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Il n’y a pas de hasard ! C’est le jour de la Sainte Ella, lundi 01er février, que le nouveau directeur de l’institution a endossé sa vêture de dirigeant de la Bourgogne Franche-Comté. Succédant à Frédéric DANEL parti dans les Hauts-de-France pour y poursuivre sa carrière. S’inspirera-t-il de la ritournelle de France GALL, « Elle a, Ella » dans l’exercice de ses missions ? Elle y évoquait la notion de supplément d’âme. Qui pourrait bien s’appliquer dans la relation constructive avec les entreprises en recherche de collaborateurs ?

DIJON (Côte d’Or) : C’est une mobilisation totale envers les jeunes demandeurs d’emploi que le nouveau directeur de Pôle Emploi Bourgogne Franche-Comté a décidé de mettre en exergue depuis sa nomination à ce poste.

Installé depuis le 01er février dans le fauteuil de son prédécesseur Frédéric DANEL - celui-ci a pris dans le cadre d’un poste de management similaire les rênes de la stratégique région des Hauts-de-France - cet expérimenté professionnel ayant débuté sa carrière à l’ANPE en 1993 entend bien soutenir les entreprises dans leurs projets de recrutement et accompagner les publics, en particulier les plus fragiles, vers le retour à l’activité professionnelle.

Originaire du sud de l’Hexagone, Michel SWIETON jouit d’une solide expérience ayant eu à gérer différentes fonctions décisionnelles importantes au sein de l’organisme mais aussi auprès de Gérard LARCHER, alors ministre de l’Emploi, du Travail et de l’Insertion des jeunes en qualité de conseiller technique.

Alternant des postes en métropole mais aussi dans les départements et territoires d’Outre-Mer, le responsable de l’antenne régionale de Pôle Emploi possède une excellente expertise sur la formation professionnelle des demandeurs d’emploi, l’insertion des travailleurs handicapés, ainsi que l’orientation et l’insertion du jeune public.

En 2007, celui qui désire contribuer à la réussite des dispositifs gouvernementaux dans le cadre du plan « France Relance » sera nommé directeur territorial de Pôle Emploi en Meurthe-et-Moselle, avant de rejoindre quatre années plus tard la Guadeloupe pour y briguer la direction régionale.

Deux ans plus tard, ce grand voyageur qui sera entre-temps repassé par la Basse-Normandie afin d’en prendre la direction régionale, s’envolera pour l’île de la Réunion où il était encore en poste il y a peu.

C’est avec les frimas dijonnais que le nouveau responsable de l’organisme vient de poser ses jalons. Il sait pouvoir compter sur l’engagement des équipes pour mener à bien la feuille de route qu’il s’est tracé. Une feuille de route où il s’appuiera sur le fort engagement des partenaires traditionnels de Pôle Emploi. Ceux avec qui il aura plaisir à travailler désormais.

 

Thierry BRET

 


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Ce n’est qu’un petit coin de ciel bleu dans la pénombre ambiante. Toutefois, il symbolise une lueur d’espoir et un retour progressif vers la normalisation. Surtout pour les restaurateurs qui, sur la base du volontariat, s’engagent  dans cette démarche en appliquant les règles sanitaires. Lundi, les professionnels du bâtiment pourront se sustenter d’un repas chaud dans l’un des dix-huit établissements signataires de ce protocole. Une première avancée constructive soutenue par les milieux économiques…

AUXERRE : Ca y est ! Les salariés du bâtiment, celles et ceux qui le désirent, pourront troquer dès ce lundi 15 février leurs camionnettes, servant de lieu de refuge au quotidien pour y avaler de manière expéditive leur repas de midi, pour un havre de paix en phase avec leurs besoins : une salle de restaurant chauffée !

L’ouverture de dix-huit établissements s’officialise après la signature d’une convention de partenariat entre la préfecture de l’Yonne et les instances économiques de notre territoire.

Une autorisation qui possède, certes encore ses limites et un certain nombre de contraintes eu égard au contexte sanitaire actuel. Mais, l’initiative vise à améliorer les conditions de travail de ces salariés qui se nourrissent tant bien que mal et sans confort dans l’habitacle de leurs véhicules utilitaires malgré les morsures incisives des températures polaires.

Cependant, le corps préfectoral se veut très clair au niveau de la bonne compréhension du message. Il ne s’agit aucunement de la réouverture des restaurants à l’ensemble de la population.

Cette autorisation d’accueillir une clientèle dans les établissements ne concerne stricto sensu que celles et ceux de ces professionnels de la filière artisanale du bâtiment qui disposent en outre d’une carte référence sur soi.

Moyennant quoi, celles et ceux qui souhaiteraient profiter de l’aubaine pour pouvoir resquiller en toute impunité en s’installant à la table de l’une de ces dix-huit maisons en seraient pour leur frais !

Les contrôles par les forces de l’ordre vont se multiplier avec verbalisation à la clé en cas de non-respect des consignes. Sachant, en parallèle, que les restaurateurs devront être en conformité au niveau de l’application des gestes barrières et des mesures ad hoc prévues à ce sujet.

 

 

Un dispositif qui ne s’élargira pas à d’autres secteurs professionnels…

 

Un autre secteur bénéficie de mesures similaires du fait de leur mobilité : les transporteurs routiers. Mais, le préfet Henri PREVOST a été formel dans ses explicatifs : il n’y a pas lieu d’être en l’état actuel des choses où la pandémie connaît toujours une virulence aigüe dans sa circulation de vouloir élargir ce dispositif à d’autres filières professionnelles. Par exemple, celle des VRP.

Eviter le brassage social demeure l’axiome référentiel de base à toutes initiatives qui verraient le jour. Par ailleurs, le représentant de l’Etat a lourdement insisté sur la conjoncture sanitaire lors de la conférence de presse qui dévoilait les arcanes de ce dossier.

« Nous n’en avons pas fini avec cette pandémie, devait-il souligner, ce coronavirus est toujours très agressif… ». Même si le taux d’incidence dans l’Yonne est désormais en dessous de la moyenne nationale.

 

 

Chez les acteurs du BTP, les choses se mettent en place avec une extrême prudence pour s’octroyer ce petit  supplément d’âme de liberté retrouvée. Une préconisation qui a déjà fait ses preuves dans le département de la Creuse, d’où a été imaginé ce concept limitant la présence autour de la même table de quatre convives seulement.

L’Yonne, a contrario, est l’unique département de Bourgogne Franche-Comté à tester ce dispositif. Si son mode opératoire convainc les différentes instances partenaires, on peut supposer qu’il fera des émules chez nos voisins.

 

 

Les acteurs économiques saluent l’initiative en exigeant le respect des règles…

 

Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Alain PEREZ a salué de manière positive cette expérience. Fier de cette signature, il a insisté sur la rigueur qui doit prévaloir à son succès. Rappelant que la réussite de l’opération ne pouvait se faire qu’en étant très rigoureux sur l’adoption des mesures de protection et son respect.

Plus circonspect dans ses analyses, le président de la Fédération départementale du Bâtiment (FFB) Didier MICHEL n’a pas voulu se voiler la face.

« Cette convention sera très dure à mettre en œuvre… ». Toutefois, c’est un premier pas prometteur qui répond à la problématique des regroupements de deux à trois salariés devant se nourrir dans la même camionnette. En filigrane, en prenant des risques de se transmettre la COVID.

Son homologue de la CAPEB, Jean-Pierre RICHARD, s’est félicité aussi au titre de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, du bel état d’esprit des signataires de cette convention qui pose des jalons favorables au retour d’un semblant « petit bout à la vie normale ».

Enfin, l’intervention du président de l’UMIH, Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière, Eric MOUTARD, a conclu ce tour de table des décideurs économiques. Une prise de parole en forme de condensé testimonial empli d’émotions et de véracité d’autant que le gérant du « Biarritz » a subi les affres de la maladie durant plusieurs semaines, dans des conditions physiques et morales très éprouvantes l’ayant conduit à son hospitalisation.

« Je n’accepterai aucune dérive de la part des professionnels de la restauration qui doivent se conformer à l’application stricto sensu des règles sanitaires dans leurs établissements. Il ne faut pas perdre conscience que cette pathologie peut nous affecter à n’importe quel moment de notre existence et que cela n’arrive pas seulement aux autres… ».

Ne pas jouer avec la santé reste donc le credo absolu de cette initiative qui a le mérite de se mettre en place dans l’Yonne comme celle initiée cette semaine par le CIFA et METRO Auxerre de former les professionnels de la restauration à la vente à emporter et à ses réglementations.

 

 

En savoir plus :

La liste des 18 établissements de l’Yonne s’engageant dans ce dispositif :

Le Marais à Appoigny

Le CBR à Auxerre

Le Biarritz à Auxerre

L’Authentique Burger à Auxerre

Le Frascati à Auxerre

O Barakoa à Auxerre

La Renaissance à Auxerre

Brasserie des Bords de l’Yonne (BBY) à Auxerre

La Farandole Gourmande à Auxerre

Aux Plaisirs de Puisaye à Bléneau

Le Syracuse à Chablis

La Clé des Champs à Champigny-sur-Yonne

Hôtel restaurant de l’Ecluse 79 à Chassignelles

L’Auberge Chevill’Yonne à Charny-Orée-de-Puisaye

Le Canard dans le Bocage à Egriselles-le-Bocage

Autour d’un verre à Joux-la-Ville

Le Petit Perrigny à Perrigny

Le Relais de Sainte-Colombe à Sainte-Colombe-sur-Loing

 

Thierry BRET

 

 


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Le mandat court sur une durée de six ans. Une période suffisante pour prendre ses marques et dicter les grandes lignes de ses orientations. Elu par son conseil d’administration à la présidence de l’association « Cités de Caractère de Bourgogne Franche-Comté », le vice-président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre en charge du tourisme et édile de Druyes-les-Belles-Fontaines Jean-Michel RIGAULT devient le premier bourguignon à occuper ce poste depuis la création de la structure en 1989.

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Investi au sein de « Cités de Caractère de Bourgogne Franche-Comté » depuis 2017 – il en aura été tour à tour le secrétaire et l’un des vice-présidents - Jean-Michel RIGAULT accède enfin sur la dernière marche de ce piédestal légitime qui lui offre la présidence.  

Succédant à l’emblématique responsable que fut pendant des années son prédécesseur franc-comtois Michel ALBIN, qui se positionne désormais en qualité de président d’honneur, le maire de la localité touristique de Puisaye-Forterre a été conforté par ses pairs dans cette décision à l’issue d’un scrutin sans réelle surprise.

Elu de manière unanime au petit matin du samedi 26 janvier, le vice-président communautaire en charge du tourisme endosse la vêture de figure de proue régionale d’un organisme qui fédère aujourd’hui en son sein une soixantaine de communes de l’espace rural.

C’est la première fois depuis la création de cette structure associative en 1989 qu’un représentant bourguignon siège dans le fauteuil présidentiel. Jusqu’ici, les cinq présidents devant se succéder depuis que le sénateur de Haute-Saône Bernard JOLY a porté sur les fonts baptismaux cette entité, avaient pour terroir d’origine la seule et unique Franche-Comté.

Parité géographique oblige, il est à signaler que le nouveau bureau qui présidera à la destinée de cette association comprend autant de Bourguignons que de Franc-Comtois ! Un mix qui indique déjà une certaine tendance stratégique pour ce réseau qui se tourne de plus en plus vers la Bourgogne.

Il est vrai que la marge de manœuvre en termes de progression au niveau de nouveaux adhérents est importante sur ce territoire.

 

De nouvelles communes de l’Yonne frappent à la porte…

 

A ce jour, pour ne prendre que le cas concret du département de l’Yonne, seules sept localités rurales sont dotées du fameux label « Cités de Caractère ». Il s’agit de Druyes-les-Belles-Fontaines, Mézilles, Rogny-les-Sept-Ecluses, Saint-Père-sous-Vézelay, Saint-Privé, Saint-Sauveur-en-Puisaye et Villiers-Saint-Benoît.

Autant dire que d’autres agglomérations du cru ne se priveront pas de frapper à la porte pour rejoindre ce réseau qui promeut le patrimoine urbain, architectural et paysager de premier ordre.

C’est le cas de Coulanges-la-Vineuse et de Cravant en phase d’admissibilité après avoir déposé leurs candidatures.

L’association a pour vocation de faire vivre ou revivre ces villages et autres bourgs qui possèdent une histoire et une architecture digne d’intérêt tout en partageant un état d’esprit nourri de convivialité, de cohérence et de qualité de vie.

 

 

 

La philosophie du nouveau président régional demeure dans la droite ligne de son prédécesseur : à savoir la valorisation de ce patrimoine qui représente aussi un réel vecteur d’attractivité au développement du tourisme.

Unique structure associative reconnue pour telle à proposer à ses adhérents les services d’un architecte conseil, « Cités de Caractère » travaille en étroite osmose avec les services de la Région et de la DRAC, la Direction régionale des Affaires Culturelles, pour obtenir des financements.

Son programme d’actions se veut éclectique pour 2021 même si l’ombre du coronavirus plane toujours au-dessus de nos têtes.

 

Pléthore d’animations ludiques et culturelles autour du patrimoine…

 

Traditionnellement, la structure organise un concours ouvert aux artistes peintres qui se manifestent dans la rue avec la représentation d’une thématique inspirée par le patrimoine dans la cité.

« Vision d’Artistes » remporte chaque année un vrai succès et les œuvres retenues en sélection régionale circulent lors d’expositions itinérantes dans les communes qui font la demande de les exposer.

Auprès du jeune public, l’association joue la carte de la pédagogie ludique. Via un jeu de piste, auréolé de mystères, « Le maître des secrets » ! L’objectif de ce jeu est de découvrir le patrimoine historique d’une commune muni d’un livret éducatif. Les enfants adorent !

Ces derniers peuvent aussi compléter leur soif de découvertes en profitant de livrets mis à leur disposition, comprenant des quizz, des rébus, un jeu des sept erreurs, etc. L’an passé, il s’est écoulé plus de cinq mille exemplaires de ces fascicules distrayants qui offrent une excellente opportunité intellectuelle aux têtes blondes de se frotter à l’histoire de leur village.

Toujours dans le même esprit de connaissances partagées avec les plus jeunes, signalons également la diffusion d’un carnet de coloriage dont les modèles ne sont autres que les œuvres artistiques des lauréats du concours « Vision d’artistes ».

 

Thierry BRET

 


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Le préfet de la Région Bourgogne-Franche-Comté, Fabien SUDRY et Marie-Guite DUFAY, présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté, ont signé ce vendredi 05 février l’accord de relance Etat-Région et l’accord stratégique du CPER (contrat de plan Etat-Région) 2021-2027, en présence de Jacqueline GOURAULT, ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales.

BESANCON (Doubs) : Ré-industrialisation de notre territoire, lutte contre la désertification et contre les inégalités territoriales, neutralité carbone : ce sont les trois objectifs majeurs qui ont été ciblés par le CEPR 2021/2027 (Contrat de Plan Etat Région).

Prenant en compte les conséquences de la pandémie, ce contrat de plan a été paraphé ainsi que l’accord de relance Etat/Région par le préfet de notre contrée, Fabien SUDRY et la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY ce vendredi 05 février dans la capitale du Doubs.

La double signature officielle de ces documents s’est déroulée en présence de la ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, Jacqueline GOURAULT.

Conséquence : une enveloppe de près de 2,75 milliards d’euros sera affectée au service des citoyens, des territoires et de ses acteurs. Cela inclut le plan de relance Etat/Région 2021/2022 (1,25 milliard d’euros) et l’accord stratégique sur les orientations du contrat de plan Etat/Région (CPER 2021-2027), couplé aux crédits valorisés (1,49 milliard d’euros).  

Précisons que le contrat de plan Etat/Région finance la mise en œuvre de projets essentiels à l’intérêt général que sont l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation, la transition écologique et énergétique, la cohésion territoriale, les mobilités multimodales, l’emploi et la formation, le numérique, l’économie sociale et solidaire, la culture et le patrimoine, le sport, l’égalité entre les femmes et les hommes.

 

Thierry BRET

 

 


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L’initiative est vertueuse. Symbolisant l’ancrage territorial d’un établissement à l’écoute des acteurs de l’économie. Somme toute, en plein marasme quant à leurs perspectives d’avenir. La crise sanitaire est passée par là. Avec son lot de désillusions et d’amertume profonde qui restent collés au palais des entrepreneurs n’ayant plus qu’un seul objectif face à eux : survivre. Un outil spécifique visant à les accompagner leur rendra-t-il le moral ? C’est sans doute là, la véritable force de la « BOX PGE » créée à leur intention

DIJON (Côte d’Or) : Tout est question dans la phase applicative de ce concept de confiance et d’immédiateté. Confiance parce que les chefs d’entreprise ayant souscrit un prêt garanti par l’Etat (PGE) ne peuvent occulter de leur esprit le fait qu’ils devront rembourser ce subside qui les aura aidés à surmonter du mieux possible le cruel manque de trésorerie. Immédiateté parce que les procédures de remboursement doivent s’anticiper en amont avant de s’engouffrer dans ce processus inéluctable.

Or, depuis le début de ce dispositif voulu par le gouvernement, les bénéficiaires du prêt garanti par l’Etat (PGE) savent qu’ils ne pourront pas se soustraire à la seconde phase de son application. C’est-à-dire son remboursement. Une réelle épée de Damoclès, couperet acéré au-dessus de la tête des entrepreneurs, dont il faudra bien tôt ou tard résoudre la problématique.

Pour bon nombre de ces entités productives, cela ne devrait occasionner aucune difficulté notoire. Le schéma est connu de tous : dès le mois de mars, les premiers PGE seront remboursables avec différentes options envisageables. Soit l’entreprise restitue ce qu’il doit à l’Etat en soldant le dossier de manière définitive et en une seule opération. Soit, un étalement échelonné dans le temps représente une autre opportunité. Sachant que cet échéancier peut courir au maximum sur une période de cinq années.

 

Une boîte à outils digitale pour mieux sortir de la crise…

 

Faisant montre de mansuétude face à un contexte sanitaire qui perdure, le Premier ministre Jean CASTEX par la voix de son ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE, a choisi de différer de douze mois supplémentaires ce remboursement de prêt, histoire de lâcher un peu de lest dans la sphère de l’entreprenariat. Une bouffée d’oxygène, certes mais qui ne doit pas toutefois faire oublier les difficultés que connaîtront certaines structures à pouvoir s’exécuter.  

C’est à partir de là que la proposition novatrice de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain justifie toute sa raison d’être. Ce sont les sociétés qui éprouveront nécessairement de sérieux embarras financiers qui sont à l’origine du concept. Son appellation se veut sobre et explicite dès sa première lecture : « BOX PGE » !

De quoi s’agit-il, exactement, au plan pratico-pratique ? C’est une boîte à outils digitale utilisée par les conseillers de l’établissement mutualiste régional, l’un des acteurs clé du soutien à l’économie des territoires.

Astucieux et réactif, ce dispositif technologique propose en instantanéité de poser un diagnostic précis sur l’entreprise à étudier. Un audit précieux qui répond à trois objectifs fondamentaux : l’anticipation, l’état des lieux réel de la structure et surtout une approche globale en matière de solutions.

 

Un concept qui va se déployer dans l’Hexagone…

 

Dans le moindre détail, tout y est analysé avec minutie. Les conséquences de la crise sanitaire sur les activités de la société, les répercussions relationnelles avec les clients et les fournisseurs, la capacité de s’autofinancer pour faire face aux aléas conjoncturels.

Bref : une étude de cas approfondie qui en bout de course donnera suffisamment d’éléments instructifs à l’un des trois cents conseillers mobilisés par la banque pour choisir la bonne option en matière de remboursement du prêt garanti par l’Etat.

Quant à la dette de l’entreprise, son approche est mieux maîtrisée grâce à la finesse analytique proposée par cet outil. Dès lors, l’entrepreneur possède une vision plus en adéquation avec la réalité ce qui ne peut immanquablement que le rassurer sur le devenir de son affaire.

Dévoilée il y a quelques jours par son directeur général Bruno DUCHESNE à la presse, cette boîte aux multiples facettes analytiques représente un pur produit technologique de conception régionale.

Son déploiement auprès des autres caisses que compte l’établissement à travers l’Hexagone n’est qu’une question de semaines tant cette approche individualisée de sortie de crise, permettant de sauver des PME de l’irréparable économique, est probante quant à ses préconisations.

 

Thierry BRET

 


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