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La présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté ne cache pas sa satisfaction après l’annonce du plan de relance en faveur du secteur automobile. Ces mesures ont été dévoilées mardi après-midi par le président de la République, Emmanuel MACRON. Pour la représentante de l’exécutif régional, ce plan concilie compétitivité, transition écologique et souveraineté industrielle. Il sera favorable à l’essor du site de PSA à Sochaux…

DIJON (Côte d’Or) : L’élue de Bourgogne Franche-Comté a réagi avec célérité à la suite des annonces faites par le locataire de l’Elysée pour le soutien à l’automobile dans l’Hexagone. Un segment de l’activité économique, il est vrai en berne depuis plusieurs semaines à la suite de la crise sanitaire.

Marie-Guite DUFAY a fait connaître son ressenti par le biais d’un communiqué de presse publié mardi : « l’ensemble des mesures annoncées par la présidence sont de nature à renforcer la compétitivité du site de Sochaux… ».

D’autant que PSA a déclaré que « la nouvelle génération de SUV 3008 déclinable en thermique, électrique et hybride se développera en Franche-Comté ».

Rappelons que la Région a débloqué une enveloppe de 7,1 millions d’euros au titre de l’accompagnement à l’innovation dans le projet « Sochaux 2022 ». Rendant ainsi possible la modernisation de ce site à haute performance technologique pour aborder les enjeux de l’avenir.

Dans le concret, ce sont 55 hectares supplémentaires qui seront aménagés pour permettre l’accueil de nouvelles activités dans l’esprit du pacte de relocalisation souhaité par le président de la République.

 

 

Des annonces qui ne doivent pas occulter la sécurisation des emplois…

 

Parallèlement, l’institution régionale demeure très attentive à l’activité des sous-traitants de l’automobile : ils sont nombreux à exercer leur savoir-faire sur notre territoire.

Dans le cadre du PIA (Programme d’Investissement d’Avenir), elle apporte son soutien aux mutations technologiques qui s’imposent afin que les entreprises puissent se doter des compétences adéquates.

Vigilante, Marie-Guite DUFAY rappelle aussi que « ces annonces ne doivent pas masquer les difficultés sociales que le secteur automobile traverse avec la crise actuelle… ».

En terme clair, la sécurisation maximale des emplois et des compétences est donc à préserver coûte que coûte dans notre contrée.

D’ailleurs, l’ensemble de ces sujets sera évoqué dès la fin de la semaine au cours d’un entretien que la présidente de la Bourgogne Franche-Comté aura avec le ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE, dans le cadre d’un échange avec l’ensemble des régions.

 


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Son chiffre d’affaires s’établissait au terme de l’exercice antérieur à 1,7 million d’euros. Il devrait progresser au terme de 2020. S’il y a bien une entreprise de l’Yonne qui a littéralement émergé malgré le contexte si difficile, c’est bien de celle-ci dont il s’agit. Sollicitée par le ministère de l’Intérieur, l’entreprise icaunaise n’a plus de « mousse » que son nom de baptême. Désormais, son aura lui permet de vaquer à ses occupations professionnelles dans la cour des plus grands…

AILLANT-SUR-THOLON : Le luxe, le médical, l’aéronautique, le militaire, l’industriel. Il faudra dorénavant ajouter une nouvelle corde à cet arc déjà bien garni en potentiels de débouchés : la collectivité !

Depuis plusieurs saisons, l’atelier de cette PME jusque-là préservée de la sphère médiatique s’attelait à réaliser avec le sens du perfectionnisme qui est le sien son métier et le devoir accompli. C’est-à-dire la découpe de pièces de mousse destinées à la fonction emballage. Utile et indispensable à chacun des secteurs d’activités, préalablement cités.

Oui mais voilà : la donne a changé de manière radicale en l’espace de quelques semaines pour la structure. La propagation de l’épidémie de coronavirus a eu tôt fait de chambouler le paysage économique de l’Hexagone, de l’Europe et de la planète entière. Et de brasser l’ensemble des cartes comme dans une immense partie de poker menteur. A ce jeu-là, JPJ MOUSSE s’en est plutôt bien tirée !

 

 

C’était sans compter sur le pouvoir adaptatif et le volontarisme des collaborateurs qui ont suivi comme une seule ombre celle du couple de dirigeants de cette PME très attrayante.

On connaît l’histoire : Presse Evasion l’a déjà narrée dans de précédents articles qui expliquent pourquoi cette PME industrielle a relevé ce grand défi de l’altruisme et de la citoyenneté en fabriquant ces fameuses visières de protection qui s’arrachent à présent dans de nombreux circuits de distribution.

Un pari audacieux qu’ont su porter à bout de bras Marion et Christophe BECHERT !

 

 

 

 

De la PLV pour Coca-Cola aux masques homologués par l’Intérieur…

 

 

Très vite, les commandes vont affluer. Les visières de protection faciale élaborées dans le cadre de la prévention contre le COVID-19 s’écoulent en grande quantité.

JPJ MOUSSE fournit un effort de guerre important dans sa lutte contre l’infection. Le site est sécurisé pour que les équipes puissent travailler dans une parfaite quiétude d’esprit. Rien n’est laissé au hasard.

Maîtrisant l’art de l’anticipation, les dirigeants de la PME disposaient de stocks suffisants pour relever le défi. Près de deux tonnes de matériels (plastique, mousse, accroches…) étaient déjà entreposés dans les rayonnages du site industriel avant que ne débute ce nouveau chantier.

L’unité de production était plus habituée à réaliser des présentoirs de PVL pour Coca-Cola que des objets de protection sanitaire !

Qu’importe : cet exercice de diversification a abouti à une nouvelle spécialisation. Parfaitement réussie !

 

 

Le schéma organisationnel voulu par la direction permettra d’atteindre les objectifs avec une cadence de 25 000 pièces fabriquées au quotidien. L’arrivée d’intérimaires intégrés rapidement au rythme soutenu de l’entreprise fera le reste.

Le lancement d’une deuxième ligne optimisera ces chiffres : de 40 000 à 50 000 visières conçues par jour ! Le travail se réalisant par deux équipes sur deux lignes. Quant aux approvisionnements, ils sont sécurisés pour la conception d’1,2 million de produits, sachant que plus de 300 000 visières avaient déjà été livrées début mai !

A la suite d’une livraison importante pour les magasins AUCHAN, JPJ MOUSSE s’est retrouvée sur le front de l’intérêt médiatique national. France Télévisions a interrogé les équipes de l'enseigne de la grande distribution par le biais de l'une de ses émissions vedettes "Envoyé Spécial" qui ont expliqué la fonctionnalité des produits confectionnés par la PME. Un coup de pouce indirect pour la PME de l’Yonne !

 

 

 

 

 


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Le télétravail possède-t-il un réel lendemain ? Après avoir traversé une période exceptionnelle depuis plus de deux mois, à quoi va ressembler le « jour d’après » en matière de travail à distance ? C’est une question que bon nombre d’exégètes de l’emploi se posent désormais dans l’Hexagone. Une enquête agrémentée d’une infographie apporte son lot de réponses précises. Elle émane de TALKSPIRIT, une plateforme collaborative nationale qui facilite la communication et le travail des équipes au quotidien. Explications…

PARIS : Le « home office » va-t-il encore progresser dans les entreprises, les institutions publiques ou encore les milieux associatifs dans les mois à venir ? Face aux chambardements inattendus provoqués par la présence inédite du COVID-19 sur notre territoire, les spécialistes de la RH et les managers se doivent de répondre aux exigences de leurs collaborateurs à l’avenir : oui mais, comment ?

La question, cruciale, en cette période de très lente sortie de crise méritait d’être posée. D’autant que les entrepreneurs ont eu à modifier profondément les règles de l’emploi dans bon nombre de leurs structures. Incitant des milliers de salariés à adopter le travail à distance depuis leur domicile…

Créée il y a une décennie, TALKSPIRIT s’est penchée sur cette pertinente interrogation. Logique pour une plateforme nationale qui équipe aujourd’hui près de 500 clients et plus de 150 000 collaborateurs à l’aide de solutions 100 % made in France dans l’évolution du travail.

L’entité vient de publier les résultats d’une enquête sous la forme d’une infographie analytique qui, par le biais de chiffres-clés, donne un sérieux aperçu des attentes des salariés français à la suite de la mise en place forcée du télétravail dans le pays.

 

90 % de téléchargements d’applications de visioconférence entre 2019 et 2020 !

 

Benoît RENOUL et Hugo BESSAGUET, deux collaborateurs de TALKSPIRIT, sont les auteurs de cette étude qui permet de mieux comprendre les répercussions du travail à distance sur le quotidien professionnel des Français.

Apparu au beau milieu des années 2000, grâce à l’arrivée progressive de l’Internet haut débit dans les foyers, le télétravail n’était jusque-là réservé qu’à une portion congrue de nos concitoyens.

Quelques rares salariés pouvaient en profiter pour des raisons jugées encore « occasionnelles ». Ainsi, selon les chiffres de la DARES (Direction de l’Animation, de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) diffusés en novembre 2019, 7,2 % des salariés français étaient concernés par cette méthodologie professionnelle à la limite de la marginalité.

Les choses ont nettement évolué depuis ! Six mois plus tard, à peine, ils sont désormais plus de 30 % des salariés de l’Hexagone à avoir basculé en télétravail selon les données ODOXA du 20 avril 2020 !

Il suffit d’apprécier le nombre de téléchargements d’applications de visioconférence en France pour s’en rendre compte.

Les trois outils (ZOOM, TEAMS et HANGOUT) ont vu le nombre de leur fréquentation exploser de manière soudaine et massive en un laps de temps record. Plus de 22 fois de téléchargements pour la première référence par rapport à la même période en 2019, 16 fois plus pour la seconde ; le pompon revenant à la troisième application. Elle a dépassé de 23 fois le nombre de téléchargements supplémentaires dans le même intervalle de temps ! Sachant que ces données illustrent la comparaison hebdomadaire entre la seconde semaine de mars 2020 versus celle de 2019…

In fine, on dénombre 62 millions de téléchargements d’applications professionnelles (majoritairement des visioconférences), soit 90 % de plus par rapport à la même période de 2019 !

 

Les employeurs sont-ils favorables à l’essor du télétravail à l’avenir ?

 

Toutefois, il est démontré par une autre analyse, celle en provenance de DESKEO, qu’au début du confinement, 76 % des Français en situation de télétravail forcé regrettaient l’ambiance des bureaux.

Un élément logique qui combinait à la fois le cumul imposé par cette expérience anxiogène imprévisible et le télétravail qui pour une part non négligeable de salariés fut très éprouvant.

En cause : la promiscuité, l’impossibilité de pouvoir s’isoler physiquement et numériquement, le sentiment de solitude, le défaut de matériels et leur manque de performance, etc.

Cependant, après quelques semaines, l’analyse de TALKSPIRIT montre le renversement de tendance. Et l’appréciation manifeste des Français pour cette forme de travail dont ils n’avaient pas encore ni la connaissance ni l’usage.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 71 % des personnes qui n’avaient jamais travaillé à domicile avant la crise sanitaire déclarent désormais souhaiter exercer leur métier à distance. Du moins, un jour par semaine. 79 % de ces mêmes salariés sont même prêts à sacrifier leur bureau physique attitré pour effectuer davantage de télétravail à l’avenir !

Nonobstant, une interrogation demeure : les entreprises françaises sont-elles prêtes à faire bouger les codes ?

Si les salariés restent les seuls à avoir fait connaître leur position, il n’empêche que les employeurs sont murés dans leur silence. Question de pure logique : il est encore trop tôt pour eux pour se prononcer après la période économique subie sur les vertus de cette méthode.

Les salariés ont cependant du mal à croire à une « révolution du télétravail » à l’avenir. Certains ont été sondés pour dire ce qu’ils pensent de l’attitude de leur employeur : les résultats sont les suivants. Les employeurs seraient favorables au télétravail à hauteur de 51 %, voire totalement favorables pour 4 % des cas. Mais, 36 % d’entre eux seraient réfractaires, voire totalement contre pour 8 % des cas. Précisons qu’un pour cent de ces sondés ne se prononce pas…

Quant aux freins potentiels au développement du télétravail, ils seraient multiples. La culture du présentéisme à 39 %, l’incompatibilité du télétravail avec le métier exercé à 38 %, le manque de confiance pour 17 % ou le refus sans réelle raison valable pour 26 %.

Le télétravail connaîtra-t-il un « avant » et un « après COVID-19 » en France ? Une chose est sûre, à défaut de réponses concrètes et précises, les dirigeants et les managers des structures publiques ou privées qui agissent dans le domaine économique devront très vite se prononcer…C’est la moindre des choses que de connaître leur avis après ces semaines particulières où le monde du travail a changé totalement de rythme…

 

En savoir plus :

On peut consulter l’ensemble des analyses de cette étude menée par TALKSPIRIT sur la référence suivante :

https://blog.talkspirit.com/apres-covid-quel-lendemain-pour-le-teletravail/


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Sept des treize épiceries solidaires que compte le groupement régional de Bourgogne Franche-Comté ont poursuivi leurs activités malgré la crise sanitaire. La fondation du producteur et fournisseur d’énergie récompensera ce geste d’altruisme et de solidarité en faveur de la population. Un chèque d’une valeur de cinq mille euros leur sera remis ce mardi 26 mai dans la capitale des Eduens…

AUTUN (Saône-et-Loire: C’est bien en présentiel que s’effectuera ce mardi 26 mai en fin de matinée dans la sous-préfecture de Saône-et-Loire la remise de cette manne financière inattendue au profit du groupement régional des épiceries solidaires de Bourgogne Franche-Comté.

Si le respect des gestes barrières et des mesures de protection constituera le préalable impérieux à la tenue de ce rendez-vous, il n’empêche que l’enthousiasme et le plaisir de partager ces moments de convivialité ne manqueront pas de fleurir parmi l’assistance autorisée à suivre cette cérémonie symbolique.

En premier lieu, les responsables des épiceries solidaires de Bourgogne Franche-Comté : Yves LE BOUAR, président de l’épicerie du Grand Autunois-Morvan Les Amis du P’tit Marché localisé à Autun, et Thierry FOUSSET, président du groupement régional (GESBFC).

Une visite de l’épicerie solidaire locale sera naturellement organisée en présence des bénévoles à l’issue de cette remise d’enveloppe. Une excellente opportunité pour le délégué régional du groupe EDF Bourgogne Franche-Comté, Yves CHEVILLON, de s’immerger davantage au plus près des rouages fonctionnels de cette entité.

Créé le 31 mars dernier, un fonds d’urgence et de solidarité pour faire face à la crise sanitaire et sociale imputable à la propagation du COVID-19 aura permis à la Fondation du Groupe EDF d’accorder la somme de cinq mille euros au groupement régional des épiceries solidaires de notre contrée.

Un geste vertueux et solidaire pour encourager les bénévoles des sept structures sur les treize que compte le groupement d’avoir pu demeurer ouvertes durant cette période de confinement très strict.

Plus de trois mille foyers ont pu ainsi profiter des périodes d’ouverture desdites épiceries pour se ravitailler en victuailles sans de difficultés.

Il s’agit des sites d’Autun, d’Auxerre, du Creusot, de Dijon, de Nevers, de Quetigny et de Sens.


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La date de cette réunion statutaire obligatoire a été fixée au jeudi 04 juin. Oui mais voilà : pour cause de coronavirus et de distanciation physique, les membres du syndicat patronal des petites et moyennes entreprises s’abstiendront des joyeuses agapes d’après séance de travail. Le président de la CPME de l’Yonne a tranché : ce sera une assemblée générale à distance qui sera proposée à ses adhérents...

AUXERRE: Celles et ceux des membres de la CPME qui pensaient se retrouver dans la joie et l’allégresse le 04 juin prochain lors de leur assemblée générale en seront pour leurs frais ! Olivier TRICON en a décidé autrement avec la bénédiction, il va de soi, de son Conseil d’administration.

Le président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne a adressé il y a vingt-quatre heures par mail interposé l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale. Conformément à ce qu’avait décidé le Conseil d’administration le 18 février dernier.

Mais, la subtilité de cette AG tiendra de sa forme. La réunion s’appuiera en effet sur les supports technologiques de la visioconférence. Permettant ainsi à celles et à ceux qui le peuvent de se joindre numériquement à cet exercice quelque peu particulier.

L’ordre du jour, quant à lui, s’articule autour d’un schéma très classique avec l’approbation du procès-verbal de la précédente assemblée générale en date du 21 mars 2019, la présentation des différents rapports (moraux et financiers), celui du trésorier Roger DELINGETTE, l’approbation des comptes, l’affectation du résultat de l’exercice antérieur, le vote du budget ainsi que les questions diverses.

 

 

Avant que ne se clôture cette séquence en virtuel, le renouvellement des membres sortants du Conseil d’administration sera effectif en fin de séance. Précisons que celle-ci débutera dès 17 heures.

Il sera possible également pour celles et ceux des adhérents qui ne pourraient assister à ces travaux de donner procuration.

La seule interrogation qui subsiste à ce jour pour Olivier TRICON demeure la fréquentation réelle à cette future assemblée. Et, l’obtention de l’indispensable quorum.

Si ce dernier n’était pas atteint : charge alors au responsable de la CPME de l’Yonne de proposer une seconde assemblée générale ordinaire. Celle-ci se tiendrait consécutivement en s’appuyant sur un ordre du jour similaire.

En savoir plus :

Pour connaître les modalités opératoires de l’assemblée générale ordinaire et donner procuration, se rapprocher de la référence suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 


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