Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Faire le choix d’une mobilité agile et respectueuse de la distanciation sociale intègre les priorités stratégiques de la plus ancienne marque de deux-roues motorisés au monde encore en activité. Face à la crise sanitaire qui demeure persistante dans l’Hexagone, la solution de mobilité idéale est incontestablement le deux roues pour assurer ses déplacements. Des solutions de financement existent afin d’en faciliter leurs acquisitions. Dont le dernier-né électrique conçu par le fabricant, le Peugeot e-Ludix…

PARIS : Le postulat est simple : pour optimiser au maximum sa sécurité lors de ses déplacements, il est nécessaire d’utiliser un mode de locomotion qui soit adapté au contexte environnemental de l’instant.

C’est-à-dire permettre la distanciation sociale. Et peut-être s’abstenir d’emprunter les transports collectifs qui ne sont pas encore à 100 % de leur capacité du fait de l’absence de leur personnel, et trop perméable à la promiscuité entre les voyageurs.

L’une des solutions qui devrait prendre de l’ampleur d’ici les prochaines semaines, notamment dans les zones urbaines, sera l’usage des deux-roues motorisés en guise de transport individuel. C’est déjà le cas à Paris. Mais, cela le deviendra également dans les villes de province.

Alors que le gouvernement préconise la marche à pied et l’usage du vélo pour se rendre sur son lieu de travail, il apparaît comme une évidence que le scooter possède de très beaux lendemains devant lui.

D’autant que 60 % de nos concitoyens effectuent journellement des trajets pour se rendre dans leur entreprise distante de moins de cinq kilomètres de leur domicile.

Bref, autant d’arguments positifs qui ont su faire tilt chez l’un des concepteurs de ces petits engins aux caractéristiques très impressionnantes : Peugeot Motocycles.

Rappelons que les modèles de scooter 50cc sont aisément accessibles via une formation BSR pour les pilotes âgés de moins de dix-huit ans. Leur conduite ne nécessite pas de permis spécifique. Quant à la gamme supérieure, les 125cc, ils requièrent pour leur maniement une formation de sept heures avec les permis auto, ou ceux des catégories A1, A2 et A4.

L’un des fleurons à l’estampille du constructeur national, le scooter 3 roues développant 400cc, le fameux « Métropolis », se pilote avec le permis auto. Notons qu’il offre des conditions de stabilité optimale y compris pour les béotiens en la matière.

 

 

L’électrique est tête de liste des nouvelles préconisations…

 

Reste l’électrique. Et dans ce domaine, Peugeot Motocycles dispose également des atouts pour satisfaire les demandes consuméristes de ses prospects. La version « e-Ludix » vient à peine d’incorporer la gamme que déjà elle intègre le dispositif mis en place par le gouvernement qui alloue une prime de 400 euros pour aider à son acquisition.

Un coup de pouce qui est compatible avec les aides des régions et des communes éligibles au dispositif qui facilite l’équipement en véhicule électrique.

En outre, le fabricant proposera une offre de leasing à 99 euros par mois dès que l’objet de toutes les convoitises arrivera en concession dans les semaines à venir. Ces offres concerneront aussi bien la clientèle de particuliers que les professionnels soucieux de franchir le pas.  


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La réouverture des quatre agences que compte la société de l’Yonne est effective depuis ce lundi 11 mai. Si la clientèle peut y découvrir plus de deux cents biens mis en vente ainsi que des offres locatives, elle sera sans doute surprise de voir un nouveau caducée à l’effigie d’une déesse de la Rome antique, Vesta, accroché à la devanture de ces vitrines commerciales adhérentes de la FNAIM…

AUXERRE: Après une longue période d’atermoiements imputable à la suspension de l’accueil de sa clientèle, c’est la réouverture au sein du groupe 123 Immobilier. Les quatre agences commerciales (Appoigny, Auxerre Rue de Paris, Auxerre Gambetta et Migennes) ont en effet procédé au lever de rideau ce lundi matin. Permettant ainsi d’assurer sa palette de services habituels : mandats de vente, avenants, offres d’achat, baux, état des lieux et compromis de vente.  

Pourtant, quelque chose diffère dans ces points de vente. La présence inédite d’un caducée, placé sur la devanture de ces agences, en témoigne.

A l’effigie de la déesse de la Rome antique Vesta, l’objet symbolise le professionnalisme et le savoir-faire de la société. La différenciant des mandataires. On peut y lire une brève locution latine : « lucere defendere ». Une devise qui résonne à l’esprit des membres de la FNAIM (Fédération nationale de l’immobilier) : éclairer et défendre. En filigrane, il faut comprendre l’intérêt de la clientèle. Mais aussi celui des adhérents de la puissante fédération nationale…

 

 

L’identité de la profession immobilière pour la FNAIM…

 

Une fois obtenue la reconnaissance nationale du titre d’agent immobilier pour ses adhérents (la loi ELAN du 23 novembre 2018), la filière souhaitait disposer d’une distinction officielle lui permettant de se distinguer au nom de l’appartenance et du professionnalisme auprès du public à l’instar des notaires, des huissiers, des médecins ou des pharmaciens.

Qui d’autre que la déesse romaine Vesta qui représente la protection du foyer, de la maison et de la famille pouvait incarner ce symbole ?    

Arborant une lance dans une main et une torche dans l’autre, le personnage de la mythologie romaine inspire chaleur, réconfort, protection.

L’ensemble des titulaires de la carte professionnelle d’agent immobilier, d’administrateur de biens ou de syndics de copropriété pouvait se reconnaître en leur nouvelle protectrice.

La FNAIM voulait également adresser un message fort aux agents commerciaux qui exercent dans un réseau de mandataires et qui ne doivent plus se revendiquer en qualité d’agents immobiliers. Ces derniers doivent dorénavant se présenter sous l’étiquette d’agent commercial immobilier, négociateur, conseiller ou consultant.

La plus importante des fédérations professionnelles de France pour la caste immobilière attendait donc avec impatience que tombe un décret permettant d’officialiser le nouveau symbole. Celui qui clarifie les aptitudes des différents acteurs de l’immobilier et protège au mieux les intérêts des consommateurs.

En début d’année, la chose fut enfin obtenue puisque le ministre du Logement Julien DENORMANDIE approuva la création de ce caducée à la représentation divine si particulière. Un caducée qui trône désormais en bonne place sur les façades des agences du groupe 123 Immobilier !

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’exercice de la représentativité étatique dans un territoire peut se révéler parfois fort complexe. Tant la physionomie de la situation actuelle se veut inédite dans ses conséquences sur le bon fonctionnement d’une société quasi à l’arrêt depuis bientôt près de deux mois. Le représentant de l’Etat doit faire front et tenir fermement la barre afin de trouver les solutions adéquates. Face à la moindre remontée informative sanitaire, alarmiste ou pas, en provenance du terrain. Face à la moindre doléance qui émane d’une filière professionnelle engluée dans de réelles problématiques de trésorerie. Et lui, Henri PREVOST, comment anticipe-t-il tout cela ?   

INTERVIEW : La date butoir du 11 mai est un synonyme de retour progressif vers une normalisation de l’existence. Comment voyez-vous dans les faits sa mise en pratique dans le département de l’Yonne ?

L’étape de cette sortie progressive du confinement est délicate. Nous passons d’un état de fait où la plupart des structures entrepreneuriales et institutionnelles sont fermées, à la reprise de l’existence.

C’est très compliqué d’assurer la mise en route des activités pour les professionnels et les particuliers d’autant que quelques-unes d’entre elles demeurent restreintes.

En outre, il nous faudra apprendre à cohabiter aux côtés de ce coronavirus et trouver les moyens de vivre avec ce fléau. Du moins pour quelques temps encore. La vigilance reste de règle même si la vie professionnelle doit reprendre dans l’intérêt de tous…

Quels enseignements tirez-vous de ces huit semaines de confinement selon votre analyse des faits ?

Dans sa grande majorité, la population de l’Yonne a géré cette crise sanitaire avec prudence en étant très impliquée. Même si quelques réfractaires ont pu prendre des risques pour eux-mêmes et pour les autres, mais cela reste marginal.

Il est vrai que limiter les contacts et les relations humaines ne sont pas si faciles. Je mesure l’importance de ces efforts et je tiens à remercier nos concitoyens pour leur engagement à les avoir respectés.

 

 

 

Pourquoi notre département n’a pas basculé dans le vert au soir du 07 mai alors que nous avons recensé moins de cas qu’ailleurs dans l’Est de la France ?

Cela est lié à une circulation encore bien présente de l’infection dans notre département. Et puis, il y a ces données ayant trait aux capacités de réanimation toujours tendue dans l’Yonne. La saturation de nos capacités à tester représente un autre facteur. L’ARS pense que nous devrions changer de coloris (le vert) d’ici quelques jours si les gestes barrières et les mesures de protection sont bien respectées…

Le manque de moyens sanitaires avérés (nombre de places en réanimation dans les centres hospitaliers) explique en effet cet état de fait. Faudra-t-il revoir cela une fois la crise derrière nous ?

Il est beaucoup trop tôt pour tirer les enseignements de cette crise sans précédent. Une chose est sûre : la mobilisation des soignants a été très importante sur notre territoire et on ne peut que les féliciter pour leur travail. La solidarité a été remarquable avec les autres partenaires de la région Bourgogne Franche-Comté. Nous avons disposé de plus de trente lits d’accueil pour la réanimation dans les hôpitaux, ce qui est une très forte mobilisation…

Dans les EHPAD, la situation s’est nettement améliorée avec la présence des tests pour les soignants et les résidents. L’épidémie a été enrayée dans ces structures d’accueil des personnes âgées. Beaucoup de nos seniors ont été guéris, on oublie parfois de le mentionner…

On le constate à la lecture des sondages journaliers, beaucoup de parents (une large majorité d’entre eux) ne souhaitent pas le retour de leurs enfants dans les établissements scolaires. Que répondez-vous à cela ?

Ils sont soucieux de l’état de santé de leurs enfants et ce n’est pas critiquable. Je constate cependant que de nombreuses écoles vont rouvrir leurs portes de manière progressive et ce dès le 14 mai. Les élèves doivent retourner dans les salles de classe pour y suivre l’enseignement. C’est aussi utile pour les parents qui doivent retrouver leur travail.

Ce retour à la scolarité se gère aussi en bonne intelligence avec les maires et l’Education nationale.

Quant aux transports collectifs encadrés par la Région, ils vont faciliter cette reprise de l’école. Même si peu d’enfants vont fréquenter les bus dans un premier temps…

 

 

Le risque d’une seconde vague est-il l’une de vos principales craintes à l’heure actuelle ?

C’est envisageable en effet. Surtout si l’on ne respecte pas les gestes barrières et les mesures de protection sanitaires. Mais, tout est fait pour que cette deuxième vague ne vienne pas altérer notre retour à une vie plus en phase avec la normalité…

Il faut avoir confiance dans nos capacités à gérer cette crise. Des signes positifs nous proviennent de l’international. Prenons l’exemple de la Scandinavie où il n’y a pas pour l’heure d’explosion de nouveaux cas parce que les habitants de ces contrées sont très respectueux des mesures barrières…

Les forces de l’ordre (gendarmerie, police nationale, police municipale) ont travaillé en étroite complémentarité. Par contre, de nombreux témoins affirment n’avoir jamais été contrôlés. C’est paradoxal ?

L’objectif principal n’est pas de verbaliser mais de faire respecter les fameuses mesures de protection. La présence des forces de l’ordre était importante : je peux vous le garantir durant ces semaines de confinement. Partout, à la campagne comme en zones urbaines ; de jour comme de nuit ; sur les axes autoroutiers comme sur les départementales.

Ces forces resteront mobilisées avec le même degré d’implication après le 11 mai. Les contrôles de dépassement du rayon de cent kilomètres autour de son lieu d’habitation seront accentués. De même, il est interdit de se rassembler à plus de dix personnes.

La crise sanitaire aura eu néanmoins deux effets positifs sur notre quotidien : la baisse de la délinquance et les aspects bénéfiques sur l’environnement et la pollution. Votre avis sur ces sujets ?

C’est vrai que la délinquance a subi une nette décrue depuis plusieurs semaines. Les forces de l’ordre ont même pu procéder à quelques arrestations d’individus qui étaient sous contrôle.

Pour l’environnement, nous avons observé le retour de présences animalières inhabituelles dans certains secteurs, preuve que la nature sait aussi reprendre ses droits. Quant à changer nos comportements consuméristes pour éradiquer la pollution et les risques inhérents au changement climatique, il est encore trop tôt pour en tirer de véritables conclusions. Mais une chose est sûre : le confinement n’est pas une solution durable pour résoudre cela..

En revanche, les violences conjugales ont fait un boom incroyable dans les statistiques : veillez-vous avec attention à cette situation complexe pour certaines cellules familiales ?

C’est vrai que le nombre de cas de violences conjugales a progressé de manière exponentielle durant cette période difficile à vivre chez certaines familles du fait de la promiscuité.

Outre la prévention, nous avons opéré à un certain nombre de gardes à vue dans certains cas. Je tenais à saluer le travail de l’ADAVIRS, une structure associative qui est intervenue à maintes reprises.

Ainsi que la prise d’initiatives de plusieurs enseignes de la grande distribution comme LECLERC et le groupe SCHIEVER qui ont mis en place des outils de soutien pour aider ces personnes en proie à de réelles difficultés.

Je n’oublierai pas non plus le travail des officines de pharmacie qui ont collaboré à ce projet de détection de ces violences…

 

 

Un mot sur l’économie, autre point noir de cette actualité en berne : le tourisme, les métiers de la culture mais aussi les commerces, les artisans et les filières de services vivent des moments difficiles. Plusieurs cellules de crise ont été montées à votre initiative. Pour quelles missions précises ?

Il était nécessaire de réunir toutes les parties prenantes. Et surtout de trouver des solutions concrètes pour faire face aux difficultés. En faisant connaître, notamment, l’ensemble du dispositif d’aides définies par l’Etat.

Le comité du BTP a œuvré à la reprise des chantiers interrompus par l’émergence du COVID 19 sur notre territoire. Un comité spécifique sur la filière du tourisme sera opérationnel d’ici peu avec les différents acteurs de la corporation.

Certes, il est encore trop tôt pour savoir ce qui va se passer réellement dans les semaines à venir mais le gouvernement a pris ses dispositions pour mettre en œuvre des aides spécifiques afin d’accompagner les entreprises qui en ont le plus besoin…

Vos déplacements sur des sites de production de masques protecteurs est un signe fort de votre encouragement aux chefs d’entreprise ?

C’est une manière appropriée de saluer ces bonnes initiatives. Ces structures n’ont pas hésité à orienter leurs activités vers l’intérêt général en produisant des équipements de protection. C’est le cas de GEOCHANVRE, de JPJ MOUSSE, de la Compagnie DUMAS.

Mais, il y en a d’autres sur le département. Je vais continuer à leur rendre visite au cours de ces prochaines semaines. Quand on parle de réindustrialiser le pays, on observe qu’il existe des établissements et des salariés qui sont suffisamment motivés pour pouvoir le faire en agissant de la sorte. C’est se mettre en ordre de bataille pour gagner ce combat contre le virus…

Question récurrente dans l’esprit des Icaunais : trouverons-nous des masques partout et suffisamment après le 11 mai ?

Des millions de masques issus de l’importation mais aussi de la fabrication dans l’Hexagone circulent désormais dans le pays. Les circuits de distribution se sont organisés pour en fournir suffisamment auprès des entreprises et des particuliers. Des communes vont en distribuer gracieusement à leurs administrés. Je pense que la population de l’Yonne est bien équipée en la matière. Même s’il y a encore quelques réglages à faire cette semaine.

Une seule vigilance s’impose : il ne faudrait pas que certaines personnes se constituent des stocks qui dépasseraient les besoins ordinaires.

A ce titre, comment vont reprendre les activités de la préfecture ?

Le télétravail est maintenu jusqu’à nouvel ordre. Notamment pour les personnes fragiles ou pouvant présenter des risques face à la pathologie. Le nombre de visite en préfecture et sous-préfecture se fera uniquement sur rendez-vous. Quant aux audioconférences et visioconférences, même si certaines choses sont à améliorer au plan technique, elles ont encore de beaux lendemains devant elles…

Rester en zone rouge ne permettra pas de se rendre dans les jardins et les espaces extérieurs publics. Mais, les facteurs de risque ne sont-ils pas plus élevés si on déambule dans les rues d’une ville ?

Le but de l’opération en prenant ces arrêtés était de limiter le risque d’une trop grande affluence dans ces espaces publics. Surtout par temps d’ensoleillement. J’ai pleinement conscience que ces mesures ont pu être incompréhensibles, voire difficiles pour certaines personnes. Mais, les appliquer aura permis d’être davantage concentré sur l’objet premier de ce dispositif : la vigilance et rien que la vigilance…

D’autres dossiers, d’avant crise, étaient en examen sur votre bureau : qu’en est-il de leur gestion immédiate ?

Certains de ces dossiers ont pu progresser naturellement. D’autres, en revanche, ont été reportés du fait du contexte si particulier. Les agents en charge de ces mêmes dossiers étant absents, il était impossible de les poursuivre. Mais, je suis très attaché à une reprise rapide de ces dossiers en cours.

C’est votre premier poste dans le corps préfectoral. Comme entrée en matière, il y a mieux, convenons-en ! Sur un plan personnel, comment vivez-vous cette période de remise en cause de nos principes les plus chers : ceux de la liberté et de l’initiative…

J’ai eu la chance d’avoir effectué deux mois de vie normale dans l’Yonne et d’avoir pu rencontrer la plupart des acteurs décisionnaires entre janvier et février. Cela m’a énormément aidé par la suite dans la gestion de cette crise exceptionnelle.

Mais, il est vrai que la situation est très difficile. Personne ne l’a jamais vécue auparavant. Il a fallu trouver un temps d’adaptation. L’Yonne dispose aussi d’un tissu d’élus, d’institutionnels et de décideurs économiques très engagés dans la vie quotidienne : l’Etat a pu conforter son rôle et ses services en s’appuyant fortement sur ce tissu de compétences et d’expertises locales.

En guise de conclusion, quels messages forts adresseriez-vous à vos concitoyens de l’Yonne ?

Qu’ils reprennent confiance en retournant sur leur lieu de travail en se préservant des risques grâce aux gestes barrières et aux mesures de distanciation physique. C’est de cette manière que nous retrouverons la vie normale qui nous fait tant défaut à l’heure actuelle…  

 

Propos recueillis par Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les valeurs de l’économie sociale et solidaire transpirent au quotidien dans les actions engagées par la structure associative de Puisaye-Forterre depuis sa création en 2011. Sa dernière réalisation en date n’est autre qu’une application mobile permettant de diffuser toutes les opérations susceptibles d’interpeller celles et ceux qui veulent sortir de la période de confinement…Utile et ingénieux système ! 

BLENEAU: L’argument ne manque pas de sel à la lecture du simple feuillet informatif qui fait office de dépliant. Le nouvel outil technologique décliné par l’association de Puisaye-Forterre depuis une semaine est la seule offre numérique capable d’annoncer et de géo-localiser dans le même laps de temps les arrivages de masques et de gel hydro-alcoolique sur notre territoire.

Utilisant les moyens mis en œuvre sur la plateforme « TAM-TAM France », ce mode de communication numérique novateur s’avère très précieux à l’usage pour ses utilisateurs à l’amorce de la reprise progressive des activités dans notre département.

Un simple contact téléphonique facilite en effet à l’instant « t » la diffusion d’informations nécessaires pour connaître les lieux où l’on peut se procurer la fameuse marchandise. Celle-ci est indispensable au respect des procédures sanitaires mises en place dans le cadre du plan de sortie de crise voulu par le gouvernement.

Mais, attention, l’application ne se borne pas à limiter son contenu. Elle apporte également bon nombre de renseignements et services aux municipalités, aux associations, aux organisateurs d’évènements, aux filières de l’économie. Sans omettre, bien sûr, les acteurs du tourisme qu’ils soient professionnels ou consommateurs lambda.

 

Un outil pertinent qui devrait faire florès dans les jours prochains…

 

Le particularisme de ce nouvel outil est de favoriser la cohabitation sur la même application des alertes et infos émanant des EPCI (Etablissement public de coopération intercommunale) et des communes. Mais aussi des annonces évènementielles inhérentes à la vie des associations et des clubs au service des citoyens.

Le concept qui intègre l’écosystème éclectique abordé par UNIVER SOLIDAR en sa qualité d’intervenant privilégié de l’économie sociale et solidaire (la structure bénéficie des labels ESUS depuis 2018) se destine aussi à accueillir les messages promotionnels de la sphère économique : restaurateurs, hébergeurs et autres artisans/commerçants.

Du « deux en un », voire en trois pour cette formule qui accroît la pertinence de ce service devant faire florès dans les jours à venir sur notre territoire. Et peut-être au-delà.

Moyennant une tarification dérisoire (3 euros l’annonce !), les professionnels peuvent ainsi se servir de ce support de communication interactif pour diffuser le menu de leur restaurant ou les offres promotionnelles en vigueur selon leur politique de merchandising. La part reversée par l’opérateur rémunère une cellule administrative de veille et graphique qui met en forme lesdites annonces devant être publiées par la suite sur l’application.

La mise en exergue de cet outil est développée par SOLIDARCOM, l’une des six composantes de l’entité UNIVERS SOLIDAR (le print, la coopérative, les arts, le web, la production…).

Opter pour cette initiative citoyenne, c’est aussi s’engager en faveur de la transition écologique, précise la structure. Cette application se substitue en effet à la production de tracts, d’affiches, de prospectus qui finissent le plus souvent leur existence au fond d’une poubelle.

 

En parallèle : l’application mobile « JUSVISIT »

 

L’association de Puisaye-Forterre avait déjà fait ses gammes dans l’univers du numérique à l’automne 2019 en créant une première application. Baptisée « JUSVISIT », celle-ci valorise le petit patrimoine de nos villages. Grâce au fruit  de recherches historiques, culturelles de groupes d’étude ou d’ateliers intergénérationnels.

Une approche touristique très intéressante à plus d’un titre qui est devenue au fil de ces dernières semaines un sujet d’actualité éminemment brûlant quant au développement du tourisme de proximité en prévision de cet été.

Précisons que la fonction « appel à un guide ami » est une approche de tourisme démocratisé. Elle a recours aux services d’un historien local ou d’un féru de patrimoine qui peut se mettre à disposition d’un groupe de visiteurs pour une découverte plus approfondie de notre territoire.

Et pourquoi pas, à l’issue de ces échanges, de constituer et développer de véritables liens d’amitiés.

Soucieuse de modernisme, l’application déclinée sous sa forme audio est également bilingue avec une traduction qui est assurée par le traducteur de l’association. La meilleure manière de respecter sa déontologie éthique dans l’art et la pratique de l’économie sociale et solidaire et l’optimisation des circuits courts !

 

En savoir plus :

 

Contact : 03.86.44.24.19.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’une des grandes déceptions de Thierry SMOLARSKI, directeur de publication du magazine diffusé sur l’Auxerrois et la Puisaye-Forterre, aura été la non-célébration du quinzième anniversaire de sa revue. Des bougies auraient dû se souffler ce mois-ci. S’il n’y avait eu ce satané coronavirus qui l’a contraint à ne pas publier deux numéros et de passer sous silence cet évènement festif, symbole de la pérennité du média…

TOUCY : Ce ne sera au final qu’une simple parenthèse. Mais, elle demeurera indélébile et douloureuse dans la mémoire meurtrie de l’entrepreneur de Puisaye. « Le Criquet de l’Yonne » aurait dû célébrer, comme il se doit, sa quinzième année d’existence en ce joli mois de mai. Or, il n’en sera rien.

Les causes de cette annulation sont connues de tous : la propagation galopante de l’infection virale qui a changé la face du monde et plombé une année 2020, triste comme une longue journée de grisaille.

Diffusé à raison d’un numéro mensuel depuis 2005 sur une zone de chalandise couvrant le « Middle Yonne », « Le Criquet de l’Auxerrois et de la Puisaye-Forterre » n’aura pas connu de publication durant deux mois. Ceux d’avril et de  mai.

Une première dans l’histoire de ce référent de la presse gratuite départementale qui apporte son lot d’informations commerciales utiles à des milliers de lecteurs, avides d’en retrouver les bonnes feuilles au détour des 900 points de distribution.

Une expérience complexe pour son directeur de la publication, Thierry SMOLARSKI, qui ne s’attendait pas à cela.

 

Valoriser le savoir-faire de proximité…

 

« Cette année aura été très particulière, confie-t-il un brin circonspect, les entreprises de l’Yonne ne l’oublieront pas de sitôt ! ».

Conscient qu’il est nécessaire de repartir de l’avant, le chef d’entreprise, enthousiaste, peaufine ce qui sera le premier numéro d’après confinement, répertorié comme étant le 164.

Il sera distribué dans ses points de réception habituels entre le 03 et 05 juin prochain. L’opus sera bouclé le 23 mai.

« Compte tenu du contexte actuel, précise Thierry SMOLARSKI, ce nouveau magazine possédera une forte connotation de valorisation de la proximité… ».

Selon les bases de sa charte déontologique, le média gratuit donnera un coup de projecteur aux diverses composantes de notre terroir qui contribuent à son intérêt.

Ainsi, il sera possible de découvrir, voire de mieux connaître les sites incontournables qui mettent en exergue le savoir-faire de l’Yonne par le prisme de ses commerces et de son artisanat. Des éléments informatifs qui s’étaleront au fil des pages de cette nouvelle édition.

Ainsi, cet ennemi invisible qui aura causé tant de dégâts irréversibles dans la sphère économique sur la planète n’aura pas eu la peau du valeureux « insecte » qui poursuivra sa mission informative après ce double mois de disette...

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil