Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La Nièvre et le Jura ont rejoint le projet il y a peu. Conçu en Saône-et-Loire, le concept a eu tôt fait de gagner en les convaincants l’ensemble des acteurs de la filière agricole de Bourgogne Franche-Comté. D’où le soutien de la Région. « J’veux du local » s’inscrit parmi les belles réussites de ces instruments numériques qui relient les producteurs du terroir à leurs consommateurs directs.

AUXERRE : Avec deux cent douze producteurs répertoriés dans la base de référence de l’outil pour sa seule partie icaunaise, on peut se satisfaire de la pertinence et de la fonctionnalité de la plateforme digitale, « J’veux du local ». Depuis son lancement survenu sur notre territoire au plus fort de la crise sanitaire au printemps dernier, le nombre d’inscriptions a fait florès dans le landerneau.

Des émules de toutes les filières qui croient mordicus à ce besoin constant de renforcer les liens entre les consommateurs et ceux qui produisent, la plupart du temps en circuit court, dans un périmètre très proche.

Les objectifs quantitatifs tels qu’ils avaient été définis à l’origine ne cessent de progresser. Dans l’Yonne mais aussi sur l’ensemble de notre contrée.

Toute la Bourgogne Franche-Comté décline désormais cette ambitieuse vitrine commerciale et représentative d’un savoir-faire à faire connaître et à partager autour de soi.

Par ailleurs, la jauge de ces professionnels à découvrir via le site est loin d’être limitative pour optimiser durablement cet outil. Rien que pour l’Yonne, selon les informations fournies récemment par le président de la Chambre départementale d’Agriculture Arnaud DELESTRE, un potentiel de quatre-vingt intervenants supplémentaires est encore envisageable pour accroître le nombre de références à visiter.

Sans compter que les viticulteurs sont encore peu présents sur ce registre numérique consultable gratuitement par nos concitoyens.

Le service communication de la chambre consulaire devrait dans les jours qui viennent augmenter les appels du pied auprès de cette filière, incitant ses représentants à se faire répertorier sur ce catalogue réactif.

Précisons, pour être tout à fait complet, que deux artisans de bouche, des éleveurs bouchers et traiteurs de l’Yonne, figurent également en bonne place sur cette plateforme.

 

En savoir plus :

 

La plateforme de l’alimentation de proximité « J’veux du local-Nos Terroirs de l’Yonne » favorise les circuits courts en Bourgogne Franche-Comté.

https://www.jveuxdulocal89.fr

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Opérationnel depuis le 04 janvier, la nouvelle variante du DAQ (Dispositif Amont de la Qualification) s’adresse aux demandeurs d’emploi âgés de plus de seize ans, peu ou pas qualifiés. Qu’ils soient inscrits ou non à Pôle Emploi. Articulé autour de trois prestations prioritaires, ce programme a été lancé officiellement en Bourgogne Franche-Comté ce mardi 19 janvier…

DIJON (Côte d’Or) : Construction de parcours, acquisition de compétences générales et professionnelles ou intégration renforcée desdites compétences : le DAQ se présente tel un parcours spécifique mis en place par la Région à destination des personnes très éloignées du monde du travail.

Au bas mot, ce sont des demandeurs d’emploi au profil peu qualifié. D’ailleurs, aucun niveau précis n’est requis pour en être le bénéficiaire. Il suffit pour y prétendre de se renseigner auprès des services ad hoc de Pôle Emploi, d’une mission locale ou de Cap Emploi.

Prise en charge par la Région, cette formation offre le statut de stagiaires de la formation professionnelle et permet de percevoir à ce titre une rémunération. A titre d’exemple, un jeune adulte de moins de 18 ans recevra 455 euros par mois de formation depuis la revalorisation régionale.

L’organisme prévoit en outre une aide forfaitaire de deux cents euros afin de couvrir les frais d’entrée en formation. Cela comprend notamment les frais d’équipement numérique ou la couverture de frais de garderie.

 

 

Aller plus loin dans l’accompagnement des stagiaires…

 

Ce mardi 19 janvier, la vice-présidente de la Région en charge de la formation professionnelle Océane CHARRET-GODARD devait dévoiler à l’ensemble des partenaires de la formation les contours de la nouvelle offre régionale, baptisée sobrement le DAQ 2.0.

Rappelons que le concept initial considéré à l’époque comme une action remarquable par le Haut-Commissariat aux Compétences avait été mis en place dès 2017 pour un budget annuel de 23 millions d’euros.

Deux ans plus tard, 61 % des personnes ayant suivi des cycles de formation sur notre territoire avaient suivi ce fameux dispositif. Preuve incontestable de son succès !

Aujourd’hui, cette seconde mouture va encore plus loin dans l’accompagnement spécifique des personnes sans qualification. Cinquante organismes, et non des moindres, sont précisément impliqués dans sa mise en œuvre. Pour être au plus près du domicile des stagiaires sur l’ensemble du territoire régional.

 

En savoir plus :

Renseignements sur www.formation-jaimaplace.org

Téléphone : 09.71.04.73.78.

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Importante cérémonie protocolaire ce mercredi 13 janvier où industriels et pouvoirs publics, partenaires du dispositif « Territoires d’Industrie - Yonne Industrielle », ont signé un protocole d’accord couvrant la période 2019-2022 dans les locaux de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais (CAGS). Le signe du renouveau pour l’employabilité dans ce secteur économique ?

SENS : Territoire regroupant cinq EPCI (Grand-Sénonais, Serein Armance, Jovinien, Migennois et Auxerrois), cent douze communes et plus de mille établissements manufacturiers, « Yonne Industrielle » est né le 22 novembre 2018 dans le cadre du programme « Territoires d’Industrie » parmi 148 territoires bénéficiaires du dispositif dont dix en Bourgogne Franche-Comté.

Ce label avait pour vocation de regrouper les pouvoirs publics et les industriels autour de projets collaboratifs. La priorité était de répondre à des enjeux majeurs territoriaux tels que la structuration des filières industrielles comme l’hydrogène, le développement durable ou encore la promotion de l’attractivité afin d’en favoriser l’emploi, « problématique principale des entreprises du territoire Yonne Industrielle » comme indiqué dans le protocole.

 

Une industrie française en friche depuis quarante ans…

 

Dès les années 70, on entrevoit les prémices d’une forte désindustrialisation de la France. Un phénomène qui touche tous les pays développés mais particulièrement accéléré dans l’Hexagone à partir des années 80. Notamment en raison d’un important déficit extérieur, soit un nombre d’importations bien supérieur à celui des exportations selon les économistes Thomas GRJEBINE et François GEEROLF.

Cette crise de l’industrie se traduit par une perte d’emplois salariés conséquente. Entre 1989 et 2017, le secteur a essuyé une baisse de 30 % du nombre de travailleurs. Alors qu’à la fin des années 70, le nombre de salariés dans l’industrie représentait plus d’un quart de la population active avec 5,5 millions d’individus. En 1989, la part de ces emplois n’était plus que de 23 %, de 12 % en 2007 et de 10,3 % en 2020 (dans les 3,12 millions d’emplois salariés dont 165 000 en Bourgogne Franche-Comté).

La désindustrialisation de la France s’explique aussi par le transfert des emplois de l’industrie vers le secteur des services (entre 1/5 et 1/4), la délocalisation des unités de production à l’étranger, l’un des aspects de la désindustrialisation du pays le plus controversé, l’automatisation et la robotique mais également par le désengagement flagrant de l’Etat français longtemps tourné vers le passé contrairement à d’autres pays comme le Japon.

 

 

Un accord dans la lignée d’une longue évolution des politiques industrielles successives…

 

Le début des années 2000 marque une prise de conscience du gouvernement du rôle essentiel de l’industrie dans le développement économique. En 2004, Jacques CHIRAC demanda à Jean-Louis BEFFA, alors PDG de la compagnie de Saint-Gobain, « d’examiner dans quels secteurs et selon quelle méthode pourrait être engagée une relance ambitieuse des grands programmes scientifiques et technologiques » dans le cadre d’un renouveau de la politique industrielle.

L’homme d’affaires a rendu un rapport intitulé « Pour une nouvelle politique industrielle » dans lequel il met en exergue le net décrochage de la France en matière de recherche et d’innovation.

Ainsi, il recommande la création de programmes de financement de certains secteurs prioritaires : l'énergie, le transport, l'environnement, la santé, la sécurité et la communication.

Néanmoins, les stratégies adoptées orientées vers le progrès technique ont eu pour effet d’importants gains de productivité donc la poursuite de la chute de l’emploi industriel. Dans l’Yonne, en 1990, on comptait 27 920 emplois salariés dans le secteur de l’industrie, soit 20 % de la population active. En 2019, ils n’étaient plus que 17 000 environ, soit 12 % du total d’emplois salariés.

 

 

La promesse de « Yonne Industrielle » en termes d’emploi…

 

« Trouver de la main d’œuvre qualifiée, former les salariés à occuper les postes vacants ou encore fidéliser les employés pour limiter le renouvellement des équipes » sont autant d’objectifs à atteindre d’ici 2022.

Le défi consiste à favoriser l’emploi en misant sur diverses solutions comme la promotion de l’attractivité du territoire et la mise en place d’une GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) afin d’optimiser les actions des ressources humaines.

Les acteurs de « Yonne Industrielle » prennent en compte les difficultés de recrutement des entreprises, en partie responsables de cette chute des effectifs.

A noter que l’Yonne fait déjà partie des territoires les plus industrialisés de France, au même titre que d’autres départements limitrophes d’Ile-de-France. De plus, selon l’INSEE, « le Sénonais reste attractif » et la zone emploi de Sens « est la seule du département dont la population croît sous le double effet d’un solde naturel et migratoire positif… ».

 

Floriane BOIVIN

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La chose semblait pourtant entendue. Et ce, de manière définitive au terme de la dernière assemblée plénière du Conseil régional. Soit le 11 décembre dernier. Date à laquelle l’important domaine de 9,5 hectares de l’abbaye cistercienne devait être cédé pour un montant d’1,8 million à la Fondation du mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER. Depuis, le RN ne désarme pas. Ses élus appellent à la mobilisation générale pour éviter la privatisation du site…

DIJON (Côte d’Or) : La trêve des confiseurs n’étant déjà plus qu’un lointain souvenir, on pensait que le feuilleton relatif à la cession du domaine de la fameuse abbaye cistercienne de l’Yonne avait connu son épilogue définitif après la vente de ce dernier à la Fondation SCHNEIDER.

Une transaction qui avait nourri de ses débats enflammés l’hémicycle du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté lors de l’ultime séance plénière organisée le 11 décembre 2020.

Souvenons-nous : le mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER accédait enfin à son désir d’entreprendre dans l’Yonne : celui d’acquérir ce site patrimonial pour la coquette somme d’1,8 million d’euros. Il coiffait au passage l’autre prétendant à ce rachat pour le moins singulier, la Fraternité Saint-Pierre qui avait poussé la surenchère à 2,1 millions d’euros.

A l’époque, seuls les élus du groupe Rassemblement National avaient de manière très véhémente fait entendre leur discordance avec la teneur de ce projet. Lui reprochant par ailleurs son orientation trop mercantile, articulé autour de la construction d’un hôtel haut de gamme, d’un restaurant gastronomique et d’un centre d’art contemporain. Sachant que le prestataire de ce futur complexe hôtelier restait encore à trouver pour finaliser ce concept.

Si les Républicains s’étaient abstenus dans leur grande majorité au moment du scrutin, les représentants de Marine LE PEN avaient signifié leur désapprobation absolue en votant contre cette cession.

 

Les dangers d’une vente à un groupe privé…

 

Or, rejetant toujours le principe que l’une des plus grandes abbayes cisterciennes de France ne bascule vers la privatisation, les élus du RN remontent en ce mois de janvier au créneau pour empêcher que cette transaction ne se fasse réellement.

Dans un communiqué de presse, daté du 12 janvier, le parti « bleu marine » dénonce le choix voulu par la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY, de sa majorité mais aussi de la gauche et de la droite qui, selon lui, ont succombé aux chants des sirènes de l’industriel François SCHNEIDER en lui cédant ce bien séculaire.

 

 

 

 

« Les intentions de l’homme d’affaires sont apparues au grand jour le 17 décembre lors d’une conférence de presse (cf : elle fut organisée dans les locaux de la Maison de l’Entreprise à Auxerre en présence de Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et de la sénatrice Marie EVRARD) où le nouveau propriétaire a clarifié sans nuance ni détour que ce serait une forme de privatisation où il serait indispensable d’intégrer l’abbatiale pour réussir le projet… ».

Dès le 26 novembre, en amont de la décision finale, les conseillers régionaux Julien ODOUL et Jacques RICCIARDETTI avaient mis en garde sur les dangers de cette vente du domaine régional en interpellant la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT. En vain, visiblement.

 

Sauver Pontigny, le nouveau leitmotiv contestataire du RN…

 

Dès lors, les élus du Rassemblement National n’ont eu de cesse de dresser  le flambeau contestataire contre cette opération en multipliant les appels à la mobilisation de l’ensemble des acteurs nationaux et locaux.

L’objectif étant d’éviter que ce joyau du patrimoine culturel, religieux et historique de l’Yonne ne tombe dans l’escarcelle de la fondation.

Arguant que ce lieu historique demeure la propriété de la commune et qu’il est encore à l’heure actuelle affecté au culte, les conseillers régionaux du Rassemblement National veulent par leur initiative sauver Pontigny. S’insurgeant que ce soit un propriétaire privé qui décidera à l’avenir des conditions d’accès, tant en termes de prix que de temporalité, des visiteurs sur ce site emblématique. Un combat qui ne fait que commencer selon eux…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ouverte depuis le 05 janvier, la campagne de financement participatif destinée à la construction du parc éolien du Télégraphe, près de Vermenton, est une opportunité d’investissement novatrice pour la population locale et celle des départements limitrophes. D’un montant global de 200 000  euros, cette collecte verra ses fonds affectés en partie à l’aménagement de ce parc de quatre éoliennes d’une capacité totale de 14,4 W…

VERMENTON : La mise en service de ce nouveau site est programmée pour le mois d’avril prochain bien que ses travaux initiaux aient débuté en janvier 2020. Sa production correspondra à la consommation électrique annuelle moyenne d’environ 14 500 personnes. Soit près de 95 % de la population vivant au sein de la Communauté de communes Chablis Villages et Terroirs.

Grâce à cette contribution participative originale, EDF Renouvelables, leader de la production d’électricité éolienne et solaire dans le monde, sollicite l’intérêt d’investisseurs locaux qui veulent miser leurs propres deniers dans ce projet énergétique favorable à la relance économique durable.

Une initiative qui apparaît intéressante dans laquelle les citoyens deviennent réellement des acteurs à part entière de la transition écologique et de son accès en zone rurale.

Fixée pour un montant maximal de 200 000 euros, la collecte s’effectue par l’intermédiaire du site www.lendosphere.com/telegraphe, et est réservée uniquement aux habitants de l’Yonne et de ses voisins (Aube, Côte d’Or, Loiret, Nièvre et Seine-et-Marne).

Cette plateforme est la première en France à s’être positionnée sur des projets à l’estampille développement durable. Inaugurée en décembre 2014, elle a déjà collecté plus de 80 millions d’euros investis par des particuliers sur 230 projets d’énergie renouvelable.

Responsable régionale en Bourgogne Franche-Comté d’EDF Renouvelables, Jennifer MENAGE rappelle que « le financement participatif permettra aux riverains de ces parcs éoliens de s’impliquer dans le développement local des énergies renouvelables tout en bénéficiant de revenus financiers issus du projet… ».

Celles et ceux qui souhaitent placer leur bas de laine dans la construction de ce parc éolien peuvent le faire jusqu’au 15 février inclus. A vos portefeuilles !

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil