On appelle cela un grand chelem. Un terme bien connu et usité particulièrement dans le monde de l’ovalie, chez les adeptes de la chose rugbystique. Mais, aussi le carton plein. Au terme de la journée dominicale du 07 juillet et de ses inattendues législatives anticipées, le département de l’Yonne a réalisé lui aussi la bascule. Au niveau de sa préférence politique. Ainsi, le Rassemblement National rafle la mise, empochant d’un seul coup les trois circonscriptions du territoire. Trois députés sur trois. Une première commentée par Julien ODOUL…
AUXERRE : Tourner la page de l’ère MACRON sur le département de l’Yonne ? C’est l’explication de texte qui est apportée par le député de la troisième circonscription de l’Yonne, Julien ODOUL, qui avait déjà renouvelé son bail de parlementaire la semaine passée au soir du premier tour des législatives, dans un communiqué de presse diffusé ce lundi 08 juillet, au lendemain des élections législatives anticipées.
Saluant la victoire – il parle de « triomphe » - historique des candidats du Rassemblement National sur le territoire le plus septentrional de la Bourgogne, le président du groupe RN à la Région Bourgogne Franche-Comté estime que « ce succès est sans appel pour le projet patriotique porté par Marine LE PEN et Jordan BARDELLA qui a rassemblé plus de 70 000 Icaunais sur leurs candidats ».
Puis, il poursuit dans ses commentaires : « Cette soirée est historique. Il n’y a jamais eu autant de députés patriotes à l’Assemblée nationale ! Nous réussissons le grand chelem dans l’Yonne, preuve de la confiance qu’accordent les Icaunais à leurs candidats RN. A l’échelle de la région, nous remportons la majorité des sièges et nous faisons barrage au projet de l’extrême-gauche avec qui la « Macronie » et certains LR se sont compromis. Sans majorité absolue à l’Assemblée nationale, Emmanuel MACRON n’aura pas d’autre choix que d’écouter enfin le peuple et le Rassemblement National ou d’offrir les rênes du pouvoir à Jean-Luc MELENCHON et au chaos ».
Julien ODOUL considère aussi que ces victoires, celles de Sophie-Laurence ROY, Daniel GRENON et lui-même, sont « le fruit d’un travail collectif et d’une mobilisation sans précédent. Elles témoignent de la volonté des électeurs de tourner la page MACRON tout en rejetant la violence du projet porté par le Nouveau Front Populaire… ».
Rejetant de fait une « Macronie » en faillite et une gauche, compromise avec les éléments les plus radicaux. Du trois en un, en somme, pour la ligne politique qui sera défendue au Palais Bourbon par les parlementaires de l’Yonne…
Thierry BRET
La situation pourrait paraître cocasse sur le papier, pourtant elle est devenue vitale pour le représentant de la majorité présidentielle, André VILLIERS (Horizons) et sa possible réélection au poste de député de l’Assemblée Nationale. En prenant très vite la décision de se retirer du jeu, évitant ainsi une triangulaire qui aurait pu s’avérer néfaste au parlementaire agriculteur du Vézelien, le candidat LFI NFP Philippe VEYSSIERE a complexifié la partie dans la seconde circonscription, plus indécise que jamais ?
AVALLON : Pas de triangulaire, donc au soir du premier tour de scrutin sur cette circonscription, chère au député sortant, André VILLIERS ! On le doit au retrait rapide du candidat de La France Insoumise, et estampillé Nouveau Front Populaire, Philippe VEYSSIERE, qui a choisi de retirer sa candidature aux alentours de 21h30, dimanche dernier, levant ainsi les doutes quant à la constitution d’un front républicain visant à contrecarrer les objectifs de conquête de la candidate du Rassemblement National et de l’alliance LR, Sophie-Laurence ROY.
Le choix de Philippe VEYSSIERE n’est pas tant de faire gagner le député sortant mais plutôt d’infliger une défaite au parti mariniste qui est toujours dans l’optique de réaliser la passe de trois sur trois dans notre département.
L’édile de la localité d’Asquins, près de Vézelay, a réalisé un score honorable de 19,50 % des suffrages, mais bien en deçà des résultats obtenus par André VILLIERS (29,33 %) et surtout Sophie-Laurence ROY, qui vire en tête avec 44,51 %.
En se ralliant à la cause de la réélection du député Horizons, Philippe VEYSSIERE a pour objectif de battre le Rassemblement National, tout en posant aussi ses conditions auprès d’André VILLIERS. En l’occurrence que ce dernier propose davantage de textes de loi à l’avenir, dans l’intérêt des citoyens. De l’Yonne ou d’ailleurs.
Ce désistement représente une opportunité supplémentaire de conserver son siège au sein de l’hémicycle parisien, pour André VILLIERS. Il sait dorénavant qu’il pourra compter sur les voix de la gauche pour peut-être se maintenir dans sa fonction au soir de ce dimanche…Un sacré challenge à relever pour combler le retard de voix…
Thierry BRET
Le Grand Orient de France a lancé un appel le 18 juin à Paris et demandé à ses loges en province de relayer ses positions dans ce moment crucial pour l'avenir de la République que constituent les élections législatives de 2024. L’initiative des loges de l’Yonne d’intervenir dans cette campagne électorale est donc exceptionnelle mais elle est à la hauteur des menaces encourues et perçues par les francs-maçons du département…
COMMUNIQUE : La République est au pied du mur de l'anti-République. Par un habile marketing, un vocabulaire et des postures policées afin de se rendre plus acceptable, par le recours aux mensonges, l’extrême droite est en passe dans l'Yonne de conquérir les trois sièges de député. Pourtant, il ne faut pas s’y tromper : l'extrême droite, le RN aujourd'hui, n'a pas changé !
Les Francs-maçons du Grand Orient de France, dans leur grande diversité d’opinion, sont indéfectiblement rassemblés par les valeurs qu’ils défendent depuis des décennies : respect de la liberté de conscience, de la liberté d'expression, de la liberté de penser, mais aussi la justice sociale, le respect des autres - de tous les autres - et la démocratie.
Or toutes ces valeurs sont insidieusement menacées par ce parti politique dont l'objectif est de saper les fondements des Institutions républicaines qui les portent - publiques et privées – et l’Etat de droit qui les protège garantissant ainsi la paix civile dans notre pays.
Les présidents des loges icaunaises du GODF appellent les citoyens à faire barrage, sans concession le 07 juillet, aux candidat(e)s dans l’Yonne issu(e)s de cette idéologie, mortifère pour ces valeurs.
Bien au-delà de la compétition électorale, il s'agit de se mobiliser pour sauver l'idéal républicain du populisme xénophobe et de ses promesses d'un grand bond en arrière. Sauver les Lumières contre les anti-lumière ! Les francs-maçons, républicains et démocrates, de l’Yonne, ne faibliront pas dans cette tâche !
Les Présidents des quatre loges icaunaises du Grand Orient de France
Auxerre, Vézelay, Sens et Bassou.
Le symbole en termes de signification est double. Prises de vues photographiques devant les grilles de la préfecture de l’Yonne, avec les drapeaux tricolores en toile de fond. Mais, également la séquence interview réalisée sur les quelques marches menant à la nef de la cathédrale Saint-Etienne d’Auxerre. L’Etat et l’Eglise en résumé ! Des arguments porteurs, sans aucun doute, pour les deux représentants de l’alliance RN-LR, le député mariniste réélu dès le premier tour, Julien ODOUL, et la prétendante à l’hémicycle dans la seconde circonscription, l’inattendue républicaine Sophie-Laurence ROY…
AUXERRE : Encore méconnue du grand public il y a quelques jours, Sophie-Laurence ROY est désormais sous les feux des projecteurs médiatiques depuis sa probante première place, obtenue au terme du tour initial des élections législatives anticipées avec un score tutoyant les 45 % des suffrages. Pour être exact, 44,51 % ! C’est clair, cette avocate de profession, exerçant à Paris mais vivant dans l’Yonne et ambassadrice au sein de la Guilde de la gougère, à la silhouette « bon chic bon genre », a su créer la sensation au regard de son résultat très élevé, plaçant le député sortant, le représentant du parti de la majorité présidentielle, « Horizons », André VILLIERS dans une position on ne peut plus très délicate.
Ce dernier n’aura in fine totalisé que 29,33 % des voix sur ce secteur géographique qui lui est pourtant cher, comprenant Avallon, Chablis, Migennes, Tonnerre ou encore Vézelay, son fief.
Fière et heureuse de ce score quasiment sans appel, la qualifiée du second tour s’attendait, toutefois, à obtenir un pourcentage élevé de voix.
Interrogée à ce sujet lors d’une conférence de presse orchestrée sur le parvis de la cathédrale Saint-Etienne à Auxerre et de la préfecture de l’Yonne (tout un symbole !), aux côtés du député RN réélu, quant à lui, dès le premier tour sur la troisième circonscription (Julien ODOUL), Sophie-Laurence ROY souligna que « les Icaunais de ce secteur en avaient assez du gouvernement actuel et du député sortant. Il n’a rien fait pour eux ! ».
Un monde agricole sans véritable politique hexagonale…
Et là, de citer, quelques exemples à l’appui, que le monde agricole lui en voulait beaucoup même s’« il se prétend être un défenseur de leur cause en étant agriculteur lui-même ».
Evoquant précisément ce sujet, la porte-parole de cette alliance entre le RN et LR – la mouvance d’Eric CIOTTI – s’attarda sur les difficultés actuelles du monde agricole, du fait de la sur-transposition des normes européennes qui pèsent lourdement sur les épaules des exploitants.
« Ne parlons pas de ces aliments qui viennent d’ailleurs et qui nous privent de notre autonomie alimentaire, renchérit l’intervenante élégamment vêtue, souvenez-vous du début de la guerre en Ukraine, nous n’avions plus d’huile dans nos boutiques ! On avait plus de moutarde dans nos magasins alors que nous sommes en Bourgogne ! Cela est la cause de l’absence d’une politique agricole nationale qui a démoli notre agriculture. Il y a des choses à faire sur ce territoire… ».
Ralentir les normes européennes qui pénalisent sévèrement le milieu agricole serait déjà l’une de ses priorités qu’elle défendrait si elle siégeait au Palais Bourbon. « On doit commencer à négocier avec l’Union européenne. Quant à la nourriture servie dans les écoles ou les hôpitaux, il serait judicieux qu’elle soit en priorité française ! ».
« L’alliance des droites : cela tombait sous le sceau de l’évidence… »
Pour elle, il faut sortir l’Yonne de l’ornière, à l’instar des services publics.
« En ma qualité d’élue à Flogny-la-Chapelle, je trouve qu’il est anormal que les femmes ne puissent plus accoucher à Tonnerre ! Et que les personnes ayant de graves problèmes de pathologies soient obligées de se rendre à Dijon ou à Paris pour se faire soigner ! Les femmes qui sont enceintes ne savent jamais si elles ont à effectuer de trente à cent kilomètres pour donner naissance à leur enfant. Il est anormal que dans l’Yonne, on ne peut pas se faire soigner ! ».
Son objectif en cas d’élection au soir du 07 juillet ? « Il faut sortir ce département du marasme, explique-t-elle, où ses représentants l’ont laissé dans cet état. C’est inacceptable… ».
L’alliance des droites républicaines et marinistes tombait sous le sceau de l’évidence, selon notre interlocutrice. « Très honnêtement, nous sommes les seuls candidats à respecter les électeurs en agissant de la sorte, ajoute-t-elle, nous respectons tous les électeurs. Qui sont ces gens qui s’autorisent à donner des instructions sur le choix du vote ? Qui sont ces gens qui vont manifester dans les rues pour dire que plus d’un tiers des Français sont des « abrutis » ?! C’est ce qui est dit de nos électeurs. Je ne gagnerai pas par stratégie, ce sont les électeurs de la deuxième circonscription qui doivent gagner parce qu’ils me font confiance… ».
Saluant le soutien de l’édile de Migennes François BOUCHER qui souhaite se rallier à sa cause en votant pour elle, Sophie-Laurence ROY aimerait un engouement plus élargi des militants des Républicains.
« J’ai voulu rejoindre le programme du Rassemblement National parce que celui-ci est classé et ordonné, insiste-t-elle, on ne peut pas tout faire en même temps mais il y a des urgences à mettre en place. On traite d’abord l’urgence du pouvoir d’achat. Ensuite, ce sera d’essayer de mettre en place des écoles qui fonctionnent. Reconstruire l’Education nationale, c’est fondamental ! Dans le territoire, il faudra se battre contre les fermetures de classes et d’écoles, ou favoriser le retour des personnels de santé qui veulent retravailler après leur retraite sans qu’ils soient fiscalisés… ».
Déjà candidate d’une législative pour la droite en…1981 !
La priorité sur l’école rurale s’inscrit aussi dans le programme de l’alliance RN/LR. « Les moyens doivent être mis pour que les communes puissent bénéficier d’une école de proximité, précise-t-elle, quant aux projets éoliens, il y aura un moratoire sur ces projets dès notre entrée en responsabilité gouvernementale… ».
Quant à sa griffe personnelle qu’elle souhaite donner à son futur mandat en cas d’élection, Sophie-Laurence ROY répond par une boutade circulant dans la filière des métiers du chiffre et du droit : « il n’y a pas de sexe sous la robe ! Je ne me suis jamais vue comme différente d’une femme d’un homme dans mon métier d’avocat. Par contre, pour les femmes, je veillerai à leur sécurité. Ce sera peut-être mon cheval de bataille. Y compris pour les promouvoir dans les filières de l’agriculture et de la viticulture… ».
Déjà en 1981, juste après l’élection de François MITTERRAND, la conseillère municipale de Flogny-la-Chapelle dont les racines familiales sont icaunaises de longue date, avait goûté aux joies d’une campagne électorale, se présentant face au candidat proche de Jean-Pierre CHEVENEMENT dans la trentième circonscription parisienne, le sénateur Michel CHARZAT.
A l’époque elle n’avait obtenu que 450 voix…En 2024, ce sont 20 997 électeurs qui lui ont accordé sa confiance au soir du 30 juin. De quoi lui donner de l’espoir ?
Thierry BRET
D’année en année, l’évènement porté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne prend de l’ampleur, accueillant en ces murs – ceux du « Skénét’eau » qui s’y prêtent très bien en termes de fonctionnalité – l’ensemble des acteurs de la création/reprise d’entreprises du territoire icaunais. Un rendez-vous 2024 qui aura aussi fait la part belle à la franchise, illustré par une conférence sur cette thématique qui passionne de plus en plus les porteurs de projets…
MONETEAU : Il arbore le sourire des grands jours, Thierry CADEVILLE ! Logique : plus de cent vingt-personnes ont répondu par l’affirmative à l’invitation de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne à l’occasion de cette nouvelle édition de la manifestation « Monte ta Boîte », cinquième du nom, se déroulant ce jour dans la salle vedette de la bourgade proche d’Auxerre, le « Skénét’eau ».
Un lieu d’accueil coutumier pour cet évènementiel qui draine chaque année la plupart des acteurs de la création/reprise d’entreprises, des entités institutionnelles possédant suffisamment de pistes informatives pouvant satisfaire celles et ceux qui rêvent d’entreprendre. Ou de reprendre une structure puisque la thématique de la reprise figure en bonne position sur le champ des possibles aujourd’hui.
A ce propos, le président de la CCI 89 rappela que la reprise d’entreprises représente un vrai challenge pour le département de l’Yonne. « On s’attend sur le territoire régional qu’il y ait 1 500 entreprises à reprendre par an sur les dix prochaines années – au bas mot, 15 000 entreprises in fine ! -, c’est-à-dire 200 entreprises dans l’Yonne, grosso modo une par jour ! ».
70 % des créations ne passent pas le cap des trois ans !
De réelles perspectives encourageantes pour les porteurs de projets icaunais qui se doivent d’intégrer cette donnée statistique importante dans leur mode opératoire. Un sacré challenge à relever pour les futurs entrepreneurs mais également pour celles et ceux qui sont en recherche d’emploi, car il y aura de l’avis de Thierry CADEVILLE, de nombreux jobs à pourvoir à la clé.
La reprise, une solution à privilégier ? A coup sûr quand on sait que 70 % des néo-sociétés apparues avec la création ne passent pas le cap des trois premières années d’existence. Un chiffre qui ne s’applique pas à la reprise d’entreprise, bénéficiant de davantage de sécurité avec le chiffre d’affaires déjà connu, la clientèle toute faite à développer, la notoriété de l’enseigne, le personnel déjà présent et formé…
Ici et là, les visiteurs prennent le temps de chercher de l’information si précieuse à leur feuille de route organisationnelle. S’installant à l’un des stands placés sur le pourtour de la grande salle, méconnaissable de sa configuration habituelle lorsqu’elle accueille le public venant applaudir un spectacle.
Un panel éclectique d’acteurs de la création/reprise…
Dans un environnement divisé en différents pôles, le public aura eu le choix de découvrir les informations fournies par les spécialistes du juridique et du social (URSSAF, Ordre des Experts-Comptables, France Travail…), de la banque et de l’assurance (Banque Populaire, Crédit Agricole, MAIF, Harmonie Mutuelle…), des spécialistes de l’emploi, à l’instar d’ « Initiactive 89 » ou d’AuxR_Lab/Factory, du monde consulaire (Chambre d’Agriculture, Chambre Economique de l’Avallonnais, Centre de Développement du Tonnerrois…). Un excellent panorama pour en savoir plus sur les us et coutumes propres à la création/reprise de sociétés !
Des acteurs de la communication étaient également présents (BRAINYTECH ou LOOK PUB), on notera enfin la présence importante du réseau des franchiseurs, item dont on parlera beaucoup dans les travées.
Un nichoir offert mais pas de trajectoire de vol !
Parallèlement, il est judicieux de rappeler que la CCI de l’Yonne a mis en place un certain nombre de formations utiles aux porteurs de projets, notamment dans le domaine de la gestion. Indispensables avant de se lancer dans l’entrepreneuriat.
Difficile de savoir, en revanche, le nombre de projets ayant abouti aux termes des quatre précédentes éditions : Thierry CADEVILLE s’en explique : « on reçoit chaque jour dans nos services une dizaine de porteurs de projets ! Certains aboutissent, d’autre pas. Il faudrait faire un suivi institutionnalisé de l’ensemble pour connaître les tenants et aboutissants du dossier. La CCI offre un nichoir mais l’on ne suit pas forcément la trajectoire de vol… ».
Des entreprises qui une fois portées sur les fonts baptismaux pourront toujours être accueillies au sein des pépinières d’entreprises gérées par l’organisme consulaire – il en existe six dans l’Yonne ; elles représentent 450 emplois et environ 130 structures professionnelles qui sont hébergées – durant plusieurs mois, voire plusieurs années.
Dont le projet « OCTOPUS » qui accueillera sans doute d’ici la fin de l’année, outre les entrepreneurs, les apprenants avec les services du pôle formation de la CCI qui s’y installeront définitivement…
Thierry BRET