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La mesure figurait au programme de campagne du candidat MACRON lors de la dernière présidentielle. Le versement du RSA (Revenu de Solidarité Active) applicable désormais sous certaines conditions. Notamment une contrepartie de quinze à vingt heures d’activité professionnelle hebdomadaire et l’assurance d’un accompagnement plus ciblé pour ses bénéficiaires. A l’instar de 19 territoires (18 départements et Mayotte), l’Yonne, retenu par l’Etat, testera ce chantier expérimental ces douze prochains mois…

 

AUXERRE : Une fois n’est pas coutume, le territoire de l’Yonne figure au premier plan d’un test expérimental de grande envergure à l’échelle de l’Hexagone, en étant sélectionné par l’Etat. Comme la Côte d’Or et le Loiret, limitrophes. Et dix-huit autres départements de la métropole, auquel il faut ajouter pour les DOM-TOM, Mayotte.

Objectif de cette sélection inhabituelle : expérimenter le nouveau dispositif s’inscrivant dans le cadre du chantier de France Travail, soit la nouvelle dimension conférée au Revenu de Solidarité Active, le fameux RSA.

Cette année, dix-neuf territoires ont donc été choisis pour tenter une expérience unique en son genre qui ne fait visiblement pas que des heureux et des convaincus auprès des représentants de l’opposition (La France Insoumise), voire de certains syndicats et associations telle ATD Quart-Monde.

 

L’Yonne dans la liste des 19 territoires sélectionnés par l’Etat…

 

Il est vrai que le dispositif repose sur l’association du versement de ce revenu minima à un certain nombre de contreparties pour les allocataires, à savoir l’obligation de travailler de quinze à vingt heures par semaine au profit d’une entreprise ou d’une collectivité ; tout en bénéficiant de parcours d’accompagnement visant à renforcer l’insertion desdits bénéficiaires du RSA dans la vie active.

Promesse de campagne d’Emmanuel MACRON, cette mesure et son volet applicatif ont été confiés au haut-commissaire à l’emploi et à l’engagement des entreprises, Thibaut GUILLUY. Ce dernier avait d’ailleurs rendu visite à notre territoire à Saint-Florentin en octobre dernier pour y rencontrer les acteurs institutionnels de l’emploi et de la formation, dont ceux de Pôle Emploi.

Est-ce pour cela que l’Yonne – 43 conseils départementaux avaient au préalable fait acte de candidature avant la date limite du 21 octobre 2022 - a été retenue en figurant dans les petits papiers de ce haut serviteur de l’Etat ? Possible ! En tout cas, c’est le ministre du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion, lui-même, Olivier DUSSOPT qui dévoilera à la mi-décembre – le 13 précisément ce qui est donc un porte-bonheur pour notre territoire ! – la liste de ces départements retenus pour tester durant une année ce RSA à la configuration nouvelle. Banco, l’Yonne y figurait bel et bien !

 

 

Priorité au recul du nombre d’allocataires du RSA et de leur retour vers l’emploi…

 

Dans le concret, la gouvernance de ce dispositif expérimental – il pourrait s’élargir à l’ensemble de l’Hexagone après coup – sera assurée par le président du conseil départemental et le préfet du département concerné. Quant au pilotage opérationnel de ce chantier, il a été confié au binôme Département/Pôle Emploi.

Les moyens en matière d’accompagnement social et professionnel vont être renforcés avec la mobilisation des employeurs du privé et du public. Via des périodes d’immersion en entreprises, de préparations à l’emploi mais aussi d’opérations spécifiques de recrutement.

Président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD se dit très satisfait que « l’Yonne ait été choisi parmi les territoires français retenus pour expérimenter cette approche innovante ».

Il devait rappeler par ailleurs que « notre territoire allait s’engager avec détermination et énergie sur la mise en place de ce dispositif ; le recul du nombre de bénéficiaires du RSA constituant un objectif prioritaire à ses yeux… ».

Aujourd’hui, 7 381 foyers de l’Yonne perçoivent le RSA. Le Conseil départemental souhaite préserver les plus fragiles d’où un redoublement d’efforts de la part de l’exécutif territorial.

Grâce à cette phase expérimentale, l’organe institutionnel icaunais va surtout permettre à chacun des allocataires de pouvoir bénéficier d’un diagnostic précis et d’avoir une activité sous une forme adaptée à ses capacités. Sacré challenge en perspective pour répondre aux besoins d’un tissu économique qui est toujours en quête régulière d’une main d’œuvre…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Avant de rencontrer les fournisseurs d’énergie mardi soir à Bercy pour qu’ils « aident de manière plus significative les petites entreprises confrontées à la hausse spectaculaire des tarifs du gaz et de l’électricité », Bruno LE MAIRE a été le destinataire d’une question écrite dans la journée par le parlementaire du Rassemblement National Julien ODOUL à propos des mesures d’urgence à adopter pour sauver les professionnels de la boulangerie. Ce dernier fustige le gouvernement qui ne protège pas assez les artisans…

 

PARIS : Le ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle Bruno LE MAIRE s’est vu remettre une question écrite dans l’hémicycle du Palais Bourbon ce mardi après-midi. Une interpellation épistolaire à l’estampille du député RN Julien ODOUL alors que dans le même temps il demandait aux fournisseurs de gaz et d’électricité de « faire davantage, de faire mieux et de le faire tout de suite » pour soutenir les professionnels en proie à de sérieuses difficultés. Dans le viseur de ces métiers en extrême tension sont ciblés les artisans, les TPE, les PME. Parmi les artisans, les boulangers vivent une situation à la limite du catastrophisme.

C’est justement en prenant fait et cause envers les professionnels de la boulange que le député de l’Yonne Julien ODOUL a alerté le ministre du gouvernement BORNE. Appelant à la prise de mesures d’urgence et immédiates pour sauver la corporation.

 

Le risque d’une vague de faillites sans précédent en France…

 

Aujourd’hui, après une année 2022 déjà désastreuse pour bon nombre d’artisans, les hausses du coût de l’énergie atteignent des sommets allant parfois jusqu’à 1 000 % !

Julien ODOUL réagissant à cela est catégorique : « La mesure gouvernementale qui consiste à prendre charge une petite partie de la hausse ne suffit pas à faire face à ce tsunami financier. Aujourd'hui, nos artisans et en premier lieu les boulangers se retrouvent au bord de la fermeture avec le risque d'une vague de faillites sans précédent en France… ».

Face à la situation ubuesque, le parlementaire du Rassemblement National en appelle le gouvernement à agir vite et de manière concrète en prenant des mesures sérieuses ; « à commencer par la sortie du marché européen de l'énergie qui force les Français à acheter leur propre électricité aux tarifs du gaz hors de prix ».

Pour lutter contre l'explosion du prix des matières premières (beurre, œufs, farine) et la hausse phénoménale de l'énergie, les boulangers ont été sommés d'augmenter leurs prix de 5 % pour essayer de survivre, faisant ainsi passer la baguette de 1,05 à 1,10 euros. Pas suffisant pour certains qui entrevoient déjà la fermeture sine die de leur établissement, licenciements secs de leur personnel à la clé. Les exemples commencent à se multiplier comme des petits pains aux quatre coins de l’Hexagone.

Triste constat, en vérité.

 

Sortir des règles européennes de fixation des prix de l’électricité…

 

« Les 35 % d'aides de l'État n'auront finalement pas été suffisantes pour ces artisans, qui ont tout perdu, explique l’élu de l’Yonne. Certains boulangers qui ont vu leur facture flamber de 1 800 à 6 000 euros tentent de tenir bon en limitant le nombre de jours d’ouverture. Ils ferment la semaine et accueillent la clientèle que le week-end. Une situation qui est une véritable menace pour l'artisanat et démontre une nouvelle fois que le gouvernement est incapable de protéger les petits commerçants français… ».

Quant à la mesure d'amortissement des prix de 20 % pour les professionnels, elle est loin d'être suffisante pour le député bourguignon, voire « totalement déconnectée de la réalité ».

Julien ODOUL a donc demandé explicitement au ministre de sortir des règles européennes de fixation des prix de l'électricité, à l'instar du Portugal et de l'Espagne pour sauver la filière artisanale en profonde détresse.

D’ailleurs, prophétique il prévient que « si cette mesure de bon sens n'est pas mise en place dans les plus brefs délais, ce sont près de 33 000 boulangeries et autant d'artisans-boulangers français qui risquent de baisser le rideau… ».

 

Thierry BRET

 


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La jolie Saône-et-Loire a toujours été un vivier natal d'excellents cuisiniers (MM. DUMAINE, DUCLOUX et BILLOUX antan, CARETTE, CHAPUIS, DOUCET, BROCHOT de façon plus actuelle). Nicolas BRELAUD n'échappe donc pas à la règle   puisqu'il est né à Montceau-les-Mines. Après, un parcours éclectique,  provincial puis en étoilé parisien, mais aussi dans des ministères, c'est un peu par hasard,  en cherchant une affaire, qu'il aura un coup de cœur pour la cité du rail icaunais, reine des constructions BERARD, dont les rotondes du temps passé accueillirent jusqu'à deux cents locos vapeur !

 

MIGENNES : L'électrification de l'impériale artère du PLM au lendemain de la Seconde Guerre mondiale vit disparaître les imposants panaches de fumée des majestueuses « Pacific 231 », remplacées par les puissantes « 2D2 », puis « CC 7100 ».

Migennes n'est pas forcément la plus gourmande des cités icaunaises, même si, à la fin du siècle passé,  on mangeait bien à l'hôtel-restaurant « Paris », un établissement distingué fort légitimement d'un « bib gourmand » Michelin,  d'ailleurs !

Au restaurant du Canal, épaulé par son épouse Caroline, notre entreprenant chef se fit rapidement repérer. Trois entrées, plats (poisson, viande et toujours une pâte) et desserts, le tout fabriqué maison, avec un imparable rapport qualité-prix. Il n'en fallut pas plus pour remplir la salle du  restaurant et sa terrasse des beaux jours ! Une pensée émue pour les magnifiques tripes qui firent longtemps la joie des amateurs d'abats, et pas seulement en novembre, leur mois dédié ! Oui mais ça, c'était avant…

 

 

La tête de veau s’est embourgeoisée en cromesquis !

 

Depuis l'automne 2021, Nicolas a déménagé ses fourneaux. Oh ! Pas bien loin cependant. Répondant aux sollicitations municipales, il s'occupe des cuisines du tout nouvel hôtel-restaurant de Migennes, le MITIGANA. Là-aussi, le succès fut immédiat. Pas de hasard, pourra-t-on penser ! Nicolas et sa brigade culinaire ont raffiné la gamme, tout en demeurant fidèles à leurs fondamentaux. Adieu aux tripes. Quant à la tête de veau, elle s'est désormais embourgeoisée...en cromesquis !

Au service, exerce un binôme formidable : Gaëlle et Manu. Ils travaillaient chacun à « Paname ». Le post-confinement leur fit débuter un nouveau chapitre de leur vie. Adieu feux rouges incessants et embouteillages ! Vive la vie provinciale ! La dernière brasserie à avoir employé la dynamique Gaëlle s'appelle « Le Verre de Vin ». L'Yonne apparaît ici, telle une belle évidence ! 

 

 

 

Des croûtons aillés qui croustillent...


Le cadre est lumineux. L’assise est confortable et de fort jolis couverts sur table précédent un goûteux « Américano » ! En entrée, l'œuf et le vin constituent une fort belle surprise : point de faute de goût dans cet œuf bio poché au Chablis (peut-être celui du truculent Daniel SEGUINOT !). Tout y est fort bon, notamment les croûtons aillés qui croustillent (aspect souvent négligé...). Quant à la terrine de pintadeau traité comme un persillé, c'est inattendu et fort bon !
Ensuite, elle fut annoncée la tête de veau en cromesquis, une façon originale de déguster ce mets si légitimement apprécié dans l'Yonne. La bourride de poissons nous amène, l'espace d'un instant, du côté de Sète ! Un plat là aussi aux saveurs étagées et précises, notamment le délicat aïoli.

 

 

 

Un des établissements les plus prometteurs de l’Yonne…

 

Même le fromage blanc aux herbes est servi élégamment. Cette élégance est comme une image de cette jeune maison, avant de conclure par un dessert léger à l'ananas.

Meilleurs vœux gourmands pour cette année nouvelle qui débute dans un établissement des plus prometteurs. Quai numéro 2, attention au départ !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : une gougère par personne pour l'apéritif. Peut-être pourrait-on pousser à deux ! Et avec le café, un « p'tit » chocolat ou autre serait le bienvenu.

Les + : le service est dynamique et souriant.

 

 

Contact :

 

Hôtel-Restaurant Le MITIGANA

16, Avenue Roger Salengro 89400 MIGENNES

Tel : 03.58.44.90.11.

Formule à partir de 30 euros.

Sauf lundi et mardi.

  

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 


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L'inauguration du barreau routier de la déviation sud de Sens, d'une longueur de 7,2 km, ou 7 200 mètres souvenir de l'arithmétique à l'ancienne, a eu lieu il y a peu. Il n'est pas si courant, en France, d'ouvrir de nouvelles routes, et peut-être pareil événement,  car c'en est un, aurait mérité un brin de couverture médiatique supplémentaire...

 

SENS : Attendue de longue date, cette route aurait germé dès la fin des années 60 dans la tête de Roger TREILLE, visionnaire maire de Paron, commune désormais délestée d'un flot quasi ininterrompu de camions. Aux hebdomadaires réunions de chantier, un jour, on en vit même un plan datant de 1976 !

Il était grand temps que les divers ouvrages d'art préalablement construits de façon isolée en pleine campagne, voient enfin passer du trafic, retrouvant ainsi leur vocation originelle.

Bravo au président Patrick GENDRAUD d'avoir concrètement relancé en 2018, ce projet ensommeillé ! Les chargés de mission départementaux, en charge du suivi du chantier, Ludovic NIEZ, puis Adrien JEAN, furent des plus efficaces, agissant avec pragmatisme quant à des aspects moins visibles mais indispensables : on pense notamment à l'écoulement de l'eau pluviale.

 

 

Félicitations aussi à David SCHAAP, ingénieur de l'entreprise EUROVIA, pour  son efficace coordination d'équipes, menées de main de maître par le sympathique Johann ! Un véritable chef de chantier de terrain.

On a aussi une pensée pour Louis, Didier et les autres de l'entreprise GOSSIAUX, qui édifièrent l'OA6, le terme d'ouvrage d'art étant ici aussi des plus adaptés !

Enfin, la tradition de fin de chantier fut respectée avec le fameux gigot-bitume, aussi rosé que goûteux. Plat surprenant s'il en est…

Le nord de l'Yonne a une légitime raison de se réjouir de cette nouveauté routière, sur laquelle la maréchaussée ne devrait pas tarder à trouver ses marques d'ailleurs !

Bonne route,  et à bientôt dans le Sénonais ou le Gâtinais !

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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La pose photographique se veut solennelle sur le perron de la mairie. Logique ! Ce n’est pas tous les jours que le représentant de l’Etat, à savoir le préfet de l’Yonne Pascal JAN, consacre un peu plus de temps que d’ordinaire pour visiter les aspects attractifs d’une agglomération. Le maire de Chevannes avait inscrit au programme de cette immersion, vécue le 19 décembre, deux temps forts sur le terrain : le chantier de la maison de santé et la découverte du laboratoire artisanal du maître boulanger/pâtissier Laurent BISSON.

 

CHEVANNES : Accueilli par Dominique CHAMBENOIT, premier élu de la localité périphérique d’Auxerre, le préfet de l’Yonne Pascal JAN a pu prendre le pouls de cette bourgade, implantée à quelques encablures de la capitale départementale, membre de facto de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Un rendez-vous officiel, qualifié de « riche et de constructif » par le maire, qui était depuis longtemps biffé sur l’agenda de ce dernier.

 

A la rencontre d’un maître artisan de la boulangerie/pâtisserie…

 

Le haut fonctionnaire eut droit en guise de préambule (et peut-être pour se mettre en appétit !) à la visite de la boulangerie/pâtisserie de Laurent BISSON, maître artisan de la double spécialité de ces métiers de bouche qui font toujours recettes auprès des villageois dans nos campagnes.

Outre la découverte du laboratoire où s’affairent au quotidien les équipes du couple qui régale les habitants de leurs savoureux produits, il aura été question aussi de la situation économique de ces professionnels de l’artisanat en proie aux crises successives de la COVID – qui ne se souvient pas des interminables périodes de confinement ? –, de la crise énergétique qui nous guette avec le renchérissement du gaz et de l’électricité, et des problématiques inhérentes à l’emploi et au recrutement.

Puis, le préfet, accompagné de son « guide » municipal, prirent la direction du chantier de la maison de santé, un projet dont le terme est prévu d’ici la fin du premier trimestre si toutes les conditions sont réunies.

 

 

 

Etat des lieux sur le chantier de la future maison de santé…

 

L’édifice, toujours en construction, une fois sorti de terre, accueillera sur un espace d’environ 400 mètres carrés plusieurs cabinets de praticiens, notamment des généralistes ainsi que deux dentistes. Un projet de belle envergure – une enveloppe budgétaire de près d’un million d’euros TTC – qui avait été soutenu à l’époque par l’ancien député de la circonscription, Guillaume LARRIVE, et conçu par Benoît BAZEROLLES, l’une des têtes pensantes du cabinet d’architectes auxerrois, ATRIA.

Parmi les financeurs, outre la Région et le Département, il y avait aussi l’Etat à hauteur de plus de 275 000 euros TTC, au titre de la fameuse DETR, la Dotation des Equipements des Territoires Ruraux.

La dernière partie du déplacement préfectoral où se ralliaient également les conseillers départementaux du canton Delphine BILLON et Pascal HENRIAT devait se conclure dans le bureau du maire.

Il y fut abordé notamment le toujours très délicat dossier se rapportant aux gens du voyage et les projets d’aménagement d’aires de grand passage sur l’Auxerrois, conformément aux textes législatifs en vigueur.

On n’en saura pas davantage sur le contenu de ces échanges, certes passionnants, mais privatifs…

 

Thierry BRET

 


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