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Mazette ! On en salive presque d’avance. Logique, les fiches techniques de fabrication de ce menu spécial, à la sauce de Cécile RIOTTE (l’excellente toque du « Vaudésir Aux Hirondelles » à Thizy) s’étale devant le clavier où se rédige cet article. Une entrée, un plat et un dessert des plus gourmands constituent le menu de ce « Grand Repas », édition 2024 où la maîtresse de cérémonie, l’ancienne parlementaire Michèle CROUZET, donne de la baguette (et pas de pain cette fois-ci !) pour que la réussite soit totale, le 03 octobre prochain dans l’Yonne, avec plus de 26 000 repas confectionnés.

 

AUXERRE : L’eau à la bouche. A la mode de Serge GAINSBOURG, avec ce titre éponyme datant de 1960 ? Ou en version nettement plus alléchante encore pour les papilles gustatives, avec le menu qui nous sera proposé par la divine et blonde Cécile RIOTTE, le 03 octobre prochain, à travers le département ?

La souriante cheffe du « Vaudésir Aux Hirondelles » - la belle appellation pleine d’onirisme et de poésie sur la carte de visite ! – jouera le rôle de marraine du cinquième « Grand Repas », édition 2024, ayant comme principe fédérateur de servir le même jour, midi ou soir, un menu identique partagé par tous les citoyens d’un même territoire qui le désirent. Moyennant le prix du repas, tout de même !

La cuisinière a dévoilé il y a quelques jours aux côtés des membres de l’organisation de cet évènementiel gastronomique réuni au lycée hôtelier Vauban le menu officiel qui devra être répliqué (à quelques variantes près, évidemment) chez tous les partenaires de la restauration traditionnelle et ceux de la restauration collective, intéressés par cette initiative très gourmande.

 

Des produits 100 % terroir !

 

Les convives de ce repas hors norme où les produits du terroir seront les vedettes absolues dans les assiettes, pourront se délecter dès l’entrée de « tartines de fromage frais de « La Pierre qui Vire » - une référence dans la production monastique ! – marinée à l’huile de colza, agrémentée de sa fine tranche de jambon du Morvan ». En guise de plat de résistance, une « dodine de volaille fermière farcie à la duxelles de champignons, sauce servie à base du même ingrédient, et ses carottes de couleur glacées au miel du Morvan » (décidément, Cécile RIOTTE nous rappelle sa proximité sectorielle avec la verdoyante contrée de l’Yonne méridionale) et sa crème de chou-fleur. Des plus sympathiques sur le papier ! Cela devrait être similaire, sinon mieux, au palais !

Quant à la conclusion de ce repas spécial, le dessert, il s’agira d’une poire pochée au vin rouge – un grand classique – mais avec sa crème de cassis de Bourgogne sur une crème montée au mascarpone, le succulent fromage transalpin.

Tout ceci est parfait pour que les Icaunais de tous âges, y compris les scolaires, renouent ou découvrent les bonnes sensations olfactives et salivaires de la cuisine avec un grand « C » !

Le but de la manœuvre de ce « Grand Repas » comme devait le souligner une Michèle CROUZET qui prend à cœur sa mission d’ambassadrice des arts de la table de la Bourgogne septentrionale est de réapprendre à bien manger à partir de produits locaux.

 

De nombreux partenaires inféodés à cette opération

 

Manifestation nationale relayée dans la plupart des départements de l’Hexagone le même jour (uniquement la Côte d’Or, la Haute-Saône et l’Yonne en ce qui concerne la Bourgogne Franche-Comté, pourtant contrée de légende pour la gastronomie), le « Grand Repas » pourrait être décliné dès la saison prochaine dans la Nièvre, selon la secrétaire générale de l’UMIH, Corinne ROGUIER.

L’objectif, au niveau quantitatif, serait de battre le nombre de repas préparés en 2023 (22 000) et de tutoyer, voire de dépasser les 26 000 menus servis.

Quant à la politique tarifaire, elle différera d’un établissement à l’autre. Cécile RIOTTE devrait le proposer dans son restaurant à Thizy, aux alentours de 24 euros. Rappelons que l’an passé, une trentaine d’établissements avaient joué le jeu.

Parmi les acteurs de la restauration collective à s’intéresser à nouveau à ce concept culinaire original : le groupe ELITE Restauration et API Resto. METRO restant, de son côté, un fidèle partenaire à l’action, tout comme le lycée des métiers de l’hôtellerie et de la restauration Vauban à Auxerre et le centre de formation par l’apprentissage, le CIFA de l’Yonne.

Quant à l’association « GOURMAND’YONNE », elle en assurera aussi la promotion, dixit l’un de ses fidèles serviteurs, le chef François HENNARD. Cela promet !

 

En savoir plus :

Les restaurateurs et les producteurs locaux peuvent s’inscrire sur le site legrandrepas.fr.

Date de l’opération : le 03 octobre 2024

 

Thierry BRET

 

 


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C'est l'histoire d'une vénérable maison de la gastronomie française, installée dans l'Yonne. Mais avant  de s'y attabler en ce jour pluvieux de mai 2024, prenons le soin de s'attarder sur son glorieux passé. Cet ancien relais de poste vit passer l'empereur Napoléon, lors des « Cent Jours » qui se terminèrent tragiquement par  la bataille de Waterloo en juin 1815. En 1900, dans le premier guide Michelin, « L’Hôtel de la Poste » figure en bonne place. Son adresse, la  place Vauban, n'est pas encore en travaux ; contrairement à 124 ans plus tard !

 

AVALLON : Puis viendra le temps de la fin de cette terrible Seconde Guerre mondiale. René HURE, fils d'hôteliers auxerrois, et petit-fils d'aubergistes sénonais, ancien élève d'école hôtelière, s'installe alors dans ce chef-lieu d'arrondissement de l'Yonne. Il s’aperçoit que tout est à refaire dans cet hôtel abandonné. C'est avec courage qu'il  s'emploie alors à d'importants travaux de rénovation, dans ce qui deviendra « L'Hostellerie de la Poste ». En 1948, tandis que les restrictions alimentaires commencent à s'amenuiser, le Michelin accorde deux étoiles à l'établissement pour ses escargots de Bourgogne, son jambon chaud à la « chablisienne », ainsi que pour les petites pièces de volaille fourrées cuites en pâte.

 

 

 

Une belle maison qui a perdu sa 3ème étoile dans les années 60

 


En ces années sans autoroute, l'axe Paris-Côte d'Azur est devenu la grande route française de la gastronomie. En 1953, Michelin décide que l'établissement de Simone et René HURE vaut le voyage et décroche les prestigieuses triples étoiles. On s'y régale alors de quenelle de homard à  la crème, de truite fourrée au fumet de Meursault et de poulet en civet au vieux Bourgogne. Sans oublier le « Dolce Borghese », un dessert d'anthologie !

A la fin des années 60, cette belle maison perd sa troisième étoile. La seconde perdurera une vingtaine d'années jusque vers les années 1985, qui verront l'avènement de jeunes cuisiniers icaunais : Marc MENEAU et Michel LORAIN. Puis, ce sera la fin des étoiles Michelin, pour cette maison au passé chargé d'âme, qui sera cependant  mentionnée au Michelin jusqu'au début des années 2010. Quel noble parcours !

 

 

Et pourquoi pas l’appellation « 1805 » plutôt que « 1815 » !

 

De cette maison fermée et à l'abandon, le couple COHEN a eu le courage et la témérité aussi, de croire en son avenir. Madame aime les lapins, ces petites poteries en attestent ! Depuis peu, chambres et restaurant sont ouverts à la clientèle, pour le plus grand plaisir des Avallonnais, mais pas que ! Sinon, comment dire : le courage financier est une chose, et l'amour de la bonne cuisine, une autre.

La première formule-déjeuner est ici à 29 euros. Le choix est fait du menu à 82 euros, intitulé « 1815 » (on eût préférés « 1805 » et Austerlitz,  mais l'histoire en ainsi faite !). Le service, avec une douzaine de couverts, semble aimablement débordé ! Il en sera ainsi durant tout le repas, à l'attente parfois un brin longuette entre deux assiettes. L'un des souriants chefs de rang ressemble quelque peu au chanteur STROMAE !

 

 

 

Des accompagnements pas forcément adaptés…



A l'apéritif, l'Américano commandé se fait attendre. Le barman l'a confondu avec...un café, passons ! La salle est belle avec ses boiseries soignées et ses tapisseries au plafond. Les pains et le beurre en accompagnement sont plutôt bons. En première entrée, l'escalope de foie gras de canard poêlée et la sauce l'accompagnant, un brin acide, constituent une entrée en matière plutôt solide !

L'autre entrée, les pleurotes, semble un brin imprécise et confuse entre crème  de chou-fleur et écume de parmesan. La seconde entrée, la « seriole ikejime » (pratique nipponne) est un plat agréable et bien assaisonné, plutôt plaisant à consommer. Mention vineuse spéciale pour le Pouilly-Fuissé de Jacques SAUMAIZE, fort gouleyant !

Enfin, nos plats principaux arrivent, toujours servis dans de jolies assiettes. Déceptions à l'unisson pour le ris de veau à la texture bizarroïde. Si le lieu jaune est impeccablement poêlé, on y retrouve l'écume de parmesan (????) qui couvre l'esprit des agrumes de l'assaisonnement. L'accompagnement des lentilles ne semble pas le plus adapté.

 

 

Une bonne chose que cette réouverture

 

Julien COHEN passe de table en table, organise les visites des lieux, et évoque avec enthousiasme les nouveautés à venir, tel le bar. Quant au dessert à base de fraise, il est pâteux et imprécis au plan gustatif. Le café est servi dans de jolies tasses à bord fin, accompagné par de bonnes pâtes de fruit. 
C'est une bonne chose que la réouverture de cet établissement réputé, porteur d'une belle histoire culinaire et qui devra peut-être désormais s'employer avec le temps, à se faire une belle place au sein des tables locales réputées. Paris ne s'est pas fait en un jour, Avallon, non plus !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : le service est un brin évanescent.

Les + : le cadre est fort joli.

 

 

Contact :

 

Hostellerie de la Poste

13, place Vauban

89200 Avallon

Tel : 03.86.34.16.16.

Menu-déjeuner à partir de 29 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Il a remisé ses instruments de travail au placard depuis un moment, le chirurgien-dentiste auxerrois. Consacrant désormais son temps libre à l’une de ses indéfectibles passions qui lui enrichit l’âme et l’esprit, la découverte jamais inassouvie de la basilique Marie-Madeleine, la bien-nommée, celle qui trône au sommet de la « Colline éternelle » de Vézelay. Avec son complice au coup de crayon très affûté, le dessinateur Thierry GAUFILLET, Jacques DROUHIN nous livre en ce printemps 2024 un très bel ouvrage consacré au séculaire édifice à mettre entre toutes les mains. Celles des initiés comme des profanes !

 

AUXERRE : Non, cet opus à l’étrange couverture sur fond chromatique noir et orange n’est pas un énième livre de plus consacré à Vézelay et à l’un de ces joyaux, sa fameuse basilique Sainte-Marie-Madeleine. D’une part, dans l’intitulé de l’ouvrage, il y a cette phrase. Intrigante. Enigmatique. Tentante, aussi, pour en savoir davantage sur cet écrit et qui vous met déjà l’eau à la bouche avant d’avoir lu le moindre chapitre. « Comme vous ne l’avez jamais vue ». Mais, de qui parle-t-on enfin ?

D’autre part, sur cette même couverture, finement ciselée par l’illustration tout en symbole du dessinateur Thierry GAUFILLET, on voit un pèlerin, façon « Jacquou le Croquant » - un fameux personnage que les moins de cinquante ans non adeptes du tube cathodique ne peuvent pas connaître comme l’aurait si bien chanté le plus arménien de nos interprètes hexagonaux, le grand Charles AZNAVOUR ! – cheminé sur un curieux parcours constellé d’étoiles, et accompagné de son chien, en direction d’un édifice religieux. La fameuse basilique de Vézelay !

Celle dédiée à Marie-Madeleine, cette sainte qui occupe une place tellement particulière dans la vie de Jésus.

On peut rester de longues minutes à la contempler, cette couverture. Sobre mais esthétique. Incitative et gourmande pour approfondir ses connaissances intellectuelles (et surtout spirituelles, voire ésotériques) sur le sujet du jour. Une thématique dont raffole notre auteur. Jacques DROUHIN !

 

Un livre hommage aux « bâtisseurs d’éternité »

 

Se faire arracher une dent ou recevoir un implant dans la gencive devait être…une véritable partie de plaisir, du temps où le chirurgien-dentiste à l’érudition si édifiante venait encore à soigner sa patientèle dans son cabinet typique et si original auxerrois. Une architecture comme on n’en avait vu nulle part ailleurs et l’œuvre d’un architecte d’intérieur local (mais aussi parisien), brillantissime garçon et décalé dans ses conceptions à l’estampille de « DAD Design », Luc DUINA. Ah, le sacré tandem de bons compères et d’amitié que celui-ci ! Un duo qui se mue en tiercé. Gagnant sur toute la ligne et sans photo finish comme à Auteuil ! Avec la présence esquissée par les dessins de Thierry GAUFILLET. Un lauréat du Salon de la bande dessinée d’Angoulême, tout de même ! Titulaire du prix Alfred de l’Avenir ; excusez du peu ! Lui, il possède aussi une passion commune avec le grand Jacques : l’histoire et la peinture. Alors, quoi de plus naturel en somme que de rendre à travers cet ouvrage et ses 160 pages, un parfait hommage aux « bâtisseurs d’éternité » !

Un mot aussi, sur un autre Icaunais, au service de la défense du patrimoine, de l’intellectualisme et de la culture – il en a fait son métier en sa qualité de possesseur d’une maison d’édition -, Yannick LE CAM. « Entre deux mondes ». Nom de baptême de cette société éditrice de ce bel ouvrage qui n’a rien de commun avec toute la prose qui a déjà été publiée sur Vézelay, il faut en convenir.

« Entre deux mondes » ! Tiens, tiens, on croirait presque lire entre les lignes avec cette dénomination aux sonorités étranges. Serait-ce « Entre la vie et la mort » ? « Entre le sacré et le profane » ? « Entre ce qui est en bas, et ce qui est en haut » ? « Entre l’ignorance et la vérité » ? Ou encore « Entre l’ombre et la lumière » ?

Toujours est-il que possesseur de tous ces ingrédients à faire saliver notre chroniqueur gastronomique Gauthier PAJONA devant une table nappée (c’est tellement rare) d’un établissement étoilé à la cocarde tricolore, on ne pouvait plonger qu’avec exaltation dans ce livre précis, intelligent, poétique, onirique, secret, lumineux, véritable révélateur de cette lumière « divine » qui nimbe depuis des siècles cette fameuse colline au sud de l’Yonne.

Une colline vénérée par tous les férus de tourisme spirituel, en provenance du monde entier, et celles et ceux qui s’adonnent aux vertus salvatrices de la connaissance du sacré, une fois les ténèbres disparues…

 

Choisir son chemin qui mène à la vérité…sa vérité

 

Le bouquin se lit d’une traite ou presque. Sans que l’intérêt du lecteur se dilue au fil des pages. Tel un chemin initiatique qui nous mène vers autre chose. D’ailleurs, de « chemin », il en est question. Au pluriel, il se conjugue avec celui de la transformation, des fleurs, des basilics (une bête légendaire issue de la mythologie présentée comme un reptile affublé d’une tête de coq dans certaines interprétations), du temps, mais aussi celui plus ésotérique de l’alchimie…Mystères et envoûtements au fil des explications livrées à loisir par l’auteur.

De progression en progression, de chapitre en chapitre, tout est examiné minutieusement à la loupe par un Jacques DROUHIN concis, qui nous émerveille par tant de connaissances et d’aisance scripturale. Son livre fait du bien à l’âme et éveille notre conscience, détaillant dans les moindres recoins tous les particularismes de cet édifice datant de plusieurs siècles. Au détail, près.

Il nous propose à travers ce voyage intemporel du « désir ». « Dé », au sens étymologique du terme comme privatif, « sir », qui rappelle l’astre diurne, le soleil qui brille. Un mot, désir, qui au Moyen-Age – il faut replacer dans le contexte historique la fonction première d’une telle construction érigée au sommet d’une colline pour accueillir les pèlerins – signifiait « renoncer à » quelque chose.

La problématique cornélienne du choix. Celle que nous rencontrons chaque jour au fil de nos pérégrinations terrestres et qui nous rend parfois perplexe, voire torture notre âme, quant à la suite à donner à notre chemin de vie.

Le conseil de l’auteur est simple au terme de ces 160 pages. Il faut découvrir la basilique de Vézelay en empruntant un chemin (des chemins ?), en gardant son âme d’enfant et sa soif de découverte, son étonnement et sa jubilation intérieure. N’importe quel chemin, d’ailleurs, car il n’existe pas de bons ou de mauvais chemins qui mènent à la vérité. Il vous suffit simplement de créer le vôtre…

 

En savoir plus :

« La Madeleine de Vézelay : comme vous ne l’avez jamais vue » de Jacques DROUHIN

Illustrations de Thierry GAUFILLET.

Aux éditions Entre Deux Mondes (EDM)

160 pages, 23,50 euros.

Conférence à Vézelay, à la Maison  des Visiteurs, le 26 septembre 2024 à 19h30.

 

Thierry BRET

 


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Officiellement, il sera inauguré avec les honneurs dû à sa fonction, celui de rendre de précieux services de proximité aux quatre coins du territoire, ce jeudi, en milieu de matinée sur le parvis du « 89 ». Mais, dans les faits, cet astucieux véhicule, totalement relooké et adapté aux besoins des missions de la PMI (Protection Maternelle et Infantile) sillonne le département de l’Yonne depuis le 08 avril dernier. A la grande satisfaction des 29 communes bénéficiaires…et de ses habitants.

 

AUXERRE : Retenez bien l’appellation de ce concept itinérant à l’anglicisme, malheureusement un peu trop prononcé pour les puristes de la langue de Molière que nous sommes : « Family Bus » ! Un « bus de la famille ». Voilà une insolite initiative - mais fort utile visiblement - déclinée par le Conseil départemental dans une configuration usuelle peu commune dont vingt-neuf localités de l’Yonne profitent déjà à bon escient. Sachant que la liste initiale pourra évoluer avec le temps, selon le succès et les besoins à combler, rencontrés ici ou là.

Ce curieux véhicule, une fourgonnette utilitaire à l’estampille reconnaissable de très loin avec ses multiples logos évoquant le CD 89, présente sur l’un de ses flancs une phrase caractéristique qui résume en elle seule la philosophie de ce mode de locomotion. « Des consultations au plus près de chez vous » ! S’agirait-il d’un nouveau dispositif mis en exergue par le pouvoir exécutif de l’Yonne en matière de santé destiné à nos seniors éprouvant des difficultés à se mouvoir en étant éloignés de tout ? Pas exactement dans les faits !

Le « Family Bus », puisqu’il faudra désormais s’accommoder de ce vocable un peu trop marketing, se positionne bel et bien sur le volet sanitaire, mais celui de la jeunesse, en proposant des consultations de puériculture gratuites. Intéressant !

Il met en scène les professionnelles de la PMI (Protection Maternelle et Infantile) qui vont ainsi se déplacer au plus près de leur cœur de cible, les familles, notamment celles vivant dans les zones rurales.

 

Un accueil privilégié pour les enfants jusqu’à six ans

 

Une « action volontariste et innovante », qui comme devait le confirmer Elisabeth FRASSETTO, vice-présidente du Conseil départemental de l’Yonne en charge de l’Enfance et de la Famille, le jour de la présentation officieuse de ce véhicule, rappelait que celle-ci s’inscrivait pleinement dans le cadre de la Stratégie nationale de prévention et de protection de l’enfance 2022/2024, un schéma adopté entre le Département de l’Yonne, l’Etat et l’Agence Régionale de Santé (ARS). Ce dernier visant à assurer à tous les enfants un accès équitable à la prévention santé, financé à part égale par l’Etat et le Conseil départemental.

Dans l’absolu, qui peut bénéficier de ce service mobile et original unique en Bourgogne Franche-Comté ? S’il est piloté par deux agents de la PMI, le bus à la décoration intérieure enfantine accueillera à son bord parents et enfants âgés de six ans et moins. Là, en présence d’une infirmière puéricultrice, la petite famille recevra conseils et préconisations de la spécialiste sanitaire avec à l’appui des éléments informatifs précis : la prise de poids, la courbe de croissance, l’alimentation, l’hygiène, le sommeil, l’éveil, etc.  Un vrai cabinet médical ambulant !

 

 

Cerise sur le gâteau, des informations pratico-pratiques seront aussi communiquées. Notamment sur les aides à domicile et sur l’orientation vers un praticien de PMI, si besoin. Dès l’automne, des consultations de sages-femmes et médicales seront intégrées à bord du mini bus.

Dès avril, le véhicule a circulé dans le département. Se posant par demi-journées fixes dans l’une des vingt-neuf localités choisies lors de cet itinéraire initial. Tout a été prévu et anticipé par les services du département pour adosser la venue du véhicule à un lieu d’accueil qui offre les garanties complémentaires de confort pour la patientèle : sanitaires, point d’eau.

 

 

Permettre à la PMI de faire connaître ses grandes missions

 

Ces « points de rencontre » représentés par ces communes devraient à l’avenir augmenter. Car, c’est évident, ce « Family Bus » qui optimise la visibilité du Département en matière de santé pour les plus petits équivaut à un outil appréciable dans la lutte contre la désertification médicale. L’une des priorités du président Patrick GENDRAUD qui se plaît toujours à rappeler que « le Département n’a pas la compétence en matière de stratégie sanitaire mais fait avec en agissant ! ».

Pour la PMI, l’initiative se veut très bénéfique à plus d’un titre. Ce bus permet de recentrer ses activités sur son cœur de cible (la prévention, la santé et la parentalité), mais aussi d’aller vers l’ensemble des familles de manière universaliste, tout en intervenant en partenariat avec les acteurs locaux de la petite enfance et de répondre aux exigences du terrain, inhérentes à l’adaptabilité des réalités locales.

Bref, si ce « Family Bus » n’existait pas, il serait souhaitable de l’inventer !

 

Thierry BRET

 


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Le revers très agréable de la médaille est que précisément les belles réalisations sorties de l’imaginaire créatif de Simon CORNU, esthète du chocolat chez CHOPARD – on apprécie également les produits à l’estampille de la « Biscuiterie de Bourgogne » -, équivalent à une œuvre d’art « comestible ». Illustrant six disciplines majeures des Jeux Olympiques (athlétisme, équitation, handball, natation, tennis et voile), la chocolaterie de Joux-la-Ville a décidé d’honorer les Jeux de Paris de la plus belle des manières, celle de la gourmandise en confectionnant une collection de médailles en chocolat noir et au lait…

 

JOUX-LA-VILLE : Avis aux amateurs et aux férus des Jeux Olympiques ! Pour peu que vous soyez un tantinet gourmands, vous allez ajouter un plaisir supplémentaire à vos envies : il y a donc de la collection à se constituer dans l’air ! Oui mais attention : il s’agit dans le cas présent d’une collection pas tout à fait comme les autres, pour se remémorer le souvenir de cette manifestation universelle qui accapare tous les esprits depuis l’arrivée de la flamme sur le sol français à Marseille, le 08 mai.

En lien avec la célébration de ce rendez-vous séculaire – la précédente édition des Jeux d’été remonte à 1924 dans la capitale de l’Hexagone -, la chocolaterie CHOPARD – une entité artisanale qui assure son développement commercial via différents produits aux côtés de la « Biscuiterie de Bourgogne » -, vient d’émettre (c’est le nom que l’on emploie à la Monnaie de Paris qui édite parfois de telles breloques mémorielles) une série de médailles…concoctées à base de chocolat.

Une façon très appropriée pour le milieu de l’artisanat de se positionner sur cet évènement qui va occuper les esprits durant ces trois prochains mois.

Chez les sportifs comme chez les suiveurs, sans omettre celles et ceux qui se frottent les mains autour des futures retombées économiques potentielles.

Créée en 2020, la chocolaterie CHOPARD, marque familiale, se veut respectueuse des traditions artisanales de qualité. En témoignent les propos de son dirigeant, Geoffrey quand il caractérise le travail de sa structure : « Nous sommes dédiés à créer des expériences gustatives exceptionnelles à travers notre gamme variée de chocolats artisanaux, tous fabriqués avec les meilleurs ingrédients et un souci du détail inégalé… ».

 

 

Le chocolat est bien plus qu’une simple friandise…

 

C’est le chocolatier maison, Simon CORNU, qui a imaginé cette série spéciale rendant ainsi hommage à six disciplines majeures des jeux. Commentaire du directeur de la chocolaterie, Geoffrey CHOPARD : « Nous sommes ravis de présenter cette collection spéciale de médailles en chocolat en l'honneur des Jeux Olympiques. Chez CHOPARD, nous croyons que le chocolat est bien plus qu'une simple friandise - c'est une forme d'art qui peut inspirer, rassembler et célébrer. Nous espérons que nos médailles en chocolat ajouteront une touche de douceur et de festivité à cette occasion mondiale ».

Elaborées à partir de chocolat noir (incontestablement le meilleur pour les puristes !) mais aussi au lait, ces médailles un peu particulières mais excellentes au palais sont disponibles depuis quelques jours dans les différentes boutiques à l’enseigne « Biscuiterie de Bourgogne ». On les trouve à Joux-la-Ville, siège de l’entité, comme à Auxerre. Mais aussi à Avallon ou sur la Colline éternelle, à Vézelay.

 

Thierry BRET

 


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