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Puisaye Forterre

Période d’espoir et de renouveau dixit l’ancien édile Jean-Luc LIVERNEAUX qui excelle toujours dans l’art et la manière de pratiquer le verbe, le lancement de la saison touristique de la commune périphérique d’Auxerre aura réuni pas mal de monde, sous un éclatant soleil printanier, il y a quelques jours. Un contexte qui aura singulièrement changé de la saison dernière où la pluie s’était invitée à la séquence inaugurale au grand dam des amateurs de punch et de bière, servis alors par la municipalité…

 

GURGY : Des richesses à découvrir à Gurgy ? Il y en a pléthore ! A commencer par cette escale fluviale, totalement reconfigurée la saison dernière et qui offre une excellente opportunité aux plaisanciers et autres touristes internationaux ou non de poser leurs jalons le temps d’un break réparateur dans cette très agréable localité, située au bord de l’Yonne, à quelques encablures seulement du chef-lieu de notre département, Auxerre. Une zone touristique des plus appréciables évoquant la quiétude et le repos pour accueillir les adeptes du camping-car, également, et de manière simplifiée grâce à l’accueil automatisé opérationnel en mode continu.

Il y a quelques jours, se déroulait aux abords de la rivière et non loin des bateaux qui mouillaient sur les berges de l’Yonne, le lancement officiel de la saison touristique 2025 qui devrait, si la météo est de la partie, apporter moult satisfactions à l’équipe municipale, pilotée par le maire Cyril CHAUVOT.

 

 

Faire rayonner l’attractivité de la localité au-delà de son périmètre

 

En présence de la sénatrice Dominique VERIEN – sa tenue vestimentaire couleur bronze de très belle élégance rappelait une tenue touristique un tantinet plus méridional – et du conseiller départemental Magloire SIOPATHIS, c’est l’ancien maire de la commune, en charge des dossiers culturels et touristiques, Jean-Luc LIVERNEAUX qui prit soin de se saisir du micro, histoire de rendre un peu plus protocolaire ce qui s’amorçait comme étant une belle manifestation festive, à prendre le temps de déguster une excellente bière blonde locale de la microbrasserie FAYYAR – la société gérée entre autres par Romain SORIN a obtenu il y a quelques semaines une très belle distinction lors des Prix Stars et Métiers concoctés par la Chambre des Métiers et de l’Artisanat et de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté – ou d’admirer les œuvres de deux artistes peintres trouvant moult sources d’inspiration près de l’eau, Nadine JOLIVET et Gérard COLIN.

L’orateur, Jean-Luc LIVERNEAUX, fit mention de l’attractivité territoriale, du rayonnement de la commune, qui mérite amplement une découverte approfondie et le temps de s’imprégner de ces atouts, divers et variés. On pensera volontiers à son espace culturel mais aussi à ses commerces et restaurants.

« Continuons à faire rayonner notre territoire, affirma-t-il et à construire une saison touristique riche en émotions et en succès… ».

Des paroles qui reçurent pour écho une salve nourrie d’applaudissements de la part de la soixantaine de personnes qui assistaient à cet évènement, devenu un rendez-vous incontournable de la vie locale.

Puis, l’édile Cyril CHAUVOT devait lui succéder à la tribune. « On a chassé le mauvais temps et le soleil est bien revenu pour faire de cet évènement une magnifique fête, précisa-t-il, ce n’est pas parce que je suis maire de Gurgy mais permettez-moi de vous dire que notre escale est magnifique ! ».

Des propos approuvés par beaucoup, il faut en convenir ! L’élu remercia ensuite les commerçants présents dans les petits chalets de bois qui gratifièrent l’assistance de leurs excellentes prestations durant cette cérémonie.

 

 

 

 

Une halte salvatrice pour le repos et la détente 

 

Aujourd’hui, l’escale de Gurgy est très bien fréquentée par les camping-caristes qui l’ont biffé sur leurs carnets de voyage pour y faire une halte salvatrice, idem pour les adeptes du tourisme fluvial, les bateaux étant de plus en plus nombreux à s’y arrêter chaque année, avec des pavillons parfois inattendus et lointains.

Les cyclistes et autres randonneurs pédestres y passent très régulièrement, créant une atmosphère sympathique et un lieu de vie de plus en plus prisé par les habitants.

La conclusion de cette prise de parole revenait à la sénatrice Dominique VERIEN. Heureuse d’être là, la parlementaire de l’Yonne trouva l’idée excellente de s’appuyer sur la présence de la rivière de l’Yonne pour y développer le tourisme.

« L’économie présentielle est importante avec les gens de passage, et Gurgy a su se saisir de cette opportunité avec cette escale fluvialeJe vous en félicite ! ».

Il restait in fine au tandem Catherine et Yves BUSATO d’animer la soirée avec des airs populaires et appréciés de chacun !

 

Thierry BRET

 

 


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« GAD and PARTY » ! Rien que la lecture de l’invitation laissait déjà entrevoir des instants prometteurs, côté festivités et ambiance ! Il n’y a pas dire, on a le sens de l’humour au sein du Groupe Avallon Développement (GAD). La vingtaine de ses membres ont su se mettre sur leur 31 pour accueillir du mieux possible près de 250 personnes influentes, du sérail institutionnel, politique et économique territorial. Toutes satisfaites de se retrouver dans un cadre qui ne manquait pas d’originalité, l’aérodrome local.

 

AVALLON : Du swing de la meilleure des espèces musicales était interprété sur la scène installée à l’intérieur du vaste hangar de l’aérodrome avallonnais qui d’ordinaire accueille l’ensemble de la flotte, de jolis appareils tous alignés en rang d’oignons sur la piste détrempée par la pluie fine, ne cessant de tomber. L’atmosphère est à la fête pour ce nouveau rendez-vous à l’estampille du GAD, le Groupe Avallon Développement, un club business qui ne fait pas les choses à moitié !

Durant une bonne heure, la première après l’ouverture des portes, les convives, le verre à la main et la gougère dans l’autre, avant que n’arrivent sur les mange-debout les plateaux bien garnis de victuailles des plus appétissantes servis par les adhérents du GAD, vont apprendre à mieux se connaître et développer leurs relations publiques pour celles et ceux qui ne seraient pas encore issue de ce sérail avallonnais, démontrant ainsi la belle vitalité de ce secteur géographique, parfois trop excentré et ignoré des villes d’Auxerre et de Sens.

 

Echange de cartes de visite le verre à la main

 

Vêtues de leurs esthétiques combinaisons d’aviatrice au coloris bronze du plus bel effet – la touche vestimentaire plutôt réussie et agréable à l’œil du dress-code de la soirée orientée autour de la thématique du « Petit Prince » de SAINT-EXUPERY -, les membres féminines de la structure associative, apparue il y a seulement cinq ans dans le landerneau, sont au four et au moulin, entre l’accueil des invités qui arrivent en petites grappes sur l’aérodrome, l’enregistrement des présents, la remise du verre qui ne quittera pas de la soirée les invités à la manière d’une Saint-Vincent tournante, et le salut systématique de la présidente, Aurélie FARCY, qui reçoit avec un chaleureux sourire toutes celles et tous ceux qui pénètrent dans le hangar, totalement relooké et en phase avec l’esprit de l’animation.

« GAD and PARTY » ! Franchement, il fallait oser le faire au niveau du jeu de mot, et c’est parfaitement en adéquation avec ce que l’on découvre au-dedans de ce vaste bâtiment où les deux cent-cinquante invités déambulent entre les mange-debout, s’y fixant de temps à autre pour y déguster un canapé et faire la causette avec leur voisin. Ici, la règle d’or se nomme l’échange de cartes de visite, afin de mettre un patronyme et une raison sociale à l’interlocutrice ou l’interlocuteur avec qui vous partagez un moment de convivialité, arrosé d’un nectar du terroir !

 

 

Tout le monde se lève pour être présent à la « GAD and PARTY » !

 

On y trouve des entrepreneurs, des partenaires, des investisseurs, des prestataires. Des représentants des secteurs bancaires et assurantiels. Des coaches et autres spécialistes du consulting en tout genre. Des artisans et des commerçants. Des industriels et des professionnels des métiers du service. Des agriculteurs, aussi. L’objectif de cette animation annuelle repose sur la valorisation de ce territoire de l’Avallonnais qui dispose de bon nombre d’atouts et autant de pépites qui agissent dans le domaine de l’économie.

Naturellement, les institutionnels sont là. Sans omettre les politiques. Tiens, tiens, ne serait-ce pas le président du Conseil départemental de l’Yonne, Grégory DORTE, reconnaissable de loin par sa grande silhouette qui discuterait le bout de gras avec le maire de Massangis et président de la Communauté de communes du Serein, Xavier COURTOIS ? Un peu plus loin, discute le conseiller départemental Jordan HEITZMANN.

Si Sonia PATOURET, conseillère départementale, tarde à arriver (elle est retenue dans sa voiture par un ultime appel téléphonique qui l’immobilise un peu plus longtemps que prévu), il n’en va pas de même pour l’ex-représentante du Rassemblement National Audrey LOPEZ qui discute au détour des tables avec différents participants. L’ancien député de la circonscription et ex-édile d’Avallon, Jean-Yves CAULLET est lui aussi de ce rendez-vous : il est accompagné de son épouse, Muriel VERGES-CAULLET.  

 

 

 

Rendre l’Avallonnais encore plus fort en se rassemblant

 

Troisième opération évènementielle de ce type proposée par le GAD depuis sa création, la manifestation semble avoir battue tous les records de fréquentation, mercredi soir. Entre deux bonjours adressés à ses invités, la présidente de la structure business Aurélie FARCY nous en dit un peu plus sur la finalité de ce club : « Notre volonté est de créer une animation identifiable pour le territoire, explique la jeune commerçante avallonnaise, le but est d’élargir notre cercle et de ne pas faire de l’entre soi. Toutes les semaines, une réunion est organisée le mercredi matin afin de générer des affaires et nous invitons à chaque fois de nouveaux entrepreneurs qui viennent nous présenter leurs activités… ».

Naturellement, des visites en entreprise intègrent aussi le panel de possibilités qui se présentent aux membres de cette structure où règne la convivialité.

Outre l’ambiance jazzy déclinée dès le début des réjouissances, les participants de cette soirée de gala purent également apprécier des numéros circassiens, un défilé de mode, avant de finir sur la piste de danse !

« Notre credo est de rassembler les entrepreneurs pour qu’ils soient plus forts sur notre territoire afin de le rendre le plus attractif possible. Nous parlons des uns des autres autour de nous, car notre leitmotiv, c’est « savoir donner pour recevoir »… ».

Le potentiel d’affaires existe bel et bien au sein du GAD. Le chiffre d’affaires annuel s’élève à 400 000 euros entre les vingt-deux membres de la structure. Un GAD qui souhaite initier d’autres liens avec le Réseau Entreprendre Bourgogne, BGE Nièvre/Yonne ou la CCI de l’Yonne. Histoire d’élargir un peu plus le périmètre d’action à l’échelle départementale.

 

Thierry BRET

 


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Unique dans l’Yonne, le concept se veut cocardier, ne serait-ce que par son appellation un brin insolite. « Le Bouillon Auxerrois ». Un nom facile à retenir pour un nouvel établissement, idéalement bien placé au cœur du centre-ville. A l’emplacement de feu « Le Schaeffer », qui rappelle de biens jolis souvenirs en se remémorant l’agréable sourire de Marie qui en tenait les rênes. Ici, la politique tarifaire sera volontairement basse sans en dénaturer la qualité des produits, garantis à la fraîcheur optimale. Foi de Cyril PARMENTIER, à la barre de ce nouveau restaurant, qui fera équipe avec son associé, le viticulteur de Chablis Daniel-Etienne DEFAIX…

 

AUXERRE : Le principe de ce genre d’estaminet est simple. En ces murs, la cuisine doit être bonne, fraîche, peu coûteuse, abondante, abordable même pour celles et ceux qui connaissent des fins de mois difficile, tenant bien au ventre et au cœur ! C’est le précepte même de ce que l’on caractérisait jadis par le vocable très parisianiste de « bouillon ». Un ersatz du fameux « bouchon » lyonnais, mais adapté à la partie septentrionale de la France !

On doit la dénomination de ce type de maison populaire à un boucher parisien qui fit ses choux gras en 1855 en ouvrant dans la capitale de l’Hexagone cette famille de restaurants qui proposaient des plats uniques et peu chers à sa clientèle ouvrière. Une sorte de cantine conviviale, mêlant les classes sociales et les atmosphères festives selon les convives. Sauf qu’ici, au 14 Place Charles Lepère, en plein centre de la capitale de l’Yonne, c’est bien une cuisine bourguignonne des plus traditionnelles qui sera proposée pour garnir les assiettes !

 

Un régal de spécialités gastronomiques très populaire

 

Citons pêle-mêle, l’œuf mayonnaise, le filet de hareng pommes à l’huile, les escargots made in Bourgogne (il va de soi !), les terrines maison, les œufs en meurette, la gougère aux escargots et à la persillade, une saucisse au couteau – l’emblématique plat popularisé par les bouillons parisiens de jadis -, le jarret de porc caramélisé, le bœuf bourguignon…

La carte des desserts devrait elle aussi mettre en appétit celles et ceux qui viendront se sustenter dans ce lieu et admirer les fresques de verre, murales et au plafond, qui valent amplement le détour en termes d’attributs décoratifs somptueux.

Les gourmets y retrouveront avec plaisir la traditionnelle mousse au chocolat, le riz au lait à l’ancienne, la crème brûlée, de succulentes profiteroles dégoulinantes de chocolat nappé, etc.

Autant de recettes à faire titiller les papilles des épicuriens et autres férus de ces établissements populaires à ambiance festive comme peuvent l’être les bouchons lyonnais et les bouillons parisiens, qui seront proposées à des prix ultra doux et compétitifs.

« Ce seront les prix bouillon, confirme un Cyril PARMENTIER joyeux comme un pape venant d’accéder au Saint-Siège après l’élévation de la fumée blanche et le verre de blanc à la main en cette soirée inaugurale, veille d’ouverture de son nouveau jouet, codirigé avec son ami de longue date, le viticulteur et aussi propriétaire d’établissements épicuriens à Chablis, Daniel-Etienne DEFAIX, habillé pour la circonstance de la célèbre tenue des grandes brasseries parisiennes, chemise blanche, pantalon et tablier noir, le tout agrémenté d’une cravate épousant les mêmes coloris.

 

 

 

Des tarifs ultra doux pour toutes les bourses

 

Pour les entrées, on devra débourser de trois à neuf euros ! Quant aux plats, ils apparaîtront sur la carte à des prix plutôt sympathiques, compris entre dix et quatorze euros. Les desserts ne coûteront que la bagatelle de cinq à sept euros pour pouvoir se régaler ! Bref : il va falloir réserver pour pouvoir occuper l’une des 65 places accueillies dans cet espace qui aura été relooké après la fermeture du « Schaeffer » dont il ressuscite en partie l’esprit.

Cyril PARMENTIER agrémentera sa carte d’un menu du jour selon la formule usuelle (entrée, plat, dessert). Le vendredi soir sera réservé à la soirée moules/frites à volonté à partir de 20 euros, avec des pommes de terre préparées comme en Belgique à base de graisse de bœuf. Dans sa cible clientèle, le néo-gestionnaire de l’établissement tablera également sur les étudiants qui pourront tous les midis sur simple présentation de la carte ad hoc emporter le plat du jour et une boisson, servis à dix euros !

Les végétariens se rattraperont sur la gamme de salades fraîcheur. Les poissons seront cuisinés également dans cet endroit qui devrait très vite attirer une clientèle d’habitués.

 

 

Une création de quatre emplois

 

Après le « Dilo » à Saint-Florentin, le « Seignelay » et le « Café de la gare » à Auxerre, Cyril PARMENTIER poursuit son aventure culinaire en relevant ce nouveau challenge original, lui permettant de travailler de concert avec Daniel-Etienne DEFAIX. Les puristes auront d’ailleurs l’opportunité de déguster, avec modération tout de même, les nectars issus de sa production vineuse. La plupart des appellations de l’Yonne trouveront ici chaussure à leurs pieds au niveau des amateurs de ces vignobles. Avec là aussi, des prix tirés irrésistiblement vers le bas.

Respectueux du travail réalisé par les anciens occupants de cette maison quand elle se nommait encore le « Schaeffer », Cyril PARMENTIER a pourtant voulu redonner une nouvelle esthétique à ce lieu aux décorations très sympa. Une enveloppe de 25 000 euros aura été consentie pour relooker la maison, telle que la voulait Daniel-Etienne DEFAIX et Cyril PARMENTIER, afin de redonner vie à ce site bien connu des Auxerrois, dont certains éléments patrimoniaux datent du XIVème siècle !

Fermé les mercredis et les dimanches, « Le Bouillon Auxerrois » accueillera selon de larges amplitudes horaires les futurs clients. Ils feront ainsi connaissance avec les quatre personnes en poste au sein de cet établissement dont la jeune femme officiant derrière les fourneaux. Un cordon bleu, dixit Cyril PARMENTIER qui est lui-même un véritable « bec fin » !

 

Thierry BRET

 

 


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Le rendez-vous est habituel. Il nous revient tel un métronome en période de printemps. Régulier et précis. C’est-à-dire annuel et détaillé dans la somme de chiffres et de perspectives qui y est annoncée. Une boussole intéressante pour les observateurs afin de mieux tâter le pouls d’un établissement bancaire qui demeure le partenaire idoine de l’économie locale, mais aussi de l’ensemble des clientèles, particulières et collectives. Une vision positive pour la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté, confortant ainsi son crédo : « être utile aux autres »…bien au-delà de 2030 !

 

DIJON (Côte d’Or) : On connaît le slogan publicitaire usité depuis des lustres lors des campagnes audiovisuelles ou à la télé. « Vous être utile ». Trois mots qui en disent long sur les intentions de la structure entrepreneuriale qui les prononce. Sauf que là, manifestement lors de la présentation des résultats financiers de l’exercice écoulé, la formule coutumière a quelque peu différé, même si en bout de course l’objectif reste le même ! « Etre utile aux autres ! ». C’est par ces termes caractéristiques qui résument à eux seuls le positionnement stratégique de l’établissement bancaire que le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté, Eric FOUGERE, a ouvert la conférence de presse, devant accueillir une huitaine de médias régionaux, en les murs du nouveau siège social dijonnais, sis dans le quartier d’affaires de Valmy, il y a quelques jours.

 

Petite explication de texte teintée de pédagogie

 

Un Eric FOUGERE qui n’aura pas manqué de s’attarder en guise de préambule sur l’entité dont il est également le président du COS hexagonal, le groupe BPCE, structure regroupant outre la Caisse d’Epargne, la Banque Populaire, le Crédit Coopératif et NATEXIS. Soit un effectif de 100 000 personnes pour 24 milliards d’euros de PNB, produit net bancaire. Une paille, en somme ! Une introduction à la présentation des résultats de la CE régionale se justifiant à plus d’un titre. Non seulement, l’orateur en profita pour exprimer la volonté de renforcer la nature coopérative des différents acteurs de la BPCE sur tous les territoires, mais aussi de travailler à le faire pour le temps long. Un groupe devenu européen sur la filiale du crédit-bail après le rachat d’une structure (BPCE ES). Un autre projet dans la gestion d’actifs avec GENERALI est en cours de négociations avec un portefeuille à gérer de 1 900 milliards d’actifs, ce qui en ferait à l’issue le second gestionnaire d’actifs en Europe !

Puis, Eric FOUGERE aborda en trois points les tenants et aboutissants du contexte économique du moment, impactant le monde de la finance. Se voulant rassurant, l’orateur rappela que les taux étaient plutôt favorables à date aux établissements financiers exerçant en France. Des taux servant de référents pour l’attribution des crédits immobiliers et des taux de refinancement sur le court terme plus faibles. Conséquence : les activités financières bancaires dans l’Hexagone sont rentables. Puis, Eric FOUGERE évoqua les problèmes d’adéquation entre la ressource et le financement, avec une ressource qui coûte plus cher que ce qui a été prêté. Usant de pédagogie, le président du COS insista sur les origines des financements bancaires  – « ce n’est que l’argent des dépôts des clients que l’on a prêté pour financer une opération » -, un particularisme franco-français qui prête quasiment à taux fixe et non pas à taux variable comme la plupart des pays européens sur le marché de l’immobilier. D’où une profitabilité moindre des banques françaises observée en bout de course.

 

 

 

Vers une permanence de stratégies au service du territoire

 

« Notre rôle est simple, poursuivit Eric FOUGERE, nous sommes là pour financer le territoire ! Et ce n’est pas un poncif ! ». Affirmer ainsi la force du rôle sociétal de la Caisse d’Epargne, au service de ses clientèles et de son territoire, permettra  à l’interlocuteur de s’attarder sur la question. La base déontologique même de l’établissement bancaire qui veut marquer cette stratégie comme au fer rouge sur la peau. « Il ne faut jamais oublier que notre activité ne vient que du territoire, martela le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance de la caisse régionale, ainsi que notre rentabilité. C’est notre postulat de départ ! ».

Puis, vint le temps de parler des « nouvelles proximités », un facteur que nul ne peut ignorer de nos jours. « Personnellement, je reste convaincu que dans la relation clientèle cette proximité est incarnée par l’agence commerciale, assure Eric FOUGERE, mais, il est vrai au regard des analyses statistiques qu’il y a moins de passage dans les agences. Mais, de là à dire qu’il faut supprimer des agences, je ne le pense pas ! Ces « nouvelles proximités » (comprenez par-là tous les auxiliaires imputables aux nouvelles technologies) doivent être regardées sur du temps long et sont complémentaires de la vitrine commerciale… ».

Rien ne remplacerait la nature de la relation humaine pour le président du COS ? « Oui, en quelque sorte, puisque lorsque vous souscrivez à une offre de prêt immobilier, il est important d’obtenir des explications précises fournies par un conseiller spécialisé… ».

Ne parlons pas des conseils prodigués aux seniors ou aux chefs d’entreprise sur des opérations spécifiques ! Le rôle des agences demeure primordial dans la perception stratégique que se fait le binôme décisionnel de Jérôme BALLET, président du directoire de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté. Eric FOUGERE prophétise : « attention de ne pas connaître un jour les problématiques liées aux déserts médicaux en France – ce serait les déserts financiers faute de banques – et optimisons le réseau des agences en leur assurant une rénovation… ».

Soit un investissement annuel de cinq millions d’euros chaque année au sein de la Caisse d’Epargne BFC. Une réhabilitation des agences qui intégrerait de ce fait une offre permanente de stratégies à décliner au sein de l’établissement afin d’éviter toute stratégie conjoncturelle réalisée dans l’immédiateté et au coup par coup. L’art de l’anticipation sur du long terme, en somme !

 

Un plan stratégique déclinable sur les deux années à venir

 

Ensuite, Jérôme BALLET prit le relais. Le président du directoire de l’établissement régional ne souhaita pas rendre trop fastidieuse sa présentation en l’inondant de trop de chiffres. Il en changea la présentation coutumière : « Sachez que nous partons sur un nouveau plan stratégique qui se nomme « Destination 2027 ». Il repose sur trois axes majeurs : être un partenaire historiquement responsable, être celui du développement local et de l’habitat durable de la région… ».

S’appuyant ensuite sur des exemples concrets pour illustrer les trois axes retenus dans ce plan, Jérôme BALLET s’attarda d’une part sur un premier chiffre : 50 000 euros, une enveloppe destinée aux appels à projets biodiversité que souhaitent encourager la CEBFC.

« Nous avons pris un fil conducteur autour du chiffre cinq pour accentuer nos exemples, fit remarquer un brin amusé le président du directoire.

Cette thématique de la biodiversité est soutenue par les quinze caisses régionales de « l’Ami Financier », un vieux slogan qui caractérisait jadis les actions de cette banque, membre du groupe BPCE. Une autre somme, 60 000 euros, concernera tous les projets associatifs soutenus depuis plusieurs années par les Sociétés locales d’Epargne de la région se rapportant au développement durable, le handicap et les seniors.

 

Des investissements dans la transition énergétique et l’habitat durable

 

Membre de la CEC (Convention des Entreprises pour le Climat), la Caisse d’Epargne BFC a pour projet ambitieux de résorber de 10 % son empreinte carbone d’ici la fin 2027. Une empreinte qui avait déjà été diminuée de 22 % depuis 2019 ! Dans le viseur de la direction : les déplacements des collaborateurs. « Nous souhaitons privilégier les mobilités douces en cycle, transport en commun et véhicules électriques, précisa Jérôme BALLET.

Rappelons que le groupe emploie aujourd’hui 1 625 collaborateurs et respecte la parité au niveau de son encadrement selon la règle du 50/50 qui ne serait pas pour déplaire à Jean-Pierre FOUCAULT ! A peine 40 % d’hommes responsables, désormais, au sein du Conseil d’Orientation et de Surveillance, ne manquera pas d’ajouter avec humour Eric FOUGERE !

Partenaire du développement local – la Caisse d’Epargne a signé moult conventions emblématiques avec des structures comme la CPME, le MEDEF, le Réseau Entreprendre, etc.-, la banque ambitionne d’être référencée comme une clé de voûte au centre des transitions et des préoccupations des dirigeants économiques, et des élus. A ce titre, une enveloppe de 50 millions d’euros sera dédiée aux financements des projets de rénovation énergétique imputables aux collectivités locales.

Quant à l’habitat durable, il mobilise à hauteur de 5 milliards d’euros (cela représente le total des crédits en vérité) la Caisse d’Epargne de notre contrée. Des crédits qui soutiennent les projets immobiliers des particuliers, sans omettre leurs travaux, mais aussi la promotion immobilière via l’accompagnement de programmes spécifiques lancés par des bailleurs sociaux comme HABELLIS en Côte d’Or ou encore sur le volet du logement social.

Signalons que les parts de marché du crédit immobilier ont augmenté de manière continue pour l’établissement (un point obtenu chaque année) depuis 2021 ! Grâce au PEAC (Plan Epargne Avenir Climat), la CEBFC dote les jeunes gens âgés de moins de 21 ans d’une solution pratique pour les aider à financer leurs projets immobilier en investissant dans la transition écologique.

Côté diagnostic et audit énergétiques, le partenariat établi avec COZYNERGY permet aux particuliers de bénéficier d’un panel complet de solutions en matière de rénovation énergétique de leur logement ou la pose de panneaux photovoltaïques pour réduire la facture électricité.

Il n’y a pas à dire mais plus que jamais le credo « Vous être utile » prend ici tout son sens, à l’énoncé de ce plan stratégique Destination 2027 !

 

Thierry BRET

 


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L’emplacement est unique. Non loin de la place des Cordeliers, dans l’hyper-centre d’Auxerre. Une devanture attrayante qui attire l’œil et interroge sur ce qui se passe derrière la vitrine. « Cuisine MOOD » ! Tiens, tiens, serait-ce la présence commerçante d’une énième référence à la vente et à la pose de cuisines ultra-modernes et équipées des derniers gadgets électroniques dans le vent ? Que nenni ! Sitôt passé le pas de porte, on est là pour y suivre des cours de cuisine et de pâtisserie afin de faire de vous de vraies toques culinaires du dimanche en famille !

 

AUXERRE : Et dire qu’elle est diplômée en sociologie et en criminologie, masters à l’appui, la jeune trentenaire souriante native de Nantes – une ville de football ! - qui accueille les visiteurs à l’entrée de sa boutique ! D’ailleurs, on peut y lire bien en vue sur le bureau de ce hall une petite phrase pas si anodine que cela et qui résume parfaitement la philosophie de cet espace professionnel des plus accueillants : « la gourmandise est un bien joli défaut ! ».

Nous voilà donc dans l’antre de cet atelier culinaire auxerrois, très joliment décoré et hyper fonctionnel, apparu depuis quelques mois, et qui a déjà réussi à défrayer la chronique médiatique par ses inspirations solidaires en réalisant des actions altruistes en faveur des personnes les plus démunies et les plus précaires de notre société ! « Cuisine MOOD » ! Un nom à bien se caler entre les deux oreilles !

Sans doute, est-ce son attirance – sa gourmandise ? -  pour la pâtisserie qui a poussé un jour la jeune Marie GILOT à se lancer dans une folle aventure pédagogique, celle de tenter le CAP de la même discipline à l’âge de 28 ans ! Un cursus suivi à distance par la demoiselle, experte ès activités commerciales, sociologue et criminologue de formation. Une démarche peu commune alors qu’elle exerçait ses activités professionnelles au sein de cabinets conseils réputés siégeant à Paris. Sa passion de l’artisanat la conduira même à enrichir ses connaissances en ajoutant un stage dans le secteur de la boulangerie durant un an et demi !

 

 

Un projet initial en ouvrant un salon de thé…

 

Son rêve initial n’est autre que l’ouverture d’un salon de thé. Car, Marie n’envisage qu’une seule et unique chose dans sa projection de carrière : prendre sa destinée en main et abattre l’atout majeur de l’entrepreneuriat.

Toutefois, l’étude de marché établie sur l’Auxerrois confirmera la présence de trop de commerces de ce style dans une ville de dimension moyenne. D’où un effet concurrentiel évident ! Bref, l’idée de donner des cours de pâtisserie infusera progressivement dans sa tête. Il ne lui restait plus qu’à mettre en musique son concept, en trouvant un local adéquat, ce projet qui a vite pris la forme de… « Cuisine MOOD », dont l’ouverture fut officialisée le 06 décembre 2024.

Une fois les travaux terminés après deux mois de labeur, Marie GILOT a pu ouvrir ce commerce au positionnement un peu décalé. Il est le premier de ce genre dans le département, fonctionnel avec pignon sur rue. Côté juridique, il ne restait plus qu’à finaliser l’EURL qui porte la structure.

Quant au choix du patronyme, il est à double sens. « MOOD », en anglais, signifiant humeur ! Mais, si on francise le terme, on joue sur la connotation modale du lieu. Soit l’on est d’humeur à cuisiner, soit c’est devenue une mode de se mettre derrière les fourneaux en poussant les portes de cet endroit, plus bien conçu au niveau ergonomique.

 

 

Tout le monde est le bienvenu !

 

Plans de table permettant d’accueillir de huit à dix personnes, équipements électro-ménagers de dernier cri, salle de réunion, coin salon pour se détendre…Marie GILOT a su mettre tous les atouts dans sa besace pour faire de ce lieu professionnel un lieu de vie très agréable à fréquenter, que l’on soit particulier, en famille avec des enfants, membres de clubs souhaitant découvrir une atmosphère décalée lors de ses réunions statutaires, professionnels férus de séminaires ! On l’a compris : ici, tout le monde est le bienvenu ! Que l’on soit béotien en cuisine comme esthète des arts de la table !

Pédagogue et à l’écoute, la jeune entrepreneuse élabore avec ses hôtes des recettes (gâteaux mais aussi des plats à faire saliver les papilles) en apportant les explications techniques et le tour de main nécessaire à la réussite des mets. La phase de dégustation ne manque jamais de sel, côté humour et ambiance !

Si l’envie vous prend de tenter votre chance en matière de gastronomie, n’hésitez pas ! Poussez la porte de « Cuisine MOOD » !

 

Thierry BRET

 

 


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