ? C’est l’une des interrogations prépondérantes que titillent les esprits des responsables de l’Union des Entreprises de Proximité via sa fédération régionale de Bourgogne Franche-Comté.

Destinataire d’un courrier adressé par l’U2P début décembre, la ministre qui devrait effectuer un déplacement en terre bisontine ce vendredi 08 janvier pourrait trancher en ce sens.

A l’issue de ces récents échanges avec les partenaires sociaux, Elisabeth BORNE envisage très sérieusement de prolonger deux mesures phares pour favoriser l’accès à l’apprentissage. Une éventualité qui suscite déjà l’intérêt positif de Christophe DESMEDT, président de l’U2P Bourgogne Franche-Comté.

« Les mesures de soutien sont de nature à inverser la tendance (le report des projets d’embauches, voire les licenciements) en rassurant les employeurs. Elles doivent absolument être reconduites sur l’ensemble de l’année 2021 afin de conforter la formation et l’emploi des jeunes… ».

Le président de l’organisme, réélu il y a peu à son poste, fait ainsi référence au plan « Un jeune, une solution » où un subside financier de 4 000 euros est versé aux employeurs pour toute embauche d’un jeune âgé de moins de 26 ans.  

 

Le boom de l’apprentissage se confirme en 2020…

 

Quant aux aides exceptionnelles applicables aux contrats d’alternance, elles s’élèvent à 5 000 euros pour l’emploi d’un mineur et à 8 000 euros pour un alternant majeur. Des opportunités que les chefs d’entreprise doivent saisir afin de pouvoir se replacer dans la course à la prospérité.

L’U2P estime que 2021 verra inévitablement se développer les fermetures d’entreprises avec son lot de licenciements. D’où l’intérêt d’accélérer sans plus tarder la relance économique et ses aides salvatrices en s’appuyant sur de nouvelles compétences.

Précisons que les entrées en apprentissage ont vu leur nombre augmenter en 2020 de près de cent mille unités, avec un total de 440 000 contrats signés contre 353 000 en 2019. Des alternants dont la moitié sont formés au sein d’une entreprise de proximité de type artisanale, commerciale et profession libérale.

Thierry BRET

 


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La fratrie, il n’y a que cela de vrai pour accomplir de beaux projets. Surtout si ces derniers se déclinent sous l’égide de la Jeune Chambre Economique, un organisme associatif ayant pour vocation d’être un incubateur de talents citoyens. Les frères BAILLY en savent quelque chose. Eux qui débutent 2021 de manière tonitruante : Adrien hérite de la gouvernance de la fédération régionale de Bourgogne Franche-Comté tandis que Clément, toujours président de l’antenne auxerroise, rejoint le staff national en qualité de trésorier délégué à la communication interne…

AUXERRE: Ils ne pouvaient pas mieux commencer la nouvelle année ! Les frères BAILLY, Adrien et Clément, auront toute la latitude en 2021 pour exercer leurs talents au sein de l’un des organismes les plus en vogue auprès de la jeune génération ayant soif de responsabilités : la Jeune Chambre Economique.

Tous deux membres de l’antenne auxerroise, la seule qui subsiste désormais dans l’Yonne après la disparition de la cellule sénonaise il y a quelques années, les frangins auront l’excellente opportunité de pouvoir parfaire leurs investissements respectifs dans de nouvelles sphères.

La strate régionale pour Adrien qui présida la destinée de la JCE d’Auxerre lors de la saison 2019/2020 ; l’univers national pour le président en activité de la structure icaunaise en rejoignant le staff de Diarra KANE, nouvelle présidente élue du Conseil d’administration 2021. Un parcours existentiel à la similitude presque jumelle, en vérité !

 

 

La JCE d’Auxerre, une pépinière de talents…

 

Au sein de la fédération régionale, Adrien BAILLY, chef d’entreprise trentenaire positionné dans les métiers de service déroulera son futur programme de travail articulé autour de plusieurs axiomes très évocateurs qui traduisent ses orientations stratégiques : bouger, fidéliser, collaborer. Le sigle idéal de Bourgogne Franche-Comté pour le clin d’œil sympathique !

De son côté, son frère Clément, expert-comptable chez ETC, mettra en exergue ses connaissances financières à profit en occupant le poste ô combien névralgique de trésorier de la JCE nationale. Poste couplé avec la gestion (il va de soi) de la communication interne au sein du mouvement.

Précisions pour être tout à fait complet sur le sujet que d’autres membres du club auxerrois ont reçu également des satisfécits intéressants lors de la récente assemblée générale proposée en virtuel : Rachid EL IDRISSI a ainsi été nommé délégué régional des sénateurs et Frédéric MILLAT endosse la vêture de délégué régional des ambassadeurs. Des nominations qui interviennent pour 2021.

Enfin, Aurélie HAERINCK représentera la structure citoyenne au sein du CESER régional (Conseil économique, social et environnemental régional de Bourgogne Franche-Comté).

Signalons pour mémoire, que l’Auxerrois Jean-Eric FRAY, auteur de plusieurs ouvrages dont « Yvonne ne veut pas partir » co-signé avec Dominique COJEAN et « Les Enjoués » exerça la fonction de président national de la JCE en son temps. Fonction qui lui permit de représenter la JCE française à l’international auprès de l’UNESCO.

 

Thierry BRET

 


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Le défi est de taille. Presque surréaliste par l’ampleur de sa configuration. Il en aurait rebuté plus d’un qui se serait déjà contenté de baisser les bras juste à l’idée de le faire. Oui, mais voilà : la directrice de publication du magazine « vitamines » en ingurgite suffisamment à forte dose pour conserver la foi en son « bébé ». Imposer sa revue dans tous les kiosques de l’Hexagone, ce qui n’est pas un rêve pieu. Et en cette période de Noël, on peut toujours croire en son destin quand on sait forcer les choses …

AUXERRE : Il lui en faut de la détermination et du tempérament chaque jour que Dieu crée. Et pas qu’à simple dose homéopathique pour tenir le choc ! Concevoir une nouvelle arborescence à son magazine arts de vivre qui gonfle de volume par rapport à sa version originelle (aujourd’hui 84 pages) nécessite beaucoup d’énergie et de la praticité. De cela, Isabelle COSEMANS n’en manque pas : elle en a à revendre !

Mais, diffuser sous la forme d’une immense phase test son dernier opus, intégralement relooké, auprès de 1 700 points de distribution répartis sur dix-sept départements du secteur Centre-Est ne s’appréhende pas tous les jours ! On la sent fébrile, impatiente de connaître les résultats des premières ventes et excitée par cette toute nouvelle aventure. Qui ne le serait pas en vérité !

 

Une nouvelle mouture diffusée en kiosque depuis un mois…

 

Le média du bien-être et de la détente made in Yonne s’offre donc une cure de jouvence salvatrice trois ans après la publication de son numéro initial. Avec un sérieux changement de cap et de stratégie à son actif.

Exit le support gratuit qui ornementait les devantures vitrées des commerces des cœurs de ville et s’étalaient sur les rayonnages publicitaires ou dans les salles d’attente, place à un tout autre challenge.

D’envergure national, celui-là, qui pourrait augurer de belles perspectives en cas de réussite. Celui de figurer parmi la liste pléthorique de cette presse spécialisée qui fait l’apologie de la détente, des arts de vivre, du bien-être et des loisirs. Des ouvrages pas uniquement destinés à satisfaire le lectorat féminin, on s’en doute…

Certes, la conjoncture liée à la crise sanitaire ne pouvait pas plus mal tomber pour rendre complexe la période de lancement de ce magazine. La fête prévue initialement par la responsable du titre afin d’en officialiser la sortie aura donc tourné court. Un couac indépendant de sa bonne volonté qui lui reste en travers de la gorge avec un brin de désolation dans le regard, en attendant des jours meilleurs.

 

 

Nonobstant, l’édition de ces exemplaires matriciels a pu être réalisée dans les délais impartis par CHEVILLON Imprimeur.

Accueilli en kiosque depuis un mois, avec le concours de la société de distribution MLP, le magazine « bonne mine » est tout de même entré dans la cour des grands. Aux côtés des majors de la presse parisienne spécialisée dans ces thématiques ludiques qui permettent d’éclairer à coups de projecteurs pratico-pratiques et de visuels très alléchants les lecteurs en quête d’inspiration sur la décoration, la mode, le logement, la gastronomie, la santé, le bien-être, l’enfance ou le tourisme. Des cibles de réflexion que reprend à son compte « Co’Coon Magazine » dans sa grille de lecture.

 

Une stratégie économique dûment réfléchi avec un club d’investisseurs

 

Affichant un prix de vente établi à 5,90 euros, le média devrait progressivement être implanté dans le reste de la France sans doute au printemps. Toutefois, la prudence reste de mise compte tenu du délicat contexte actuel.

Epaulée dans le choix de ses orientations stratégiques par le club d’investisseurs KUB, Isabelle COSEMANS cherche à lever des fonds pour rendre viable son produit, ouvert aux abonnements et à la publicité.

Sa présence sur la plateforme numérique ULULE lui offre aussi une tangente visible du côté de l’économie participative via le crowndfunding.

La responsable de la SASU PEP’S Communication qui porte le projet espère publier six numéros à l’année, en sollicitant une équipe de chroniqueurs s’exprimant sans standard et avec légèreté d’esprit dans les formes scripturales pour alimenter les différentes rubriques tendance. Un petit noyau dur, constitué d’autoentrepreneurs, apporte sa plus-value à la conception graphique et visuelle du support.

Vingt-trois numéros de ce magazine édités à 16 000 exemplaires étaient parus lors de la première tranche de vie de ce média au plan départemental qui avait vu le jour en 2017. Combien le seront à la suite de cette nouvelle aventure réalisée à l’échelle de l’Hexagone ? Le plus grand nombre, souhaite l’entrepreneuse icaunaise…

 

Thierry BRET

 


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Le mécène François SCHNEIDER sera-t-il le nouveau messie de l’emploi et de l’attractivité culturo-touristique sur le territoire de l’Yonne dans les années à venir ? Tout contribue à le croire, si l’ambitieux concept rattaché au futur du domaine de Pontigny se concrétisait dans sa globalité. Cédé par la Région pour 1,8 million d’euros, ce haut-lieu cistercien est promis à un bel avenir. A condition, toutefois, de réunir les fonds et capitaux nécessaires en vue de sa profonde mutation économique…

AUXERRE : Comme cadeau de Noël fait à l’Yonne, il y a pire ! Mais, à quelques jours de la fête de la Nativité, beaucoup aimeraient y croire à l’écoute du panégyrique idyllique qui a été fait à propos de l’un des bastions patrimoniaux de notre territoire : le domaine de l’abbaye de Pontigny.

Jusque-là propriété exclusive de l’appareil institutionnel régional depuis 2003, cet espace aux origines séculaires et hautement spirituel sommeillait quelque peu dans une douce béatitude.

Or, il devrait en être tout autrement après sa cession entérinée le 11 décembre lors de l’assemblée plénière du vénérable organisme. Un choix qui a été validé à une très large majorité par les élus proches de la présidente socialiste Marie-Guite DUFAY. Son opposition s’abstenant ou votant contre à de rares exceptions…

Mis en vente selon la propre volonté du Conseil régional, le domaine de la fameuse abbaye cistercienne, l’une des plus importantes structures érigées à la gloire des adeptes de la règle de Saint-Benoît en France, a donc trouvé acquéreur. Soit la Fondation éponyme du mécène et industriel François SCHNEIDER. Un féru de l’art contemporain et des arts de vivre qui dispose déjà d’un univers conceptuel favorable à l’accueil d’artistes et à leur libre expression du côté de l’Alsace, à Wattwiller précisément dans le Haut-Rhin.

C’est là que le fondateur de la société « Grandes Sources de Wattwiller » a imaginé un projet encore plus abouti qu’il souhaite décliner en partie sur le site cistercien icaunais. Du moins, dans son approche culturelle et touristique.

Dans cet environnement propice à la méditation et à la saine oisiveté, l’homme d’affaires français qui possède des attaches dans l’Yonne souhaite revitaliser les lieux. Un espace, excusez du peu, de 9,5 hectares de terrain comprenant cinq mille mètres carrés de bâtiments à l’architecture cistercienne.

 

 

 

La « terre » comme déclinaison symbolique après celle de l’eau…

 

Alors que la partie adverse, c’est-à-dire la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre,  prétendait aussi acheter ce bien en proposant une cagnotte de 300 000 euros supplémentaires, c’est bel et bien l’offre de la fondation qui obtint gain de cause in fine le jour du vote auprès des élus de la majorité régionale.

Sans doute que l’idée de créer une école destinée à l’apprentissage de futurs prêtres ne reçut pas les mêmes échos favorables auprès des élus par rapport au deuxième concept à la dimension économique et environnementale évidente.

Toujours est-il que le mécène François SCHNEIDER, profitant d’une pseudo-conférence de presse pour dévoiler les grandes lignes de ce mirifique projet face aux acteurs du territoire, fera de ce domaine un centre d’art où se grefferont un complexe hôtelier haut de gamme, un restaurant à vocation gastronomique, un espace culturel mettant un sérieux coup de projecteur sur l’histoire du vignoble de Chablis et les origines du site (avec un musée dans la besace). Plusieurs salles de conférences équipées pour accueillir séminaires et autres colloques complèteront cet ensemble stratégique.

Bref, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour comprendre que le dossier de la Fondation SCHNEIDER qui nécessite des investissements importants (on avance déjà le chiffre de dix millions d’euros pour commencer), devrait être pourvoyeur de nombreux emplois à terme (on en recense déjà près de 70 dans la projection définitive du projet à trois ans), d’une forte attractivité culturelle, patrimoniale et touristique qui rayonnera bien au-delà des frontières bourguignonnes.   

 

        

La « terre » en sera son leitmotiv identitaire, décliné à toutes les sauces et selon les variantes choisies (éco-citoyenneté, productions agricoles locales, produits artisanaux commercialisés dans la boutique sur place…) à l’instar de celui de l’eau, symbole caractéristique du site de Wattwiller où coule cette substance naturelle qui permet d’étancher la soif de milliers de consommateurs.

François SCHNEIDER poursuivra-t-il sur ce raisonnement logique qui lui verrait un jour concevoir des infrastructures du même acabit se rapportant aux deux derniers éléments de cette référence à la cosmogonie (le feu et l’air) ?

Nul ne le sait, pour l’heure, évidemment !

Son ambition est, en revanche, de propulser le domaine de Pontigny sur une toute autre orbite qu’elle ne l’est à l’heure actuelle. Faisant converger sur place des artistes, des créateurs, des talents, le public (avec une jauge impressionnante qui oscille entre 100 000 visiteurs dès le lancement de ce complexe en 2023 à quatre fois plus de personnes moins de cinq années plus tard !), des partenaires issus des collectivités et surtout des investisseurs !

 

Un prévisionnel orienté autour de l’équilibre à cinq ans…

 

On l’aura compris le nerf de la guerre de ce projet aux ambitions alléchantes demeure l’argent. Le mécène n’en manque pas, visiblement. Mais, il sollicitera aussi les investisseurs locaux en ouvrant le capital de la future société qui portera le projet. Des subventions seront demandées aux partenaires territoriaux. On imagine allègrement qu’il sera nécessaire de disposer de plusieurs millions d’euros d’investissements à étaler dans le temps selon les chantiers à mettre en route pour atteindre le point d’équilibre prévu à cinq ans.

Quant au capital humain, François SCHNEIDER s’est entouré d’une équipe de choc pour piloter ce navire qui n’a rien d’un frêle esquif perdu dans la mer des Sargasses.

Le « capitaine au long cours » porteur du projet se nomme Bruno SCHOCH. Président du directoire de la société UNIBEL SA (structure de l’agro-alimentaire cotée à Paris), il a exercé ses multiples talents de manager dans le groupe fromager BEL.

C’est aussi une jeune femme, diplômée de Sup de Co Paris, Amandine SIMPHAL qui à 32 ans devient directrice du projet. Le troisième joker de François SCHNEIDER se nomme Jérôme GALLOT, un ancien de la Cour des Comptes qui gérera les relations avec les pouvoirs publics.

Outre le fondateur de la fondation, on trouvera également dans ce staff aux cinq têtes pensantes une figure connue et reconnue de l’univers entrepreneurial de l’Yonne, l’Auxerrois Michel PISANI, ancien président de la Maison de l’Entreprise et administrateur de l’agence Yonne Equipement. Un quintuor prêt à en découvre pour accomplir un rêve : redonner ses lettres de noblesse à ce site séculaire et intemporel...

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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Dans le cadre du Plan d’accélération pour l’année 2021, la Bourgogne Franche-Comté a décidé d’allouer une enveloppe d’1,5 million d’euros pour soutenir les projets portés par les agriculteurs. Priorité est ainsi faite au développement des circuits courts et aux produits locaux. La viticulture n’y perd pas au change…

DIJON (Côte d’Or) : Il s’agit peut-être de l’une des rares conséquences positives qui soit imputable à la présence du coronavirus sur notre sol. La crise de la COVID-19 aura permis en effet de revoir la manière dont nous gérons nos habitudes alimentaires au quotidien. Notamment lors du premier confinement.

Partout, sur le territoire régional, les consommateurs ont porté une attention toute particulière aux produits locaux et aux circuits courts. Une évolution des comportements qui se répercutera sur le travail des producteurs.   

Consciente de ces changements significatifs, la Région a décidé dans le cadre de son Plan d’accélération pour l’année 2021 d’être à l’écoute des professionnels de l’agriculture et de les accompagner à la réalisation de leurs nouveaux projets. Ceux qui offrent une certaine pérennité aux filières agricoles en créant des besoins et des marchés novateurs.

Cette manne financière qui s’élève à 1,5 million d’euros est la bienvenue dans ce contexte de crise particulièrement tendu.

 

 

La viticulture intègre les priorités grâce à l’oenotourisme…

 

Le volet de la viticulture n’est pas oublié pour autant par l’exécutif régional. Grâce à l’élaboration du schéma oenotourisme, c’est-à-dire un programme bâti entre 2021 et 2030 où la Bourgogne Franche-Comté souhaite jouer les premiers rôles en devenant la région leader de l’Hexagone.

Entamée depuis 2019, la réflexion prévoit un certain nombre d’actions (dix-neuf) déclinées autour de trois grandes priorités : la notoriété à l’échelon international et national, l’essor progressif de l’oenotourisme et l’anticipation des changements de gouvernance et d’influence pour mieux en affirmer sa prédominance dans le paysage régional.

 

 


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