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Thizy, 150 habitants. Cela se mérite. Un petit village, situé au nord-nord-est d'Avallon. Il est accessible en venant de la partie septentrionale de notre territoire via l'une des plus jolies routes icaunaises qui traverse Chablis, Noyers, Massangis, L’Isle-sur-Serein, tandis que le nonchalant Serein musarde un peu plus bas. C'est là que l'on retrouve avec un plaisir sincère la cheffe Cécile RIOTTE, que l'on connut antan dans son « Vaudésir » avallonnais où elle officia une dizaine d'années.

 

THIZY: Que les afficionados se rassurent ! Sa « Mini » au look caractéristique demeure toujours stationnée non loin, ayant juste changé l'adresse. Bienvenue aux « Hirondelles », avec une vue à couper le souffle ! Cécile est une enfant de ce pays qu'elle aime tant. Une enfance auprès de parents aimants, et un paternel, coureur cycliste professionnel, Raymond, qui porta la jaune chasuble durant une journée durant le Tour de France 1967, remporté par Roger PINGEON. Ces parents choisirent pour elle l'école hôtelière de Poligny, une référence : « Tu auras toujours du travail, admonesta papa.

Direction le Jura, donc. Au début, cela lui fit un peu drôle, mais elle s'accrocha. Elle y prit goût et aima. Notre cheffe fit partie de l'écurie du grand Joël ROBUCHON. Elle exerça sur la Côte d'Azur, auprès d'un grand cuisinier qui fut un peu son mentor, Christophe CUSSAC. Il obtint deux étoiles au Michelin à la fin du siècle dernier à l'abbaye « Saint-Michel » tonnerroise. On s'y régalait de gelée de saumon en civet aux crevettes ou de pot au feu de foie gras paysanne, sur des tables évidemment nappées à l'époque ! Cécile se plut sur la Côte d'Azur. Avec son climat, des produits nobles dans les assiettes : ce fut une chouette période de sa vie.

 

 

Un œil sur le panorama, un œil sur les plats dans l’assiette !

 


Puis, ce sera le retour au bercail, si l'on peut dire. A Avallon, la « bosseuse » Cécile se fit un nom. L'aventure dura une décennie avec une philosophie très « locavore » et une véritable cuisine du marché. On pouvait l'y croiser chaque jeudi, humant le bel étal de « LAURIN Primeurs », avant une pause-café méritée avec ses fidèles « copines » au « BHV ». Régulièrement, ses parents venaient soigner les jolies fleurs de la devanture et du jardin. Julius, le chien au blanc pelage étincelant observait cela de loin avec nonchalance ! Pour l'anecdote, mais tout de même !, votre serviteur lui consacra un article en 2016 dans la belle revue d'art de vivre «  Bourgogne Magazine » qui contribua à lui envoyer une équipe de TF1, excusez du peu !

La façade est lumineuse. La déco intérieure est joliment personnalisée, dans laquelle Joséphine BAKER côtoie MISTINGUETT, en louchant sur une affiche du vignoble bourguignon, entre une botte en céramique turquoise et l'autre en vieux rose. Bienvenue chez Cécile ! Ici, l'on se sent un peu chez elle ! Et comme au « Vaudésir », les tomettes au sol sont top !

Un œil destiné à l'impressionnant panorama. Toute proche, la Côte d'Or. Un peu plus loin, le Morvan et Autun. Un œil, aussi, sur l'ardoise menu du jour (24 euros). En plat, j'opinerai volontiers pour la ballotine de volaille farcie aux langoustines, sauce « homardine ». Sauf qu'en vitrine, il y avait une belle pièce de charolais maturée, grâce au travail de l’éleveur M. GUYARD à Quarré-les-Tombes, qui nous fit franchement de l'œil !

 

 

 

Une viande maturée à la texture intéressante mais au goût particulier…

 


Mais avant, dégustons une entrée chaude et originale : un risotto de céleri (légume délicat, trop souvent réduit à son unique et délicieuse version en rémoulade, une expression culinaire commune aux deux siècles). Franchement, c'est inattendu et fort bon. En outre, quelques délicates pointes d'asperge eurent l'ingénieuse idée de s'immiscer dans cette belle assiette (la vaisselle, c'est aussi son truc à la cheffe Cécile !). Autour de nous, des convives, habitués des lieux, se régalent assurément.

Puis toute simple et poêlée au beurre, « Miss » pièce de bœuf arrive, accompagnée d'épinards du jardin et d'impeccables petites pommes de terre rissolées. Je trouve que le goût atypique de la viande maturée - la mode du moment, ça passera ! - est intéressant, mais particulier. On la déguste avec plaisir mais il n’est pas impossible de songer que l'on s'en lassera peut-être  plus vite que la viande dite « rassis » d'un artisan boucher classique !

 

 

 

 

 

Une chance pour Thizy de posséder cette vitrine gourmande…

 

Quelques lichettes colorées de tomme locale – le plus souvent fabriquée par des fromagers bataves ayant migré dans la Nièvre ! - pour sieur Philippe BULANT (directeur de l'entrepôt « METRO » local et père de cuisinier, son fils gère le restaurant « La Truffolie » à Saint-Alban-d'Ay en Ardèche, du côté d'Annonay) et en dessert, nous est servie une superbe « pavlova » aux fruits rouges, un succulent dessert des plus harmonieux, hum !, avec de délicieuses petites cerises confites !

Julius nous regarde alors  paisiblement. Serait-ce l'heure de sa promenade ? Celle de notre retour, en tous cas ! Bravo à la cheffe Cécile pour ce nouveau chapitre professionnel ! Tandis que 62 % des communes françaises n'ont plus de commerces - c'est triste - la population de Thizy  - mais pas que ! - est bien chanceuse de posséder celui-là !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : l'Américano manquait un brin d'amertume. Plus « Icano ».... qu'Américano ! !

Les + : très bonne cuisine personnelle et bel environnement. Sans oublier beaucoup de gentillesse.

 

 

Contact :

 

Le VAUDESIR Aux Hirondelles

1, rue Pierre Burlot

89240 THIZY

Tel : 03.86.34.14.60.

Ouverture tous les midis (sauf jeudi)

Egalement vendredi et samedi soir.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Le chantier de modernisation entrepris depuis quatre ans sur la ligne à grande vitesse Paris-Lyon rentre dans sa phase finale. Depuis le 09 janvier dernier, les travaux se concentrent sur un dernier tronçon entre Vergigny et Sambourg, prévus se terminer le 27 mai prochain. Chaque nuit, ce sont en moyenne plus de 500 mètres de voie qui sont ainsi rénovés, grâce notamment à un train usine unique en son genre, permettant de remplacer de façon simultanée et en un temps record le ballast et les traverses sur la zone concernée.

 

TONNERRE : Dans la nuit noire, un étrange ruban de lucioles serpente le long du sentier menant au chantier. Une vingtaine de personnes ont répondu ce lundi à l’invitation de « SNCF Réseau », pour une visite considérée par beaucoup comme exceptionnelle. Pas question pour autant de faire l’impasse sur la sécurité et c’est casque sur la tête, équipés d’une lampe frontale et revêtus d’une combinaison orange fluo du plus bel effet qu’ils s’apprêtent à rejoindre le train usine, une fois le portail du chemin d’accès déverrouillé. Point kilométrique 146 de la ligne à grande vitesse reliant Paris à Lyon, à quelques encablures de Tonnerre, un crissement métallique retentit, semblant faire pleurer les rails. Le convoi long de 750 mètres est à l’heure au rendez-vous, il est bientôt 23 heures, la visite peut commencer…

La modernisation de la ligne TGV concerne au total 166 km du réseau et a débuté en 2020 avec une première phase de travaux permettant le renouvellement de 64 km de voie entre Vergigny et Tonnerre, suivie d’une seconde phase l’année suivante entre Sarry et Thoste en Côte d’Or. L’an passé, 30 km de voie supplémentaires ont été rénovés entre Sambourg et Châtel-Gérard et 2023 verra la fin du chantier, concentré désormais sur les 32 km séparant Vergigny et Sambourg. Une zone où depuis le 09 janvier dernier, agents de la SNCF et du groupement d’entreprises COLAS TSO s’activent chaque nuit, à partir de 22 h, une fois le dernier TGV passé, pour remplacer ballast et traverses, avec l’impératif quotidien de rendre la ligne en temps et en heure, avant le premier train du matin. Le challenge est d’autant plus important que les pénalités en cas de retard, sont particulièrement dissuasives : 500 euros de la minute jusqu’à une demi-heure et 1 500 euros de la minute au-delà !

 

 

Tel un géant insatiable qui avale les traverses…

 

Véritable usine sur rails pouvant peser jusqu’à 2 500 tonnes, le train de travaux enchaîne les tâches sous la lumière des projecteurs. Un ballet savamment orchestré et réglé au millimètre, où s’affairent chaque nuit 350 personnes. Dans une gerbe d’étincelles, les rails sont coupés, seul moyen pour les écarter et enlever les anciennes traverses. L’heure pour la dégarnisseuse de rentrer en scène, retirant progressivement, l’ancien ballast dont 65 % seront réutilisés après contrôle de sa dureté, son calibre et son angularité. Une opération déjà effectuée en 1996, près d’une quinzaine d’années après la mise en service de la ligne. Les traverses pour leur part sont d’origine et une fois récupérées par la machine, remplacées par des éléments monobloc en béton précontraint. La « P95 », nom de code de cette partie du train, semble les avaler, tel un géant insatiable, avant d’en recracher de nouvelles. En ce qui concerne les rails, déjà remplacés une première fois en 1996, ils sont prévus l’être de nouveau à l’horizon 2030. Des travaux qui s’inscrivent dans une stratégie d’économie circulaire. C’est ainsi qu’outre les 65 % de ballast réutilisé, les anciennes traverses en béton armé seront recyclées sur des lignes classiques et le petit matériel composé d’attaches, boulons et semelles, envoyé à la « recyclerie » ferroviaire de Beaune pour être réutilisé ou valorisé. Le ballast neuf pour sa part, provenant des carrières LAFARGE à Arnay-le- Duc.

 

 

Chiffres clés :

Coût des travaux effectués en 2023 : 48,9 M€

Chantier 2023 : 54 000 traverses et 10 000 tonnes de ballast renouvelées

Personnes mobilisées sur le chantier : 350

Coût total de l’opération depuis 2020 : 305 M€

Chantier global en 4 ans : 280 000 traverses remplacées, 100 000 tonnes de ballast renouvelées, pour 166 km de voies rénovées

Ligne Paris-Lyon : jusqu’à 300 TGV par jour

Nombre de voyageurs : 50 millions par an

 

Dominique BERNERD

 

 

 

 

 


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On s’en doute, l’ouvrage ne sera jamais un best-seller ! Ni l’un des titres au sommet des ventes des classements qui sont publiés de manière hebdomadaire dans les colonnes littéraires de « L’Express » ! Nonobstant, ce guide pratique à usage professionnel à destination des entrepreneurs et décideurs économiques, soucieux de se lancer dans une démarche de progrès durable et responsable, pourrait bien occuper, en revanche, la meilleure des places sur leur table de chevet, à défaut sur leur bureau !

 

AUXERRE : Des nouvelles de l’ancien directeur de la communication du Conseil départemental de l’Yonne, Fabrice JOBARD ! Cofondateur de « FJ-SLA Consultants », connaissant les rouages des milieux institutionnels comme le fond de sa poche, le garçon promène sa silhouette d’homme d’affaires dynamique entre Neuilly-sur-Seine où il possède désormais ses bureaux professionnels, aux côtés de deux autres associés, et l’Yonne orientale où il a choisi d’y poser ses attaches personnelles et familiales.

Ce diplômé de Sciences Po Grenoble et titulaire du MBA de l’Institut d’administration des entreprises de Paris demeure un personnage très actif. On le savait auteur de plusieurs ouvrages de référence dont le « Guide des usages, du protocole et des relations publiques », publié aux éditions « Territorial » ; le voici qui revient à nos bons souvenirs avec son dernier opus, un précis consacré au SMI, le système de management intégré.

 

Une préface rédigée par un pro de la communication, Franck LOUVRIER…

 

Intitulé « Engager une démarche de progrès durable et responsable » - dans la collection « Les Essentiels » de la même maison d’édition « Territorial » -, ce livre d’une centaine de pages permet de dévoiler une méthodologie efficace pour mettre en place une démarche de progrès, devant par la suite être certifiée.

L’expert en communication qu’est devenu au fil de l’eau Fabrice JOBARD s’est appuyé sur les connaissances de l’autre experte de cet écrit conçu à quatre mains, son associée Sophie LEROY, spécialiste en organisation des entreprises et de la RSE (Responsabilité sociétale des entreprises), cofondatrice du cabinet parisien.

Ces deux esthètes à la réussite de projets qualité, environnementaux et responsables pour des entreprises privées et des collectivités territoriales délivrent à travers ce document les ficelles pour bien anticiper et réussir sa démarche.

On notera la préface de Franck LOUVRIER, vice-président de la Région des Pays de Loire et maire de La Baule, lui-même pédagogue en communication, qui salue l’initiative épistolaire de ce tandem, « un guide qui permet de penser plus loin… ».

 

En savoir plus :

 

« Engager une démarche de progrès durable et responsable »

Aux éditions Territorial, collection « Les Essentiels ».

De Fabrice JOBARD et Sophie LEROY.

Prix livre à 49 euros

Prix e-book à 39 euros.

106 pages.

 

Thierry BRET

 


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Portée par « La Fabrique à entreprendre » du Grand-Sénonais, la manifestation réunit à l’Amphi de Sens jusqu’à jeudi une kyrielle d’acteurs économiques et institutionnels, prêts à consacrer de leur précieux temps pour informer du mieux possible les néophytes de l’entrepreneuriat. Celles et ceux de ces porteurs de projets qui auraient enfin l’envie de franchir le cap et se lancer dans de nouvelles aventures professionnelles…

 

SENS: Des experts, des spécialistes, des férus, des esthètes de l’entreprise ! Bref, trois jours durant, sous le sceau de l’un des outils portés par le Grand Sénonais sur le territoire, le fameux concept de « La Fabrique à entreprendre », celles et ceux qui posséderaient en eux la fibre de la création ou de la reprise d’entreprise peuvent se précipiter dans le très fonctionnel site de l’Amphi, remodelé en forum géant pour y écouter les conseils et les préconisations de ces entrepreneurs qui ont su essuyer les plâtres jadis en effectuant le grand saut vers…l’inconnu. Un grand saut qui leur aura particulièrement réussi puisqu’ils sont toujours là pour en parler !

L’initiative est heureuse. Elle offre un large panorama de réponses précises et constructives devant lever les doutes de ces béotiens de l’entrepreneuriat qui ont voulu reprendre leur destin en main, en optant vers la création de leur société.

Quelles aides obtenir à la création ? Faut-il choisir la forme de la coopérative ? Comment convaincre un banquier de soutenir votre projet – l’un des nœuds gordiens de tout projet qui se respecte ! -, construire son réseau pour y développer ses activités ? Etc…

On y croisera les silhouettes de cheffes d’entreprise épanouies à l’instar de Marie AUBIN (agence de communication « Bonne Com », de Frédérique LECOMTE (PROFILAE), de Lorette DUBOIS SALIN – elle représentait le réseau en vogue côté business « CARBAO » -, mais aussi les experts de la création et membres de « La Fabrique à entreprendre », la Chambre de Commerce et d’Industrie, Initiative 89, ADIE, « Créez comme elles », « Femmes chefs d’entreprise », les professionnels du monde économique à l’instar de BDO pour les experts comptables, le Crédit Agricole, la Banque Populaire et le Crédit Mutuel, « France Active » pour les financements ESS, Sabine VUILLERMOZ avocate d’affaire ou encore les réseaux d’entrepreneurs comme « Femmes chefs d’entreprise », « Créez comme elles », CARBAO », etc.

 

 

En savoir plus :

 

La programmation du jeudi 30 mars de 10h à 16h

 10h-11h : un café créatrice sur le financement des projets et les aides dédiées aux femmes créatrices

11h-13h : une table ronde « Parcours d’entrepreneures » 

13h-14h : un temps de rencontres / échanges / réseautage

14h-15h30 : une conférence « Entrepreneures et femmes, en harmonie avec ses cycles de vie »

 

Thierry BRET

 

 


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La tâche s’avère ardue. Le challenge est de taille. Surtout quand il s’agit d’accélérer les implantations industrielles et logistiques sur le territoire. Une mesure ô combien nécessaire pour relancer l’attractivité de notre département, en grand besoin de dynamique entrepreneuriale. Désignée sous-préfète de référence par les ministères concernés, la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne Pauline GIRADOT relève le défi. Elle en possède l’étoffe…

 

AUXERRE : De l’innovation jusqu’à l’industrialisation. Un cycle de vie positif et efficient afin de booster l’économie hexagonale après deux années de disette imputables à la crise sanitaire. Tel est le principe vertueux du nouveau plan de relance, voulu par l’Etat, baptisé « France 2030 ». Inédit par son ampleur et sa capacité financière, ce schéma constructif, favorable aux entreprises bénéficie de 54 milliards d’euros dans sa globalité. Avec un ruissellement qui concernera, outre les sociétés, les pôles universitaires, les laboratoires de recherche et les acteurs de l’économie.

Il y va de la recherche fondamentale, mais aussi de l’adoption de nouvelles idées de génie au niveau des produits, jusqu’à leur fabrication et leur commercialisation, le tout servi à l’estampille du savoir-faire à la française. Ambitieux projet que celui-ci…

Piloté par le secrétariat général pour l’investissement, pour le compte de la Première ministre, mis en œuvre par l’Agence de la Transition écologique (ADEME), mais aussi l’Agence nationale de la Recherche (ANR), la Banque des Territoires et BPI France, ce plan de relance grand format se doit d’être accompagné au plus près du terrain par une personne de référence dans les départements où il va se décliner à court terme.

 

 

Une ligne supplémentaire dans le cursus de la sous-préfète de l’Yonne…

 

Dans l’Yonne, ce visage est désormais connu. Il est incarné par celui de la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT, sous-préfète, qui est en charge d’accompagner le déploiement de ce concept tout en veillant à accélérer les implantations industrielles et logistiques sur le territoire.

Une nomination, tombée ces jours-ci, qui émane des ministères de l’Industrie et des Collectivités territoriales et de la Ruralité, avec la bénédiction du secrétariat général pour l’investissement, désireux d’assurer le déploiement de ce plan grâce à un réseau départemental de sous-préfets référents.   

Cet outil a donc été lancé officiellement le 23 mars à l’occasion d’un séminaire présidé par les trois ministres concernés, Roland LESCURE, en charge de l’Industrie, Dominique FAURE, en charge des Collectivités territoriales et de la Ruralité et Bruno BONNELL, qui gère les investissements.

Une ligne supplémentaire dans le cursus de Pauline GIRARDOT qui aura pour mission, en sus de son quotidien déjà bien chargé, de relayer les informations de « France 2030 » au plus grand nombre des décideurs économiques, de détecter les projets et de faciliter l’accès des entreprises à ce dispositif – notamment celles évoluant dans les Territoires d’industrie – en pilotant ce plan.

En sus, elle veillera à mobiliser l’action étatique sur le territoire afin de faciliter l’implantation des activités industrielles, mais aussi d’assurer la recherche du foncier – le nerf de la guerre de toute nouvelle implantation ! – et le recrutement de nouveaux collaborateurs.

Bref : il y a donc du pain sur la planche pour la jeune femme qui ne manque pas d’appétit pour contribuer au succès de ses missions ! Mais, le jeu en vaut la chandelle, assurément…

 

Thierry BRET

 


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