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Du jamais vu ou presque pour l’organisation de la communauté d’entrepreneurs des Positives Entreprises ! Foi de Christine JAN – la maîtresse de cérémonie de cet outil promotionnel et relationnel qu’il serait judicieux de créer s’il n’existait déjà ! -, le nombre de visiteurs, désireux de découvrir les nouveaux locaux de l’unité de production de la société FESTINS à Chemilly-sur-Yonne, a littéralement explosé lors de cette séance mensuelle du club, crée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Normal : l’enseigne visitée sait mettre en appétit !

 

CHEMILLY-SUR-YONNE : On ne comptabilise plus le nombre d’épisodes depuis la création de cet outil original ! Entre trente et quarante rendez-vous en immersion sur le terrain, celui des acteurs économiques du département, pour les Positives Entreprises de l’Yonne, structure informelle nichée parmi les activités relationnelles d’une Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, jamais à court d’idées côté animations ! On doit la dynamique de ce concept à l’excellente Christine JAN, immuable maîtresse de cérémonie qui depuis le lancement de ce produit novateur pour l’époque – celui d’organiser des visites d’entreprises à raison d’une animation mensuelle autour d’un brunch convivial et courtois – a toujours rencontré le succès.

Mais, là, avec l’étape gourmande concoctée chez FESTINS, il était à peu près évident que les compteurs en termes de fréquentation allaient irrémédiablement s’affoler ! Pas de quoi, en revanche, perturber les hôtes de ces lieux, Evelyne et Didier CHAPUIS, accompagné de leur fils, Matthieu, qui en ont vu d’autres en presque trente ans de carrière au niveau des réceptions, manifestations institutionnelles ou privées en tout genre !

 

Une visite avec les dirigeants du groupe, c’est çà les Positives Entreprises !

 

Le principe est simple, in fine. On arrive sur le lieu de l’entreprise quelques minutes avant midi afin d’y être accueilli. Puis, durant une heure, on découvre en compagnie du dirigeant la maison qui vous reçoit, parfois habillé comme ce fut le cas de charlotte, blouse, masque, et autres revêtements plastifiés pour chaussures avant de se rassembler dans une salle de réception pour y écouter toutes les informations importantes permettant de mieux appréhender l’univers dans lequel on vient de plonger. Des éléments informatifs forcément toujours intéressants pour connaître le secteur d’activité de l’entreprise visitée, son segment, ses marchés, ses procédures, ses productions, sa logistique, etc.

Celui qui a pris le micro pour alimenter nos neurones de contenus intéressants, n’est autre que Matthieu CHAPUIS. Ce n’est plus un secret de polichinelle. Le fils du couple CHAPUIS à l’origine du groupe FESTINS reprend progressivement les rênes de la société. Son frère, Baptiste, vit, quant à lui, une très belle carrière sur un autre domaine d’activité avec le groupe « 123 Immobilier », disposant aujourd’hui sur le territoire nord-bourguignon de quatre vitrines commerciales. La passion pour l’excellence culinaire, Matthieu, l’a bien ancrée au fond de lui. Ses multiples expériences professionnelles vécues à l’international l’attestent avant que l’oiseau ne revienne dans le nid familial !

 

 

Un chiffre d’affaires de 45 millions d’euros et 350 collaborateurs

 

Dorénavant, Matthieu incarne l’avenir de ce groupe fort de ses 350 collaborateurs dont 220 exercent leur métier dans l’Yonne. Apparue en 1992, la société FESTINS a ouvert ses premiers locaux sur l’ancien site…du spécialiste du saumon et de ses produits dérivés, « Le Borvo », à Chemilly. Puis, en 1996, l’entreprise fait déjà des petits, à Lamotte-Beuvron dans le Loir-et-Cher, à quelques encablures d’Orléans avec la création de la marque « FESTINS de Sologne ». Avant que ne fleurissent telles de belles plantes du printemps des boutiques connues et reconnues des amateurs du bien manger à Marsannay-la-Côte en Côte d’Or, en périphérie de Dijon en 2001, puis en 2005 le commerce parisien dans le XIIème arrondissement, rue Daumesnil.

L’année 2013 permet au couple Evelyne et Didier CHAPUIS de créer à Appoigny la structure « Au Plaisir des Mets » où autrefois AMORA MAILLE exerçait ses activités dans un local devenu vacant en termes opérationnels. Là, sont conçus les plateaux repas servis à bord des structures ferroviaires comme EUROSTAR ou LYRIA. Après les rénovations des boutiques de Chemilly et de Paris Daumesnil en 2018, le groupe se lance dans le projet d’agrandissement des locaux originels de l’entité, des travaux qui courent sur 2024 et 2025 et qui nécessitent un investissement de 5 millions d’euros pour FESTINS. L’atelier de production de Lamotte-Beuvron subissant un sort analogue…Au-delà de cette stratégie de rénovation et d’expansion, la société ne déroge pas à son éthique initiale : demeurer une entreprise à taille humaine.

En 1992, le nombre de collaborateurs des FESTINS ne dépassait pas vingt personnes dans les ateliers. La plupart venaient de Paris pour structurer ce nouveau projet d’entreprise. A l’époque, le chiffre d’affaires s’élevait à trois millions d’euros avec un client unique : « FLO Prestige ». Aujourd’hui, après les aléas imputables à l’épisode sanitaire de la COVID, les activités sont reparties de plus belle, avec en 2024 un effectif de 350 collaborateurs et un chiffre d’affaires s’établissant à 45 millions sur le groupe.

 

 

 

Des chiffres annuels pour le moins éloquent !

 

Quant à la visite du jour, elle concernait les nouveaux laboratoires de FESTINS sur un espace de 4 000 mètres carrés de surface dont 1 000 mètres carrés de stockage. Un endroit qui comprend également le centre de formation et d’innovation avec le pôle recherche et développement.

« Ici, nous déclinons quatre métiers, précisa Matthieu CHAPUIS, cuisinier, pâtissier, charcutier et traiteur. Nous concevons les produits de nos boutiques et pour l’activité traiteur. On fabrique aussi pour d’autres traiteurs et des restaurateurs ainsi que la « food-tech » - un axe en pleine expansion actuellement pour des professionnels qui assurent des livraisons en entreprise à partir de réfrigérateurs connectés -, des solutions pour de la restauration collective, sans omettre l’export… ».

Sur le site d’Appoigny, FESTINS intervient sur le secteur des repas ferroviaires à 60 %, le reliquat étant destiné à la restauration, grâce à son site de 3 000 mètres carrés avec du stockage, s’appuyant sur ses différents ateliers cuisine, pâtisserie sucrée et salée, ainsi que le lieu de conception de l’excellente mousse au chocolat où s’affairent en permanence quatre personnes à plein temps !

Dans le Loir-et-Cher, l’unité FESTINS fait 2 500 mètres carrés. « C’est un atelier de cuisine, de pâtisserie (notamment la tarte tatin) afin d’achalander la restauration, la food-tech et la grande distribution, souligna l’intervenant.

Active au sein de la Convention pour les Entreprises et le Climat, FESTINS assure le tri de tous ses déchets (carton, fer, verre, bio-déchets, graisses…) qui repartent dans les filières spécifiques. A Lamotte-Beuvron, 2 000 mètres carrés de panneaux photovoltaïques ont été installés, ce qui représente 15 % de la consommation du site. Voire 100 % le week-end lorsqu’il n’y a pas de production. Au niveau de la parité, elle est respectée. Le personnel féminin est aussi important en nombre que le masculin avec des postes d’encadrement et de responsabilités.

Précisons que tous les sites de production sont multi-certifiés par des références labels de haute volée.

Outre les fonds de sauce – ils s’exportent très bien, le chiffre d’affaire à l’international (Europe, Asie) se situe à 1,5 million d’euros -, et les plats cuisinés, FESTINS s’est lancée dans la conception de nouveaux produits, à l’instar des fameux « Cordons Bleus » pour une enseigne parisienne. Ce qui ne nuit nullement à la fabrication de produits de prestige plus traditionnels autour des foies gras et de la truffe ! La plupart des grandes marques parisiennes (LENOTRE à titre exemple) travaillent avec le groupe bourguignon. Le fret aérien intègre également la cible des destinataires des plateaux repas (FEDEX).

Côté chiffres, on retiendra pour mémoire que FESTINS fabrique environ annuellement 3,3 millions de plats cuisinés, 140 tonnes de soupes, 10 tonnes de foie gras, 455 tonnes de fonds de sauce, 62 tonnes de mousse au chocolat (miam !), 33 tonnes de riz au lait. Les excellents résultats d’une société agile qui a toujours su se saisir des opportunités !

 

Thierry BRET

 

 


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Veillée d’armes pour les représentants du réseau hexagonal, les « Traiteurs de France » ! Les 24 et 25 mars, la fine fleur des traiteurs et organisateurs de réception du pays investira la capitale de l’Yonne et l’un de ses centres de formation réputés pour sa pratique pédagogique via les recettes de l’excellence, le CIFA. En effet, grâce à l’un de ses adhérents, l’incontournable structure entrepreneuriale, « FESTINS », bien connue des Icaunais et des épicuriens, le réseau aux 38 références nationales tiendra ses rencontres annuelles sur notre territoire…

 

AUXERRE: C’est un évènement pour les suiveurs des métiers de bouche, des arts de la table et de la gastronomie ! Du 23 au 25 mars, le réseau national des « Traiteurs de France », fort de ses trente-sept maisons reconnues aux quatre coins de l’Hexagone, va s’investir dans le département le plus septentrional de la Bourgogne Franche-Comté, à l’occasion de l’édition 2025 de ses rencontres professionnelles annuelles. Le thème devrait en faire saliver plus d’un puisqu’il s’agira de sublimer les accords mets et vins de nos belles régions viticoles, autour du concept, « de l’assiette à la vigne ».

Plus de trois cents convives devraient se retrouver lors d’un événement de gala, accueilli dans la nouvelle configuration de la salle Vaulabelle à Auxerre, à partir de 19 heures. Pâtissiers, chefs, cuisiniers, spécialistes de la réception de la France entière montreront leur savoir-faire et leur dextérité, aux côtés de deux parrains, l’un n’est autre que l’Icaunais Fabien PAIRON que l’on ne présente plus – il est établi aujourd’hui du côté de Lausanne en Suisse – et l’autre se nomme Julien GRADOZ, champion du monde des traiteurs en 2017 et professeur à la célèbre école hôtelière de Lausanne, déjà citée !

Après Lille, Quimper ou Bordeaux, c’est donc au tour de la capitale de l’Yonne, Auxerre, d’accueillir cet évènement plein de subtiles saveurs !

 

 

En savoir plus :

Le réseau des Traiteurs de France comprend aujourd’hui 38 adhérents. En 2023, le positionnement haut de gamme de cette structure à travers la France a permis d’enregistrer 270 000 réceptions pour plus de 4,1 millions de clients. Le réseau pèse un chiffre d’affaires global de 210,4 millions d’euros en 2023.

 

Thierry BRET

 


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« La plupart des acteurs présents dans la salle connaissent aussi bien le dossier que moi ! ». C’est par cette formule teintée d’humour que le vice-président du Conseil départemental en charge de la gestion des routes et des infrastructures, Christophe BONNEFOND, a ouvert la visite de chantier très mobilisatrice du côté des élus de la section propre au Département de la LISA, la fameuse Liaison Sud d’Auxerre. Une découverte à l’aide d’images relayées par un drone du SDIS évoluant dans les conditions du direct, accueillie sur une des aires de chantier, sise au rond-point de Villefargeau…

 

VILLEFARGEAU : Elles sont assez remarquables les images envoyées par le petit drone piloté par un sapeur-pompier du SDIS, s’étant prêté au jeu avec bonheur à cette retransmission assurée en direct sur le chantier de la LISA. Se dirigeant au-dessus de la portion de 3,5 kilomètres de travaux déjà effectués entre le rond-point de Villefargeau et la commune de Vallan – de déblais et de remblais -, l’engin progresse lentement sous un beau soleil et sans être trop perturbé par le vent, permettant ainsi aux regards curieux et scrutateurs des élus, nombreux à être présents dans le bâtiment faisant office de lieu d’accueil de cette conférence spécifique un magnifique panorama de l’ensemble.

Sur le terrain, on y voit des engins de travaux publics faisant leur œuvre, s’activant tout le long de ce ruban fait encore de terre et d’argile, là où sera opérationnelle dès 2028 la future Liaison Sud d’Auxerre, facilitant le contournement de la capitale de l’Yonne par l’Ouest et le Sud de la ville. Un projet version « serpent de mer » dont le sérail politique et institutionnel parle depuis près d’un quart de siècle…Une réalisation devenue concrète enfin, même si le chantier n’en est qu’à ses balbutiements.

Pour l’heure, les élus et les services techniques de l’Agglomération du Sénonais ou du Conseil départemental ne se concentrent que sur le tronçon qui commence à prendre forme sous nos yeux, celui qui est placé sous l’égide décisionnel du Département.

 

 

Pas un projet de route mais un projet infrastructurel

 

C’est pourquoi il revenait au vice-président du vénérable organisme, Christophe BONNEFOND, élu en charge des routes et des infrastructures – il profitera même de son long temps de parole de près de vingt minutes pour faire un petit coup de pub à sa commune de prédilection, Venoy, dont il est l’édile ! – d’ouvrir la série de discours rendant officielle cette visite, particulièrement intéressante pour constater à date l’état des lieux de ce chantier sur lequel on retrouve l’une des plus belles sociétés de travaux publics de la région BFC, l’entreprise Roger Martin, chère à son dirigeant, Vincent MARTIN, le président régional de la FRTP (Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté).

Dans un premier temps, l’orateur prit soin de repositionner le dossier de cette LISA dans son contexte global, en remontant à la genèse de ce projet quasi pharaonique pour l’Yonne qui nécessitera juste pour cette double voie départementale longue de 3,5 kilomètres une enveloppe budgétaire de 33 millions d’euros. Le reliquat du projet, d’à peu près dix kilomètres au total, revenant sur le plan financier à l’Etat. Le total s’élevant à 148 millions d’euros…Sachant que le CD 89 dépensera 41,3 millions d’euros, il en ira de même à hauteur de 38,6 millions pour l’Etat, 27,6 millions pour l’Agglo, 25 millions pour la Région et 15 millions d’euros à la charge de la Ville d’Auxerre.

A ce propos, Christophe BONNEFOND fut on ne peut plus clair dans ses commentaires : « Nous ne sommes pas sur un projet de route, mais bien sur celui d’un aménagement infrastructurel du Centre-Yonne qui demain changera nos habitudes de vie… ».

 

 

 

Protéger les espèces animales dont les chauves-souris !

 

Un axe de communication capital pour éviter que les poids lourds et le flux important de véhicules ne traversent le cœur de la capitale icaunaise, passablement engorgée aux heures de pointe. « Non seulement, les habitants d’Auxerre vont pouvoir profiter de cette opportunité, insista-t-il, mais également ceux de tous les villages avoisinants… ».

Bref, un projet de route où se nimbent des désirs de renaturation, de voie verte, de protection des espèces en respectant les biotopes, mais aussi de sécurisation des voies qui traversent Auxerre avec un transit important d’automobiles et poids lourds à l’exemple de Jonches.

« C’est aussi un vrai dossier de santé publique, souligna le vice-président de l’Agglo de l’Auxerrois, Auxerre étant une ville en pente, il y a beaucoup de pollution à cause des véhicules qui redémarrent dans les cotes… ».

La numérotation de cette future double voie serait peut-être le chiffe « 1965 », d’après l’élu. Qui énuméra ensuite chacune des étapes foncières menant à ce projet, sur la rive gauche de l’Yonne avec les contacts avec les exploitants agricoles qui occupaient jusque-là ces parcelles. Mais, sur la rive droite de l’Yonne, l’Agglo a acheté les terrains nécessaires à ce chantier. Il aura fallu supprimer des chemins, voire les aménager afin de laisser des accès aux agriculteurs, des travaux menés par la Communauté de l’Auxerrois.

 

 

Cartes à l’appui, Christophe BONNEFOND montrera au public les différents ajustements qui seront à réaliser d’ici l’été.

« Il y a aussi un travail colossal, c’est l’aménagement paysager, explique l’élu de Venoy, il a fallu changer le sens des haies pour éviter que les populations de chauves-souris ne viennent dans le futur entrer en collision avec les poids lourds… ».

Un travail d’implantation et de friches, très important qui est loin d’être terminé. Les haies seront protégées, par ailleurs, afin de respecter les espèces animales (batraciens, chauves-souris, loutres…).

Des travaux connexes ont également été réalisés avec le concours d’ENEDIS, GRDF et SUEZ au niveau des conduites traditionnelles. Quant aux travaux à la charge de l’Etat, ils devraient démarrer dans le courant 2025.

« Je n’oublie pas de remercier Jean CASTEX, alors Premier ministre, qui en déplacement dans l’Yonne, nous a donné un sacré coup de pouce de 7 millions à la réalisation de ce chantier… ».

Les ouvrages d’art dont l’un mesurera 220 mètres de long (trois fois l’ouvrage de Pont-sur-Yonne cher à Grégory DORTE, président du Conseil départemental) débuteront à partir de cet été.

Quant à ce tronçon imputable au Conseil départemental, les automobilistes auront la possibilité de le fréquenter si tout va bien dès 2026. Encore un peu de patience donc !

En attendant, les élus ont dévoilé avec le sourire et sous un soleil radieux l’un des trois panneaux signalétiques officiels qui informera de la réalité de ce chantier le public. Un contournement sud d’Auxerre qui n’est donc plus une arlésienne, désormais !

 

Thierry BRET

 


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Enfin ! C'est le mot communément retenu, après tant d'années de maintien artificiel au niveau de l'excellence culinaire que cette maison ne méritait plus depuis bien longtemps. Il était  temps, et le Michelin ne s'honora pas, en l'ayant  maintenu sous perfusion pneumatique depuis de trop nombreuses années…

 

AUXERRE : Peut-être même, allez savoir, la double étoile, c'est même fort bien payé pour celui que Paul BOCUSE surnommait « le steward », en raison d'une saison étudiante chez Air France, sur des Boeing 707 intercontinentaux dans les années 60 !

Homme de réseaux,  le chef Georges BLANC - plus tenant du faire savoir que du savoir-faire culinaire ! - se voyait sûrement continuer ainsi de longues années,  bernant honteusement une clientèle, venue à Vonnas (Ain), rechercher - sans la trouver toutefois - l'excellence culinaire que l'on est en droit d'attendre d'une maison triplement étoilée...

L'été dernier dans « Les Duels estivaux » du « Figaro », la maison BLANC se retrouva terrassée par la maison CARRETTE, sise à Tournus (Saône-et-Loire), une étoile solidement accrochée à sa façade avec le sympathique chef Jean-Michel CARETTE et sa cuisine aussi personnalisée que goûteuse (une seconde étoile y serait d'ailleurs des plus méritées...).

Un souvenir personnel me revient en mémoire, tandis que je collaborais avec le talentueux journaliste du « Figaro », l'ami François SIMON au croque-notes hebdomadaire redouté alors ! Nous sommes en mars  2008 et décidons de passer une journée dans le village Blanc à Vonnas. J'avais dormi à l'hôtel Genève, je m'en souviens. Le midi, nous avions fort bien déjeuné à l'ancienne auberge, ouverte par la famille BLANC, à la fin du XIXe siècle. Je me rappelle notamment des cuisses de grenouilles, servies en deux fois, et de ce fait impeccablement chaudes...

 

 

Puis le soir, sous un autre nom d'emprunt – société FERNEX de mémoire !  -, direction la table triplement étoilée de Georges BLANC. Ce n'était pas ma première table triplement étoilée, mais je fus consterné en arrivant à table, guidé par du personnel pédant, de constater qu'à l'instar d'un restaurant « noces et banquets », le pain était déjà dressé dans les assiettes spéciales devant l’accueillir. C'est de mauvais augure nous nous étions dit alors. La suite de ce médiocre repas fut à l'unisson. Je ne pus terminer mon plat principal un duo de ris de veau, l'un braisé l'autre meunière dont je me réjouissais pourtant, tant il était anormalement salé, et de ce fait immangeable…

Ne pas terminer son assiette n'est pas vraiment le style de votre serviteur....Ah ! Oui ! Je me souviens aussi de ce sommelier tentant vainement, de nous vendre les flacons les plus chers. Pitoyable expérience dont aujourd'hui encore, je garde un souvenir interrogateur : c'est cela une table triplement étoilée au guide Michelin ? L'article de François SIMON « le blanc manger » ne fut pas piqué des hannetons, mais reflétait aussi son incompréhension, face à cette distinction tellement imméritée...

En conclusion, rendons toutefois hommage à ses ancêtres, sa grand-mère Elisa que Curnonsky, prince des gastronomes baptisera en toute simplicité « la meilleure cuisinière du monde » pour ses plats délicieux (grenouilles, civet bressan, poulet à la crème de Bresse, crêpes vonassiennes…), des plats qui lui valurent deux étoiles au Michelin 1932. Ses parents aussi, Jean et Paulette la cuisinière. Lorsqu'avec son épouse Jacqueline, le chef BLANC reprit la maison familiale en 1965, la seconde étoile arriva en 1968 et la troisième en 1981. Mais voilà longtemps que pareille remise à niveau était nécessaire. C'est enfin chose faite…

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Une véritable ruche, la salle René Binet ! Le public du Sénonais a bel et bien répondu présent durant deux jours à l’occasion de cette seconde « Rencontre de l’Emploi, de la Formation et de l’Orientation 2025 ». Une étape capitale pour celles et ceux qui se projettent dans le futur, avec un job à la clé si possible, ou à défaut une piste sérieuse devant les mener vers un cycle pédagogique à convertir en métier pérenne. Une initiative qui émane de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais, du PEIPS et de France Travail…

 

SENS : Il fallait profiter de l’aubaine, car la manifestation est unique pour cette année ! Dommage, pourrait-on dire de façon lapidaire, mais la logistique déployée par les organisateurs est impressionnante et il n’est pas si facile de mobiliser autant d’entreprises avec leurs offres d’emploi à pourvoir et de spécialistes de la formation, tout secteur d’activité confondu, sur deux journées de rendez-vous. On doit cette manifestation très attendue au volontarisme de la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais, du PEIPS (un judicieux assemblage de représentants de la Mission Locale et du PLIE Sénonais) et de France Travail. Un concept élaboré  autour de la coordination et de l’efficience, au vu du rendu constaté salle René Binet.

Si la journée du mercredi 20 mars était consacrée uniquement à la partie formation et orientation, celle de ce jeudi, en revanche, permettait aux très nombreux visiteurs de passer de la partie quasi théorique à la pratique. Ils avaient face à eux pléthore de dirigeants d’entreprise et responsables de direction de ressources humaines pouvant leur accorder un peu de temps et une écoute attentive, sur l’un des stands occupés par leur société.

 

 

Une très belle fréquentation à l’issue de ces deux journées

 

L’évènement était important pour les jeunes gens désireux de connaître tous les rouages les menant à la vie active, mais aussi aux demandeurs d’emploi du bassin Sénonais, en quête du précieux Graal. On notait tout de même la présence de plus d’une centaine de partenaires, ces derniers devant offrir plus de cinq cents opportunités professionnelles, se traduisant par des postes à pourvoir de suite et des formations. Une pêche miraculeuse ou presque !

L’objectif de l’opération était simple : faciliter la rencontre entre les structures et les candidats prêts à l’emploi, les salariés en reconversion professionnelle, les travailleurs en situation de handicap, mais aussi les étudiants, les lycéens, etc.

Présidente du PEIPS, la conseillère départementale et élue de Sens, Clarisse QUENTIN était présente ce jeudi en milieu de matinée pour « inaugurer » de manière très symbolique cette seconde édition d’un évènement qui sera réitéré dès la saison prochaine au vu de son succès.

Elle était accompagnée du directeur général du Pôle Economie et Insertion professionnelle du Sénonais PEIPS, Emmanuel CROUZET.

« Dans un seul endroit, on a pu fédérer les énergies et les partenaires de l’emploi sur deux journées pour apporter des solutions pertinentes, précise-t-il, on a ainsi pu multiplier les opportunités… ».

In fine, ce sont 70 entreprises du Sénonais dont quelques belles références du secteur industriel qui ont pris part à cette deuxième animation. Le nombre de visiteurs ayant dépassé la barre des 1 500 personnes sur les deux jours.

« L’idée, ajoute Emmanuel CROUZET, est aussi de suivre ces personnes dans le temps afin de connaître les transformations exactes à l’emploi… ».

 

 

Une attractivité, certes, économique mais aussi résidentielle…

 

Quant à Clarisse QUENTIN, elle a salué la présence des 70 entreprises : « ce n’est pas une vitrine pour elles, si elles sont là, c’est parce qu’elles ont de réels besoins en matière de recrutement… ».

Des face-à-face judicieux que ces échanges personnalisés concoctés entre recruteurs et recrutés, accueillis sur place, évitant aux demandeurs d’emploi de pousser les portes.

Disposant d’un sérieux tissu industriel pourvoyeur d’emplois, le Sénonais fait toujours figure de poumon économique dans le département de l’Yonne. Il ne pouvait donc pas se couper de cette manifestation, bien au contraire.

« La zone des Vauguillettes est en cela représentative de cette dynamique industrielle, explique l’élue de l’Yonne, bon nombre d’entreprises sur site sont porteuses d’emplois et de croissance. La zone accueille depuis peu un projet logistique avec 50 000 mètres carrés en cours de construction… ».

Une telle initiative, ces « Rencontres de l’Emploi, de la Formation et de l’Orientation », illustre parfaitement les valeurs portées par la nouvelle Agence Yonne Attractivité (AYA) qui vient de voir le jour, la semaine dernière, sous l’impulsion du Conseil départemental et de huit EPCI partenaires, dont celle du Grand Sénonais.

Explications de Clarisse QUENTIN : « L’attractivité, elle est certes économique mais elle est aussi résidentielle. Il est important de vendre la destination icaunaise à l’extérieur de notre territoire pour permettre aux entreprises locales de pourvoir à leurs besoins de recrutements en attirant de nouveaux habitants par chez nous. C’est cela le rôle de cette Agence de l’Attractivité départementale… ».

Un message limpide adressé aux investisseurs et entrepreneurs franciliens, entre autres, qui souhaiteraient délocaliser leur production tout en venant s’installer des deux côtés des rives de l’Yonne. Sachant que le Sénonais dispose grâce à la loi ZAN (Zéro Artificialisation Nette) de quelques belles parcelles de terrain encore disponibles. Une aubaine pour celles et ceux des entrepreneurs qui désirent s’y installer !

 

Thierry BRET

 

 


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