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2022 a ouvert le chemin d’une inflation galopante. Les perspectives sont plutôt sombres ! La valse des étiquettes est hélas au programme cette année. Qui mène la baguette de ce concert, dramatique pour beaucoup ? Face à une augmentation record des prix, il est temps de trouver les meilleurs plans pour obtenir les meilleures conditions d’achat. Comme pour la célèbre danse, le tango, le bon plan devient une improvisation permanente, en s’adaptant aux offres et en recherchant les meilleures propositions présentes dans l’instant. Identique au tango, la recherche du bon plan commence souvent au salon : sur son ordinateur, grâce à son moteur de recherche préféré…

 

TRIBUNE : Les produits alimentaires sont largement concernés par l’inflation. Qu’il s’agisse de la viande ou du pain, la chasse aux promotions est ouverte toute l’année. Au-delà des offres promotionnelles de nos enseignes préférées, de bonnes nouvelles arrivent en 2023 : l’ouverture de nouveaux magasins dans le cadre de nouvelles enseignes. Notons au passage le lancement de  « TOUTJUST », avec 7 500 produits proposés de 5 % à 10 % moins chers. C’est une marque indépendante française qui  a été créée récemment par un ancien directeur d’hypermarché.

Mais, il y aussi « POTAGER CITY », filiale de CARREFOUR, qui assure la promotion du bio et « ATACADAO », filiale du même groupe, qui propose des entrepôts avec des denrées présentées à des prix inférieurs de 10 % à 15 % moins chers qu’ailleurs. Ce réseau s’adresse aux particuliers comme aux professionnels. On peut acheter par palettes entières, et le prix varie selon les quantités achetées.

Dans ces nouveaux cadres, les circuits courts sont privilégiés ainsi que les productions locales. L’implantation de ces magasins sera progressive mais débutera dès le mois de mars 2023.

N’oublions pas non plus, que même sur son balcon on peut récolter : des tomates cerise, des plantes aromatiques, des fraises…

Dans le cadre de promotions de viandes, réaliser un plat, comme du bœuf bourguignon, de la rouelle de porc et autres blancs de poulet est facile. Il ne faut pas hésiter à concocter des plats pour six à huit personnes. En effet, on peut congeler le surplus, et surtout, la cuisson de ces plats, qui peut dépasser les deux heures, permet de réaliser des économies d’énergie.

 

 

 

Bien négocier en sa faveur les offres de services…

 

 

Les contrats d’assurances incendie sont à vérifier. Attention, si dans le descriptif de la maison, fourni à l’assureur, il n’y a pas de cheminée, en cas d’installation d’un poêle. Il est obligatoire de le déclarer à l’assureur aux fins de signer un avenant. Une augmentation des cotisations en découle. C’est l’occasion de revoir le niveau des couvertures. A titre d’exemple : passer de 50 000 euros à 30 000 euros de couverture pour le mobilier, a permis de diminuer la cotisation globale, malgré la cotisation ajoutée et due à l’installation d’un poêle.

Pour les banques, la bonne nouvelle c’est que le taux d’usure va être calculé tous les mois. En conséquence, les banquiers vont plus facilement prêter. La mauvaise nouvelle, c’est qu’ils vont pouvoir s’adapter, en permanence, à une hausse des taux inéluctable.

Il semble important de réaliser son acquisition immobilière afin de s’engager uniquement sur des taux fixes. Pour les investisseurs en immobilier, un conseil : il faut toujours réaliser le montage financier avec un crédit (70 % d’apport personnel et 30 % de crédit, par exemple). Calculer l’échéance du crédit afin qu’elle soit équivalente au loyer encaissé. Retenons, que pour les crédits, l’assurance décès-invalidité est négociable et même ailleurs que chez la banque prêteuse.

Pour les placements immobiliers, en tête du podium de la rentabilité, se trouve la location courte durée, ainsi que sa variante, la location saisonnière. On peut aussi privilégier les résidences pour étudiants.

 

 

Il existe pléthore de bons plans pour acheter moins cher !

 

Pour les mutuelles d’assurance, il est important de comparer ce qui est comparable : pointer les niveaux de couvertures, point par point et non en se focalisant uniquement sur les cotisations. En ce qui concerne les cabinets dentaires associatifs, restons vigilants face aux dérives de certains, fermés pour raison sanitaire : ils ne sont pas soumis aux contrôles habituels des cabinets médicaux !

Quant aux voitures d’occasion, elles ont augmenté de 34 % en un an. Si on n’est pas impatient, les concessionnaires proposent des voitures neuves à prix cassé : voir sur Internet les meilleurs plans. En ce qui concerne l’électroménager, il faut d’abord aller sur les comparateurs de prix et déterminer ainsi les marques et les distributeurs les moins chers.

On peut trouver du mobilier à bas prix dans le réseau des dépôts « Emmaüs ». Certains cites propose de réaliser des achats groupés : le « team buying » qui consiste à faire des achats groupés via dealissime.com ou entreacheteurs.fr. 

Pour les vêtements, les « vides greniers » ont le vent en poupe. On peut ainsi trouver, des chemises et des pulls à un ou deux euros, en très bon état et parfois jamais portés.

Trouver un bon plan pour acheter moins cher, c’est aussi l’occasion d’échanges en famille, entre voisins…C’est surtout l’occasion de vivre une plus grande solidarité. Solidaire de nos anciens, isolés et qui ont des difficultés à se repérer sur Internet.

Nous l’avons vécu dans notre histoire, les difficultés ont souvent permis de s’engager sur le partage et l’entraide. Les exemples se multiplient : de jeunes couples proposent d’apporter les courses à des anciens en échange de la garde d’enfants, des échanges de participation concernant des travaux en tout genre (bricolage, jardinage…), des étudiants qui proposent des cours de soutien à des enfants, etc.

Si certains parlent de l’apparition d’un nouveau cycle économique, la crise que nous traversons, fait l’objet de l’émergence d’un monde plus solidaire, plus fraternel, plus humain tout simplement.

L'humanisme affirme la valeur, la dignité et l'autonomie des individus et le droit de chaque être humain à la plus grande liberté possible. Les humanistes ont le devoir de se soucier de l'humanité entière incluant les futures générations. C’est à la portée de chacun.

« Un humanisme bien ordonné ne commence pas, par soi-même, mais place le monde avant la vie, la vie avant l'homme, le respect des autres êtres avant l'amour-propre. » Claude LEVI-STRAUSS.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Il est midi et quart, en ce jour grisâtre de janvier. Poussons la porte de ce qui fut antan un commerce floral. Bienvenue à l'atypique « Crieur de vin » ! Mais, revenons l'espace d'un instant, quelques années en arrière. En 1996, le restaurant « La Madeleine » est déjà réputé, grâce à son chef Patrick GAUTHIER et sa petite brigade. Hum ! La fricassée de ris et rognons de veau aux champignons du moment ! Mais pas que…

 

SENS : C'est légitimement que Michelin étoila  la maison en 1999. Mais en 1996 Patrick et son formidable sommelier d'alors, Christophe DUCASSOU ont une idée formidable. Celle de créer un bar à vin. Cela s'appellera le « Crieur de vin ». Une dénomination pompée après, par de peu scrupuleux restaurateurs troyens d'ailleurs !

L'ambiance y était conviviale, vineuse (des pensées pour feu les vignerons Alain GEOFFROY et René CHARIAT, notamment) et gourmande : la salade de tétine précédait alors la tête  de veau, le coq au vin ou bien le sandre sauce vin rouge, avant de succomber avec la tarte au chocolat, la « flamusse », une sorte de clafoutis morvandiau, ou encore les poires au vin.

 

 

On poche, on blanchit, on épluche, on cuisine !

 

En novembre, au moment du Beaujolais nouveau, le « Crieur » se transformait, l'espace d'une semaine en bouchon lyonnais, avec force saucisson chaud, pommes à l'huile, tablier de sapeur, cervelle de canut et autres tartes à la praline. Bon appétit et large soif !  Pas vrai, monsieur Paul ?!

Aux fourneaux, ces années-là, il y avait Stéphane GAUDEL, Olivier PICAULT et en salle Tonton PINABEL, tout droit atterri des Etats-Unis ! A l'orée du nouveau siècle, Aurélien LAMOTTE, venu de chez LOISEAU à Saulieu ajouta son grain de sel culinaire. Michelin distingua le petit bistrot gourmand et sa rôtisserie d'un « bib » gourmand entre 2003 et 2008.

En poussant la porte de 2023, « cheffe Cécile » l'atteste : ici on poche, on blanchit, on épluche, on poêle...Bref, ici on cuisine !

 

 

 

 

En souvenir à feu M. FARDEAU…

 

Attablons-nous sur ces tables en pierre bourguignonne sur lesquelles les noms de vins icaunais furent gravés jadis par M. LANGLET, MOF graveur de pierre. Au-dessus de l'entrée, la photographie d'un pote de Patrick : Patrice FARDEAU, ancien journaliste auto du quotidien « L'Humanité », décédé voilà longtemps. Cet amoureux de la table assénait avec justesse que pour comprendre un restaurant, il fallait goûter un mets que l'on n'appréciait pas forcément.  Pas faux cependant...

L'Américano est accompagné d'une délicieuse crème de poireaux et de lard. Les tapas sont rigolotes et goûteuses à base d’andouillette et de jambon, tranché finement. En entrée, le pâté en croûte est délicieux. Il est agrémenté de son goûteux confit d'oignon rouge. Un hachage plus gros n'eut pas semblé inutile à ce bon mets, histoire d'y ajouter un brin de mâche !

 

 

 

L’injustice du Michelin d’avoir supprimé cette référence de leur guide…

 

Mais bon ! Mention spéciale pour les blancs de poireau à la vapeur, avec sa vinaigrette à l'asiatique : la sublimation d'un produit simple, feu le gourmet  M. FARDEAU, ne m'eut pas contredit, je pense !

Ensuite, parfaite et goûteuse cuisson meunière de l'églefin qui est servi avec une délicieuse sauce au curry. Viande et poisson sont accompagnés de légumes différents : ce n'est plus si courant désormais, bravo cheffe !

Le pain est délicieux et croustillant, il provient de chez le boulanger Alain FOURNIER, un vrai pro !

En dessert, le moelleux au chocolat nous ramène ici bien des années en arrière. C'est bon avec ce coulis de fruits rouges.

 

 

L’amour des bons produits au fond de l’assiette…

 

En 2021, comme d'autres tables icaunaises (« Le Clos des  Jacobins » à Sens, « Le Rive Gauche » à Joigny…), le « Crieur de Vin » fut arbitrairement supprimé de la sélection Michelin. En déjeunant ici, on se rend mieux compte de l'injustice de pareille décision, sans dégustation aucune de surcroît !

Le jeune édile sénonais, Paul-Antoine de CARVILLE, m'avait mandé de retrouver cette table qui honore Sens ! Vous aviez raison, monsieur le maire ! Bravo, à la souriante cheffe Cécile, dont l'amour pour les bons produits (le lait cru de ses parents agriculteurs...) se retrouve dans les assiettes pour le plus grand plaisir de la clientèle.

 


En savoir plus

 

Les - : ainsi baptisé, le renommé « Crieur de Vin » se devrait d'avoir une carte des vins, un brin plus...moins de vin-marketing, et plus d'authenticité. A l'instar de la cuisine.


Les + : le service est aimable. La générosité culinaire est appréciable (cela tend à diminuer hélas !). La table ayant de l'âme…

 

 

Contact :

Le « Crieur de Vin »

1 rue d'Alsace-Lorraine

89100 SENS

Tel : 03.86.65.92.80.

Ouvert tous les jours sauf dimanche et lundi.

 


Gauthier PAJONA

 

 

 


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On ne le dira jamais assez, l’apprentissage vécu en alternance est très formateur ! En témoigne l’expérience du jeune Yann GARCIA, tout juste dix-huit ans au compteur de l’âge, qui exerce désormais chez son maître d’apprentissage, l’exploitant agricole Christophe EGROT, au sein de son ERL. Son passage au Centre de Formation Agricole de La Brosse (CFA) lui a été ô combien profitable. Choisissant une voie professionnelle dont il rêvait depuis sa petite enfance…

 

VENOY : Voilà un jeune homme radieux et heureux de l’être qui ne se soucie pas encore de son droit à la retraite ! Un garçon au sourire jovial qui a transformé un rêve en réalité tangible en rejoignant la filière de l’agriculture depuis plusieurs mois. Son pygmalion n’est autre qu’un exploitant qui gère trois cents hectares de polyculture et d’élevage dont un cheptel de 180 têtes, Christophe EGROT, du côté de Charny-Orée-de-Puisaye.  

Yann GARCIA, le jeune homme qui voulait se projeter dans un parcours professionnel lui permettant de vivre au plein air, au contact des animaux et de la nature, y a effectué deux années de formation par le biais de l’alternance afin d’obtenir son précieux CAP des métiers agricoles.

 

Entre un voyage en Angleterre et une immersion à la ferme, le choix est fait !

 

Son CDI en poche auprès de son nouvel employeur, Yann est très satisfait de cette période où il a pu s’immerger au cœur de la filière, multipliant les stages et les rencontres avec les professionnels.

« Petit, j’habitai à côté d’une ferme, explique-t-il malicieux, ma vocation vient de là ! J’adore ce contact avec la nature et les animaux… ».

Un signe qui ne trompe sur cette attirance pour la filière agricole : Yann refusera de partir avec ses camarades de classe pour un voyage scolaire en Angleterre, préférant effectuer un stage primordial dans une ferme !

Il découvre l’univers pédagogique du CFA, d’abord à Champignelles durant une année, avant de suivre dans les locaux de La Brosse, suite au déménagement de l’antenne de Puisaye.

« J’ai vécu des moments très importants de mon existence dans ces murs, souligne-t-il avec un brin de nostalgie, et j’ai beaucoup appris de la part du professeur principal, Eric FAURE… ».

 

80 % des jeunes alternants intègrent la vie active au bout de six mois…

 

Embauché par Christophe EGROT, Yann nourrit les bovins, conduit le tracteur, travaille dans les cultures céréalières. Au plein air, et très motivé ! Il souhaite passer son permis poids lourd. Logique, son patron mène une autre activité en parallèle de l’exploitation de la ferme : le transport d’animaux. A la ferme, Yann s’est très bien intégré aux côtés de Fabien, le fils de Christophe EGROT titulaire d’un BTS.

Sa première paie, il l’a consacrée à l’achat d’une mobylette !

Comme tant d’autres passionnés par l’alternance, Yann GARCIA se plaît dans le métier qu’il exerce. Rappelons que 80 % de ces jeunes gens accèdent à un poste professionnel dans les six mois après l’obtention de leur diplôme dans la filière initialement choisie !

Directrice du CFA La Brosse, Hélène DECULTOT-TREMBLAY le précise à qui veut l’entendre : « je préconise l’alternance pour les jeunes, on y intègre des métiers passion et non par défaut ! Quant aux diplômes, ils courent du CAP à ceux d’ingénieurs ! ».

A réfléchir à deux fois, avant de prendre une décision relative à son orientation ! L’alternance, désormais, ne fait plus partie de ces voies pédagogiques « pestiférées » et des milliers de jeunes Français l’empruntent en connaissance de cause, de manière volontariste…

 

Thierry BRET

 

 


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Et un succès de plus pour la Bourgogne, obtenu au SIRHA, le fameux Salon international de la Restauration, de l’Hôtellerie et de l’Alimentation, accueilli en ce mois de janvier dans la capitale des Gaules, Lyon ! Un titre de gloire porté à l’actif d’un jeune artisan auxerrois, Alexis PEUZIN qui a su décrocher la timbale par son abnégation, son talent et son volontarisme à vouloir s’illustrer en soulevant la Coupe de France de la spécialité boulangère…

 

LYON (Rhône) : Cocorico pour l’Yonne et son représentant, l’Auxerrois Alexis PEUZIN, dont les fidèles consommateurs du cru se régalent au quotidien de ses produits croustillants vendus dans le magasin de la Rue du Temple, « Du Levain au Pain ».

De la graine de champion qui a su défendre brillamment avec pugnacité et maîtrise les couleurs bourguignonnes (et icaunaises !) lors de la prestigieuse Coupe de France de la boulangerie, disputée traditionnellement lors du SIRHA, le Salon international de la Restauration, de l’Hôtellerie et de l’Alimentation.

L’évènementiel était accueilli pour cette édition 2023 à Lyon, tout un symbole en somme qui résume les actualités des arts culinaires et des métiers de bouche.

Une douzaine d’équipes devaient se présenter sur la ligne de départ pour tenter au terme de dix heures de concours de soulever le précieux trophée. L’épreuve se déroulait sur deux âpres journées. Dont une de huit heures !

 

 

La conquête de l’espace en mode boulangère !

 

En compagnie du dijonnais Quentin DELAGE et du bordelais Pierre SAUCES, notre boulanger auxerrois et son team se sont lancés dans l’aventure, espérant toucher le Graal. Et revenir à la maison avec le précieux sésame !

Outre la conception de pain et des viennoiseries, la pièce maîtresse à constituer dans la catégorie artistique s’inspirait de la conquête de l’espace. Un clin d’œil judicieux à l’actualité spatiale alors que les Américains s’apprêtent à envoyer à bord de la fusée Artémis de nouveaux astronautes vers la Lune.  

De l’imaginaire, Alexis PEUZIN qui devait se charger de ce travail complexe à base de pâte morte (une pâte à pain non levée), n’en manque pas, visiblement. Une créativité féconde qui aura subjugué le jury, admiratif à la présentation de la pièce, devant être exposée dès la semaine prochaine en vitrine du commerce auxerrois.

Cette illustration de la conquête de l’espace offre ainsi à Alexis un titre honorifique important à ajouter à son escarcelle, de quoi avoir la tête dans les étoiles, assurément !

 

Thierry BRET

 

 


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Non, il ne s’agit pas de l’énoncé d’une dissertation philosophique à réaliser en quatre heures sur laquelle des élèves de niveau terminale d’un lycée devraient plancher ! Ces deux mots sont ceux qui serviront de fil conducteur à la stratégie managériale du nouveau directeur de territoire de la Banque Populaire dans l’Yonne, Christophe PIERRON. Succédant à Yann NUNES, appelé à des fonctions directionnelles en Côte d’Or, ce pur produit de l’Yonne – il est natif de Villiers-Vineux dans le Florentinois – a pris officiellement ses fonctions le 08 décembre dernier. Le jour de l’Immaculée Conception !

 

AUXERRE : Sera-t-il auréolé de la lumière divine pour accomplir ses missions professionnelles dans le cadre de son environnement bancaire ? En tout cas, Christophe PIERRON, âgé de 37 ans, s’est officiellement installé dans le fauteuil de directeur de territoire de la Banque Populaire dans l’Yonne à la date de la célébration de la Vierge, le 08 décembre dernier.

Une circonstance heureuse en termes de calendrier pour celui qui prône la bienveillance et l’exigence dans l’accomplissement de sa mission. Ce pur produit de l’établissement mutualiste – il y a fait ses gammes et y joue désormais ses partitions en qualité de chef d’orchestre depuis novembre 2006 – se sent comme un poisson dans l’eau au sein de cet univers bancaire qu’il affectionne tout particulièrement.

D’autant que le garçon au sourire sympathique a tout connu ou presque auprès de cette grande maison : l’accueil en agence à Tonnerre, le plateau téléphonique au siège, non loin de Dijon à Quetigny, le conseil à la clientèle particulière du côté de Villeneuve-la-Guyard avant de migrer à quelques kilomètres de là, à Pont-sur-Yonne, pour gérer un portefeuille de clients professionnels.

 

Instaurer un vrai climat de confiance : la priorité…

 

Son premier poste d’encadrant le mène à Monéteau. Ensuite, il se frotte à l’environnement avallonnais avec réussite. Puis, c’est un retour remarqué au sein de la vitrine phare du groupe bancaire, place des Cordeliers, à Auxerre. La dernière année, avant sa nouvelle affectation, il prend les rênes de la direction du secteur Sénonais. Une progression logique dans un schéma de mobilité raisonnée. On connaît la suite avec sa récente nomination le 08 décembre dernier à la tête de l’entité icaunaise.

Christophe PIERRON sait que le challenge est relevé. Prendre la suite de Yann NUNES, affecté à un poste directionnel en Côte d’Or, n’est pas aussi simple que cela. D’autant que le Dijonnais aura su marquer son territoire et imposer sa griffe.

Le nouveau responsable se réfère à la bienveillance et à l’exigence pour avancer sans masque dans ce défi managérial. Deux items qu’il souhaite décliner au quotidien dans sa relation à l’autre, envers les clients et les collaborateurs.

« Je veux instaurer un vrai climat de confiance, stipule-t-il, avec davantage de rendez-vous choisis plutôt que subis, et l’obligation d’un contact annuel avec notre clientèle ; ce que j’appellerai « l’appel bisou » ! C’est cela, le respect de la valeur client… ».

 

Prendre les bonnes décisions et les assumer…

 

On le sent pleinement investi par sa mission, le trentenaire. Il a d’ailleurs commencé à véhiculer ses messages forts auprès de ses collaborateurs (132) répartis sur les quatre secteurs que compte le département, via ses vingt-trois agences de proximité. L’un de ses autres désirs est de démystifier l’image parfois tronquée du banquier assureur. Se montrer en homme du terroir, du terrain aussi. Une normalité, en somme pour cet ancien footballeur amateur qui a joué jadis dans les équipes de Saint-Florentin ou de Joigny. Bref, un « winner » qui apprécie Steve JOBS et qui n’a pas peur de prendre les décisions nécessaires en les assumant, foi de gémeaux natif du 03 juin !

Thierry BRET

 


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