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Même si les professionnels de l’immobilier du département nord-bourguignon ont en règle générale plutôt bien négocié l’épineux épisode de la crise sanitaire en réalisant quelques transactions, le grand rush tant annoncé d’une migration massive des Franciliens et Parisiens vers notre territoire est loin d’être à l’ordre du jour dans les faits. Surtout sur le marché de la résidence principale quand on est un primo-accédant…

SENS : Une clientèle de l’Ile-de-France désireuse de s’installer définitivement dans l’Yonne, pourquoi pas ? Mais, au-delà de réelles touches velléitaires se rapportant à l’attrait conféré par les résidences secondaires pour vivre une villégiature tranquille loin des nuisances de la capitale, on n’en constate pas vraiment les effets concrets depuis la sortie de crise.

Certes, il existe bien quelques acquéreurs originaires de la capitale de l’Hexagone ou de sa proche banlieue à vouloir tenter l’expérience de l’achat en province. Mais de l’avis du président régional de la FNAIM Ile-de-France, Guy BRUGGEMAN, cela reste toutefois très marginal dans les faits.

Le coût prohibitif du foncier appliqué en Ile-de-France est pourtant la première motivation de ces personnes qui pensent que l’herbe est plus verte ailleurs que dans leur région d’origine.

« On assiste plutôt à des achats pulsionnels, précise l’ancien président de la FNAIM de l’Yonne, mais ce n’est pas directement imputable à la sortie du confinement. D’ailleurs, une question se pose : cela va-t-il durer longtemps ? ».

Sans doute les professionnels ont-ils été contactés un peu plus que d’ordinaire par les Franciliens en manque de verdure champêtre ces dernières semaines. Mais, les biens ciblés figuraient le plus souvent parmi ceux de la catégorie des petits prix.

Toutefois, avec le resserrement bancaire tel qu’il est observé depuis plusieurs mois par Guy BRUGGEMAN, beaucoup de ces demandes ne dépasseront pas le stade du refus net et définitif par les établissements bancaires, faute de l’obtention de la ligne de crédit nécessaire.

« Il faut encore patienter jusqu’à la rentrée avec peut-être les effets réels de la sortie de crise pour obtenir un aperçu exact du marché, confie le professionnel, et connaître la vraie politique mise en œuvre en matière de logement par le gouvernement à l’automne… ».

 

 

Le télétravail n’est pas un argument suffisamment crédible…

 

Plusieurs interrogations subsistent. Quid du devenir du prêt à taux zéro ou des garanties accordées par l’Etat pour rassurer les banques en matière d’emprunts ?

Pour l’heure, le marché de l’immobilier navigue un peu à vue, balloté par de nombreuses incertitudes liées à la conjoncture économique.

« Nous avons aussi observé que des acheteurs payaient comptant l’acquisition de leur terrain sans qu’il y ait un projet constructif à mettre dessus… ».

Quant aux vendeurs, ils sont plutôt dubitatifs.

Certains éprouvent de la crainte à mettre leur bien en vente. D’autres hypothèquent sur une poussée haussière du marché qui ne vient toujours pas. D’autres, enfin, hésitent même à vendre leur logement !

Le spectre d’une noria d’investisseurs franciliens se précipitant dans l’Yonne pour acquérir leur résidence principale est donc illusoire. On est loin des années 1990 où 90 % de la clientèle des agents immobiliers du Sénonais provenaient de la région limitrophe.

D’autant que les Franciliens exècrent même l’idée de se déplacer en transport en commun pour continuer à se rendre sur leur lieu de travail à Paris, après les derniers évènements et les mesures sécuritaires qui leur sont imposées.

Quant à l’argument miraculeux du télétravail, il n’est pas crédible aux yeux de Guy BRUGGEMAN : « Ce sont des fantasmes de certains vendeurs pour se rassurer. Si nous touchions seulement de 5 à 10 % de ces personnes qui ont opté pour cette nouvelle forme de travail, ce serait déjà exceptionnel… ».

Si regain d’intérêt il y a pour notre territoire, c’est plutôt du côté des résidences secondaires qu’il faudrait le chercher. L’archétype même du bien idéal, la maison agrémentée de son jardin, fait nourrir quelques espérances auprès des professionnels, notamment ceux qui évoluent au sud de Villeneuve-sur-Yonne, dans l’Auxerrois, le Vézelien et l’Avallonnais.

Un état des lieux avéré depuis la saison dernière selon le président départemental de la Fédération des professionnels de l’immobilier de l'Yonne, Stephan SIMPSON, qui s’est concrétisé avec l’émergence de nouvelles ventes.

 

 


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Initié par le réseau régional de la chambre consulaire, le nouvel outil multimédia (www.relancermonentreprise.fr) offre l’accès à un ensemble de ressources très utiles aux entrepreneurs en reprise de leur activité. Il est aussi un espace de contribution astucieux où chacun des utilisateurs peut y déposer une idée ou une suggestion profitable à la relance économique…

AUXERRE : L’après confinement est une étape à ne pas prendre à la légère après les nombreuses semaines d’inertie économique. Fort de cela, les Chambres de Commerce et d’Industrie de Bourgogne Franche-Comté qui ont multiplié les cellules d’appui en soutien des milliers d’entreprises dans le besoin durant les moments les plus cruciaux, poursuivent leur mission sociétale en créant un nouveau site numérique.

Baptisé sobrement (www.relancermonentreprise.fr), l’outil respecte le credo coutumier qui guide les services des CCI au quotidien depuis le début de la crise sanitaire : accompagner à la reprise d’activité des entreprises grâce au redémarrage de l’économie.

Opérationnel depuis peu, ce site présente les diverses solutions préconisées par l’organisme consulaire dans le cadre de la relance, les dispositifs d’aides mobilisables, le cadre réglementaire en matière de réouverture d’activité (on pense volontiers à la filière de l’hôtellerie/restauration/loisirs) ou encore une liste des fournisseurs régionaux d’équipements de protection. On y trouve également la fameuse bourse régionale d’entraide.    

 

 

Facile à manipuler, l’outil encourage les recherches par mots clés, par tags, par thématiques selon les appétences des chefs d’entreprises. Il est aussi un espace contributif puisqu’il recueille les idées et autres suggestions émises par chacun des acteurs de l’économie en vue d’optimiser la relance ô combien nécessaire.

Il suffit d’activer le bouton ad hoc, placé en haut à droite de la page de garde pour que ces éléments à partager transitent par les services des CCI de la région. Ces derniers pourront alors enrichir ces propositions en matière d’accompagnement d’entreprises.

 

En savoir plus :

Les entreprises peuvent aussi contacter le correspondant relance de leur CCI territoriale pour toute précision et accompagnement sur le référent suivant :

www.relancermonentreprise.fr/contactez-votre-cci

 


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Les deux leaders de la liste de rassemblement écologiste, sociale et citoyenne Florence LOURY et Denis ROYCOURT regrettent la volte-face de l’ex-chef de file des « Printemps pour Auxerre » Maud NAVARRE. Celle-ci a refusé de leur tendre la main pour le second tour des municipales. Désormais, ils se définissent comme les seuls garants à mener le combat en faveur d’une transition écologique et sociale…au nom de la gauche.

AUXERRE : Déception, sans doute. Amertume, beaucoup. Avec en filigrane ce net sentiment de trahison aux principes de la cause écologiste. Déplorant le ralliement de Maud NAVARRE au profit de la nouvelle liste constituée avec le maire sortant, « L’Assurance pour une transition sereine », Florence LOURY et Denis ROYCOURT se qualifient désormais de seuls remparts de gauche à mener le combat pour une mutation écologique sociale, possible et salutaire dans la capitale de l’Yonne.  

Pas tendres avec leur ex-coreligionnaire (« elle a préféré voler au secours du candidat Guy FEREZ au mépris des valeurs écologiques dont les électeurs la croyaient porteuses »), le tandem d’Auxerre Ecologie La Ville Envie regrette ce choix arbitraire qui apporte une caution à l’ancien monde représenté par l’équipe municipale en place, inféodée depuis peu aux idéologies portées par Emmanuel MACRON.

« Nous serons la seule liste de gauche et écologiste au second tour, revendiquent-ils en chœur.

Parmi les propositions fortes annoncées dans son programme, Auxerre Ecologie La Ville Envie souhaite donner une nette impulsion à la relocalisation des productions, au développement des circuits courts, à l’encouragement à la nouvelle agriculture, à la gratuité dans les transports en commun, à l’essor du plan vélo, à l’isolation des bâtiments, à l’instauration de la démocratie participative, à la revalorisation des salaires, au retour de l’impôt sur la fortune, etc.

Une vision du monde d’après et une approche sociétale novatrice que souhaitent porter à la victoire au soir du 28 juin le ticket écologiste auxerrois.

 

Le bureau régional d’EELV adopte une position de neutralité…

 

Parallèlement, nous avons appris que le bureau régional EELV (Europe Ecologie Les Verts) n’apportait son soutien à aucune des deux listes à orientation transition écologiste. Une information émanant de Christophe BOUDET qui précise : « il n’y aura aucun logo pour aucune de ces listes… ».

Un choix cornélien à prendre sans doute pour le bureau régional qui respecte ainsi une parfaite neutralité.

D’autant que lors d’un vote organisé le jeudi 26 mai pour connaître la position des adhérents d’EELV Auxerre sur leur choix d’alliance pour la liste « Les Printemps d’Auxerre » investie en décembre 2019 au second tour, sur treize votes exprimés sur les seize électeurs inscrits, cinq ont choisi de faire alliance avec Guy FEREZ, cinq de se retourner vers le programme porté par Auxerre Ecologie la Ville Envie et quatre se sont abstenus de tout commentaire…


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L’exercice ne s’avérait pas aussi simple que cela à organiser de prime abord. Comment dérouler le fil conducteur d’une assemblée générale sans la présence physique des membres de l’association par le seul intermédiaire d’une visioconférence au débit plus ou moins défectueux ? C’est ce qu’a vécu la vingtaine d’adhérents de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME) ce jeudi en fin d’après-midi avec plus ou moins d’enthousiasme quant à la pertinence de ce mode de communication…

AUXERRE : De l’avis des membres de la CPME scotchés derrière l’écran de leur ordinateur : rien ne vaut une véritable réunion statutaire en présentiel pour faire le point sur le devenir d’une structure associative !   

Le trio d’animation de cette assemblée générale ordinaire ne put que corroborer ces impressions unanimes. La technologie possède certes ses atouts avantageux mais aussi ses défaillances techniques, parfois.

Serait-ce la présence de vagues orageuses successives qui traversent le département de l’Yonne depuis vingt-quatre heures, toujours est-il que les liaisons visuelles et sonores entre les adhérents de la CPME flirtaient avec la quasi-impossibilité de pouvoir communiquer de manière convenable et audible lors de ce rendez-vous qualifié d’important.

Stoïques, tentant vaille que vaille de faire fi des altérations technologiques qui brouillèrent quelque peu les pistes d’une saine compréhension, le président Olivier TRICON, son trésorier Roger DELINGETTE et la secrétaire générale Emmanuelle MIREDIN firent du mieux possible pour que les messages adressés à leurs ouailles soient perceptibles haut et clair.

Bref, même si l’on était loin du cinq sur cinq côté qualitatif sonore, la réunion déroula son fil sans que l’ordre du jour initial soit respecté formellement dans sa légitime logique.

D’entrée de jeu, Olivier TRICON annonça que le quorum n’était pas atteint. Une vingtaine de membres seulement osaient l’aventure, sans filet à vrai dire, du suivi de cette statutaire par voie numérique interposée. Cela n’empêcha pas le bureau de la CPME de l’Yonne de procéder derechef à une seconde assemblée ordinaire conformément au respect de leurs statuts. Un dérivatif autorisé comme devaient le préciser les juristes de l’assistance.

Ensuite, il fut question de compresser un ordre du jour déjà malmené par les conjonctures techniques. L’approbation du procès-verbal de la précédente assemblée générale, bien physique celle-là le 21 mars 2019, fut une simple formalité. Puis, Olivier TRICON fit une synthèse exhaustive de son rapport moral couvrant l’exercice 2019.

 

 

2019 : une année excellente en tout point pour la CPME…

 

Un bon cru comme il les aime que cette année 2019 avec sa cinquantaine de nouvelles adhésions (de quoi mettre du beurre dans les épinards de la trésorerie chère à l’inoxydable Roger DELINGETTE) et le dynamisme des activités. On s’en souvient : la saison dernière fut organisée un événementiel exceptionnel au plan émotivité avec la présence sur scène de la figure sportive Philippe CROIZON.

Mais, la CPME réussit également le tour de force de placer quatre-vingts de ses coreligionnaires parmi les instances institutionnelles à la tête de mandats de premier choix dont ceux du Tribunal de Commerce ou le conseil des prud’hommes.

2019 fut aussi synonyme de féminisation avec la création d’un pôle spécifique, un club CPME 100 % féminin qui accueille près d’une trentaine de cadres et dirigeantes d’entreprises désormais.

Au terme d’un exercice oratoire où il excelle, Roger DELINGETTE fit adopter sans l’ombre d’une voix contraire le rapport financier attestant de la bonne santé de la CPME de la Bourgogne septentrionale.

A contrario, l’élection des membres sortants du Conseil d’administration a été différée d’une année. Question d’éthique : on choisit ses représentants en mode présentiel uniquement. Conséquence : tous les mandats en cours se poursuivent avec les mêmes personnes une année supplémentaire.

Une prolongation des postes qui a été acceptée à l’unanimité par les présents. Quant aux personnes qui avaient fait acte de candidature pensant que ce vote serait possible, elles se verront invitées à participer en qualité d’observateur aux travaux du conseil d’administration.

Dès que celui-ci pourra se réunir de manière physique (ce serait mieux) plutôt que virtuelle (on a vu les failles du système) !

 

 

 

 


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Elisabeth BORNE est attendue ce jeudi 04 juin à Dijon pour une visite officielle. La ministre de la transition écologique et solidaire annoncera-t-elle lors ce déplacement le relèvement à 300 kWc du seuil d’appels d’offres du photovoltaïque sur les toitures des bâtiments agricoles ? Evoquée cet hiver, la décision est très attendue de la part de la filière. Mais aussi de la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté qui ne manquera pas d’interpeller la représentante du gouvernement à ce sujet…

DIJON (Côte d’Or) : L’information avait été précisée Porte de Versailles lors du Salon international de l’Agriculture à Paris. Cela se déroulait le 23 février.

Ce jour-là, interpellée par la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY, la ministre de la transition écologique et solidaire Elisabeth BORNE avait annoncé que le seuil d’appels d’offres du photovoltaïque sur les toitures des bâtiments agricoles serait porté à 300 kWC.

Une mesure jugée indispensable pour favoriser le développement de l’énergie solaire dans l’Hexagone. Une mesure qui permettait aussi aux agriculteurs de tirer de cette production énergétique un complément substantiel de revenus.

Or, depuis cette annonce, rien ne semble avoir bougé concernant l’application de ce dossier. Il est vrai qu’entre-temps, la crise de l’épidémie du coronavirus est passée par là.

Se déplaçant dans la capitale des ducs de Bourgogne ce jeudi 04 juin, Elisabeth BORNE est donc priée d’apporter des éléments de réponse par la présidente de la Région.

« Sur ce dossier, explique cette dernière, je me suis beaucoup battue dans l’intérêt des territoires en faveur de l’accélération des procédures administratives. Le solaire photovoltaïque en toiture représente une composante importante de notre trajectoire vers une région à énergie positive et bas carbone… ».

 

 

 

 

Ce jeudi, en association avec le président de la Chambre régionale d’agriculture Christian DECERLE, la présidente de l’exécutif territorial espère obtenir enfin des réponses concrètes à la question.

« Il s’agit de tout mettre en œuvre pour accélérer la procédure de publication du décret d’application et de son arrêté tarifaire. D’autant que nous sommes dans une situation d’état d’urgence sanitaire… ».

On attend avec impatience la réaction de la ministre. Les réponses fournies par celle-ci satisferont-elles définitivement l’élue régionale ?

 

 


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