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C'est l'histoire d'un jour sans qui se termina plutôt bien ! Ce matin-là, j'attendais mon train matinal, en gare de Paris-Bercy, pour revenir déjeuner à Sens. Tout était prévu, sauf à cinq minutes du départ, sans train à quai, l'habitué des voyages ferroviaires que je suis se dit alors qu'il se passe quelque chose d'anormal…

 

PARIS : Une annonce monocorde retentit alors, sans un mot d'excuse, comme de bien entendu : avarie de matériel, train supprimé. Il faut tenter, en courant, d'en attraper un autre à la voisine gare de Lyon. Un petit groupe se forma alors. Et c'est haletant que nous arrivons sous l'imposante verrière, pour apercevoir, au loin, les feux rouges du TER, parti à l'heure ! 

Prochain départ prévu deux heures plus tard. Profitons de ces quelques lignes voyageuses pour saluer les milliers de navetteurs icaunais soumis au quotidien à ces aléas multiples. Mais aussi de rappeler - si besoin était - que la majeure partie des TER arrivent à l'heure ou presque !

Un peu décontenancé, en me retournant, après avoir passé deux à trois coups de fil, j'aperçois en haut de l'escalier le mythique établissement du « Train Bleu ». Ce superbe et exceptionnel buffet de gare, inauguré en 1901, avec profusion de dorures, stucs et fresques évoquant la mythique ligne PLM (Paris-Lyon-Marseille), mais aussi tout le charme méditerranéen ! Et si j'y allais, me dis-je alors ? Je n'y ai jamais mis les pieds, juste vu de loin,  ou bien lu le menu.

 

 

Une séculaire brasserie à l’élégance qui nous est inhabituelle…

Entrons ! L'élégance est la première des images, celle des locaux bien sûr,  mais aussi de l'impeccable personnel ! Ce faste, force est de reconnaître, que nous n'y sommes plus guère habitués. Ma table, impeccablement nappée, donne sur la séculaire brasserie « L'Européen », à l'angle de la rue de Lyon.

Autour de moi, deux amies allemandes sont venues visiter Paris. A droite, c’est une famille brésilienne. Un peu plus loin, ce sont des australiens.

Pour un peu, on pourrait penser que le monde entier s'est donné rendez-vous ici à Paris pour admirer ces fresques colorées : la rade de Toulon et les citronniers de Menton.

Comme me l'explique alors le polyglotte maître d'hôtel : la réfection, voici quelques années du site, a rendu à ce lieu mythique une certaine magnificence, entre ciel azuréen, paisibles promeneurs et voiliers voguant sur les flots.

Avec l'apéritif, arrive une crème de champignons en guise de mise en bouche. Elle est plutôt quelconque et manque notablement de caractère. En entrée, je choisis le pâté en croûte et foie gras de canard. C'est correct mais sans plus. On le dirait comme sorti du congélateur. La pâte qui ne tient pas vraiment la chair, me semble grossière, manquant de finesse. L'appareil est assez quelconque, plus proche d'un « machin » industriel que de celui proposé régulièrement à la table du « Rive Gauche » à  Joigny !

Mais bon, l'ambiance est là avec le ballet du service, les conversations dans toutes les langues. Une rasade d'un bon brouilly me fait définitivement oublier l'annulation du TER !

 

 

Le gigot d’agneau à l’estampille du « Train Bleu » : une assiette fort goûteuse…

 

En fait, ici l'on vient, plus pour le spectacle et l'impressionnant décorum que pour une cuisine vaguement conçue à la chaîne ! « Le Train Bleu » : on peut aussi venir y prendre un élégant café matinal, un thé d'après-midi et d'avant train sur le départ.

C'est un véritable lieu de vie.

Dans le même registre tarifaire, mais avec une cuisine d'exception pour bien manger, je vous recommande « L'Arôme » au 3 de la rue Saint-Philippe du Roule dans le huitième arrondissement où le sympathique chef solognot Thomas BOULEAU élabore une cuisine des plus raffinées, une étoile au Michelin en valant plutôt deux.

Cependant, le plat principal me parut plus convaincant : un gigot d'agneau servi à la voiture de tranche et gratin dauphinois. Un plat estampillé, spécialité « Train Bleu ».

 

 

Le gigot arrive : il est élégamment tranché et servi rosé comme demandé, avec un bon jus et de l'ail en chemise. Sincèrement, c'est fort bon. Le gratin dauphinois est goûteux et pas gras. Il parachève cette jolie assiette indéniablement classique, mais fort succulente !

A ma droite, mes voisines teutonnes se régalent avec les ris de veau qu'elles accompagnent, sur mon conseil (!), d'un chablis ! Elles aussi sont émerveillées par les fresques et le parquet.

En dessert, peut-être aurai-je dû prendre les crêpes Suzette, flambées au « Grand-Marnier ». Car, le soufflé chaud à la clémentine manque de légèreté. Il est loin de valoir celui de « L’Auberge des Chenêts », sise à Valloux au nord d'Avallon. Mais bon ici-bas, nous ne sommes pas là que pour déguster, mais  aussi pour admirer, écouter et regarder le spectacle vivant qui se joue devant nos yeux.
A peine le temps de terminer mon café-kirsch que je crois entendre la monocorde annonce : « le TER numéro 891 à destination de Laroche-Migennes… ». Celui-là, dans l'Yonne, nous ramènera !

 

 

En savoir plus :

Les - : une cuisine pas forcément très cuisinée, vous l’aurez compris !

Les + : quel cadre, quel décor, c’est magnifique ! A signaler l'impeccable tenue du personnel, bravo !


Le Train Bleu

Place Louis Armand (gare de Lyon)

75012 PARIS

Ouvert de 7h30 à 22h30.

Téléphone : 01.43.43.09.06.

Site : www.le-train-bleu.com

Menu : à partir de 49 euros (25 euros pour les enfants).


Cap au sud ! Pour deux bonnes petites adresses en demeurant encore un instant  sur le réseau PLM !

A ENTREVAUX (Alpes de Haute-Provence), l'entreprenante famille DEKEN a repris « Le Vauban » (p'tit clin d'œil icaunais), un hôtel-restaurant-pizzeria. Les plafonds de la salle sont imposants, la terrasse à la jolie vue se prépare pour l'été. Accueil aimable, cuisine maison, dont des pizzas de belle tenue, garnies de bons produits. Délicieuse daube notamment servie avec d’excellents raviolis. Ici, on peut arriver par le chemin de fer de Provence (ligne Nice -Digne) et visiter la citadelle, mais aussi le musée de la moto !

A COMPS-SUR-ARTUBY (Var) avec le bar-hôtel-restaurant « Bain » (de père en fils depuis 1737) une belle auberge de bord de route, au cœur d'un véritable désert culinaire ! La Provence y est à l'honneur dans les assiettes : délicieuse soupe ou pistou, tripes à la niçoise, côtes d'agneau grillées servies de belle manière. Une belle étape. Profitons-en ! Car, des établissements comme cela en France, d'ici quelques années, il n'en restera plus guère...

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Le déploiement se fera de manière progressive sur l’ensemble du territoire départemental. Capitale de l’Yonne, Auxerre en est aujourd’hui la première bénéficiaire. Rendons à César ce qui doit lui appartenir, pour une fois ! Trois des cinq pylônes qui amènent la 4G sur la ville sont désormais équipés de la 5G. Le reliquat de ces installations devant subir leur conversion d’ici peu selon le directeur ORANGE Grand Nord-Est Ludovic GUILCHER...

 

AUXERRE: La 5G dans la capitale de l’Yonne ? Non, ce n’est pas une arlésienne digne d’un poisson d’avril ! C’est bel et bien devenu la réalité effective grâce au travail fourni par l’opérateur de télécommunication ORANGE au cours de ces dernières semaines sur Auxerre. De l’aveu même de Ludovic GUILCHER, directeur du secteur Grand Nord-Est de la structure, « 99 % de la population auxerroise bénéficie de la couverture 5G à ce jour ».

L’amélioration de la qualité du débit est imputable à l’aménagement de sites supplémentaires sur la ville. Toutefois, pour que cela fonctionne bien, il est nécessaire en bout de course que les utilisateurs possèdent naturellement des appareils téléphoniques qui soient compatibles avec la 5G.

Rappelons que le 01er octobre 2020, ORANGE avait obtenu la majeure partie des blocs de fréquences en jeu, avec 90 MHz de spectre lors des enchères. Un déploiement qui se concentre majoritairement sur ces nouvelles fréquences 3.5 GHz et peut être complété par l’utilisation de fréquences 2.1 GHz.

 

 

La 5G, le recours idoine pour éviter l’engorgement des réseaux 4G…

 

L’apport de cette 5G est vital pour l’Auxerrois. La technologie représente, en effet, un atout considérable pour le développement et l’attractivité des territoires, facilitant ainsi la bonne fonctionnalité du tissu entrepreneurial. Son usage apportera un confort d’utilisation appréciable tout en optimisant la vitesse de téléchargement des documents en quasi simultanée.

Auxerre n’est qu’une première étape de ce futur maillage territorial. Bientôt, le déploiement réalisé en accointance avec les collectivités locales se poursuivra de manière progressive sur l’ensemble du département.

C’est ce que devait confirmer par ailleurs Ludovic GUILCHER lors de la présentation officielle de cette arrivée dans la place auxerroise. Une propension au développement qui s’imposait au vu des circonstances. En effet, les usages data observés sur le parc ORANGE et SOSH ont progressé de 40 % en l’espace de plusieurs mois, engendrant un risque de saturation des réseaux actuels. D’où l’utilisation de ces nouvelles fréquences 5G, réponse idéale pour l’opérateur.

A date, tous les nouveaux modèles de smartphone sont compatibles à la 5G. Pour pouvoir en bénéficier, ORANGE propose plus d’une trentaine de références de mobiles agrémentés de quatre forfaits allant de 70 Go à des offres illimitées 5G. Précision technique ayant son importance : aucun changement de carte SIM n’est à prévoir.

 

A l’horizon 2030, la 6G s’anticipe déjà chez ORANGE…

 

Si la couverture territoriale à partir de la 5G est dans les cartons, notamment pour les villes à forte et moyenne densité de population, il est impératif, a contrario pour l’opérateur de terminer l’installation de la 4G sur le territoire. Une question de pure logique pour Ludovic GUILCHER, car « il ne peut pas y avoir de la 5G si la 4G n’est pas là ! ».

Côté budget, installer la 5G est de l’ordre de 100 000 euros en moyenne pour l’opérateur afin d’équiper un pylône.

En France, à l’heure actuelle, ORANGE a déjà couvert un peu plus de mille villes et agglomérations de ces équipements ; ce qui équivaut à près de 35 % de la population qui en sont bénéficiaires. Un taux de couverture qui correspond à quinze mois de travaux réalisés aux quatre coins du pays « C’est satisfaisant, lâche le responsable de la direction régionale du nord et de l’est.

« On observe cette présence sur l’attractivité des territoires, ajoute Ludovic GUILCHER, avec un rebond de l’activité économique des entreprises mais aussi une vraie appétence de la part des clients envers cette technologie selon les usages : le télétravail, les visioconférences, les jeux en ligne, la télémédecine… ».

Quant aux délais, ils ne sont pas comparables avec ceux usités dans le déploiement du réseau de la fibre optique. D’ici deux ans, 81 % de l’Hexagone devraient être couverts par cette technologie qui n’a pas fini de nous étonner.

D’autant qu’à l’instar des Sud-Coréens qui se positionnent déjà sur le sujet car Séoul en a terminé avec le déploiement de la 5G à travers la péninsule, la 6G fera son apparition en France.

Sans doute dans les années 2030, comme l’a souligné Ludovic GUILCHER, au terme d’un entretien qu’il nous a accordé.

« Nous travaillons déjà sur la 6G : et sans être particulièrement futuriste, je peux vous confirmer que cela arrivera un jour… ».

Toujours la magie technologique dans les télécommunications qui opère et fait rêver !

 

 

En savoir plus :

Ont assisté à cette cérémonie inaugurale et explicative dans les salons d’honneur de l’AJ Auxerre :

Guillaume LARRIVE, député de la première circonscription de l’Yonne,

Arminda GUIBLAIN, conseillère départementale de l’Yonne,

Crescent MARAULT, président de l’Auxerrois et maire d’Auxerre,

Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale ORANGE Bourgogne,

Alexandre ORCEL, directeur des Relations avec les Collectivités locales ORANGE dans l’Yonne,

Olivier BISIAUX, responsable des relations presse chez ORANGE BFC,

Baptiste MALHERBE, directeur de l’AJ Auxerre,

Guy ROUX (que l’on ne présente plus).

 

Thierry BRET

 

 


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On le savait pédagogue auprès de ses collaborateurs du milieu assurantiel. Le voici qui endosse une toute autre casquette : celle de spécialiste de l’apprentissage à la conduite et à la prévention des risques sur la route ! Décidément, Jacques BLANCHOT est un véritable couteau suisse de la transmission des savoirs, quel que ce soit le public en face de lui. En l’occurrence celui des Cadets de la Gendarmerie, en immersion ce samedi autour de la découverte de la prévention routière chez GROUPAMA !

 

AUXERRE : Il explique avec patience et en trouvant les mots justes le principe du simulateur. Présentant les exercices auxquels seront confrontés dans quelques instants les adolescents encore tout émoustillés de vivre de pareilles circonstances. Une plongée dans un univers que certains connaissent déjà avec l’apprentissage de la conduite. Le code avant la mise en pratique sur la route.

Soutenus depuis leur apparition dans le paysage collectif de l’Yonne il y a deux saisons par l’assureur mutualiste régional, les Cadets de la Gendarmerie accueillent des jeunes gens, âgés de 16/17 ans, qui, pour la plupart, ont accompli une mission d’intérêt général au sein du SNU, le Service National Universel.

L’objectif étant à terme d’embrasser la carrière au sein de ce corps militaire mais aussi, pourquoi pas, de bifurquer vers les compagnies de sapeur-pompiers. D’autres éprouvent de la satisfaction à s’embarquer à bord d’aventures mêlant civisme et citoyenneté. Pour le plaisir…

 

 

 

Le civisme et la citoyenneté comme vertus à enseigner…

 

Samedi en matinée, un petit groupe de ces jeunes gens, très motivés, a reçu les renseignements informatifs de base se rapportant aux risques inhérents à la circulation routière (rappelons que le département de l’Yonne figure le plus souvent parmi les mauvais élèves de l’Hexagone depuis plusieurs années au niveau de l’accidentologie).

Des séances qui ont été assurées par le commandant MARTI et…Jacques BLANCHOT, en personne, qui rappelons-le, n’officie pas seulement en sa qualité de directeur d’établissement de l’antenne de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire dans l’Yonne et en Seine-et-Marne mais également en tant qu’ambassadeur du civisme avec son titre de lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie nationale. Tout cela s’est déroulé sous le regard expert de Francis CHOUVILLE, lieutenant-colonel de réserve, responsable des Cadets de la Gendarmerie nationale de l’Yonne et attentif de Marion AOUSTIN-ROTH, sous-préfète d’Auxerre et directrice de cabinet du préfet de l’Yonne. On notera aussi la présence du colonel MONVOISIN et du capitaine REBOULEAU, qui dirigeait la cellule "conduite"...

Thierry BRET

 

 

 


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Serait-ce imputable à la présence de la bretelle autoroutière, judicieuse vitrine facilitant l’accès à la circulation rapide pour les entreprises ? Ou la pugnacité de l’élu local qui souhaite poursuivre son programme d’investissements en faveur de sa commune et de son attractivité ? Toujours est-il que l’agglomération périphérique auxerroise va être dotée d’une seconde zone d’activités économiques, en vis-à-vis avec la première implantée il y a déjà quelques années. La boucle sera ainsi bouclée…

 

VENOY : D’abord, la première zone d’activités, répondant au patronyme exotique de « Soleil Levant » même si toute allusion avec le Japon s’arrête là ! Puis, le second secteur de ces parcelles, positionnées juste en face de cette dernière, la route les séparant. Ce n’était un secret de Polichinelle pour personne.

Le premier vice-président de l’Agglomération de l’Auxerrois, vice-président du Département et maire de la localité Christophe BONNEFOND en rêvait depuis longtemps.

Ce sera chose faite d’ici quelques mois. Le temps que les travaux de viabilisation se fassent et que s’érigent au fil de l’eau les différentes infrastructures devant accueillir les entreprises nouvelles à venir s’installer ici.

Bienvenue sur le site du futur pôle économique de VENOY. Un concept qui se sera amorcé in fine l’un après l’autre. Mais, en jouant de finesse et de subtilité dans sa future conception technique. Selon le suivi de la réglementation officielle, et l’application de la loi NOTRe, la commune ne disposait d’aucun droit lui permettant de le faire dans sa phase concrète.

Fallait-il donc attendre que quelqu’un (un investisseur, un promoteur…) décide un jour d’en avoir envie et de se lancer dans l’opération ? Fallait-il encourager et soutenir le projet d’un aménageur privé sérieux dans la conceptualisation de ce projet, porteur d’emplois à terme alors que des entreprises manifestaient leur désir de s’y installer ? Le dilemme fut tenace pour les représentants de la collectivité. La réponse s’est faite sienne, enfin.

 

Un investisseur qui a financé le projet sur ses seuls deniers personnels…

 

Une réponse incarnée par la personne de Thierry PARRET. Intéressé pour aménager la zone, ce dernier voulait s’y installer. Un gage plus probant que toute signature pour Christophe BONNEFOND qui voit alors d’un très bon œil l’initiative.

Responsable du développement commercial de la société ID VERDE, structure intervenant dans le domaine de l’aménagement paysager et urbain, l’investisseur a acheté les terrains, effectuant en parallèle les multiples démarches nécessaires à l’avancement de ce projet (permis d’aménager, les permissions de voiries, le dossier loi sur l’eau…) ainsi que l’avance financière sur les travaux. Une enveloppe, plutôt conséquente au vue de la portée du concept, soit 1,1 million d’euros injectés pour l’achat et l’aménagement des terrains. Sans l’ombre d’une quelconque aide.

 

 

Il s’est appuyé pour se faire sur les services d’un maître d’œuvre. L’objectif final étant de revendre ensuite les différents lots dans un délai raisonnable aux entreprises de la région, voire d’ailleurs, intéressées par ces emplacements de choix situés non loin de l’embranchement autoroutier de l’A 6.

Le premier permis de construire a été signé il y a peu avec Yonne Equipement afin de pouvoir accueillir une société de transport spécialisée dans de la petite messagerie, TYE.

 

Huit lots de près de 4 000 mètres carrés à pourvoir : les candidats se pressent…

 

A date, Thierry PARRET a déjà acquis près de onze hectares de terrain à la périphérie du village. Plus de cinq hectares et demi seront aménagés au final pour constituer cette nouvelle zone d’attractivité économique de huit lots.

Plusieurs entreprises ont montré leur intérêt et se sont déjà approchées de l’investisseur, transformant leurs contacts en signature de contrats fermes et définitifs. D’ici quelques semaines, plusieurs permis de construire seront ainsi déposés. Un premier bâtiment sortira de terre d’ici l’été.

Quant aux sociétés postulantes désireuses de s’implanter dans cette nouvelle zone d’activités, elles ne possèdent pas de profil type idéal. Même si Thierry PARRET évoque l’intérêt croissant pour des TPE/PME.

Côté emplois, la zone d’activités du « Soleil Levant » accueille déjà plus de deux cents postes. L’une des sociétés phare de ce site cherche à l’heure actuelle à embaucher 35 collaborateurs de plus. Des offres consultables chez Pôle Emploi et destinées plus spécifiquement à la gente féminine.

Grâce à cette deuxième zone d’activités, VENOY fait office de plus en plus de réel poumon économique sur le bassin auxerrois. Un poumon qui a du souffle car déjà très prometteur avec sa zone historique du « Soleil Levant ».

 

Thierry BRET

 

 

 


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Deux artisanes du Morvan, qui vivent côté Yonne, seront à l’honneur lors de cette manifestation destinée à promouvoir le savoir-faire ancestral autour des métiers d’art. Les créations en laine de moutons feutrée et teintures végétales d’Anaïs BOUTIN, de l’atelier FILIPENDULE, et de Catherine POUSSY, Laine, Feutre & Compagnie, méritent amplement le détour le prochain week-end.

QUARRE-LES-TOMBES : Profitez de la tenue de ces Journées européennes des Métiers d’Art pour filer (sans mauvais jeu de mots !) du côté des contreforts du Morvan, ce prochain week-end, pour y admirer les créations textiles de deux cheffes d’entreprise qui ont uni leurs talents !

D’un côté, il y a Anaïs BOUTIN, qui ouvrira grandes les portes de son univers, l’atelier FILIPENDULE, spécialiste dans le travail de la laine locale. De l’autre, on retrouvera Catherine POUSSY, de la maison Laine, Feutre et Compagnie, qui intervient dans le registre des teintures végétales. On l’a bien compris, les deux réunies forment une excellente association de créativité et de compétences !

Toutes deux proposeront des démonstrations de feutrage de toisons de moutons avec la participation des visiteurs. De quoi se mettre le fil à la patte afin de mieux cerner les rudiments de la tannerie à réserver aux tapis, couvres siège, matelas pour bébé.

 

 

En savoir plus :

Atelier ouvert et démonstrations gratuites en laine locale et teintures végétales

De 11 h à 19 h

Les Lavaults

Quarré-les-Tombes

Thierry BRET

 


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