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Trois boucles, quarante kilomètres de spéciales, de l’adrénaline à revendre et du suspense à gogo : le scénario de la seconde édition de cette multi-course automobile, concoctée par l’ASA Yonne, est loin d’être écrit tant les prétendants à la lutte suprême essaieront vaille que vaille de détrôner de leur piédestal les lauréats de la première épreuve…

 

SENS : Des catégories de courses différentes, des pilotes chevronnés, certains un peu plus néophyte que les autres, six spéciales de très belle facture, un parcours qui emprunte les chemins et routes de la première édition – on ne change pas une formule qui gagne, précise l’adage ! -, tous les ingrédients sont donc réunis ce week-end pour que la seconde édition du Rallye automobile du Grand Sénonais rencontre le succès. Avec peut-être, à la clé, des conditions météorologiques incertaines – les prévisionnistes annoncent de la pluie parfois soutenue les après-midi de samedi et de dimanche - qui pourraient brouiller les pistes !

Côté organisation, tout semble être en revanche orienté au beau fixe avec près de 110 véhicules engagés et sa noria de pilotes dans une épreuve encore jeune sur le papier mais qui prend ses marques progressivement dans le paysage de la compétition automobile régionale.

Un dispositif exceptionnel sera mis en place pour assurer le bon déroulement de ce rendez-vous qui n’est pas seulement destiné aux férus de la discipline. Tous les services institutionnels du territoire (SDIS, gendarmerie, police, préfecture…), sont ainsi mobilisés pour faire de cet évènement très attractif auprès du public une totale réussite.

 

 

 

Des animations au village dont celles du KIWANIS de Sens…

 

Rappelons que plusieurs collectivités se sont impliquées à la réalisation et à l’accueil de ce projet abouti dont Sens, Cornant, Egriselles-le-Bocage, Chaumot et Piffonds.

Le public disposera de quatre zones spéciales bien identifiées, garantissant sécurité et confort, pour suivre en toute tranquillité les exploits des sportifs.

Les moins aventureux auront toujours la faculté de suivre l’épreuve en direct depuis leur portable en téléchargeant une application ou sur l’écran géant placé au cœur de Sens, Place Jean-Jaurès.

Signalons que sur cette même place, et parmi les diverses animations proposées au village, celles du club service, le KIWANIS de Sens qui profitera de cette opportunité évènementielle afin de réaliser l’une de ses œuvres sociales à mettre en exergue, en présence du lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, Gérard BOLLE, régional de l’étape puisque membre du club sénonais. Quand l’utile rejoint l’agréable, en somme…

 

Thierry BRET

 

 

On a beau en parler du soir au matin et du matin au soir, voire de la pratiquer dans son quotidien : la vulgarisation aux outils numériques et à leurs modes de communication d’une rapidité affolante échappe encore à 43 % de la population hexagonale. Et en particulier, les habitants des zones rurales et les personnes âgées qui n’en maîtrisent pas les principes de base. Dans un souci de pédagogie citoyenne, ORANGE vient de parapher une convention avec l’AMR 89 pour que la tendance s’inverse…

 

AUXERRE : C’est sous le regard bienveillant (et appréciateur) de la Secrétaire d’Etat en charge de la Ruralité, Dominique FAURE, qu’aura donc été signée cette convention de partenariat, établie entre l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne et la société française de télécommunications.

Un accord qui relève de la plus haute importance pour ORANGE en matière de pédagogie et de circulation des informations, à distiller largement auprès des élus des territoires ruraux.

En effet, 43 % de la population hexagonale vivant dans les campagnes demeurent encore mal à l’aise avec l’usage du numérique et ses innombrables potentialités usuelles. Une situation qui ne peut plus durer pour l’opérateur qui en a bien conscience et souhaite accélérer un processus pédagogique pour éradiquer ces carences. Dans l’objectif de maximiser le confort pratique à tous les utilisateurs de la technologie.

C’est donc en concertation avec les collectivités rurales que l’entreprise va intervenir en direct, via des salariés issus du volontariat, pour accompagner de façon optimale ce public en manque de repères avec l’emploi du multimédia.

Tout cela s’exécutera en concertation avec les élus, membres de l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne.

 

 

« Nous serons là pour assurer ce besoin de pédagogie envers nos concitoyens, a ainsi affirmé Véronique MORLIGHEM à l’issue de la séance de signature de ce fameux document sur lequel la présidente de l’AMR 89, Dominique CHAPPUIT, aura aussi apposé sa griffe, la mise en place d’ateliers numériques avec les collectivités locales et les milieux associatifs devraient nous permettre d’atteindre cet objectif… ».

Seconde raison de ce partenariat : le besoin d’informations que souhaite véhiculer ORANGE auprès des élus territoriaux.

« Nous allons organiser des rendez-vous de proximité avec les maires et leurs adjoints, ajoute la déléguée régionale d’ORANGE en Bourgogne, leur fournir le maximum d’informations sur l’actualité de l’entreprise, sur l’entretien des réseaux qu’ils soient mobiles ou fixes… ».

Louables attentions qui reposent sur cette envie d’aider le plus possible celles et ceux des néophytes à l’utilisation de l’ordinateur qui en viendraient à y perdre leur latin !

 

Thierry BRET

 

Comme  de coutume, à chaque déplacement d’une personnalité ministérielle prévu dans l’Yonne, le programme de la journée s’avère plutôt serré côté timing pour le représentant du gouvernement. Elle n’aura donc pas une minute à perdre, la Secrétaire d’Etat en charge de la Ruralité, Dominique FAURE. Une plongée lors de l’assemblée générale des Maires Ruraux, le matin à Auxerre, avant de poursuivre le tantôt par une exposition culturelle, suivie d’une rencontre concoctée autour de l’économie sociale et solidaire…

 

AUXERRE: Elle ne possèdera guère de temps pour s’entretenir sur l’objet de sa visite avec les représentants de la presse, la Secrétaire d’Etat en charge de la Ruralité !

Il suffit de parcourir dans le détail le programme de sa visite officielle qu’elle accorde ce lundi 14 novembre en journée à notre territoire pour bien comprendre que « la montre » sera une alliée de circonstance lui permettant de bien respecter le déroulé de cette immersion en terre icaunaise avant de regagner la capitale.   

Poursuivant son tour de l’Hexagone, plutôt côté ruralité, qu’elle a entrepris depuis sa prise de fonction à ce poste, Dominique FAURE se posera donc quelques heures dans le département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté – et d’évidence le plus proche de Paris – afin d’y approfondir son évaluation de l’agenda rural.

Une visite qui débutera en fin de matinée par les travaux de l’assemblée générale de l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne – cela se déroulera dans l’amphithéâtre du « 89 » à Auxerre - une structure présidée par le maire de Rosoy Dominique CHAPPUIT. L’idéal en somme pour prêcher la bonne parole de la ruralité et de son évolution auprès des élus du terroir !

 

 

Deux temps forts à Gurgy et à Rosoy pour la Secrétaire d’Etat…

 

L’après-midi se décomposera en deux temps. Primo, la ministre se rendra dans le fief de Jean-Luc LIVERNEAUX, dans la commune où il exerce la fonction d’édile depuis les dernières municipales : c’est-à-dire Gurgy. Une localité connue et reconnue pour sa dimension culturelle et l’attractivité touristique qui y en découle. C’est précisément dans l’espace dédié qui accueille les manifestations artistiques que Dominique FAURE découvrira la nouvelle exposition « Paysage ». Elle n’aura malheureusement pas le temps de flâner un peu sur les bords de l’Yonne si bucoliques…

Aux alentours de 15h30, le cortège ministériel devra être arrivé un peu plus haut dans le département, à Rosoy, où Dominique CHAPPUIT l’accueillera afin de lui faire découvrir le site de l’école primaire qui dispose d’une classe d’élèves en situation de handicap. Un établissement qui s’est également ouvert à la pratique du « coworking » et au garage solidaire.

Le tout se terminera par un échange nourri autour de l’ESS, l’économie sociale et solidaire, avec les acteurs d’une structure associative locale qui en appliquent les préceptes dans leur quotidien.

 Au passage, Dominique FAURE recevra de précieuses informations sur l’histoire de la commune. Une manière de parfaire ses connaissances de cette ruralité dont elle défend les intérêts via ce maroquin ministériel…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

Villevallier est l'une des « capitales » icaunaises du ski nautique, à la belle saison. Mais pas que. S'y dresse depuis de longues années, « Le Pavillon Bleu », un hôtel-restaurant désormais sans hôtel ! Dans les années 50, l'établissement fut même étoilé au Michelin. Le chef PRIAD et sa brigade y proposaient des escargots de Bourgogne, des andouillettes grillées et le poulet au chablis. Pour réserver : il fallait demander le « 72 » par Saint-Julien-du-Sault. En 1993, l'établissement ne possède plus d’étoile mais il y est toujours référencé avec sa vingtaine de chambres...


VILLEVALLIER : Oui, mais ça, c'était avant pour cet établissement connu et reconnu par la clientèle locale. Las. Bien décrépi, il ferma ses portes voici environ trois ans. Il ne doit sa réouverture récente qu'à un jeune couple entreprenant.

La façade est toujours un brin défraichie. Mais le panneau ouvert encourage à en pousser la porte ! La salle aux tons blancs et bleus - forcément ! - a retrouvé quelques salutaires couleurs.

 

 

D’impeccables œufs en meurette comme il se doit !

 

Au déjeuner, il existe une formule à 14,90 euros (plat et dessert) et ce midi-là, le bœuf bourguignon de la table voisine dégageait un joli fumet.

Je choisis alors la courte carte, désireux de commencer par les œufs en meurette. La sauce est « nappante », un rien acide comme il se doit, mais il manque quelques croûtons aillés, en lieu et place de simples rondelles de pain. Les œufs sont bons et impeccablement cuits.

 

 

Ah, ces frites croustillantes et moelleuses d’anthologie !

 

Le chef étant un ancien boucher local - du magasin « Intermarché » voisin je crois -, je choisis ensuite un plat classique de la cuisine française, désormais un rien has-been, le steak-frites !

Hélas ce jour-là, point d'estragon et pas de sauce béarnaise pourtant annoncée sur le  menu. La bavette arrive impeccablement saignante, avec une salade verte bien assaisonnée et des frites maison d'anthologie, taillées façon pommes pont-neuf. Elles sont croustillantes et moelleuses à souhait ; elles sont délicieuses et appréciées aussi, comme elles le méritent, par la table voisine.

« Associé communément aux frites, le bifteck leur transmet son lustre national. La frite est nostalgique et patriote comme le bifteck. La frite est le signe alimentaire de la francité (Roland BARTHES, « Mythologies », publié en 1957).

 

 

 

Nul besoin de crème chantilly sur une excellente mousse au chocolat faite maison !

 

En dessert, la mousse au chocolat – elle est faite maison – possède une belle texture, ne nécessitant pas de la surmonter d'un brin de crème chantilly industrielle, car elle se suffit largement à elle-même, étant très bonne.

« Le Pavillon Bleu » est l'unique commerce du village. Autour, pour se restaurer, il y a encore le « Four à Chaux » à Armeau mais qui va fermer bientôt cause de la retraite de son propriétaire. A Villecien, le dernier service de l'auberge villageoise remonte à .... ?

 

 

En 2023, la terrasse accueillera les convives…

 

Aussi, l'on ne peut qu'encourager nos néo-restaurateurs à perdurer à Villevallier. Quelques petits réglages sont inhérents à tout début dans la vie professionnelle, quoi de plus normal !

Vous qui passez par-là, via la D 606, sachez-la quitter avant l'impitoyable radar pour venir vous y attabler !

Pour la terrasse, il va cependant falloir attendre 2023 ! Alors, à bientôt au « Pavillon Bleu », le bien-nommé.

 

 


En savoir plus :

 

Les - : le menu/carte à 31,50 euros semblerait plus approprié à 28 euros.

Les + : le service est aimable et souriant. Bravo pour ces superbes frites, vraiment ! Elles font honneur à la jeune maison…

 

 

Contact :

 

Le Pavillon Bleu

31 Rue de la République

89330 VILLEVALLIER

Tel : 03.86.80.00.80.

Ouvert du mardi au dimanche midi ainsi que les vendredis et samedis en soirée.

 

Gauthier PAJONA


 

 

 

 

 

 

 

 

Président et grand maître de la Confrérie des Trois Ceps, Elie PARATRE est, avec cette autre figure emblématique de Saint-Bris-le-Vineux qu’était Michel ESCLAVY (vigneron et membre fondateur des Caves Bailly-Lapierre, aujourd’hui décédé), à l’origine de ce fameux concours dont la première édition s’est déroulée le 06 novembre 1990. Souvenirs…

 

COULANGES-LA-VINEUSE : L’audience en était alors confidentielle : « c’était l’époque où les vins ne se vendaient pas faute de clientèle comme à Chablis et l’idée a germé de faire un concours entre nous. S’est créée une petite commission de vignerons, où lors de fêtes de villages, de banquets, ils ont commencé à apporter leurs vins pour les déguster, les commenter et les noter de manière informelle… » .

Il fallut attendre 1996 pour obtenir du ministère de l’Economie, des Finances et de la Répression des Fraudes, la reconnaissance officielle du concours. Une homologation se traduisant par l’apposition sur les bouteilles médaillées, d’un macaron distinctif, directement inspiré de la représentation du vigneron en vendanges sculpté dans la pierre, découvert sur le site gallo-romain d’Escolives.

Cette année-là, lors de la trente-troisième fête des Vins, quarante-et-une caves étaient en compétition, pour 126 échantillons présentés, vingt-deux dégustateurs et trente médailles collectées.

 

 

Des jalousies et des polémiques du fait de certains beaux parleurs…

 

La vigne n’est pas un « long fleuve tranquille » et à l’époque, le concours faisait aussi des mécontents : « beaucoup de jalousies sont nées, car tout le monde ne recevait pas un prix ! ».

Autre sujet portant à polémique lorsque les organisateurs décidèrent d’en modifier les règles en instaurant le principe que sur une même table, aucun juré ne déguste le même échantillon : « avec Michel, on ne s’est pas fait que des amis ! A l’époque, certains beaux parleurs, loin d’être de bons dégustateurs, imposaient leur loi à d’autres, avec le risque de fausser les résultats… ».

Plume « officielle » de la tribune éditée par la Confrérie, Elie PARATRE y relate notamment chaque année les résultats du concours des Vins du Grand Auxerrois, usant d’un style mêlant sérieux et bonhomie, à l’image de la belle personne qu’il est depuis toujours.

 

Dominique BERNERD

 

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