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Six cents destinataires, issus du portefeuille clientèle de la société METRO à Auxerre, ont été informés de la troisième édition de « Place aux Restos », animation solidaire concoctée avec l’UMIH 89 et la Ville d’Auxerre. Celle-ci se déroulera mercredi 06 janvier avec une très légère modification par rapport à la précédente mouture. Sa tranche horaire a été raccourcie afin de l’adapter aux réelles attentes des consommateurs devant se rendre sur le marché de l’Arquebuse entre 09 et 13 heures…

AUXERRE : Sans doute était-il opportun de procéder à quelques ajustements afin d’améliorer la logistique et l’organisation. Ce sera fait pour ce nouveau rendez-vous, prévu en cette matinée du 06 janvier. Le premier à être biffé, par ailleurs, sur les agendas de 2021.

Les horaires de la manifestation éphémère évoluent en se resserrant davantage. Un changement de cap judicieux pour en optimiser sa fréquentation. C’est tout le bien que l’on peut souhaiter aux instigateurs de cette animation novatrice qui vivra ce mercredi sa troisième édition.

Dès 09 heures, et ce jusqu’à 13 heures, les férus du rendez-vous hebdomadaire trouveront ainsi avec la reconduction de la formule leurs propres marques consuméristes. Ils auront l’heureuse opportunité de découvrir et d’apprécier les plats à emporter proposés par une vingtaine de restaurateurs du cru. C’est ce qu’espèrent tout du moins les organisateurs en termes de présence professionnelle.

Lors des deux précédents exercices, l’engouement des consommateurs était patent. Car depuis la fermeture des restaurants à la suite des décisions gouvernementales pour juguler les effets de la crise sanitaire dans l’Hexagone, bon nombre de nos concitoyens crient « famine » de ne pouvoir se sustenter des merveilleuses recettes élaborées par nos chefs. Servies dans les salles de leurs maisons avec le décorum et les usages qui l’agrémentent.

 

 

 

 

Une honorable porte de sortie pour satisfaire les épicuriens…

 

Une situation de plus en plus indigeste et insupportable pour les épicuriens que nous sommes dont il faudra encore s’accommoder durant plusieurs semaines. La gouvernance a semble-t-il tranché ce lundi en faveur de la non-réouverture des établissements culinaires au 20 janvier comme il avait été précisé initialement par le Premier ministre Jean CASTEX.

Devant cette actualité peu réjouissante pour les esthètes de la transmission du savoir-faire gastronomique à la sauce ESCOFFIER, la manifestation auxerroise représente donc une honorable porte de sortie. Une alternative gourmande et solidaire envers une profession qui souffre dont il faut profiter au maximum !

Les mois de janvier, de février et probablement de mars risquent d’être très délicats à vivre avec de telles contraintes pour la filière professionnelle. Celle-ci, déjà au bord de l’asphyxie, a besoin du soutien général, d’un véritable élan de solidarité citoyen et de l’accompagnement de toutes les forces institutionnelles et économiques pour s’extraire de cette ornière sans nom, devenue une plaie béante qui ne semble jamais se refermer…

   

En savoir plus

Opération « Place aux Restos »

Marché de l’Arquebuse à Auxerre

Mercredi 06 janvier 2021

Plats à emporter de 09 heures à 13 heures

 

Thierry BRET

 

 

 


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Place Emile Blondeau, la vitrine commerciale de la « banque verte » s’est refait une beauté. Une cure de jouvence dont profite depuis peu la clientèle locale. Elle s’inscrit dans le programme de rénovation des agences selon les codes du nouveau concept déployé en Champagne-Bourgogne. Un mode opératoire qui fait la part belle à l’ergonomie et à la digitalisation des services.

BRIENON-SUR-ARMANCON : Alors que certains établissements bancaires éprouvent de plus en plus de difficulté à conserver leur présence physique dans le paysage territorial, d’autres, en revanche, poursuivent leurs investissements en matière de modernisation de leurs locaux. Y compris en zones rurales.

C’est le cas, précisément, de l’une de ces structures dont le milieu champêtre demeure l’une des clés de voûte de sa stratégie commerciale : à savoir, le Crédit agricole.

L’établissement aura mis un point d’honneur à clore l’atypique année 2020 en continuant sa politique de rénovation de ses points de vente sur le département de l’Yonne. A l’instar de ce qui se passe ailleurs parmi les autres territoires de sa zone de chalandise : l’Aube, la Côte d’Or et la Haute-Marne.

 

 

 

 

Disposant au total de 143 vitrines d’accueil pour sa clientèle, l’entité financière régionale vient de réhabiliter l’une d’entre elles à Brienon-sur-Armançon.

Une agence où travaillent six collaborateurs dirigée par un binôme paritaire, Boris JAYET, directeur et Séverine ROBE, directrice déléguée.

 

Banque Populaire

 

Des espaces repensés selon des types de besoins…

 

Pourvue de trois nouveaux univers propices à renforcer les liens avec la clientèle, l’agence de la Place Emile Blondeau a été relookée par des artisans du cru. Un principe fondamental pour le donneur d’ordre qui veut faire fructifier la dynamique économique locale à chaque chantier.

Lumineuse, fonctionnelle, spacieuse, l’agence facilite l’accueil, le conseil et l’expertise dans un souci de confidentialité et de praticité. La technologie y tient sa place avec la présence d’une borne interactive, la signature électronique sur tablette ou l’efficience des automates innovants. Toutefois, la relation humaine n’est jamais très loin. L’assistance et les conseillers peuvent apporter leur savoir-faire à tout moment.

Néanmoins, pour celles et ceux qui ne souhaiteraient pas se rendre sur place pour y effectuer une opération, compte-tenu du contexte sanitaire, précisons que les solutions à distance offrent des possibilités complètes via les applications à découvrir sur le site www.credit-agricole.fr/ca-cb.

Thierry BRET

 

 

 


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Le mécène François SCHNEIDER sera-t-il le nouveau messie de l’emploi et de l’attractivité culturo-touristique sur le territoire de l’Yonne dans les années à venir ? Tout contribue à le croire, si l’ambitieux concept rattaché au futur du domaine de Pontigny se concrétisait dans sa globalité. Cédé par la Région pour 1,8 million d’euros, ce haut-lieu cistercien est promis à un bel avenir. A condition, toutefois, de réunir les fonds et capitaux nécessaires en vue de sa profonde mutation économique…

AUXERRE : Comme cadeau de Noël fait à l’Yonne, il y a pire ! Mais, à quelques jours de la fête de la Nativité, beaucoup aimeraient y croire à l’écoute du panégyrique idyllique qui a été fait à propos de l’un des bastions patrimoniaux de notre territoire : le domaine de l’abbaye de Pontigny.

Jusque-là propriété exclusive de l’appareil institutionnel régional depuis 2003, cet espace aux origines séculaires et hautement spirituel sommeillait quelque peu dans une douce béatitude.

Or, il devrait en être tout autrement après sa cession entérinée le 11 décembre lors de l’assemblée plénière du vénérable organisme. Un choix qui a été validé à une très large majorité par les élus proches de la présidente socialiste Marie-Guite DUFAY. Son opposition s’abstenant ou votant contre à de rares exceptions…

Mis en vente selon la propre volonté du Conseil régional, le domaine de la fameuse abbaye cistercienne, l’une des plus importantes structures érigées à la gloire des adeptes de la règle de Saint-Benoît en France, a donc trouvé acquéreur. Soit la Fondation éponyme du mécène et industriel François SCHNEIDER. Un féru de l’art contemporain et des arts de vivre qui dispose déjà d’un univers conceptuel favorable à l’accueil d’artistes et à leur libre expression du côté de l’Alsace, à Wattwiller précisément dans le Haut-Rhin.

C’est là que le fondateur de la société « Grandes Sources de Wattwiller » a imaginé un projet encore plus abouti qu’il souhaite décliner en partie sur le site cistercien icaunais. Du moins, dans son approche culturelle et touristique.

Dans cet environnement propice à la méditation et à la saine oisiveté, l’homme d’affaires français qui possède des attaches dans l’Yonne souhaite revitaliser les lieux. Un espace, excusez du peu, de 9,5 hectares de terrain comprenant cinq mille mètres carrés de bâtiments à l’architecture cistercienne.

 

 

 

La « terre » comme déclinaison symbolique après celle de l’eau…

 

Alors que la partie adverse, c’est-à-dire la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre,  prétendait aussi acheter ce bien en proposant une cagnotte de 300 000 euros supplémentaires, c’est bel et bien l’offre de la fondation qui obtint gain de cause in fine le jour du vote auprès des élus de la majorité régionale.

Sans doute que l’idée de créer une école destinée à l’apprentissage de futurs prêtres ne reçut pas les mêmes échos favorables auprès des élus par rapport au deuxième concept à la dimension économique et environnementale évidente.

Toujours est-il que le mécène François SCHNEIDER, profitant d’une pseudo-conférence de presse pour dévoiler les grandes lignes de ce mirifique projet face aux acteurs du territoire, fera de ce domaine un centre d’art où se grefferont un complexe hôtelier haut de gamme, un restaurant à vocation gastronomique, un espace culturel mettant un sérieux coup de projecteur sur l’histoire du vignoble de Chablis et les origines du site (avec un musée dans la besace). Plusieurs salles de conférences équipées pour accueillir séminaires et autres colloques complèteront cet ensemble stratégique.

Bref, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour comprendre que le dossier de la Fondation SCHNEIDER qui nécessite des investissements importants (on avance déjà le chiffre de dix millions d’euros pour commencer), devrait être pourvoyeur de nombreux emplois à terme (on en recense déjà près de 70 dans la projection définitive du projet à trois ans), d’une forte attractivité culturelle, patrimoniale et touristique qui rayonnera bien au-delà des frontières bourguignonnes.   

 

        

La « terre » en sera son leitmotiv identitaire, décliné à toutes les sauces et selon les variantes choisies (éco-citoyenneté, productions agricoles locales, produits artisanaux commercialisés dans la boutique sur place…) à l’instar de celui de l’eau, symbole caractéristique du site de Wattwiller où coule cette substance naturelle qui permet d’étancher la soif de milliers de consommateurs.

François SCHNEIDER poursuivra-t-il sur ce raisonnement logique qui lui verrait un jour concevoir des infrastructures du même acabit se rapportant aux deux derniers éléments de cette référence à la cosmogonie (le feu et l’air) ?

Nul ne le sait, pour l’heure, évidemment !

Son ambition est, en revanche, de propulser le domaine de Pontigny sur une toute autre orbite qu’elle ne l’est à l’heure actuelle. Faisant converger sur place des artistes, des créateurs, des talents, le public (avec une jauge impressionnante qui oscille entre 100 000 visiteurs dès le lancement de ce complexe en 2023 à quatre fois plus de personnes moins de cinq années plus tard !), des partenaires issus des collectivités et surtout des investisseurs !

 

Un prévisionnel orienté autour de l’équilibre à cinq ans…

 

On l’aura compris le nerf de la guerre de ce projet aux ambitions alléchantes demeure l’argent. Le mécène n’en manque pas, visiblement. Mais, il sollicitera aussi les investisseurs locaux en ouvrant le capital de la future société qui portera le projet. Des subventions seront demandées aux partenaires territoriaux. On imagine allègrement qu’il sera nécessaire de disposer de plusieurs millions d’euros d’investissements à étaler dans le temps selon les chantiers à mettre en route pour atteindre le point d’équilibre prévu à cinq ans.

Quant au capital humain, François SCHNEIDER s’est entouré d’une équipe de choc pour piloter ce navire qui n’a rien d’un frêle esquif perdu dans la mer des Sargasses.

Le « capitaine au long cours » porteur du projet se nomme Bruno SCHOCH. Président du directoire de la société UNIBEL SA (structure de l’agro-alimentaire cotée à Paris), il a exercé ses multiples talents de manager dans le groupe fromager BEL.

C’est aussi une jeune femme, diplômée de Sup de Co Paris, Amandine SIMPHAL qui à 32 ans devient directrice du projet. Le troisième joker de François SCHNEIDER se nomme Jérôme GALLOT, un ancien de la Cour des Comptes qui gérera les relations avec les pouvoirs publics.

Outre le fondateur de la fondation, on trouvera également dans ce staff aux cinq têtes pensantes une figure connue et reconnue de l’univers entrepreneurial de l’Yonne, l’Auxerrois Michel PISANI, ancien président de la Maison de l’Entreprise et administrateur de l’agence Yonne Equipement. Un quintuor prêt à en découvre pour accomplir un rêve : redonner ses lettres de noblesse à ce site séculaire et intemporel...

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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Dans le cadre du Plan d’accélération pour l’année 2021, la Bourgogne Franche-Comté a décidé d’allouer une enveloppe d’1,5 million d’euros pour soutenir les projets portés par les agriculteurs. Priorité est ainsi faite au développement des circuits courts et aux produits locaux. La viticulture n’y perd pas au change…

DIJON (Côte d’Or) : Il s’agit peut-être de l’une des rares conséquences positives qui soit imputable à la présence du coronavirus sur notre sol. La crise de la COVID-19 aura permis en effet de revoir la manière dont nous gérons nos habitudes alimentaires au quotidien. Notamment lors du premier confinement.

Partout, sur le territoire régional, les consommateurs ont porté une attention toute particulière aux produits locaux et aux circuits courts. Une évolution des comportements qui se répercutera sur le travail des producteurs.   

Consciente de ces changements significatifs, la Région a décidé dans le cadre de son Plan d’accélération pour l’année 2021 d’être à l’écoute des professionnels de l’agriculture et de les accompagner à la réalisation de leurs nouveaux projets. Ceux qui offrent une certaine pérennité aux filières agricoles en créant des besoins et des marchés novateurs.

Cette manne financière qui s’élève à 1,5 million d’euros est la bienvenue dans ce contexte de crise particulièrement tendu.

 

 

La viticulture intègre les priorités grâce à l’oenotourisme…

 

Le volet de la viticulture n’est pas oublié pour autant par l’exécutif régional. Grâce à l’élaboration du schéma oenotourisme, c’est-à-dire un programme bâti entre 2021 et 2030 où la Bourgogne Franche-Comté souhaite jouer les premiers rôles en devenant la région leader de l’Hexagone.

Entamée depuis 2019, la réflexion prévoit un certain nombre d’actions (dix-neuf) déclinées autour de trois grandes priorités : la notoriété à l’échelon international et national, l’essor progressif de l’oenotourisme et l’anticipation des changements de gouvernance et d’influence pour mieux en affirmer sa prédominance dans le paysage régional.

 

 


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S’il reçoit les autorisations officielles, le projet pourrait voir le jour avant la fin de l’année 2021. Peut-être au tout début de 2022. Il serait en tout cas unique dans l’Auxerrois. Un centre d’élevage de cervidés qui permettrait à la jeune Juliette MOREAU et à son compagnon de vivre une très belle aventure entrepreneuriale. Celle-ci se situant aux confins de l’univers animalier et de la pédagogie. Avec un modèle économique à la clé, de surcroît…

CHEVANNES : Existera-t-il un jour une ferme d’élevage de cervidés dans l’Auxerrois ? Tout porte à le croire, en effet, si l’on en juge l’avancée du projet initié par Juliette MOREAU, future cheffe d’entreprise icaunaise.

Avec son compagnon, cette dernière qui œuvre déjà au quotidien auprès de son père Hervé, gérant de la société des « Cerfs de Bourgogne » et exploitant de la Ferme Saint-Loup à Brienon-sur-Armançon, espère voir aboutir dans les prochains mois ce sympathique concept. Celui-ci allie le retour à la nature, l’élevage d’animaux dans un biotope 100 % naturel et la mise en exergue d’activités commerciales espérées lucratives.

Non seulement, la jeune femme a pour projet de reprendre l’exploitation de cervidés paternelle qui a reçu la visite cette semaine du préfet de l’Yonne Henri PREVOST et du président de la Chambre départementale d’agriculture Arnaud DELESTRE. Mais, en outre, elle entend bien développer cet élevage à proximité d’Auxerre.

La municipalité de Chevannes aurait donné son accord de principe pour que l’installation de la future activité agricole se fasse sur une zone naturelle, composée de bois et de prairies. Une surface de près de cinquante hectares, indispensables à l’épanouissement de ces animaux.

 

 

Une production d’objets décoratifs et l’accueil de scolaires dans une ferme pédagogique…

 

Profitant de cet espace de verdure, les cerfs pourraient s’y nourrir sans aucune difficulté. L’idée d’accueillir des scolaires est déjà à l’étude dans le cadre d’une ferme pédagogique avec les services de l’Education nationale. En outre, le couple exploitant produirait des articles connexes issus de ce cheptel, dont le nombre d’animaux n’a pas encore été spécifié.

Ils seraient à vocation décorative en utilisant la matière première que peuvent être les peaux, les cornes ou le cuir.

Côté budget, les premières estimations chiffrées se rapportent à la construction d’un laboratoire qui nécessiterait une enveloppe de cent mille euros. Les frais de clôture délimitant ce vaste enclos avoisineraient un budget de 60 000 euros.

A ce jour, Juliette MOREAU est dans l’expectative. Elle attend avec impatience des réponses à ses demandes d’obtention de certificats et autorisations d’usage pour placer son projet sur une véritable rampe de lancement…

 

 

 


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