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La PME aux vingt collaborateurs constitue l’un des éléments productifs qui s’intègre à la perfection dans l’écosystème ULTERIA. L’un des concepts entrepreneuriaux les plus novateurs du moment. La structure commercialise depuis la mi-novembre un contenant sans plastique qui s’adapte idéalement aux besoins des rayons du vrac. Une prouesse technique en cohérence avec les valeurs environnementales de cette société...

BAZARNES : Prétendre que les PME de l’Hexagone manquent parfois d’ambitions et d’originalité en matière d’innovation serait mal connaître le principe fonctionnel de l’écosystème ULTERIA. Un concept devenu une référence dans le landerneau, grâce aux diverses composantes qui y sont accueillies !

Le dernier exemple en date provient de l’une de ces entités, apparue en 2014 qui s’est depuis forgée une solide réputation sur une niche bien spécifique, celle du déploiement de rayons et d’épiceries en vrac.

Son nom claque comme le titre prometteur d’une série noire américaine, « BULK & CO » ! Mais, là, s’arrête la comparaison avec la culture d’outre-Atlantique.

Employant une vingtaine de salariés, cette PME qui se positionne aujourd’hui comme un partenaire incontournable dans le vrac alimentaire, obtient enfin les lauriers de la gloire, grâce à cette créativité exacerbée.

Celle qui lui aura permis de concevoir et de faire fabriquer l’un des premiers silos « zéro plastique » destinés à ce marché.

Une innovation en parfaite osmose avec la déontologie qui lui est propre : promouvoir un commerce durable et une consommation responsable en réduisant les emballages.

 

 

 

 

Une innovation made in France qui garantit l’hygiène du vrac…

 

« SILOVB », car tel est son patronyme commercial, a été imaginé sur le site de l’Yonne. Sa fabrication, en revanche, a nécessité le précieux recours d’une entreprise bretonne à Redon, la manufacture « BIO CREATION BOIS ».

De quoi s’agit-il précisément ? Conçue à base de bois et de verre, cette géniale trouvaille permet de distribuer des aliments en vrac grâce à la gravité. Une membrane protège les produits comestibles qui sont uniquement en contact avec le verre et la silicone de cet opercule.

Par ce biais, la conservation des aliments est assurée dans le respect environnemental à l’aide de matériaux nobles et naturels.

En outre, l’aspect valorisation du produit est plutôt appréciable dans les rayonnages des commerces.

Le bois utilisé à sa conception n’est autre que du pin. Il est issu de forêts françaises gérées durablement selon les nomenclatures inhérentes au label certificateur PEFC. L’emploi de ces différents matériaux facilite le recyclage de ce silo en fin de vie.

Disponible en trois variantes (selon la contenance de 4, 6 ou 10 litres), le récipient peut accueillir et stocker un grand nombre de produits alimentaires dont les pâtes, le riz, les lentilles, le muesli, des graines…

Du fait de sa conception en verre, l’entretien du cylindre est grandement facilité tandis que la membrane de sortie se lave en machine.

Parmi les autres spécialités déclinées par les ingénieux acteurs de « BULK & CO », citons la pose du mobilier vrac en passant par la fabrication de meubles et l’approvisionnement en aliments.

Thierry BRET

 


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Entériné au printemps 2019 par le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le transfert du centre d’apprentissage agricole de Champignelles vers Venoy eut tôt fait de bouleverser quelque peu le microcosme local. D’autant que la petite localité de Puisaye avait à gérer en concomitance un autre départ : celui de l’Ecole nationale vétérinaire. Force est de constater que depuis son déménagement survenu à l’été dernier, le CFA a gagné en attractivité et en effectifs…

VENOY : Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA), lycée professionnel agricole de Champs-sur-Yonne (LPA), lycée agricole d’Auxerre La Brosse (LA) : il ne manquait à cette photographie éducative déjà éclectique que la présence physique d’un centre de formation d’apprentis (CFA) pour que l’offre pédagogique déclinée par l’établissement de l’Auxerrois soit réellement complète.

A ceci près que le LPA de Champs-sur-Yonne est situé à quelques encablures du vaisseau amiral de l’enseignement agricole icaunais (une distance réelle de quatorze kilomètres), soit un petit quart d’heure de déambulation par la route.

 

Un établissement fonctionnel depuis 1975…

 

Jadis, établi en Puisaye au cœur de la commune de Champignelles, le CFA agricole accueillait depuis 1975 celles et ceux de ces jeunes gens ayant une appétence naturelle pour les métiers de la filière verte.

Notamment autour de quatre de ces spécificités les plus représentatives : les métiers du jardinage et du paysagisme, ceux du secteur équestre, de la viticulture et de l’agriculture.

Des cursus qui restent ô combien d’actualité même si le complexe structurel a déménagé entre-temps. Une opération de logistique qui s’est déployée au cours de la dernière période estivale et qui avait l’assentiment de la région Bourgogne Franche-Comté.

De la pure évidence que de regrouper sur le même site, celui des Terres de l’Yonne à Venoy, ce centre de formation quelque peu excentré des grands axes de communication. Un positionnement géographique délicat en fin de compte qui lui aura coûté en termes d’effectifs et surtout en rentabilité.

 

  

 

Des synergies naturelles avec les autres établissements du complexe…

 

 

Désormais, accueillie dans un ensemble de structures modulaires mixant ergonomie et fonctionnalité, l’équipe administrative et enseignante du CFA agricole ne souhaite qu’une seule et unique chose : accroître ses effectifs en privilégiant la visibilité.

Une requête d’autant plus facile que l’infrastructure pédagogique est dorénavant située au cœur même de l’édifice du complexe agricole icaunais.

D’où un gain légitime en visibilité et surtout une osmose évidente avec les autres strates enseignantes locales : le lycée agricole La Brosse et le Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA).

Les synergies qui vont s’y développer dans le futur ne peuvent être que normales.

S’il n’existe pas encore de section dédiée à l’accueil d’un BTS, les cent-cinquante apprenants qui fréquentent les lieux se répartissent vers d’autres cursus menant à l’obtention d’un CAP ou d’un baccalauréat professionnel.

 

 

Communication, qualité et digitalisation : des items synonymes d’avenir…

 

Les quatre filières demeurent très attractives pour les jeunes gens. Notamment celles qui préparent aux métiers de l’aménagement des espaces verts dont sont friands les collectivités et les entreprises ; celle de l’hippisme avec une corrélation naturelle vers la kyrielle de centres équestres répartis sur les départements de l’Aube, la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne. Du côté du secteur purement agricole, les demandes de contrat d’apprentissage sont toujours importantes au vu des besoins des exploitations.

L’un des objectifs pour la nouvelle directrice de l’entité, Hélène DECULTOT, sera d’obtenir la certification de qualité, QUALIFORMAGRI, en 2021. Reconnu par l’AFNOR, ce précieux sésame attestera de la qualité de l’enseignement agricole public. Il est salué par le ministère de l’Agriculture comme étant un nouvel outil d’amélioration continue.

Si le développement d’une politique de communication accrue figure parmi les axes de réflexion prioritaires de la jeune directrice, l’apport de la digitalisation afin d’encadrer les cours assurés par les enseignants est un autre volet des chantiers à mettre en exergue dès la saison prochaine.  

Pour mémoire, précisons que le transfert du CFA agricole aura nécessité une enveloppe budgétaire de 750 000 euros financée par la Région.

 

En savoir plus :

 

Pour connaître l’ensemble des activités et des cursus proposés sur le site, un contact :

CFA Agricole de l'Yonne

La Brosse

89290 Venoy

03.86.45.15.23.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Solidarité et altruisme. Humaniste, aussi, l’intervention de l’assureur mutualiste de Paris-Val-de-Loire pour faire face au contexte sanitaire. Une épidémie qui a frappé de plein fouet des pans entiers de notre économie et touchée au cœur des millions de nos compatriotes. En injectant 25 millions d’euros dans de nombreux rouages, le spécialiste de l’assurance-prévoyance n’a fait qu’appliquer à la lettre sa fameuse maxime : « J’agis là où je vis… ».

AUXERRE : L’ancrage territorial demeure l’une des valeurs maîtresse qui explique la stratégie de l’assureur mutualiste sur sa zone de prédilection : les départements de ce grand bassin géographique constitué par Paris-Val-de-Loire. La crise sanitaire inhérente au coronavirus vient une fois encore de le remémorer à nos esprits.

Très investi auprès de ses sociétaires à la moindre turbulence fâcheuse de la météorologie et aux conditions climatiques en surchauffe d’année en année, GROUPAMA n’a pas failli à sa mission première avec l’omniprésence de ce nouveau fléau pathologique qui s’est abattu sur sa zone d’influence.

Etre à l’écoute et au service de celles et de ceux des particuliers, entreprises et collectivités qui ont noué des contacts professionnels utiles avec cette structure dont l’éthique repose sur les principes fondamentaux du mutualisme. Partage, bienveillance et équité…

Au 15 novembre, le montant global de sa mobilisation s’élevait à 25 millions d’euros. Une enveloppe déjà fort conséquente qui ne devrait pas en rester là, somme toute, car c’est sans compter sur les effets induits de la deuxième phase de confinement qui, à date, est encore loin d’être achevée…

 

Une kyrielle de mesures pour accompagner l’économie…

 

Dans le détail, la contribution du groupe assurantiel s’est tout d’abord effectuée en faveur de l’effort de solidarité nationale voulu par la gouvernance de notre pays. Soit une somme de 7,4 millions d’euros dont 6,3 millions ont été répartis vers le seul secteur sanitaire. Le reliquat d’1,1 million est venu abonder le fonds de soutien mis en place par l’Etat.

Les entreprises, nerf de la guerre inéluctable dans l’essor du groupe au niveau de ses parts de marché, ont bénéficié pour 800 d’entre elles d’une réduction de cotisations équivalente à 1,1 million d’euros.

 

 

Ces mesures de soutien ont été accompagnées d’autres initiatives pertinentes pour un total de 8 millions d’euros aux professionnels. 17 355 sociétaires ont profité de cette manne providentielle. Celle-ci a été attribuée de la manière suivante : 1,2 million d’euros pour le report des cotisations, 1,5 million d’euros de réduction de cotisations à hauteur de 10 %, 1,5 million d’euros pour la réduction de cotisations à hauteur de 50 % au titre de l’année 2020, 758 000 euros de réduction de cotisations à hauteur de 25 % sur l’exercice 2021, 65 000 euros de suppression de franchise en cas d’arrêt de travail pour les professionnels de santé atteints de la COVID-19, 227 000 euros de remise de cotisation automobile à hauteur de vingt euros, 343 000 euros affectés à une enveloppe perte de denrées et 455 000 euros de chèques solidaires commerces.

Signalons pour être tout à fait complet sur le sujet que deux millions ont été destinés à la participation sous forme de prêts au fonds de revitalisation REVI’CENTRE en soutien des TPE et petites entreprises.

 

 

Des dons au bénéfice des personnels soignants et de secours…

 

Filière historique inféodée à la politique de développement économique de l’assureur, le monde agricole via ses 11 230 sociétaires s’est vu octroyé un budget solidaire de 5,4 millions d’euros.

Sa déclinaison en est la suivante : 900 000 euros représentent le report de paiement des cotisations ; 1,9 million d’euros équivaut au remboursement de deux mois de cotisations sur les tracteurs ; 1,9 million d’euros se rapporte à la réduction de cotisations à hauteur de 50 % ; la réduction de cotisations des serres et des centres équestres, très impactés par la crise, s’élève à 400 000 euros.

Quant à l’avance de trésorerie sous forme de prêts accordés aux viticulteurs, elle dépasse la barre des trois cent mille euros (303 000 euros précisément).

Une quarantaine de locataires ont vu l’abandon de leurs loyers pour un équivalent de 142 000 euros.

Tandis que les mesures de soutien aux particuliers (100 400 sociétaires) se sont approchées de trois millions d’euros (2,7 millions avec exactitude) : elles ont permis l’obtention d’une remise de vingt euros sur les cotisations du poste automobile par ménage.

Pour clore ce premier bilan chiffré de la gestion de crise, il ne faut pas omettre les dons effectués au nom du principe vertueux de la solidarité à divers bénéficiaires, en particulier les personnels soignants et de secours mais aussi les syndicats professionnels.

Ainsi, l’obole consentie par l’assureur régional s’élève à 337 000 euros. Une aide financière appréciable qui sera convertie en fait à l’achat de masques, gel hydro-alcoolique, blouses, visières, plateaux repas, matériels informatiques, et même des fleurs…Un clin d’œil agréable et bucolique dans ce monde incertain ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Dans quarante-huit heures, l’association de gestion et de comptabilité procèdera à sa première assemblée générale post-regroupement. Officialisé le 01er janvier dernier, le mariage entre les entités de Bourgogne et de Franche-Comté (quatre départements au total), voulu dans le cadre d’une stratégie de mutualisation réfléchie, se traduit par des engagements forts au niveau du déploiement opérationnel. Les assemblées de territoire dont celle de l’Yonne qui s’est tenue récemment permettent de cerner les enjeux d’une fusion, profitable à tous…

AUXERRE : Celles de la Côte d’Or et de la Haute-Saône purent se dérouler en présentiel. C’était sans compter sur le rebond de l’épidémie de coronavirus qui aura contraint les dirigeants de la structure régionale de revoir leur copie, en l’adaptant au contexte conjoncturel du moment.

Les assemblées de territoire, prélude à la future assemblée générale prévue le 20 novembre, n’ont donc pas eu le même traitement de faveur au plan logistique et organisationnel d’un secteur géographique à l’autre.

Dans l’Yonne, il aura fallu toute la sagacité et la concentration des suiveurs pour y prendre part derrière un écran d’ordinateur ; ce qui n’est jamais facile. La visioconférence est devenue le lot commun désormais de bon nombre d’entreprises et d’institutions qui poursuivent ainsi leur travail.  

Dans ce registre, l’animation déclinée par CERFRANCE n’aura pas démérité. Loin s’en faut, avec en maîtresse de cérémonie la vice-présidente Aurélie CALMUS qui aura assuré la transition entre les intervenants du jour, qui pour certains, slides à l’appui, déroulèrent leur sabir en étayant leur propos de chiffres clés.

Directeur délégué pour le département de l’Yonne, il revenait à Franck NEZET d’ouvrir le bal. Celui-ci brossa méthodiquement la physionomie de ce territoire où le spécialiste du conseil et de l’expertise comptable (surtout auprès des acteurs du monde agricole) intervient.

 

Un éclectisme à bon escient dans la sphère professionnelle…

 

Grâce à ses huit agences et ses 220 collaborateurs (le groupe en compte plus de trois mille à l’échelle de son implantation régionale sur la Côte d’Or, la Haute-Saône, le Territoire de Belfort et l’Yonne), CERFRANCE gère les problématiques quotidiennes de milliers de clients. Dont 6 700 sont issus des filières agricoles de la grande culture et de l’élevage.

Toutefois, contrairement à une idée reçue, le milieu de l’agriculture ne constitue pas le seul périmètre d’action de la structure. Sa présence auprès des entrepreneurs de l’artisanat et du commerce (environ 1 700 adhérents) n’est pas négligeable ; tout comme l’est le suivi auprès de clients issus des professions libérales, des services ou du BTP. Un rappel tactique judicieux de la part de Franck NEZET qui démontre ainsi l’éclectisme de cet acteur, membre de la filière des métiers des chiffres et du droit.

Mais, l’un des éléments moteurs de cette puissante armada qui possède une vingtaine de vitrines administratives et commerciales sur sa zone de chalandise, reste bien évidemment la gestion des paies. Rien que dans l’Yonne, ce sont aujourd’hui 1 800 entreprises qui ont recours à ses services. Sans omettre par capillarité le suivi des embauches et des fins de contrat.

 

 

Une entité qui pèse 28,2 millions d’euros après la fusion…

 

Objectivement, ce mariage entre les quatre départements bourguignons et franc-comtois aura donné naissance à un groupe qui présente de solides atouts. Il suffit de se plonger dans la lecture de l’organigramme pour mieux en saisir toutes les subtilités.

Sur cette seule zone d’influence, CERFRANCE possède parmi ses troupes 14 experts comptables, 245 comptables et assimilés, 23 juristes, 51 conseillers en entreprise, 28 collaborateurs spécialisés dans les ressources humaines et 22 interlocuteurs qui possèdent la bosse du commerce !

Un effectif bien rôdé à la gestion des entreprises qui a de quoi satisfaire le directeur général Laurent BEURIENNE.

Adepte de la formation continue, le groupe aux 420 salariés est friand d’apprentis  de niveau bac + 2 à bac + 5 (des juristes, des ingénieurs agronomes, des experts) qu’il aura tôt fait ensuite d’incorporer au sein de ses diverses strates professionnelles.

Du côté investissements, signalons l’ouverture récente (le 16 octobre) d’un nouveau point d’ancrage en Côte d’Or, précisément à Pouilly en Auxois. Le numérique prend une place particulière pour accompagner le télétravail, en vigueur avec la seconde période de confinement, et la mobilité. Les agences accueillent toujours leur public sur simple rendez-vous avec une jauge de personnel ramenée à 50 %.

Membre de l’Ordre régional des experts comptables, CERFRANCE BFC a réalisé un premier exercice après fusion évalué à 28,2 millions d’euros de chiffre d’affaires. Une excellente tendance même si une légère érosion du carnet de commandes imputable à la présence de la COVID-19 aura fait chuté de 160 000 euros en l’espace de deux mois ces bons résultats.

Le mot de la fin revint au président Eric COQUILLE. Ce dernier s’attarda longuement sur la fonction de délégué de territoire et leurs différentes missions au sein du conseil d’administration.

Rendez-vous est désormais fixé ce jeudi 20 novembre pour l’assemblée générale ordinaire d’une entité qui rayonne à la fois en terre de Bourgogne et de Franche-Comté. Avec de belles perspectives devant elle…

Thierry BRET

 

 


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Exit les escapades professionnelles sous le ciel de Charente du côté de Cognac ! C’est une nouvelle immersion dans la sphère pédagogique icaunaise qu’a décidé de vivre désormais la jeune femme originaire d’Auxerre en assurant la direction du centre de formation par apprentissage dans le milieu agricole.

VENOY : L’aventure professionnelle vécue au beau milieu du vignoble de Cognac n’aura duré qu’un certain laps de temps pour la professionnelle icaunaise.

En Charente, la jeune femme aura acquis de l’expérience dans un tout autre registre que l’univers pédagogique usuel, exerçant des activités de chef comptable au sein d’une société industrielle qui fabrique des étiquettes. La plupart étant destinées à identifier les bouteilles du fameux breuvage local !

Depuis quelques semaines, Hélène DECULTOT a effectué son grand retour dans l’Yonne. Après l’avoir quittée lorsque s’est achevée sa mission au sein du CIFA où elle officiait en qualité de responsable du Pôle commerce et gestion des entreprises.

Munie d’une solide expérience dans la communication initiée dans sa vie antérieure, cette touche-à-tout de talent est aujourd’hui ravie de reprendre les rênes du CFA agricole de La Brosse, accueillie en ces murs depuis le premier septembre. Après son transfert de Champignelles à Venoy…

A 33 ans, Hélène DECULTOT s’offre un challenge excitant dans un univers qu’elle découvre en remplacement de Valérie ROSSI, l’ancienne directrice du CFA. Prometteur…

 


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