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Deux artisanes du Morvan, qui vivent côté Yonne, seront à l’honneur lors de cette manifestation destinée à promouvoir le savoir-faire ancestral autour des métiers d’art. Les créations en laine de moutons feutrée et teintures végétales d’Anaïs BOUTIN, de l’atelier FILIPENDULE, et de Catherine POUSSY, Laine, Feutre & Compagnie, méritent amplement le détour le prochain week-end.

QUARRE-LES-TOMBES : Profitez de la tenue de ces Journées européennes des Métiers d’Art pour filer (sans mauvais jeu de mots !) du côté des contreforts du Morvan, ce prochain week-end, pour y admirer les créations textiles de deux cheffes d’entreprise qui ont uni leurs talents !

D’un côté, il y a Anaïs BOUTIN, qui ouvrira grandes les portes de son univers, l’atelier FILIPENDULE, spécialiste dans le travail de la laine locale. De l’autre, on retrouvera Catherine POUSSY, de la maison Laine, Feutre et Compagnie, qui intervient dans le registre des teintures végétales. On l’a bien compris, les deux réunies forment une excellente association de créativité et de compétences !

Toutes deux proposeront des démonstrations de feutrage de toisons de moutons avec la participation des visiteurs. De quoi se mettre le fil à la patte afin de mieux cerner les rudiments de la tannerie à réserver aux tapis, couvres siège, matelas pour bébé.

 

 

En savoir plus :

Atelier ouvert et démonstrations gratuites en laine locale et teintures végétales

De 11 h à 19 h

Les Lavaults

Quarré-les-Tombes

Thierry BRET

 


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C'est terriblement  attristant. Mais comment comprendre désormais la sélection annuelle du guide Michelin ? Avant de revenir dans l'Yonne, demeurons quelques instants sur l'ensemble de l'Hexagone. C'est un secret de Polichinelle, mais les temps sont durs aussi chez Michelin. Et, contrairement à la légende toujours volontairement entretenue, leurs équipes d'inspectrices et d'inspecteurs visitent fort peu la plupart du territoire dorénavant...

COGNAC : Pour l’édition 2022, les inspecteurs sont allés essentiellement en Bretagne (un tiers des promotions « bibs gourmands » et six nouvelles tables étoilées) mais aussi en Occitanie (quatre promotions « bibs » et trois nouvelles étoiles). Ces deux régions récoltent donc la moitié des promotions « bibs gourmand » et 20 % des étoiles de toute la France. Quant à Paris, cela représente un tiers environ des promotions d'étoiles dont une scandaleuse distinction trois étoiles après trois mois d'ouverture seulement de l’établissement ! Même plus le temps d’effectuer les quatre saisons culinaires, c'est aussi triste qu'irrespectueux. Et où sont désormais les promotions de petites tables indépendantes et familiales ? En matière de double étoile cette année, les palaces raflent la mise. Antan dans le Michelin, on trouvait aussi de bonnes petites adresses campagnardes, à l'époque lointaine où leurs équipes faisaient leur boulot. Oui mais ça, c'était avant !

 

Le rôle des attachés de presse prime sur le savoir-faire culinaire…

 

En 2021, l'Yonne a perdu douze référencements (Le Clos des Jacobins à Sens, Le Rive Gauche à Joigny...) sans que l'on sache, ni comprenne bien pourquoi. Récemment, en m'attablant au grand hôtel Bain (de père en fils depuis 1737), sis à Comps-sur-Artuby (Var) où nous déjeunons fort bien, je fus surpris en sortant, d'apercevoir l'autocollant Michelin 2018 tout à fait justifié. Depuis lors, le patron dépité m'expliqua leur avoir écrit par deux fois pour comprendre cette anormale suppression. Sans réponse aucune, comme de bien entendu.

Ces petites tables qui bénéficiaient autrefois d'un logo spécifique : établissement proposant un menu simple à moins de ...euros, n'intéressent plus le Michelin. Pour lequel, on a hélas désormais l'impression que ne comptent que le « bling-bling », l'immédiateté, les réseaux dits sociaux ainsi que le faire-savoir des attaché(e)s de presse,  primant désormais sur l'élémentaire savoir-faire culinaire.

Et si jadis, en feuilletant le Michelin, on pouvait y trouver des hôtels à tous les prix (voilà vingt ans, ils inventèrent le « Bib-hôtel : bonnes nuits à petits prix ») tout cela est révolu en 2022.

Les hôtels sont sur le net, et les restos demeurent encore dans une des dernières versions papier, vraisemblablement en sursis. Va pour le net et tapons dans la catégorie hôtels, la ville d'Auxerre. On me propose alors Le Château de la Resle à 225 euros la nuit, ou La Borde à Leugny pour 450 euros, le Panoramic à Sancerre pour 106 euros, le château  du Vault-de-Lugny pour 300 euros ou encore le relais Bernard Loiseau à Saulieu pour 408 euros ! Sans commentaire, mais attristant. Tant pis pour les familles, les touristes, les randonneurs, les motards et autres.... qui n'intéressent plus le Michelin.

 

 

Des absences très curieuses dans le palmarès…


Notre région, la Bourgogne Franche-Comté est, une fois de plus, desservie, par ce millésime, oublieux de nos territoires. Comme en 2021, les seules promotions se font à Dijon (un étoilé et un bib) ainsi qu'une étoile à Beaune : un bib sur 33, deux étoiles sur 50. Cherchez l'erreur !

Quant à la partie franc-comtoise, elle est scandaleusement délaissée depuis des années : rien. Les équipes Michelin ne passent plus chez nous, et comme me le confia navré, voilà deux ans, le sympathique journaliste Vincent FERNIOT : « le Michelin n'aime plus la Bourgogne Franche-Comté » !

Comment comprendre l'absence de promotion double étoile à l'écrin de Yoann CHAPUIS à Tournus (Saône-et-Loire) ? Un récent déjeuner merveilleux, en janvier dernier dans ce bel antre, me rendit méritée cette distinction. Las...

Peut-être est-ce lié à l'expression excessive de l'ego culinaire régional, de certaines divas des fourneaux qui leur cassaient les pieds,  ou que sais-je encore ?

 

 

Un bilan famélique pour le seul département de l’Yonne…


Dans l'Yonne désormais, ne subsistent plus que trois tables étoilées (nécessitant un entretien régulier de leur brillance culinaire) et deux « bibs gourmands ». Il y a deux décennies, le département comptait huit tables étoilées et cinq « bibs gourmands ».  En 2022, il demeure aussi d'autres références culinaires, solides elles aussi (L’Escale 87 à Villeblevin,  Les Cordois autrement à Avallon...). Mais l'on ne peut s'empêcher de penser que si le Michelin passait dans notre département, en y faisant son job de dénicheur tout simplement - ce qui hélas n'est plus le cas depuis pas mal d'années...- d'autres tables y seraient fort légitimement valorisées...Un « bib gourmand » serait ainsi mérité au Rive Gauche jovinien ou au Martin Bel Air de Saint-Martin-du-Tertre.

Comme tant d'autres départements (les Ardennes, la Haute-Saône, la Haute-Marne, la Nièvre, la Creuse...), l'Yonne fait partie des territoires oubliés par le Michelin, qui préfère aller à Courchevel ou sur la Côte d'Azur. Voire en Bretagne cette année !
Cette belle institution culinaire, respectée par la profession, gagnerait urgemment à retrouver ses fondamentaux,  tout en s'adaptant au XXIe siècle. Ce qui est loin d'être incompatible, Michelin, c'est un « p'tit bout de la France » - même en 2021, si, si ! Avec ses routes, ses territoires et sa cuisine réputée, aussi....

Amis pneumatiques : retrouvez-en le goût pour l'édition 2023 ! Et puisque nous sommes en Bourgogne, nunc est bibendum ! Bon appétit et large soif !



Gauthier PAJONA

 


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La pression imputable à la COVID-19 s’amenuise au-dessus de nos têtes, c’est une évidence. C’est ce qu’ont pu observer les membres icaunais du réseau Entreprendre Bourgogne lors de leurs retrouvailles conviviales, concoctées au sein de l’un des complexes économiques les plus novateurs de la région, ULTERIA. Accueillis par Alexis NOLLET, maître de cérémonie et responsable du site, les entrepreneurs ont pu renouer avec le plaisir d’échanger ensemble…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : De larges sourires s’affichaient sur les visages radieux de celles et ceux des participants trop heureux de se retrouver en pareille circonstance. Une soirée conviviale entre professionnels, réunis au cœur d’un complexe économique qui ne cesse de faire parler de lui : ULTERIA. Voilà ce qui attendait les membres de la délégation icaunaise d’Entreprendre Bourgogne, réseau dont les ramifications régionales ne sont plus à présenter. Un réseau qui accompagne, soutient et porte les projets de ces entrepreneurs jamais en manque d’inspiration créatrice.

Preuve que l’évènement revêtait une certaine forme de solennité malgré les apparences trompeuses d’un buffet agrémenté d’excellents fromages de chèvre de Claire GENET, la présence du directeur régional, Arnaud GRAVEL. Ce dernier n’avait pas hésité à avaler les kilomètres via l’autoroute depuis la capitale de Bourgogne pour prendre part à cette visite découverte d’un site qui mérite amplement le détour. Positionné judicieusement entre plusieurs arpents de vignoble, lui conférant un aspect champêtre du meilleur effet.

 

 

Que retenir de ces retrouvailles, les premières en fait à occuper une place parmi l’agenda après cette longue mise entre parenthèses imputable à la crise sanitaire ?

D’une part, que le réseau Entreprendre Bourgogne se porte comme un charme, au meilleur de sa forme fonctionnelle. On le doit à Sophie BERNARD, animatrice hors pair de ce réseau sur notre département qui travaille en parfaite complicité intellectuelle avec plusieurs de ses ambassadeurs tels que les deux Alain, BOUNON  et PETIT. Que d’autre part, le plaisir de se revoir entre ses adhérents fait toujours plaisir à voir. Qu’enfin, le groupe Yonne, fort de sa quarantaine de membres, ne cesse de grossir, incorporant à chaque nouvelle session de travail des additifs supplémentaires. L’amorce d’une belle saison à venir, en somme…

 

Thierry BRET

 

 

 


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S’il est bien une adresse, dont on a entendu parler plutôt favorablement depuis moult années, c'est bien celle-ci ! Ah, le réveillon de la Saint-Sylvestre des années 70/80, le repas des noces d'or des grands-parents ou celui  de la communion de la cousine ! Que de souvenirs  gourmands en ces murs : nous voici revenus à l’hôtel restaurant du Cheval Blanc !

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Dans les années 60, il fut même brièvement mentionné au Michelin. A une époque où le guide prenait encore un malin plaisir à traîner dans nos campagnes. Il y est fait mention d'une altitude de 139 mètres pour CHARNY, dont la population a peu varié depuis lors, autour de 1 400 habitants. Il fait bon flâner dans cette petite bourgade encore commerçante. Même si l'excellent charcutier-rôtisseur est hélas fermé depuis des lustres. En outre, le village est animé chaque dimanche par un très joli marché.

Rendons grâce tout d'abord, à ces établissements qui proposent chaque jour, un menu ouvrier de vraie cuisine à 14 euros. Par exemple, ce jour-là, un menu qui comprend du clafoutis tomate cerise et emmenthal, puis une crépinette de volaille sauce champignons et riz basmati, avant de se terminer enfin par un fromage blanc agrémenté de confitures maison. Nombre de travailleurs profitent de cette jolie salle rustique, aux imposantes poutres et à l'insert de cheminée y développant une douce chaleur.

 

 

Mais où est donc passée la petite mise en bouche de jadis ?

 

Pauline est notre souriante serveuse ce midi-là. Tandis qu'elle nous propose de choisir le vin, elle nous confie tout de go préférer le nectar rosé ! Celui qui fait immanquablement penser à l'été.

Nous choisissons alors le menu de l'Ouanne, proche cours d'eau, à 36 euros, attirés par quelques-unes de ces dénominations. On ne peut que regretter, qu'à ce tarif-là, ne nous soit pas servie une petite mise en bouche : une gougère,  un toast de foie gras ou une louche de crème de potimarron. Que sais-je encore ! Au prix du menu, tel qu’il est proposé, cela nous semble anormal...

Les coquilles Saint-Jacques sont ici aux poireaux confits et beurre blanc à la vanille. La cuisson est parfaite. La sauce est bonne. Quant au  mariage des fruits de mer avec les poireaux, il est bien souvent réussi. La cassolette d'escargots de mon binôme de tablée est fort appréciée, notamment sa goûteuse crème à l’ail.

 

 

Le menu ouvrier : le régal des salariés des travaux publics !

 

Ensuite adorant le canard, je choisis une cuisse confite à l'irancy. Elle est accompagnée de son pressé de pommes de terre au lard fumé. Si la volaille fondante et la sauce sont bonnes, la pressée de pommes de terre est, quant à elle, beaucoup trop cuite. Sa couleur noire en atteste et la rend de fait, difficile à couper. C'est dommage ! Car, une fois la croûte ôtée, le mets est bon. Quant au filet de veau du convive, il est servi rosé comme demandé.

Puis, il y a un délicieux fromage blanc aux herbes pour continuer ! Les tables environnantes choisissent majoritairement le menu ouvrier et se régalent. On reconnaît les gars de chantier à leur veste fourrée, de couleur jaune réfléchissante ! Dos à la cheminée, une petite mamie sirote sa bière paisiblement.

 

 

S’il vous plaît, le parfait glacé à servir avec sa larme de « calva » !

 

En dessert, le parfait glacé au calvados l'est un peu trop, glacé ! Cela le rend difficile à couper. C'est bon. Même s’il nous sembla, qu'une petite goutte de « Calva » sur ce dessert ne lui eût pas fait de mal, le musclant quelque peu, sans grever le budget de l'établissement, comme de bien entendu !

Merci à ce type d'établissement de faire vivre nos bourgs et villages, pour le plus grand plaisir d'une clientèle, souvent très fidèle.  A la semaine prochaine, ailleurs encore attablés !

 

 

 

En savoir plus

Les + : impeccables toilettes avec table à langer (bonne idée !). Très jolie salle.

Les - : il nous sembla que le menu à 36 euros (une coquette somme) ne remplit pas toutes ses promesses ce jour-là. Un jour sans peut-être, cela arrive. Et de grâce, remettez-nous des salières poivrières,  plutôt que ces sachets, dignes du bar en voiture 4 du TGV !

Contact :

Hôtel-restaurant Le Cheval Blanc

04, Rue des ponts

89120 Charny-Orée-de-Puisaye

Tel : 03. 86. 63. 60. 66.

Site : www.chevalblanc-charny.com 

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Les engagements seront tenus. N’en déplaise à celles et ceux qui pensent le contraire, chantres du pessimisme cocardier à la française ! D’ici le terme de 2023, le très haut débit sera opérationnel sur l’ensemble du territoire de l’Yonne. Une rhétorique que martèle à chaque inauguration le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD. La pose du 46ème nœud de raccordement optique (NRO) en Puisaye tente de le prouver…

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Une de plus, côté installation opérationnelle ! Cette fois-ci, c’est l’une des principales bourgades de la Puisaye qui en est la bénéficiaire. D’où le contentement des élus de proximité. Mais aussi des autres. Ceux qui incarnent la vie institutionnelle et politique du département. La pose, à l’aide de moyens techniques consolidés d’un NRO dans un environnement paysager, demeure toujours une manœuvre spectaculaire à regarder. Le levage de ce local de raccordement, véritable nœud gordien du système de déploiement de la fibre optique, vaut le détour. Sous le regard admiratif des représentants de la sphère publique. En outre, le soleil est au rendez-vous : c’est une bonne chose !

 

 

57 installations programmées au total…

 

A la baguette, les dirigeants du groupe ALTITUDE INFRA qui portent le développement de ce réseau YCONIK sur notre territoire. Mais, aussi, un peu plus loin. Le NRO de Charny-Orée-de-Puisaye est donc le quarante-sixième de ces petits édifices à être ajoutés dans le décor du quotidien. Cinquante-sept sont prévus in fine sur le territoire. C’est sûr : la fibre optique même si elle n’est pas encore au service des tous les Icaunais pointe plus que le bout de son museau !

 

 

 

1 990 foyers et sites professionnels connectés à la fibre...

 

Marqueurs clé de la venue de la modernité au cœur des communes, ces NRO engendrent toujours le même enthousiasme des suiveurs une fois installés.

Aux côtés du député de la circonscription Guillaume LARRIVE et de Pascal HENRIAT, vice-président du Conseil départemental en charge précisément du volet numérique, le président Patrick GENDRAUD a rappelé que les engagements en terme de délai seraient tenus. Confirmation validée par l’autre interlocuteur principal de cette inauguration : David ELFASSY, président du groupe ATLTITUDE INFRA.

Aujourd’hui, l’opérateur peut s’enorgueillir de relier plus de douze millions de nos compatriotes à la fibre optique en les faisant devenir éligibles. A l’instar des 1 990 foyers et entreprises ainsi que sites publics répartis sur les quatre communes de ce bassin de Charny : Fontenouilles, Prunoy, Chêne-Arnoult et Charny-Orée-de-Puisaye.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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