Vice-président de FORD Europe, Roelant de WAARD se veut très optimiste pour l’année 2018 avec le lancement sur le marché de deux nouvelles variantes de la gamme TRANSIT. Lui, qui qualifiait il y a peu sa marque de proposer les véhicules utilitaires les plus jeunes et performants, devrait voir se conforter les excellents résultats obtenus par le constructeur sur ce segment qui s’adresse de prime abord aux entreprises artisanales et industrielles. Mais, attention, les particuliers n’y sont pas insensibles…
PARIS : Le faire-part de naissance adressé à la presse aux derniers jours de l’année 2017 témoigne de ce regain d’optimisme chez les dirigeants du constructeur aux origines américaines. Les nouveaux TRANSIT CONNECT et TRANSIT COURIER représentent deux jolis « bébés » dont les spécialistes de l’utilitaire auront le loisir de découvrir les vertus qualitatives auprès du réseau de concessionnaires français ces prochaines semaines.
En l’espace de quelques années, FORD a su renouveler méthodiquement sa gamme de véhicules destinés aux professionnels de l’artisanat et des industries grâce à ce concept performant et confortable qui s’identifie au TRANSIT CONNECT. La mouture 2018 se présente avec une calandre stylisée, incluant la signature lumineuse conçue à base de LED. Elégant, le tableau de bord offre une vision agréable du design introduit par l’ingénierie de FORD qui s’est inspirée de l’utilisation des smartphones. Gain ergonomique garanti au niveau des écrans d’affichage et de contrôle qui sont très faciles à l’emploi !
Il se vend près de 300 000 utilitaires à l’année chez FORD…
Avec près de 13 % du marché, le constructeur occupe une place prépondérante sur ce segment convoité aujourd’hui par la plupart des grandes références de l’automobile. Il est vrai que le domaine de l’utilitaire touche désormais les particuliers qui en font usage de manière récurrente au niveau de leur quotidien. Le mentor du marketing, des ventes et des services en Europe sait au fond de lui que les investissements consentis par son enseigne depuis plusieurs saisons s’avèrent payants. FORD n’a d’ailleurs pas ergoté pour revoir sa politique sur la motorisation.
Avec les deux derniers nés, celle-ci apparaît plus économique encore dans le seul but de répondre aux normes d’émissions Euro 6.2. A titre d’exemple, le nouveau moteur Diesel ECOBLUE 1,5l réunit les ultimes technologies en matière de système d’injection, de turbo-compression, et de contrôle d’émissions.
Les adeptes des moteurs à essence s’y retrouveront eux-aussi : le TRANSIT CONNECT version 2018 est équipé du modèle ECOBLUE 1,0l avec notamment la désactivation de cylindre. Un atout supplémentaire qui permet à la mécanique de ne fonctionner qu’avec deux cylindres afin de réduire la consommation de carburant lors de trajets ne nécessitant pas l’utilisation optimale de la puissance.
L’ensemble de ces motorisations sont disponibles de série, agrémentée par la nouvelle transmission manuelle 6 vitesses. Il existe également une version dotée d’une boîte automatique 8 vitesses qui sert judicieusement le moteur ECOBLUE 1,5l.
Appuyées par la présence d’une soixantaine de TRANSIT Centers en France, les forces commerciales du constructeur multiplient les rendez-vous auprès de leurs cibles privilégiées afin de leur expliquer la philosophie de ces deux nouveaux venus dans la gamme.
Privilégiant une large panoplie d’aides à la conduite, FORD souhaite apporter un confort aux utilisateurs de ces modèles grâce, entre autres, au limiteur de vitesse intelligent, le système de freinage d’urgence anticollision avec détection de piétons, le stabilisateur de vent latéral et l’aide au stationnement. Prodige de la technologie : cet auxiliaire de poids détecte les places libres en créneau ou en bataille entre deux voitures avant de diriger automatiquement la manœuvre sans que le conducteur n’interfère en posant les mains sur le volant.
Le TRANSIT COURIER bénéficie d’un sérieux lifting…
Quant au nouveau TRANSIT COURIER, sa physionomie est plus compacte sur cette gamme qui affiche une console centrale ergonomique incluant un grand écran tactile couleur de 6 pouces. Les ingénieurs l’ont positionné au plus près du conducteur afin d’en améliorer sa visibilité et son utilisation.
L’offre de motorisations s’équilibre entre le nouveau Diesel TDCi 1,5 l et le moteur à essence ECOBOOST 1,0l. Ces véhicules bénéficient de la nouvelle transmission manuelle 6 vitesses en remplacement de l’ancienne boîte qui n’en comportait que cinq.
La capacité de charge de ce produit offre aux professionnels des possibilités comprises entre 500 et 590 kg pour un volume global jusqu’à 24 m3 ainsi que le choix entre différentes déclinaisons de carrosseries.
Le déploiement du très haut débit par fibre optique à Sens a fait l’objet d’une conférence de presse passionnante, en présence de Marie-Louise FORT, présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et de Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale d’Orange en Bourgogne. Si une première phase de travaux, permettant cette optimisation du très haut débit FTTH est en cours, le terme de ce chantier, prévoyant une couverture totale de la ville, sera effectif à l’horizon 2020. Entre-temps, une seconde campagne de travaux aura eu lieu dans de nouveaux quartiers de la cité la plus septentrionale de l’Yonne au cours de l’année 2018…
SENS : Qu’on se le dise ! La fibre optique est une réalité tangible à Sens ! Lors d’une récente conférence de presse, programmée dans les salons de l’hôtel de ville, la déléguée régionale d’Orange en Bourgogne, Véronique MORLIGHEM et la présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et maire de la Ville de Sens, Marie-Louise FORT se sont félicitées de l’avancée technique de ce déploiement de la fibre optique. Il devrait s’achever à l’horizon de 2020, terme définitif de ces travaux d’installation.
Un déploiement décliné selon différentes étapes et trois lots…
A ce jour, plus de 1 100 logements sont raccordables à la fibre optique : ce sont plus de 17 700 foyers concernés. Certaines entreprises peuvent également bénéficier de ce confort optimal de débits et d’usages innovants. A Sens, ce déploiement se conceptualise sous la forme de trois lots. Le premier englobe près de 5 100 logements dont 30 % sont implantés en ville. Géographiquement, cela se rapporte aux quartiers de Sainte-Béate, de la clinique Paul Picquet, des Champs-Plaisants, du secteur de l’hôpital et des Charmilles ainsi que les rues Saint-Pierre-le-Vif et le haut de la rue Alsace-Lorraine. Une quinzaine d’armoires techniques (chacune d’entre elles pouvant desservir environ 360 logements) ont été installées.
Le deuxième lot est sectorisé vers le sud et le sud-ouest de la ville avec une couverture de 5 600 logements. Dès le premier semestre, la tranche initiale de la pose des armoires nécessaires au raccordement sera opérationnelle. La validation de ce processus est en cours avec les équipes de la municipalité.
Quant au lot numéro trois, toujours à l’étude pour sa finalisation, il s’appliquera au centre-ville et à la partie orientale de l’agglomération. Soit in fine, un total de 7 000 logements. Il est le plus délicat à mettre en place car le dossier se gère en concertation directe avec les architectes des Bâtiments de France du fait de l’important patrimoine historique existant.
Proposé à un rythme progressif, ce déploiement comporte plusieurs étapes obligatoires : les études en coordination avec les équipes techniques municipales, l’installation desdites armoires de rue donnant la possibilité à l’ensemble des opérateurs de venir proposer leurs services et le tirage de la fibre dans les fourreaux de génie civil déjà en place.
Dernier point fondamental à la réussite de l’exercice : les habitants de ces différents quartiers doivent communiquer dès que possible auprès de leur syndic et de leur bailleur immobilier s’ils désirent être raccordés à ce nouveau réseau. Le raccordement de leur immeuble doit ensuite être soumis à un vote lors d’une assemblée générale. Puis, l’opérateur désigné pourra installer les points de branchement en face de chaque logement tandis que le client sélectionnera le fournisseur d’accès Internet de son choix, ce dernier effectuant le raccordement final à son domicile.
Côté communication, et surtout transparence, ORANGE innove en devenant le premier opérateur à mettre en ligne sur le site, « reseaux.orange.fr », une cartographie détaillée de la couverture de ce déploiement à la fibre optique qui soit compatible avec les ordinateurs, tablettes et autres smartphones. Histoire de connaître toutes les étapes de ce projet en temps réel !
Un réseau 100 % fibre, synonyme de performance jusqu’au logement et en entreprise…
Dans l’Yonne, ce sont une vingtaine de communes qui sont concernées par ce vaste chantier. Il représente 54 000 logements à couvrir, soit 27 % des habitations du département. Quatre agglomérations (Auxerre, Saint-Georges-sur-Baulche, Monéteau et Sens) sont engagées dans ce programme novateur où près de dix mille logements sont éligibles à la fibre optique.
Rappelons qu’ORANGE a démarré ce déploiement en Bourgogne Franche-Comté dans 55 localités dont 34 pour la seule région Bourgogne et compte déjà plus de 182 000 logements éligibles. Au plan national, ORANGE poursuit son investissement de trois milliards d’euros sur la démultiplication de la fibre optique. Dès 2018, l’ambition de l’opérateur est de raccorder 12 millions de logements et de dépasser la barre des vingt millions deux ans plus tard. Au 01er juin, ORANGE comptait 1,690 million de clients fibre dans l’Hexagone.
Grâce à cette technologie, les utilisateurs profiteront à l’avenir de différents usages en simultané accessibles sur tous les écrans du foyer comme le streaming vidéo, les contenus Ultra Haute Définition, le stockage sur le cloud, le son Haute Définition ou la caméra 360 °…mais cela engendrera aussi l’explosion au plan économique de la télémédecine et du télétravail.
Un seul regret que la périphérie de Sens ne soit pas impactée…
Commentant la phase évolutive de cette stratégie, Marie-Louise FORT a déploré que seule la Ville de Sens soit directement concernée par ce déploiement de la fibre optique alors que les autres communes du Grand Sénonais ne s’inscrivaient pas encore dans ce schéma opérationnel.
« C’est dommageable car le nord de l’Yonne est en perpétuel développement à la fois démographique et économique. Il est regrettable que nous ne soyons pas en capacité au niveau politique d’honorer et d’accélérer le mouvement. Parler de la ruralité du territoire, c’est aussi mettre en avant le télétravail. La fibre optique représente un vecteur technologique majeur pour y parvenir… ».
Constatant aussi que les éléments techniques étaient là à notre disposition, l’élue du Sénonais rappelait que « des fonds devraient être engagés par la collectivité et la force gouvernementale pour atteindre ces objectifs prioritaires à terme…».
« Je me réjouis, devait-elle ajouter, que le premier lot implique beaucoup de foyers de la ville et notamment les ensembles de soins que sont la clinique Paul Picquet et le Centre hospitalier. La libre optique équivaut à une chance inéluctable pour le développement de la télémédecine et l’amélioration de la santé sur nos territoires…».
Evoquant, enfin, la convention de partenariat conclue avec l’opérateur ORANGE, Marie-Louise FORT précisa que « toutes les armoires de rue facilitant le raccordement aux offres de services des spécialistes du très haut débit seront posées d’ici 2020 ; la totalité des logements raccordables au plus tard en 2022…».
Quant au déploiement qui est devenu le fer de lance d’ORANGE, entreprise qui réalise aujourd’hui 40,9 milliards de chiffre d’affaires dont 16 % sont consacrés aux investissements indispensables à l’optimisation de la fibre optique et à la valorisation des licences 4 G (1,2 milliard d’euros), il place le professionnel de télécommunications dans un leadership confortable.
Présent dans une trentaine de pays, ORANGE emploie 158 000 collaborateurs dont 93 000 en France. Son nouveau plan stratégique « Essentiels 2020 », dévoilé en mars 2015, positionne le groupe parmi les valeurs sûres des marchés boursiers mondiaux, à la fois sur « Euronext » à Paris et sur le New-York Stock Exchange…
Le centre de réparation et entretien automobile de Joigny diversifie ses activités commerciales, à la suite d’une acquisition indispensable à son développement : une machine performante destinée à nettoyer les filtres à particules. Cette orientation stratégique de la SARL représente une valeur ajoutée indéniable pour Luc VEYRAND, expert en motorisation, qui a rejoint l’entreprise parentale depuis quelques années. Conçu par l’industriel italien « TECHNIFAP », et distribué à travers l’hexagone par « SPORT SYSTEM » depuis Albi, l’appareil a nécessité 50 000 euros d’investissement. Médaillé d’or au salon « Equip’Auto » de Paris, et opérationnel depuis le mois d’août, l’ensemble offre à ASJ la possibilité d’engranger de nombreux rendez-vous lucratifs…
JOIGNY : Plus de 5 000 euros de chiffre d’affaires supplémentaires obtenus chaque mois depuis le mois d’août : l’installation de ce nettoyeur ergonomique de filtres à particules engendre de prometteuses retombées financières pour la société familiale dirigée par Ludovic VEYRAND. Son fils, Luc, ne tarit pas d’éloges sur cette machine à la fonctionnalité éprouvée depuis plusieurs mois qui permet de redonner une seconde jeunesse à une pièce mécanique maîtresse de l’automobile qui nécessite un entretien de manière régulière.
Un cycle de nettoyage automatique et d’une rare efficacité
« Quand cette pièce se bouche à cause de l’accumulation des impuretés, explique le jeune homme, féru de moteurs en tout genre (il a travaillé plusieurs mois dans le milieu sportif du rallye automobile au service d’un team national ayant ses bureaux sur le célèbre circuit de Nogaro), le propriétaire du véhicule est dans l’obligation de la remplacer avec la seule alternative d’en acquérir une neuve. Ceci suppose des coûts onéreux qui peuvent aller au-delà des mille euros de budget selon la politique tarifaire de certains constructeurs… ».
Même si divers nettoyants ont été testés pour préserver la pièce existante auparavant, peu de résultats semblaient convenables jusqu’à présent sur ce marché de l’entretien automobile. C’est ici que le fabricant transalpin, TECHNI FAP, entre en jeu. L’ingénierie de l’industriel italien échafaude alors une machine que l’on peut qualifier de révolutionnaire. Distinguée sur la plupart des salons professionnels européens, elle adopte une solution de nettoyage pragmatique et surtout efficiente.
Fixé à l’intérieur de l’appareil, le filtre à particules reçoit un fort volume d’air qui additionné à une puissante pression de l’eau décolle la suie et les saletés contenues dans chacune des alvéoles de la pièce. Le schéma se répète à maintes reprises avant l’opération de séchage, redonnant une virginité fonctionnelle au filtre. La durée de cette symbiose air/eau n’excède pas une soixantaine de minutes d’une intervention, entièrement automatisée. Une fois lavée et séchée, la pièce mécanique équipe de nouveau le véhicule. Que ce soit une automobile traditionnelle mais aussi un engin agricole ou un poids lourd puisque AUTO SERVICE JOVINIEN peut assurer l’entretien de ces véhicules motorisés.
L’exclusivité dans l’emploi de cette machine dans l’Yonne
Selon la typologie de la pièce, le consommateur déboursera entre 300 à 400 euros hors taxes pour réaliser l’opération. C’est-à-dire une prestation deux fois moindre que l’achat d’un nouveau filtre !
« Ce concept ingénieux se situe dans une logique de développement durable, précise Luc VEYRAND, les boues souillées que nous récupérons à l’issue du lavage se recyclent. Les produits utilisés sont propres et l’opérateur travaille sans précaution particulière sur une machine qui est hermétique de manière intégrale…».
A la suite d’un séjour à Albi en février 2016, Luc VEYRAND découvre l’originalité de ce concept novateur. « Le fabricant italien venait d’en achever la construction et les premiers appareils se commercialisaient sur le territoire… ».
Convaincu par la pertinence de cet auxiliaire numérique à l’entretien des filtres à particules, Luc se rapproche de SPORT SYSTEM. L’entité assure la vente à travers le pays.
« ASJ a conclu un contrat d’engagement avec cette dernière société. Ce qui nous a permis d’avoir l’exclusivité de ce produit sur le département de l’Yonne… ».
Installé début août, il n’a pas d’équivalent en Bourgogne Franche-Comté même si le maillage souhaité par le distributeur albigeois s’étend aujourd’hui vers le Pas-de-Calais, la Drôme, l’Aisne ou les Landes.
Création d’un poste de mécanicien supplémentaire…
Avec un chiffre d’affaires annuel qui oscille entre 800 000 et le million d’euros, AUTO SERVICE JOVINIEN connaîtra sans aucun doute une année 2018 intéressante à la suite de cet investissement. Un nouveau poste de mécanicien avec un profil bac pro répondra aux impératifs professionnels imputables à cette recrudescence d’activité observée depuis quelques mois.
Ce centre d’entretien automobile, né il y a treize ans et spécialiste sur le segment des 4X4, a su aussi au fil du temps se diversifier en assurant le contrôle et la réparation de flottes professionnelles (collectivités, taxis) tout en accordant une large place à la clientèle de particuliers. Via la vente de véhicules neufs et d’occasion qui lui conforte un positionnement privilégié sur cette zone de chalandise à forte potentialité.
En 2015, Ludovic VEYRAND rachète le point de vente d’un agent Renault basé à SENAN, et s’ouvre ainsi le marché fructueux du dépannage assuré sur l’autoroute A6 par cette entité distincte, devenue « SENAN Automobiles ».
PARIS : Le constructeur allemand est l’une des premières marques automobiles qui offre à ses afficionados la réalité augmentée à partir d’une application basée sur Apple ARKIT avec iOS11.
Désormais, les automobilistes peuvent configurer grâce à leur iPhone et iPad une BMW i3, BMW i3s ou BMW i8 grâce à l’application « BMW i Visualiser ».
Afin d’aider du mieux possible les férus de haute technologie à accéder à ce procédé high-tech, le constructeur décline une intégration live à partir d’un outil de configuration, via bmw.be dès une première offre. Rester connecter en permanence et profiter de la réalité augmentée : ce sont les priorités de l’enseigne d’Outre-Rhin…
La signature officialisant l’achat d’une nouvelle plieuse MBO M80 a été rendue publique par Damien FOULON, président directeur général de la coopérative. La société d’impression de Sens sera dotée au printemps de cette imposante machine ayant nécessité un investissement de plus de 200 000 euros. Mieux adapté au développement actuel du marché de l’impression, cet appareillage remplacera l’existant. Permettant ainsi à l’entreprise de l’Yonne de gagner en performance et en fluidité sur les postes de travail tout en optimisant ses opportunités professionnelles au niveau de ses parts de marchés…
SENS : L’entreprise de l’Yonne patientera jusqu’aux premiers jours du printemps pour bénéficier de sa nouvelle acquisition qui sera installée sur son site de production de Sens. Considérée comme la machine la plus performante du moment sur le segment du pliage, la plieuse M 80, produite par l’industriel d’Outre Rhin, MBO (MASCHINENBAU BINDER OPENWEILER), représente la nouvelle génération de ces auxiliaires mécanisés et automatisés indispensables à l’optimisation des entreprises évoluant sur le secteur de l’imprimerie.
De 10 à 15 % de possibilités supplémentaires avec la M 80…
A forte valeur ajoutée, cette machine renouvellera l’offre existante en y apportant son lot de modernisme et de rendement supérieur, voulu par la direction actuelle de la société icaunaise.
Chargé d’affaires de l’enseigne germanique pour la France, Franck HAMELIN ne tarit pas d’éloges sur la qualité intrinsèque de cet appareillage qui sert à plier des feuilles de papier en cahier de 16 à 32 pages.
« Les capacités de cette plieuse sont exceptionnelles, de 10 à 15 % de plus-value par rapport au modèle antérieur, explique-t-il, en outre, elle profite d’une programmation numérique lui donnant une parfaite autonomie dans son approche fonctionnelle. Quant à la qualité du pliage, il est nettement plus précis…».
Augmentant la vitesse de certaines opérations (un traitement de 275 mètres de papier à la minute), cette plieuse M80 à poches servant pour l’activité labeur constituera un indéniable atout pour CHEVILLON. Elle remplacera la précédente machine qui datait de 2001.
60 % de la vente des plieuses en France proviennent de MBO…
Conçue dans l’unité de production au Portugal, la M 80 passera par l’Allemagne à Openweiler près de Stuttgart afin d’y être assemblée. Elle rejoindra la Bourgogne septentrionale quelques semaines plus tard.
Partenaire de l’imprimerie CHEVILLON depuis 1990, MBO emploie plus de 400 collaborateurs à l’échelle internationale tandis que ses produits se distribuent dans quatre-vingts pays de la planète.
La société aux 60 millions d’euros annuels dispose de plusieurs filiales d’ingénierie basées aux Etats-Unis et en Chine ; sa filiale française pèse 5 millions d’euros de chiffre d’affaires. Onze personnes y apportent leur savoir-faire depuis le siège social localisé à Guyancourt dans les Yvelines. En parallèle, l’industriel est également positionné sur le marché des plieuses destinées aux secteurs pharmaceutiques et cosmétiques.