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La frimousse est encore un brin juvénile. Le ton de la voix, pourtant calme et assuré lors de l’entretien, se veut timide. A peine audible, parfois, pour répondre aux interrogations. Elle en serait presque effacée, à la limite de la discrétion, notre témoin du jour ! Mais, une fois les habits professionnels revêtus et le casque bien vissé sur la tête, Laurine se mue en un tout autre personnage dès qu’il s’agit de gravir les barreaux de l’échelle en fer la menant vers les toits. Que dire lorsqu’elle grimpe, seule et solidement harnachée, à la conquête d’un pylône de plus de cent mètres de hauteur pour y exécuter avec dextérité ses gestes professionnels pour le compte d’ORANGE ?!

 

AUXERRE : Un petit sourire malicieux au coin des lèvres, Laurine, jeune trentenaire bien dans sa peau, savoure l’instant. La jeune femme est l’exemple parfait de la réussite de la politique de féminisation déclinée chez l’opérateur ORANGE depuis plusieurs années, occupant de fait une fonction éminemment stratégique que bon nombre de ses collègues masculins n’oseraient peut-être pas faire !

Son dada, excusez du peu et à proscrire pour les personnes craignant le vertige, est entre autres de grimper aux pylônes posés çà et là par l’opérateur afin d’en assurer la maintenance et l’entretien ! Un exercice à la virilité affirmée qui dénote avec le calme olympien de la jeune fille, titulaire d’un bac scientifique.

Qui l’eût cru ? Même pas elle, et pourtant son intégration au sein d’ORANGE en qualité de technicienne l’a littéralement transformée. Une « Wonder Woman » qui n’a pas peur du vide et qui se régale du haut de sa « tour d’ivoire » ! Elle est donc bien loin la période de l’alternance vécue chez l’opérateur entre 2014 et 2016, juste avant l’embauche…

 

Une perche tendue par ORANGE, celle de l’alternance après le Bac pro…

 

Une fois les gammes réalisées dans le service box, routeur et téléphonie, Laurine ajoute une nouvelle corde à son arc, côté diversité : le FH (Faisceau Hertzien). En terme clair, elle assure l’entretien des pylônes, au-dessus de la terre ferme ! Une vraie « pylôniste », en somme, dans le jargon usité par les techniciens de l’entreprise à la couleur orangée !

Parallèlement, la jeune femme pratique aussi la VQSE, soit après la traduction de cet acronyme, la vérification qualité sécurité et environnement. Du contrôle de la qualité, à l’état pur !

Vraie perle rare au sein de son service – Laurine est la seule fille volontaire pour escalader les pylônes -, qui comprend une trentaine de collaborateurs, elle ne regrette pas ses choix de carrière. A l’heure où la politique de féminisation de ses métiers va se poursuivre chez ORANGE. Le poids lourds des télécoms s’est fixé un objectif de 35 % de féminisation, notamment dans les fonctions de l’encadrement, d’ici 2024. Le service dans lequel exerce Laurine SIMMONET est bien en deçà de ce taux, 10 % de femmes seulement recensées parmi l’effectif.

Sans idées préconçues au sortir de sa scolarité, Laurine une fois son Bac Pro systèmes électroniques et numériques, option « Télécommunications et Réseaux » en poche, choisit l’alternance par le prisme de l’IUT Auxerre qui l’accueille via le DUT Réseaux et Télécommunications, en intégrant ORANGE. Un pied posé dans la porte professionnelle, légèrement entrouverte, d’une future carrière.

Le baccalauréat obtenu, ORANGE convertit cette immersion en alternance par un poste en CDI. On connaît la suite !

« Certes, reconnaît-elle, ce fut un peu difficile au début. J’arrivais dans un monde du travail où il n’y a en majeure partie que des hommes. Communiquer avec les autres personnes était un peu compliqué au début. Mais, maintenant, assure-t-elle fièrement, cela va nettement mieux ! ».

 

 

« Je ne crains pas le vertige et j’aime relever les challenges ! »…

 

Un peu garçon manqué dans l’âme, Laurine n’a pas hésité à saisir la perche tendue par ORANGE à la fin de son Bac pro. « L’univers technique me paraissait très intéressant et le fait d’être une femme était un challenge pour démontrer que ce métier de technicien d’intervention client entreprise n’est pas seulement réservé aux hommes… ».

Pour l’heure, et dix ans après ses débuts chez ORANGE, Laurine SIMONNET qui n’est pas plus que cela motivée par le sport en règle générale, n’a pas encore une vision précise de son plan de carrière. Hormis peut-être de grimper sur des pylônes encore plus haut ?!

« J’aime bien monter à ces hauteurs, je n’éprouve pas de sensation de vertige… ».

Parfois, avec certains clients, elle fait montre de pédagogie pour expliquer qu’elle est avant tout une technicienne même si elle est une femme. Problématique récurrente observée avec la mixité dans certaines professions aux préjugés masculins.

Pourtant, ORANGE multiplie les initiatives pour éradiquer les différences entre les femmes et les hommes dans l’emploi. C’est l’un de ses objectifs que nous détaillera dans un autre article Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale du groupe en Bourgogne.

N’est-ce pas Chrystel HEYDEMANN qui à 47 ans succéda à la direction générale du groupe, s’installant ainsi dans le fauteuil de l’ancien PDG, Stéphane RICHARD en avril 2022 ? C’est la seconde femme à diriger une entreprise du CAC 40. L’autre étant la responsable d’ENGIE.

Mais, il y a encore beaucoup de chemin à parcourir en France sur la voie de la féminisation dans les postes à haute responsabilité, alors que la loi COPE prévoyait il y a une décennie de cela un quota de 40 % de femmes dans les conseils d’administration des entreprises hexagonales…Peu mieux faire, en vérité !

 

Thierry BRET

 


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L’année 2023 sera-t-elle celle de l’embellie ou de tous les dangers pour les commerces icaunais ? Lors de l’audience solennelle de rentrée du Tribunal de Commerce d’Auxerre, son président, Pascal BAILLY, s’est bien gardé de pronostiquer sur l’avenir, compte tenu du climat inflationniste affectant tout le tissu économique et de la hausse des prix de l’énergie. Une prudence tempérée par une note plus optimiste, concernant notamment le nombre à la hausse des procédures amiables réalisées en 2022 ainsi que des nouvelles entreprises enregistrées…

 

AUXERRE : Ces deux dernières années, la cérémonie s’était déroulée à huis clos, crise sanitaire oblige et ce n’est pas sans une certaine satisfaction que Pascal BAILLY a ouvert cette audience solennelle, point d’orgue de l’année judiciaire écoulée, devant un large parterre d’invités.

Si l’heure était au bilan, difficile, au regard du contexte, de ne s’arrêter qu’aux seuls chiffres, selon le président de l’instance juridique consulaire : « compte tenu de la période sanitaire compliquée que nous traversons depuis bientôt trois ans, les chiffres, les statistiques, les comparaisons d’une année sur l’autre, restent très aléatoires et demandent à être manipulés avec beaucoup de précaution… ».

Ce sont néanmoins 116 audiences qui se sont tenues en 2022, dont quatorze de référés, en léger retrait par rapport aux années précédentes, 61 audiences de juge commissaire et 18 de contentieux au cours desquelles ont été prononcés pas moins de 126 jugements, un chiffre en progression de 40 %. Concernant les procédures de prévention, dix-sept ordonnances de mandat ad hoc ont été rendues. Une hausse saluée en ces termes par le président BAILLY : « cela montre en l’espèce que tout le travail de prévention pour faire connaître les procédures amiables, réalisé par le tribunal, mais aussi par les experts comptables et les chambres consulaires porte ses fruits… ».

 

Des chiffres conformes à ceux observés au national…

 

Pour ce qui est des procédures collectives, qualifiées de « baromètre de l’économie locale », l’année écoulée a vu se tenir 23 audiences au cours desquelles ont été prononcés près de 400 jugements, six sauvegardes, 21 ouvertures de redressement judiciaire et 71 liquidations judiciaires dont 59 sous la forme simplifiée. Des chiffres supérieurs à 2021 mais bien en retrait des années d’avant COVID et conformes à ceux enregistrés au national. Les liquidations prononcées dans le département concernant en majorité de jeunes entreprises avec peu, voire pas de salariés, victimes des confinements successifs. Un bilan là aussi au diapason des chiffres nationaux où 94 % des procédures collectives ont concerné en 2022 des entreprises de moins de dix salariés. Une note positive toutefois, avec l’enregistrement au greffe du Tribunal de Commerce d’Auxerre de 556 nouvelles entités commerciales, en hausse de 20 % par rapport à 2019 et de 570 immatriculations de personnes physiques dont 494 sous le statuts de micro entreprise, un chiffre là aussi en forte progression, supérieur de 60 % à ceux de 2019.

 

 

Venir en aide aux chefs d’entreprise en situation de détresse…

 


Difficile pour autant, estime Pascal BAILLY, de se livrer à un quelconque pronostic sur l’avenir au regard des chiffres annoncés : « le nombre de procédures à venir sera très certainement corrélé au dispositif de sortie de crise, au retour rapide ou progressif des délais légaux, à l’arrêt des dispositifs d’aide, ainsi qu’aux conditions et possibilités du remboursement des prêts garantis par l’Etat… ».

Autant de facteurs auxquels il faut rajouter bien sûr l’inflation, les coûts de l’énergie et les difficultés à recruter pour de nombreux secteurs…

Parmi les éléments de satisfaction relevés par le président du Tribunal de Commerce d’Auxerre, ce chiffre au national concernant les procédures amiables : « 78 % d’entre elles ont connu un taux de réussite quand parallèlement ce taux n’atteint pas les 40 % en cas de redressement, d’où l’intérêt de toujours agir en amont… ».

L’occasion de rappeler l’existence depuis plus d’un an et sur l’ensemble du département, du dispositif « APESA », dont l’objectif est de venir en aide aux chefs d’entreprise en situation de détresse psychologique face aux difficultés financières de leur entreprise : « cette démarche s’inscrit tout à fait dans la philosophie de notre institution consulaire, qui se veut avant tout d’être à l’écoute des chefs d’entreprises en difficulté et se préoccuper des conséquences humaines de ses décisions… ».

Un dispositif présidé par Michel SAINT-ANTONIN, nommé par ailleurs depuis le 06 janvier dernier, magistrat en charge de la suppléance en cas de vacance de la présidence. Au registre de l’année judiciaire à venir, à noter la nomination à la vice-présidence du Tribunal de Commerce d’Auxerre d’Eric MORIZE ainsi que du juge enquêteur et juge commissaire, Didier BOURGEOIS. 

 

 

En savoir plus :

Tout en soulignant l’efficacité du prêt garanti mis en place par l’Etat (PGE), avec pour conséquence une baisse importante du nombre de procédures collectives, le procureur de la République d’Auxerre, Hugues de PHILY a fait part des inquiétudes de la Haute Juridiction Financière, quant à l’impact de son remboursement dans le budget des entreprises qui y ont fait appel : « pour les entreprises les moins rentables, la part du chiffre d’affaires mobilisée pour rembourser le PGE serait d’environ 8 %, ce qui affecterait plus de la moitié des bénéfices à consacrer à l’apurement du PGE et des dettes sociales. On ne peut en déduire qu’il faudra se montrer très vigilant pour 2023 et les années à venir… ».

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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« Dieu merci, heureusement qu’il existe les fondations pour soutenir financièrement les structures associatives de l’insertion… ». Président de SITAPHY, entreprise d’aide au retour à l’emploi des travailleurs handicapés et chômeurs de longue durée implantée à Auxerre, Serge CHOPINET ne tarit pas d’éloges sur le rôle de ces entités aux actions bienveillantes. La Fondation VINCI vient de lui en apporter une nouvelle fois la preuve en concourant aux travaux de réhabilitation du site…

 

AUXERRE : Les salariés de l’atelier de fabrication de jouets en bois aux inspirations historiques pourront remercier longtemps l’initiative prise par la Fondation VINCI. Exit leur ancien système d’aspiration de poussières boisées voletant dans leur espace de travail qui était devenu obsolète, voire à la limite de la vétusté, bienvenu au nouvel appareillage qui leur garantit désormais une qualité optimale de circulation de l’air, débarrassé enfin de ses scories !

Grâce à l’investissement conséquent assuré par la fondation nationale de ce poids lourd de la construction et de l’énergie, la petite vingtaine de personnes s’affairant au quotidien au sein de l’unité de production de la structure auxerroise respireront mieux. Un confort de vie très appréciable de tous, y compris des deux responsables de l’entreprise associative, Serge CHOPINET, président et le nouveau directeur aux manettes de ce spécialiste de la conception du jouet en bois, Philippe JAYET.

C’est ce dernier, précisément, qui avait pris attache avec le siège national de la fondation à Paris il y a quelques semaines de cela en adressant un dossier complet en explicitant ses besoins.

Le changement de ce système d’aspiration vétuste, soit un investissement global de plus de 9 000 euros que VINCI par le prisme de son organe d’intervention auprès des acteurs de l’économie sociale et solidaire (ESS) prendra à son compte 80 % du montant des travaux.

 

 

Déjà par le passé, SITAPHY avait profité des subsides généreux de la Fondation VINCI…

 

Une aubaine ou un cadeau de Noël selon les cas pour Serge CHOPINET qui rappelle que SITAPHY avait déjà par le passé eu recours aux aides si précieuses de la Fondation VINCI, voire d’autres partenaires à l’instar de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté afin d’améliorer l’outil de travail auxerrois, considéré comme une voie royale pour un retour à la vie active pour ces travailleurs handicapés ou demandeurs d’emploi de longue durée qui le fréquente journellement.

Représentant local de la Fondation VINCI, Joël MARROU s’est rendu au siège social de la structure où il a pris soin d’apposer son paraphe au bas d’un document officialisant cet engagement partenarial entre les deux structures. C’est la première fois que ce jeune homme, exerçant son savoir-faire professionnel au sein d’une filiale du groupe VINCI dans l’Yonne – les Sablières de Gurgy –, parraine une association issue de l’économie sociale et solidaire.

Un parrainage qui ne se limite pas seulement à financer les travaux de rénovation du bâtiment de SITAPHY, par ailleurs.  Joël MARROU s’est engagé à apporter aussi conseils et préconisations aux salariés de l’association dans leur quête à se réinsérer vers l’emploi au terme de leur vingt-quatre mois de présence sur le site d’Auxerre. Qui sait, peut-être de favoriser l’employabilité de quelques-uns d’entre eux à l’issue ?

 

Thierry BRET

 

 


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L’initiative est heureuse. Savoureuse, aussi, lorsque l’on sait que c’est l’un des orfèvres de la boulangerie/pâtisserie de l’Yonne, le maître artisan Laurent BISSON, qui en a élaboré la recette. Concevoir une galette des rois d’un diamètre d’1,20 mètre à l’occasion de la cérémonie des vœux de la préfecture. La belle idée pour valoriser le métier, en y associant les apprentis du CIFA, relève naturelle d’une corporation en grande souffrance du fait de la crise énergétique actuelle…

 

AUXERRE : Il le revendique clairement à la lecture de son communiqué de presse : le préfet de l’Yonne Pascal JAN est aux côtés des artisans boulangers de notre territoire.

Des professionnels en proie à des doutes légitimes et devant faire face à une situation délicate avec la flambée des coûts de l’énergie qui pourrait mettre en danger, si rien n’est fait de façon catégorique pour stopper cette inflation galopante, leur outil de travail.

Aussi, pour montrer son total soutien à la filière alors que le gouvernement vient d’annoncer de nouvelles mesures par la voix du ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE mercredi , le représentant de l’Etat sur le sol icaunais a donc décidé de marquer le coup de façon très visible et surtout symbolique en proposant lors de la traditionnelle cérémonie protocolaire des vœux, accueillie dans les salons de la préfecture, la dégustation à ses invités d’une galette de l’Epiphanie de taille XXL.

La pâtisserie, géante et hors norme, aura été confectionnée le matin même dans le pôle boulangerie du centre de formation interprofessionnel de l’Yonne, le fameux CIFA où excellence rime avec succulence, par des apprentis trop heureux de relever ce défi culinaire, en présence du président de la Fédération départementale des Boulangers et des Boulangers/Pâtissiers de l’Yonne, Laurent BISSON.

 

 

Le maître artisan avait accueilli il y a peu, le 19 décembre dernier dans son établissement implanté au cœur de Chevannes, le haut-fonctionnaire qui était accompagné de l’édile local Dominique CHAMBENOIT lors d’une visite plus que de courtoisie.

Avec la préparation de cette maxi galette (120 parts et seize fèves potentiellement à découvrir pour les « reines » et « rois » de la soirée !), la préfecture de l’Yonne a voulu également valoriser la filière artisanale qui traverse une crise existentielle peu ordinaire. C’est aussi un coup de pouce appuyé auréolant les jeunes apprentis du CIFA, des élèves de deuxième année de brevet professionnel qui auront travaillé à sa conception aux côtés des boulangers.

En outre, lors de la cérémonie des vœux aux personnalités en début de soirée, une classe du lycée professionnel Vauban se distinguera en mettant leurs compétences en service et en cuisine afin d’en faire profiter les convives de la manifestation. L’artisanat sous le feu des projecteurs à la préfecture, en somme…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une première bougie. La plus belle, peut-être à souffler de façon symbolique puisqu’elle traduit presque la genèse de la structure, localisée par son siège social à Chablis. Pourtant, c’est dans le cadre bucolique du joli château de Percey, sis entre Saint-Florentin et Tonnerre, que le club d’affaires a commémoré comme il se doit cet anniversaire. Un évènementiel suivi par plus d’une centaine de personnes, issues de la sphère entrepreneuriale et dirigeante…Réussi !

 

PERCEY: De l’écoute, du partage, de la convivialité, au service du business. Telle est la définition proposée par l’oratrice du soir, présente sur l’estrade, pour évoquer ce qu’est réellement le réseau DYNABUY au niveau de son éthique. Voire de sa manière d’être, une fois que l’on a rejoint l’organisme en qualité de membre.

Pourtant, elle ne connaît l’entité que depuis deux ans, Marika GAYOUT. Cela ne l’empêche nullement de pouvoir en parler avec justesse et détails, tout en étant aux manettes du jeune club en sa qualité de jeune présidente couvrant Chablis et ses alentours. Une structure associative qui a été portée sur les fonts baptismaux de la création depuis un an à peine.

Entre l’Aube et l’Yonne, ce sont à date huit clubs du même acabit que celui de Chablis qui accueillent avec une régularité de métronome plus de cent cinquante chefs d’entreprises et cadres investis dans la vie économique. Des rendez-vous mensuels judicieux qui n’ont d’autres objectifs que de faire fructifier leurs chiffres d’affaires et leurs réseaux relationnels, le principe cardinal et vertueux de tout responsable de société qui se respecte.

En y agrégeant en parallèle de la convivialité et de la confiance. Une véritable dynamique, engagée au bénéfice des TPE/PME de notre territoire, où le fait de mieux se connaître et de se rencontrer entre membres facilite aisément le développement des affaires.

 

 

Les avantages d’un réseau qui offre l’opportunité de faire des économies !

 

Profitant de ce cadre de prestige que représente le château de Percey, un établissement de belle facture géré par la dynamique Nathalie DIAS, les membres du club de Chablis (le véritable intitulé est « DYNABUY Chablisien ») avaient donc convié plus d’une centaine d’entrepreneurs à cette soirée anniversaire qui possédait le goût savoureux de retrouvailles réussies. Malgré la morsure de l’hiver !

Référent du réseau DYNABUY sur le secteur Grand Est et une partie de la Bourgogne, Patrick CENDRE, en parfait maître de cérémonie de l’évènement, ouvrit le bal – logique quand tous les convives sont rassemblés dans la grande salle d’un tel édifice patrimonial ! -  afin de présenter le déroulé d’une soirée devant se prolonger tard dans la nuit pour les plus noctambules des invités.

Evoquant les dates butoirs de ce réseau national – celui-ci a été créé en 2007 -, Patrick CENDRE énuméra ensuite lors de son laïus les principes vertueux de la structure qui permet à ses adhérents de réaliser de jolies économies substantielles en bénéficiant d’un système de centrales d’achat sur certains produits et de disposer de l’équivalence d’un comité d’entreprise au plan organisationnel.

 

 

Une seule corporation acceptée au sein des clubs d’affaires…

 

En parallèle, DYNABUY est reconnu dans le sérail du monde des affaires pour sa facilité à mettre en réseau des dirigeants d’entreprises. Il existe aujourd’hui 140 entités structurées sur l’ensemble de l’Hexagone qui offrent la possibilité à des entreprises de toute taille de pouvoir se rencontrer dans la régularité temporelle.

Quant aux clubs d’affaires ad hoc – de véritables entités opérationnelles sur le terrain qui maximisent les recommandations -, ils sont apparus depuis plus de deux ans dans le réseau.

Une option correspondant à une véritable attente des entrepreneurs, eux-mêmes. Sachant qu’un seul représentant par métier est accepté au sein de ces clubs qui font désormais florès aux quatre coins du pays.

L’Yonne recense trois d’entre eux sur son territoire. L’un à Auxerre, l’autre à Sens et le dernier né à Chablis. Des structures qui sont toujours en quête de nouveaux adhérents puisque moult métiers ne sont pas encore représentés en leurs seins.

 

 

Parmi les personnalités présentes à cet anniversaire, on aura remarqué le président de la Communauté de communes de Serein et Armance, Yves DELOT, édile de Saint-Florentin et ancien dirigeant d’entreprise, ainsi que le maire de la localité de Percey, Daniel BOUCHERON. Didier CHAPUIS, dirigeant des FESTINS, n’était pas très loin, lui non plus !

Une soirée qui devait se clore par la présentation de la douzaine de membres du club de Chablis. Chacun des adhérents devant rejoindre Marika GAYOUT sur la scène afin de se dévoiler aux yeux de tous et de poser pour l’éternité le sourire aux lèvres…

 

Thierry BRET

 

 

 


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