Perspicace, il prévient en amont, avant que ne débute l’évènement qu’il aura des choses à dire lors de la conclusion. Ce n’est qu’une question de patience, en somme, pour les suiveurs médiatiques ! Face à lui, plus de deux cents personnes prennent place sur les sièges peu confortables du parc de loisirs érigé au beau milieu de nulle part – la forêt d’Othe ! -, soit le concept « UTOPIA ». Elles sont adhérentes ou pas, de la coopérative céréalière de l’Yonne, YNOVAE. Le visage grave, le costume sombre et un décor plutôt fait de pénombre que de lumière accentueront les arguties du président Laurent PONCET sur la réalité économique. La situation est catastrophique pour le monde agricole…
BUSSY-EN-OTHE : Finalement, au terme de plus de deux heures de séance plénière réussie, comprenant le bilan de l’activité 2023/2024, les rapports financiers, le témoignage de la relève de la corporation agricole rassemblée sous le vocable du « Club Atout Jeunes » et la remise de distinctions à quelques acteurs clés de la coopérative ayant fait valoir leurs droits légitimes à la retraite, il revenait à Laurent PONCET, président du Conseil d’administration d’YNOVAE, d’avoir le mot de la fin, ponctuant ainsi une assemblée générale qui aura mis l’accent sur le contexte économique actuel. Un exercice que l’orateur maîtrise d’ordinaire à la perfection, lui permettant de glisser quelques messages bien orientés côté vérités !
Sans doute n’est-ce pas de gaité de cœur que le président a réaffirmé devant son pupitre, corroborant ainsi les propos de son nouveau directeur général, Yohann GIROD, intervenu un peu plus tôt en début de séance, que « la récolte de l’année 2024 était catastrophique ». La faute à qui ? A la météo exécrable qui a impacté conséquemment le ramassage des céréales, entre averses et pluies, pour ne pas changer. « Les conditions étaient mauvaises avec une météo on ne peut plus capricieuse, insistera le président le visage fermé.
« J’ai une pensée pour les hommes et le matériel qui ont particulièrement souffert lors de ces moissons, ajoutera-t-il avant de suspendre le temps d’une légère respiration.
Un inventaire à la Prévert de mauvaises nouvelles
Comme si cela ne suffisait pas, la qualité des produits récoltés s’est avérée très éloignée des standards des marchés. Conséquence : les services de la coopérative auront fait preuve d’un grand professionnalisme pour mettre en œuvre une stratégie de réception et de travail du grain pour permettre de préserver les conditions d’accès aux productions en filière, créatrices de valeur ajoutée pour les adhérents.
Un élément qui devait satisfaire Laurent PONCET. « Aucune tonne n’a ainsi été déclassée ! Toutefois, cette récolte s’est déroulée dans un contexte géopolitique exceptionnellement instable avec les conflits entre les Russes et les Ukrainiens, et ceux du Moyen-Orient, mais aussi par la baisse de croissance de la Chine qui ne cesse d’avoir des visées sur Taïwan, ou encore le retour de Donald TRUMP au pouvoir aux Etats-Unis avec toutes les conséquences inhérentes au niveau économique… ».
Des faits internationaux pouvant semblés très loin de la terre céréalière de l’Yonne, certes. Mais, le président de la coopérative, en fin pédagogue, prévient : « cela nous concerne tous de par l’influence de ces évènements sur les marchés et sur notre production ! ».
Poursuivant son inventaire à la Prévert propre à engendrer du pessimisme, Laurent PONCET rajouta le délitement de l’économie allemande – on parle désormais de récession de l’autre côté du Rhin -, de l’ingérence russe en Occident ayant comme objectif de déstabiliser bon nombre de démocraties, avant de constater avec amertume que l’Union européenne peine à s’imposer à l’échelle internationale.
« Ne parlons pas des difficultés de la Commission européenne pour résoudre les problèmes de distorsion entre les états membres, s’inquiéta l’orateur micro à la main en rappelant pour mémoire la signature du très décrié traité du Mercosur que les Français ne voulaient pas… ».
Les astres brillent encore plus malgré les heures sombres
Naturellement, dans ce tableau loin d’être idyllique pour le monde agricole à l’instar de l’économie générale, le président d’YNOVAE ne manqua pas de parler de la « fameuse » dissolution. « Elle est synonyme avec la chute du gouvernement BARNIER d’un retour à la case départ au plus mauvais moment. Nous avons en fait échangé un chef borgne pour un aveugle ! ».
Critique envers les milieux politiques, Laurent PONCET se questionne quant à l’image et à la représentativité de la France à l’échelle planétaire après de tels épisodes discordants, démontrant bon nombre de fractures. « Tout cela est consternant ! », lâche-t-il dans un silence de plomb.
Alors, faut-il baisser les bras devant un tel spectacle ? « Cela serait oublié que durant les heures les plus sombres les astres brillent encore plus ! Ainsi, l’agriculture française a tout su faire preuve de résilience, au travers de nos « Atouts Jeunes », la jeune génération pleine de projets, d’espoirs et d’ambitions. Elle saura maintenir cette agriculture d’excellence à condition qu’elle puisse travailler… ».
La conclusion sera-t-elle entendue par la classe politique ? Laurent PONCET la souhaite enfin à la hauteur des enjeux pour libérer les énergies des professionnels afin de reconstruire l’agriculture hexagonale.
« Qu’on libère les énergies de nos adhérents et YNOVAE sera toujours à leurs côtés pour apporter sa pierre à l’édifice… ».
Un message reçu cinq sur cinq par les deux cents invités de cette assemblée générale qui aura démontré toute la détermination d’une filière économique en quête de durabilité et de prospérité, très éprouvée par les aléas climatiques et le contexte géopolitique.
Thierry BRET
Décidément, le président du Rassemblement National semble avoir un sérieux penchant affectif pour l’ancienne capitale des Sénons ! Une nouvelle visite à Sens après celle du mois de mai lors de la Foire exposition, qu’il effectuera ce vendredi 20 décembre non pas pour y faire éloge de son idéologie souverainiste dans le cadre d’une réunion publique mais pour y assurer tout bonnement la promotion de son premier opus, publié aux éditions Fayard, « Ce que je cherche »…
SENS : Jordan BARDELLA est en tournée…promotionnelle ! Cela le change, effectivement, des tournées imputables aux campagnes électorales, celles notamment qui ont ponctué le calendrier de l’année en cours, avec les européennes dont il est l’un des parlementaires à Strasbourg, et surtout les législatives qui, elles, ne figuraient pas au planning des réjouissances politiques en début d’année !
Ce vendredi en début de soirée, à partir de 18h30, c’est dans la vêture d’un écrivain que le président du RN rendra une visite de courtoisie à ses fervents lecteurs du nord de l’Yonne ; celles et ceux qui ont acheté la récente publication « Ce que je cherche », avec l’objectif de repartir de cette séquence publique avec une dédicace de l’auteur. Sans doute, le député de la troisième circonscription, Julien ODOUL, qui devrait l’accompagner lors de ce déplacement, recevra-t-il son exemplaire à déposer sous le sapin ?! Un rendez-vous qui s’effectuera à l’EPONA, au 97 Rue de la République.
Thierry BRET
Naturellement, il s’est plié au jeu de la signature, au bas de l’écran tactile prévu à cet effet. D’un geste un peu timide car il aime rester dans la discrétion. En apposant sa griffe à l’endroit prévu, le président de la FFB de l’Yonne et responsable de l’entreprise, Groupe Icaunaise, spécialiste en terrassement, Cyril CHARETIE a rejoint sous les encouragements du préfet de l’Yonne, Pascal JAN, le club d’entrepreneurs piloté par la CCI de l’Yonne, « Les Entreprises S’engagent » qui faisait étape dans le Sénonais, mardi soir…
SENS : Treize nouvelles structures professionnelles – le chiffre n’est pas aussi porte-malheur que l’on veut bien nous faire croire ! – viennent de grossir les rangs du club des « Entreprises s’engagent » porté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et sa jeune égérie, en la personne de la maîtresse de cérémonie attitrée, Sandra VERBRUGGEN, ce mardi en début de soirée, lors de retrouvailles riches en informations, accueillies à Sens. Si l’on retrouvait un certain nombre de visages connus et reconnus de la sphère entrepreneuriale de l’Yonne – Didier BARJOT, Gaëtan QUILLIN, Erik POLROT ou encore Pascal CHAROT -, l’un des nouveaux impétrants attirait davantage les regards, non pas à cause de sa « grande taille » comme il aime en plaisanter, mais plutôt par l’aura qu’il exerce dans sa filière corporatiste, à savoir le bâtiment.
Un projet novateur dans le cadre du Pacte des solidarités
Cyril CHARETIE eut droit à tous les égards ou presque de la part de l’animatrice préférée de la soirée (Sandra) qui a pris le relais au début de l’été en succédant à l’incontournable Jean-Pierre LANTERNIER, ayant fait valoir depuis ses droits mérités à la retraite, mais bel et bien présent à la manifestation aux côtés d’autres cadres et dirigeants de la chambre consulaire départementale, à savoir Thierry CADEVILLE, son président ou Jérôme MAYEL, son directeur.
L’intronisation du président de la FFB de l’Yonne, la Fédération Française du Bâtiment dans sa version territoriale, aura été l’aboutissement de la soirée visant à faire rayonner vers le plus grand nombre cette représentation de chefs d’entreprises « engagés » qui devait le prouver une fois encore en lançant un projet novateur dans le cadre du Pacte local des solidarités de l’Yonne, soutenu par l’Etat et son représentant, le préfet Pascal JAN, toujours aux anges dès que l’on parle d’attractivité territoriale sous le prisme de l’économie.
Un club qui accueille plus de 140 entrepreneurs engagés !
Aux côtés du haut-fonctionnaire lors de la signature officielle sur écran tactile, Cyril CHARETIE se dit honoré de rejoindre ce club qui comprend désormais plus de 140 adhérents.
Puis se tournant vers Salia RABHI, directrice départementale de la DDETSPP (Direction départementale de l’Emploi, du Travail, des Solidarités et de la Protection des Populations), le signataire avoua humblement ignorer il y a de cela quelques mois en arrière l’existence de ce réseau qui agit dorénavant en faveur de l’inclusion financière.
« On m’a proposé de rejoindre cette communauté alors que je ne savais pas ce que c’était ! ».
Bon, alors déçu d’en faire partie intégrante désormais ? Que nenni !
« J’y ai retrouvé des valeurs que je partage et je suis en parfaite adéquation avec ce qui m’était proposé, poursuivit le dirigeant de Groupe Icaunaise, dont le siège social n’est pas loin de Sens, à Malay-le-Grand. C’est grâce à Sandra VERBRUGGEN (décidément !) et Hervé AUBERGER, responsable du Pôle formation au sein de la CCI, que j’ai décidé de répondre favorablement aux demandes de Mmes RABHI et TURPIN, de la préfecture de l’Yonne… ».
Une intronisation qui n’avait donc plus de secrets pour l’auditoire de chefs d’entreprises devant assister à cette cérémonie de signature.
Pur sénonais, Cyril CHARETIE a exercé durant seize ans dans une PME locale où il officia en qualité de directeur. En 2011, repartant d’une feuille blanche et la fleur au fusil, il a su rebondir en créant la société Groupe Icaunaise – l’entité regroupe ses filières idTP, idRD et idMC – dans le domaine du BTP où il emploie environ 90 collaborateurs pour un équivalent de 12 millions d’euros de chiffre d’affaires. Un joli parcours de vie pour ce dirigeant d’entreprise, forcément « engagé » !
Thierry BRET
A la moindre sortie de route, et ce sera la sanction ! La réaction de l’un des porte-paroles du Rassemblement National, le député de l’Yonne Julien ODOUL, est-on ne peut plus claire sur les réelles intentions de la formation bleu marine qui impose ses exigences dans le jeu politique actuel, en ce qui concerne la nomination au forceps du maire de Pau, vendredi aux alentours de 13 heures, à l’hôtel de Matignon !
PARIS : Qu’on se le dise et même si l’idée de la censure ne s’inscrit pas parmi les priorités immédiates de la formation souverainiste – a contrario de l’une des composantes du Nouveau Front Populaire, La France Insoumise qui par la voix de Mathilde PANO s’est déjà prononcée sur le sujet -, le Rassemblement National observera avec beaucoup d’attention et de vigilance les premiers pas du nouvel hôte de Matignon, François BAYROU, désigné hier en milieu de matinée après avoir créé quelques atermoiements médiatiques, très circonspects devant autant d’incertitudes élyséennes quant au choix du Premier Ministre.
De la vigilance, certes, mais surtout des exigences immédiates, selon Julien ODOUL, le député de la troisième circonscription de l’Yonne et porte-étendard hexagonal du parti mariniste.
C’est clair comme de l’eau de roche : François BAYROU, chef de file du MoDem, la formation centriste inféodée à la politique du Président de la République depuis le début, n’aura pas le droit à l’erreur aux yeux du responsable RN. C’est dire si la marge de manœuvre est aussi fine qu’un papier de cigarette !
Juger sur les actes avant de sanctionner ?
« À lui de ne pas renouveler les erreurs de Michel BARNIER et ses 40 milliards d’impôts, son report de la revalorisation des retraites et de proposer un budget qui rende aux Français leur argent, lève les freins à la compétitivité et s’attaque au coût de l’immigration, aux gaspillages dans l’administration et de l’Union européenne… », dixit Julien ODOUL.
Dans un proche immédiat, et fidèle à sa ligne politique, le Rassemblement National ne déposera pas de motion de censure dès les balbutiements du gouvernement BAYROU. Une équipe ministérielle inconnue, où les portefeuilles ne sont pas encore administrés. Même si l’actuel ministre de l’Intérieur, Bruno RETAILLEAU, serait susceptible de conserver son maroquin…
« Nous jugerons sur les actes, prévient Julien ODOUL, Marine LE PEN et Jordan BARDELLA ont fixé des lignes rouge clair sur la protection des Français, la défense du pouvoir d’achat, la lutte contre l’immigration et les gaspillages. Il est d’ailleurs essentiel de revenir au plus tôt à la table des discussions pour donner à nos concitoyens un budget juste et responsable… ».
Un niveau d’exigence envers François BAYROU similaire à Michel BARNIER
Un budget à revoir de manière impérieuse pour le RN, car celui présenté initialement par le démissionnaire Michel BARNIER était considéré comme « socialiste » par les partisans de la droite dure !
On se souvient que François BAYROU n’avait pas hésité à donner son parrainage pour que la candidate Marine LE PEN puisse obtenir suffisamment de voix afin de postuler à la dernière présidentielle. Un geste qui lui permettrait d’avoir davantage de mansuétude de la part des dirigeants du RN ?
Réponse de Julien ODOUL : « Nous conservons vis-à-vis de François BAYROU le même niveau d’exigence que celui que nous avions à l’égard de Michel BARNIER. S’il respecte les 11 millions d’électeurs du Rassemblement National et les lignes rouges que nous fixons, nous pourrons travailler à trouver des compromis sans compromissions. François BAYROU est une personnalité respectable qui nous rejoint sur certaines réformes essentielles comme l’instauration de la proportionnelle aux élections, soutenue par 61 % des Français… ».
Un terrain d’entente en perspective, qui pourrait débloquer la situation politique de l’Hexagone ?! Il est naturellement trop tôt pour le dire. Toutefois, le nouveau Premier Ministre est prévenu : s’il ne veut pas battre le record de longévité de Michel BARNIER – 90 jours seulement à Matignon ! -, il devra sans doute lui aussi à jouer des compromis et à serrer des coudes pour faire avancer les choses…
Thierry BRET
Ah ! Pour sûr, il a dû en voir arpenter du beau monde, sur son impeccable sol en tomettes de ciment peintes dont l'origine remonterait à la fin du XIXe siècle, dixit Serge SONNET, expert émérite en sol ancien. Le café-restaurant du « Cheval Blanc » à Cerisiers, antan, faisait même hôtel. Cette dénomination, à l'instar du « Lion d'Or », est fréquente dans les établissements de notre pays, d'ailleurs…
CERISIERS: Quelques décennies plus tard, sa réouverture heureuse et récente est liée à l'action volontariste de la municipalité et de son dynamique maire, Patrick HARPER. Ici comme ailleurs (Dixmont, Etigny, Savigny-en-Terre-Plaine, Gron...), les communes se battent pour faire revivre leurs commerces de proximité. Désormais, seuls 25 % de villages comptent encore des boutiques : ce chiffre était d'environ 75 % en 1980.
Au comptoir boisé, ça discute chasse, nom du futur Premier ministre, mets de Noël....Le mâcon dans de jolis verres n'y est pas inoubliable mais il est servi avec le sourire ! La salle du restaurant est un peu à l'écart, et pour y accéder l'on passe devant des cuisines fort propres. La formule-déjeuner se compose d’une entrée, d’un plat et d’un dessert, le tout à 23,90 euros. Il ne faudrait pas plus...
Un vin rouge des plus acidulés en bouche !
Ce midi, à l'ardoise, il y a une assiette de charcuterie ou une salade de chèvre chaud. Cette salade est basique, mais elle est bonne et correctement assaisonnée. Le pain est bon, lui aussi. Question boisson, le seul vin rouge disponible est un « coulanges-la-vineuse ». Il est légèrement acide. Force est de reconnaître qu'il n'est pas des plus augustes !
Formons le vœu que les sympathiques vigneronnes et vignerons de cette jolie commune n'aient pas présenté pareil échantillon pour tenter de décrocher la convoitée appellation communale qui signifierait sur l'étiquette la seule mention de Coulanges-la-Vineuse !
Le dos de merlu beurre blanc est servi avec d'impeccables pommes à l’anglaise, un brin persillé. Cet accompagnement, simple au demeurant, est délicieux lorsqu'il est bien exécuté, ce qui est le cas ici. Cette assiette est plaisante, là aussi dressée avec de la bonne salade ! La hampe, morceau tripier de choix, est cuite comme demandé.
Un vecteur sympathique de l’animation gourmande du village
Pour terminer, l’assiette de fromages est copieuse avec des produits affinés. Mention spéciale pour le crumble aux pommes, servi tiède. Il est vraiment fort bon, la pâte sucrée contrebalançant l'acidité des pommes ! Cerisiers au cœur du pays d'Othe est aussi le pays idoine de ce délicieux fruit à l'histoire aussi riche que variée ! La D 905, dite ancienne route de Dijon, traverse plaisamment la commune. De mémoire, elle fut jadis R N5 ou 5 bis, continuant après la cité des ducs, vers les monts jurassiens, puis la Suisse.
C'est un plaisir de pousser à nouveau la porte de cette petite auberge de bord de route, vecteur d'animation gourmande pour le village : une chance pour les habitants...et les autres, aussi.
De retour, brève halte caféinée au comptoir d'une reprise récente : le café de Malay-le-Grand. Puisque l'on peut y déjeuner (la côte de canard semblait tentante ce midi-là !). Nous vous y emmènerons en 2025.
Au plaisir de vous retrouver en 2025 !
En conclusion, « L'Aile ou la Cuisse » vous souhaite un joyeux Noël ! Il paraît que pareille formulation n'est plus politiquement correcte en 2024 ! Ainsi qu'une bonne et heureuse année nouvelle. Nous serons heureux de vous retrouver l'an prochain. Et souvenons-nous qu'un bon repas cuisiné, partagé en famille ou entre amis apporte beaucoup de ce bonheur simple, que l'on oublie parfois...D'après une information de toute dernière minute, poule au pot ou garbure seraient les plats du moment !
En savoir plus :
Les - : le vin proposé n’est pas terrible. Quant au tarif, prière de ne pas les augmenter, svp !
Les + : le service est aimable et souriant.
Contact :
Le Cheval Blanc
38 rue du Général de Gaulle
89320 CERISIERS
Tel : 03.86.96.21.99.
Gauthier PAJONA