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Seule représentante féminine engagée dans la toujours très difficile finale régionale du concours de « l’Un des Meilleurs Apprentis de France », catégorie boucherie, la jeune ressortissante du Doubs, Lucie GIRARD, a su tirer son épingle du jeu, au terme de cette épreuve qui rassemblait les huit lauréats départementaux de la discipline…

 

AUXERRE : Qualificative pour une place en finale hexagonale – celle-ci se déroulera au palais des Papes en Avignon dans un cadre idyllique ! -, la sélection régionale de l’Un des Meilleurs Apprentis de France de Bourgogne Franche-Comté, catégorie boucherie, a livré son verdict au terme d’une âpre journée de concours.

Accueillie, une fois de plus dans les locaux du CIFA de l’Yonne – cela devient une habitude pour l’établissement auxerrois, preuve que l’excellence sait aussi s’exporter hors de nos frontières -, l’épreuve rassemblait les vainqueurs des sélections départementales, venus s’affronter dans un ultime round afin de décrocher, pourquoi pas, un billet pour le challenge national.

Organisé par la Confédération française de la Boucherie, boucherie-charcuterie et traiteurs, dont les deux présidents régionaux (Eric DULAT pour la Bourgogne Franche-Comté et Bruno JEANDOT pour l’Yonne) représentaient les intérêts de la filière lors de la remise des récompenses, ce concours de très belle tenue aura donc vue la victoire d’une jeune fille, un brin timide et qui savoura son succès avec modestie.

 

 

 

Plébiscitée par ses pairs, et surtout par les organisateurs de la manifestation, sous l’œil expert du MOF Marc LABARDE, représentant la fameuse structure distinctive des « Meilleurs Ouvriers de France », Lucie GIRARD reçut le trophée des mains de Michel TONNELLIER, président du CIFA de l’Yonne, avant de recevoir l’accolade – la bise serait plus exact !- de Bruno JEANDOT, satisfait de cette excellente édition 2023.

Invitée à profiter au maximum de ce titre honorifique avant de disputer le rendez-vous national, la jeune Lucie s’immergera à Paris ces prochaines semaines lors d’un double stage avec des « Meilleurs Ouvriers de France » de sa spécialité artisanale pour parfaire ses connaissances. Une excellente manière de bien appréhender la prochaine échéance !

 

Thierry BRET

 

 


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D’Allemagne, de Belgique, de Suisse, d’Italie mais aussi de Grande-Bretagne : les experts de l’affûtage et de la rectification n’ont pas hésité à venir des quatre coins de l’Europe, ce week-end, afin de prendre part au traditionnel rendez-vous biennal du Syndicat des Affûteurs Français d’Outils Tranchants (SNAFOT). Un évènement industriel de très belle facture, accueillie à Auxerre…

 

AUXERRE : « Ce fut un très beau salon ! ». Quelques mots suffirent pour le directeur du parc des expositions géré par Centre France Evènements, filiale du groupe de presse régional, Sébastien FUENTES pour résumer ce qui fut un week-end constructif et convivial pour les spécialistes européens de l’affûtage et de la rectification.

Des industriels en provenance de plusieurs pays du Vieux Continent qui se retrouvent à raison d’un rendez-vous organisé tous les deux ans par l’organisme fédérateur dédié à cette filière : le SNAFOT, le Syndicat national des Affûteurs Français d’Outils Tranchants.

Apparu en 1976, voilà près de cinquante ans, cet organisme se veut être rassembleur parmi cette caste spécifique de la vie industrielle, se présentant comme une association professionnelle désireuse de créer des liens et de partager des informations. Une structure qui se plaît à mettre en exergue la promotion de ses métiers, par le biais de ses différents centres de formation mais aussi cet évènement qui a posé ses jalons en terre de l’Yonne, trois jours durant.

 

 

 

 

Des retrouvailles après quatre ans de disette imputable à la COVID !

 

Ce salon, baptisé « AFF’ Tech », aura ainsi facilité les échanges entre ses participants tant les industriels que leurs fournisseurs et clients ; d’autant que ces derniers n’avaient pas eu l’occasion de se revoir depuis bientôt…quatre ans ! La COVID ayant eu raison de la précédente édition de 2021, programmée à Reims.

Cette fois-ci, il n’en fut rien. Aucune perturbation en vue durant ces trois journées de travail et de cordialité à AUXERREXPO, devenu le temps d’un week-end, la capitale européenne de ce secteur industriel, peu connu du grand public…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le sympathique chef Jérôme JOUBERT est un homme de défi. Il aime surprendre, au travers de sa cuisine. C'est souvent cela, la patte d'un véritable cuisinier. Ce soir-là, avec sa brigade, il décida de faire à nouveau quelques plats de concours passés, l'ayant toujours amené sur une jolie marche du podium gourmand, en équipe. Comme dans la vraie vie d'un restaurant…

 

JOIGNY : En 2020, lors du très exigeant concours Gilles GOUJON (trois étoiles au Michelin dans l'Aude), ce fut avec Nico, côté cuisine, et Edwige, en salle, qu’il se distingua. En 2022, lors du concours icaunais « IRON Cook », ce fut en compagnie de Louis, comme commis aux fourneaux, qu’il enthousiasma le jury.

Une salle joliment décorée, avec quelques trophées passés et des tables élégamment nappées, comme avant ! Même le Michelin en 2023 adoube ces tables sans jolie nappe, mais avec des pierres précieuses, du bois rare, du verre de Murano et que sais-je  encore ? Manquerait plus que de  la sciure de bois du fumoir ! Adieu douces nappes, bel et bien présentes, juste ce soir-là. Même le talentueux François SIMON les regrette dans son dernier roman (« Poétique du jambon-beurre » aux éditions Bouquins), soit le langage disparu des nappes à la page 179.

 

 

Une bonne sauce qui nappe l’œuf, des croûtons qui croustillent…

 

Mais, cessons de pleurnicher sur un monde qui ne reviendra plus ! Attablons- nous, plutôt. Pour l'instant, assiettes, verres et couverts demeurent. Bonne nouvelle, non !

L'œuf meurette, c'est la Bourgogne. Comme tout plat paraissant simple, il n'est pas si aisé à réussir. Avec sa sauce meurette, notre chef décrocha en 2021 le prix de la créativité lors du prestigieux championnat du monde, sis au magnifique château du Clos-Vougeot siège de la plus ancienne confrérie vineuse bourguignonne (1934) avec les « Chevaliers du Tastevin ».
Jérôme JOUBERT est un saucier hors pair. Sa meurette n'échappe donc pas à la règle. Avec une bonne sauce qui nappe l’œuf, son jaune coulant, des croûtons qui croustillent sous la dent : bref, une véritable réussite !

 

 

 

 

Saint-Jacques et trou normand : entre excellence et nostalgie…

 

Ensuite, place aux Saint-Jacques et escargots, avec la laitue « Celtuce » et la sauce moutarde. Cette tarte « terre-mer » au fin feuilletage était délicieuse,  nappée d'une excellente sauce. Un mot sur les pêcheurs de Saint-Jacques : ils pratiquent une pêche raisonnée tout au long d'une saison, soit un semestre uniquement. Là aussi, c’est la bonne recette d'un avenir réussi, tant en Bretagne (Erquy) qu'en Normandie (Port-en-Bessin), voire plus au nord à Boulogne-sur-Mer. En salle, tout sourire, Anne-Claire, Edwige, Sarah et les autres s'activent !

Un mot sur ce que l'on appelait jadis le trou normand : l'indispensable cérémonial des mariages, repas de baptême et autres communions ! Il connut le même sort que feu « miss nappe ». De profundis ! Ce soir-là, il réapparut, comme par magie sous la forme d'un délicieux sorbet poire et Poiré : rafraîchissant et gouleyant, le repas n'étant pas terminé ! 

Bravo au producteur Eric BORDELET, de faire ainsi délicatement ressortir la finesse granuleuse de la poire, ce fruit si délicat.

 

 

Des effluves cacaotés dans le fromage : c’est l’affaire de la Maison LEROUX !


Un plat de fête pour continuer avec la poularde de Bresse, sauce « Albufera » au beurre de piquillos, betteraves farcies, gâteau d'endives, tourte de rognon et crêtes de coq. Tout est dit dans ces nobles intitulés. Ne reste alors plus qu'à se régaler, en reprenant un peu de cette sauce sublime, qui en 2020 fit complimenter notre chef par un cuisinier MOF, membre du jury.

Le fromage ? Souvent dans l'Yonne, c’est l'affaire de la maison LEROUX aux étals réputés sur nos marchés. Ici, le brie icaunais est farci en son milieu de divers fruits secs. On perçoit même quelques effluves cacaotés.

Un peu de fraîcheur pour terminer avec le parfait glacé au « Grand Marnier », segments d'orange et pamplemousse, tuile à l'orange et amandes, accompagné d'une jolie cuvée nocturne du Champagne Taittinger.

Au « Rive Gauche », les desserts sont l'affaire de la souriante Céline, la cheffe-pâtissière.

Il est l’heure enfin pour toute la brigade de l’établissement de se faire applaudir par les convives. Et qu'on se le dise : le « Rive Gauche », créé par feu le chef Michel LORAIN, trois étoiles Michelin en 1986  dans « SA » Côte Saint-Jacques, célèbre ses trente ans cette année. Pensons-y en profitant bientôt de sa terrasse avec le retour des beaux jours !

 

 

Contact :

Le Rive Gauche (hôtel/restaurant)

Chemin du Port-au-Bois 89300 JOIGNY

Tel : 03.86.91.46.66.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Solidement implanté dans le paysage icaunais depuis plus d’une trentaine d’années, le Pôle Formation 58-89 de la Maison de l’Entreprise a permis à des milliers de jeunes de découvrir le monde de l’industrie, au travers de formations de tous niveaux. Du CAP au Mastère en passant par le BTS ou la licence. Avec à la clé, un avenir professionnel assuré. Tant les offres d’emploi sont légion aujourd’hui dans ce secteur longtemps décrié et souvent méconnu…

AUXERRE: Pour sa seconde journée « Portes Ouvertes » de l’année, le site auxerrois du Pôle Formation a une nouvelle fois fait le plein de visiteurs, l’occasion pour beaucoup de découvrir toutes les vertus de l’apprentissage en alternance.

C’est en 1990 que fut créé à Auxerre l’Institut des Techniques d’Ingénieur de l’Industrie (ITII), le premier de ce type à voir le jour dans l’Hexagone, rappelle Olivier LASSAUSSE, directeur général adjoint du Pôle Formation : « il y avait alors une vraie ambition du ministère, à trouver une solution en alternance pour former les futurs ingénieurs qui manquaient vraiment à l’époque… ».

Les années ont passé. Il n’est pas rare désormais de voir les jeunes apprenants accueillis chez un maître d’apprentissage ayant lui-même fait ses classes sur le site. Si le Pôle Formation 58-89 prépare depuis sa création aux métiers d’avenir de l’industrie, l’offre s’est aujourd’hui étoffée, avec des partenaires comme EPSI, l’école d’ingénierie informatique ou l’école de management IFAG.

Plus de 3 000 personnes sont ainsi formées chaque année sur les quatre sites présents en Bourgogne (Auxerre, Nevers, Sens et Joigny), avec à la clé des chiffres impressionnants : 92 % de réussite aux examens pour plus de 87 % de jeunes en emploi à six mois au sortir de leur formation.

Dernier à ouvrir sur le site auxerrois : l’IET (Institut des métiers de l’Environnement et de la Transition Ecologique) forme aux métiers liés à l’environnement, au développement des territoires ainsi qu’au management en développement durable. Un cursus accessible à partir d’un BAC + 3, désormais ponctué depuis l’an dernier par un Mastère.

 

 

La pénurie de main d’œuvre fait grimper les salaires…

 

La grande force de l’enseignement dispensé ici, souligne Olivier LASSAUSSE, étant le système de filière mis en place, à l’exemple du cursus maintenance où la validation d’une Certification Qualifiante Paritaire de la Métallurgie. Cela suffit à ouvrir les portes du Bac pro et d’un BTS, avec la possibilité de poursuivre jusqu’au « Bachelor » de niveau 6 : « une réponse apportée aux jeunes pour les emmener le plus loin possible dans le niveau de formation, le tout en alternance. Quand on sort d’ici avec un BAC + 3, l’on est déjà opérationnel pour rentrer de suite dans la vie professionnelle et le taux d’employabilité s’en ressent… ».

Si les secteurs de l’informatique, du management et de l’ingénierie ont aujourd’hui parmi les formations proposées, le vent en poupe, d’autres peinent à recruter, à l’instar des métiers liés à l’usinage : « le plus souvent, le jeune sortant de 3ème ne sait pas ce qui se cache derrière et en a une image encore négative. A ses yeux, c’est difficile, c’est sale, c’est bruyant ! On se bat contre ça alors que ce sont de véritables niches notamment en aéronautique, où la demande des entreprises est grande… ».

 

 

Une pénurie de main d’œuvre qui fait grimper les salaires : « un bon soudeur, un bon chaudronnier, peut très vite atteindre les 3 000 euros par mois ». Autre secteur en tension, celui de la formation continue à l’adresse des salariés ou des demandeurs d’emploi, où l’on peine à monter des groupes de travail : « il y a clairement un avant et un après COVID à ce sujet et l’envie d’aller en formation a fortement chuté. Aujourd’hui, quand on lance une promo pour des CQPM, que ce soit en soudure, en maintenance ou en conduite de ligne, réussir à réunir dix personnes est devenu très compliqué… ».

Responsable de ce département mais aussi de l’insertion auprès d’un public souvent éloigné de l’emploi, Laure MINCHENEAU connait bien le phénomène : « aujourd’hui, il y a toute une frange de gens sous les radars et une autre qui s’imagine ne pas être « en capacité de ». C’est à nous d’aller les chercher, les rassurer, les accompagner et même si l’on a parfois l’impression que la montagne accouche d’une souris, avec un engagement économique colossal au regard du nombre de sorties positives vers l’emploi qui en résulte, chacune a son importance, conduisant la personne à retrouver de la dignité dans le travail et l’autonomie… »

 

 

On ne tarit pas d’éloges sur le système de l’alternance en vigueur…

 

Attendant patiemment dans le hall que son ancien formateur se libère, Lucas est présent ce matin-là pour lui donner quelques nouvelles. Bac Pro Maintenance Equipements Industriels en poche, cet Auxerrois s’est depuis, « exilé » à Dijon, ayant fait le choix de s’orienter vers un BTS Electro Technique.

Lui aussi ne tarit pas d’éloges sur le système d’alternance en vigueur : « je recommande à 100 % ! C’est sans pareil pour découvrir le monde de l’entreprise, ses contraintes, ses avantages, avec la présence rassurante d’un maître d’apprentissage qui est vraiment là pour nous épauler… ».

Sympathique et plein d’allant, cet ancien apprenant du Pôle formation 58-89 confesse un parcours un peu chaotique au sortir de l’adolescence et l’enchaînement de « petits boulots » : « je me suis vite rendu compte de l’instabilité de la chose à long terme et quand un membre de ma famille, passé lui aussi par ici, m’a proposé de le rejoindre et commencer une formation en alternance, j’ai dit oui ». Sans grande conviction au début reconnaît-il et puis un jour, le déclic : « je me suis rendu compte de choses dans le monde de l’industrie dont je n’avais absolument pas idée et le hasard a vite fait place à la passion… ».

Avec un tel bagage, nul doute que lui non plus ne devrait pas avoir trop de mal à se trouver un employeur une fois entré dans la vie active. Un « mariage » réussi, souligne d’un sourire Olivier LASSAUSSE : « c’est le terme que l’on emploie dans notre jargon interne pour évoquer l’association d’un jeune et d’une entreprise et l’on s’efforce à faire le moins de divorces possibles ! »
 

Dominique BERNERD

 


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Curieux paradoxe que celui-là ! Alors que la transformation digitale est dans l’ère du temps, que sa formulation sémantique et ses effets induits circulent sur toutes les lèvres parmi les sphères entrepreneuriales autorisées, plus de 60 % des décideurs économiques, ceux issus des TPE/PME, ne l’ont pas encore entamé ! Une étrangeté que souhaite corriger DSI ACTIVE par le biais de ses conférences didactiques…

 

APPOIGNY : A la question liminaire « Comment réussir sa transformation digitale ? » - elle servait de point de référence à la causerie explicative proposée par Cyril ROUALET, directeur technique en systèmes d’information à temps partagé pour le compte de DSI ACTIVE dans l’Yonne -, nul n’aurait su vraiment répondre parmi l’assistance. Tant le sujet est vaste, éclectique à souhait et surtout très complexe à aborder car il existe une noria de chausse-trappes dans lesquelles les entrepreneurs ne doivent pas tomber s’ils veulent véritablement optimiser leurs résultats.

Certes, ce n’était pas la grande foule, qui était accueillie dans l’un des salons de l’hôtel Mercure, pour suivre cette explication de texte déclinée par l’une des structures spécialisées dans le domaine. Dommage !

Car, les propos entendus sur place permettaient de mieux saisir et comprendre les réels enjeux et besoins, pour un dirigeant de société, de réussir les diverses étapes le menant vers cette transformation digitale indispensable dont on nous rebat les oreilles depuis si longtemps.

 

Des freins qui perdurent auprès des entrepreneurs…

 

On savait les artisans et les commerçants encore rétifs, voire frileux, à la digitalisation maximale de leurs activités. Force est de constater que cela n’est pas tout ! Le secteur industriel n’est pas mal non plus sur cette réticence récurrente. En fait, ce sont en très large majorité les responsables de TPE/PME qui éprouvent le plus de difficulté à passer le Rubicon de ce modernisme technologique, au demeurant nécessaire à l’heure actuelle, au vu du contexte sociétal et de la mondialisation.

Craintes face à la complexité technologique, peurs du manque de compétences en interne, réfractaires aux changements et aux nouveautés, les patrons de TPE/PME – ils ont aussi le nez dans le guidon sans avoir de temps à consacrer à ces pirouettes technologiques évolutives ! – freinent des quatre fers, le plus souvent sur ce dossier, même si leurs avis sont positifs sur le sujet.

 

 

C’est là qu’interviennent Cyril ROUALET et ses équipes. D’une part, en organisant de ce type de conférences régulières, ouvertes aux entrepreneurs désireux en apprendre davantage sur la méthode menant à cette transformation numérique qu’ils jugent nécessaires et pour y être accompagnés.

L’argument est simple : les entreprises souhaitent sécuriser leur avenir et font du digital un élément à indexer à la rentabilité de leurs affaires.

 

 

Un trousseau de cinq clés utiles à l’emploi…

 

En guise de solutions, le réseau national de la transformation digitale dépose dans la corbeille de la mariée – l’entreprise avec laquelle il fera affaire ! – un trousseau comprenant cinq clés afin de réussir le projet.

Des clés qui se rapportent à la clarification et la quantification des enjeux, à l’évaluation et l’amélioration de la performance, au changement d’organisation de l’entreprise vis-à-vis du digital, à tester et garantir ses nouveaux choix et enfin à adopter les avantages du cloud.   

Fort de ces arguments, il n’y a plus qu’à franchir le pas et à passer à l’action ! Il est donc temps de moderniser ses outils…

 

Thierry BRET

 


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