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Allez, il y a longtemps que notre département ne s’est pas distingué dans les médias nationaux ! Qui ne parlent d’ailleurs de notre territoire que lors de faits divers sordides ou exceptionnels par leur catastrophisme ! Voilà un sujet qui pourrait faire les gros titres des quotidiens de nos voisins franciliens : et si ce n’était pas la Seine qui coule à Paris mais bel et bien l’Yonne comme se plaisent à le dire des élus notoires de notre département dès qu’ils en ont l’opportunité ! Confrères des rédactions parisiennes, penchez-vous enfin sur la question ! Cela vous changera des faits divers !

Lundi

Qu’il est loin le temps où de concert avec le calendrier, la presse s’autorisait de fausses informations humoristiques en se prêtant au jeu du poisson d’avril. Même la télévision s’y risquait, à l’image de la BBC, qui une année, dans le cadre de son magazine d’actualité d’alors, diffusa un reportage sur la récolte à la main des « arbres à spaghetti » dans un canton suisse ! Au fil des années, le goût du canular s’amenuise… Il est vrai qu’à l’ère des fake news et des affirmations complotistes envahissant les réseaux sociaux, les plus gros « poissons » risquent de passer inaperçus, voire d’être pris pour argent comptant !     

 

 

Mardi    

C’était il y a cinquante ans, tout juste. En ce 02 avril 1974, les trois chaînes de télévision d’alors, interrompaient leurs programmes pour un flash info. Il était 21h58, Georges POMPIDOU venait de mourir, victime d’une maladie incurable, camouflée pendant plus d’un an sous le nom de « mauvaise grippe »…Un président au visage bouffi et à la démarche chancelante, dont le crépuscule sonnât la fin des « Trente glorieuses ». Un chef de l’Etat aux multiples facettes : chantre de la DS Citroën officielle, mais roulant en Porsche le week-end, amoureux du Cantal mais passant ses vacances à Saint-Tropez, humaniste lettré fou de poésie, mais laissant partir à la guillotine un homme qui n’avait pas tué ! Formant avec celle qu’il surnommait « Bibiche », un couple moderne et amoureux de l’art contemporain, les murs de l’Elysée s’en souviennent encore. C’était l’ère de la « bagnole », des premières autoroutes, du périphérique parisien, du Concorde… L’époque aussi d’un chômage à 5 %, d’une dette négligeable et d’un budget excédentaire ! De quoi donner un brin de nostalgie aux politiques d’aujourd’hui, qui peuvent toujours pour l’occasion, revisiter ces quelques notes susurrées par la sublime Marilyn : « pon, pon bee doo » !  

 

 

Mercredi   

Le département aura une fois encore payé un lourd tribut aux inondations, s’offrant une publicité dont il se serait bien passé, à l’image de la rivière Armançon, invitée des chaînes d’info en continu depuis plusieurs jours… Certains « envoyés spéciaux » sur le front des intempéries auraient pu pour l’occasion, réviser leur « petit icaunais illustré », en reprenant une bonne fois pour toutes une information connue de beaucoup mais hélas pas encore, semble-t-il des rédactions parisiennes : c’est la Seine, dont le débit est inférieur, qui se jette dans l’Yonne à Montereau et non l’inverse, même si l’histoire et la toponymie en ont décidé autrement… Et n’en déplaise à Guillaume APOLLINAIRE, c’est bien l’Yonne « qui coule sous le pont Mirabeau » à Paris !

 

Jeudi

L’année 2024 n’est décidément pas avare de dates mémorielles… Le 07 avril,  on a commémoré les trente ans d’une guerre civile au Rwanda, qui devait durer trois mois et faire plus de 800 000 victimes. Une guerre aujourd’hui encore considérée comme « tribale », là où c’est la main du colonisateur, en l’occurrence l’administration belge, qui en 1931, introduisit la notion ethnique sur les cartes d’identité du peuple rwandais, définissant une prétendue « origine extérieure » pour les Tutsis, qui allait être le foyer de toutes les haines pendant les massacres de 1994. Des massacres qui laissent encore trois décennies plus tard, la France face à ses responsabilités, compte tenu du silence coupable du président d’alors, François MITTERRAND.    

 

 

Vendredi  

 

Est-ce la « bavure » de trop pour l’armée israélienne ? Et d’ailleurs, comment qualifier la mort de sept employés de l’ONG américaine « World Central Kitchen » à Gaza, alors qu’ils distribuaient de l’aide alimentaire aux populations affamées ? La bavure de Tsahal est-elle un crime ou un meurtre ? Ou simplement la conséquence d’une obéissance aveugle à des ordres « venus d’en haut », pour maintenir au pouvoir un homme, Benyamin NETANYAHOU, depuis longtemps honni d’une partie du peuple israélien, accusé depuis plusieurs années de vouloir mettre à mal les institutions démocratiques et faire le jeu des suprémacistes juifs…   

 

Samedi   

C’est bien connu, « God bless America », mais Donald TRUMP s’est dit que si Dieu pouvait dans le même temps, l’aider à financer sa campagne, sa gloire n’en serait que plus grande ! L’ancien président vient de lancer un partenariat pour vendre auprès de ses soutiens évangéliques et autres nationalistes chrétiens conservateurs, constituant le socle de son électorat, ce qu’il présente comme son « livre préféré » : la Bible. Mais attention, pas n’importe laquelle ! Toute de cuir vêtue, avec copie de la Constitution américaine, de la Déclaration d’indépendance et du serment d’allégeance. Ne manque que la Déclaration universelle des droits de l’Homme, mais elle n’est pas au programme du candidat ! Vendue au prix non négligeable de 59,99 dollars avec, « hostie sur le gâteau », pour 25 dollars de plus, une casquette siglée « Make America Pray Again », ou comment  « Rendre sa foi à l’Amérique » pour moins de 80 euros. C’est cadeau !

 

 

Dimanche  

Ils étaient dimanche dernier 55 922 à prendre le départ du Marathon de Paris, pour 54 175 participants à l’arrivée. Pour autant, tout le monde ne joue pas dans la même cour, avec un vainqueur, l’Ethiopien Mulugeta UMA qui a avalé les 42,195 km du parcours en 2 h 5mn 33 sec, là où le dernier à franchir la ligne d’arrivée aura mis 4h 40 mn de plus ! Et pourtant, quoi de plus « fastoche » qu’un marathon : un entraînement forcené, une alimentation équilibrée, un moral d’acier, des jambes d’airain et après, il suffit de suivre les flèches, comme le montre la photo… !

 

Dominique BERNERD

 


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Ma foi, l’idée est plutôt originale. Pas commune, certes, mais après tout quand on veut trouver un boulot lorsque l’on est issu de la jeune génération, on peut tout essayer, selon la formule rendue populaire par Laurent RUQUIER, pour y arriver !

Et si le sport était donc devenu un pourvoyeur de jobs ? Pas dans le fait qu’il puisse aider à devenir un coach mental, un préparateur physique ou un technicien de telle  ou telle discipline, mais plutôt que par son intermédiaire, il devienne un véritable vecteur relationnel et expérimental, facilitant contacts et échanges utiles.

La belle affaire, me direz-vous ? Oui, et c’est ce que vient de tester précisément dans l’Yonne, l’une des antennes locales de France Travail (ex-Pôle Emploi) à Auxerre qui n’est plus à une expérience pratico-pratique près. L’une de ces bizarreries structurelles, loin des académismes ordinaires, proposée par la vénérable institution et qui…marche !

C’est sûr, on pourra toujours se gausser, critiquer et blâmer ouvertement sur ce que représente l’agence de l’emploi dans sa quête à résoudre efficacement les problématiques des délaissés du travail en France sur les réseaux sociaux ; mais il est de bon ton aussi de rétablir les choses vis-à-vis de cet acteur institutionnel, clé de voûte dans la lutte contre le chômage en matière d’initiatives et de nouveautés !

 

Valoriser les deux années du CEJ, le Contrat engagement jeunes

 

Celle-ci en est une en la matière. Elle se déroule sur un cadre très éloigné du milieu professionnel : une pelouse. Celle d’un complexe rugbystique qui accueille habituellement les joueurs du club à XV local, le RCA, soit le Rugby Club Auxerrois !

Pour couronner le tout, on y trouve dès le début de la matinée, le jour de cette immersion spectaculaire dans l’enceinte sportive, en survêtements et en baskets, des demandeurs d’emploi.

Bon, on élimine d’entrée de jeu les quadras et autres seniors qui ne sont pas conviés à pareille fête. Trop âgés ou trop rouillés physiquement, allez savoir !

Car, la subtilité de ce rendez-vous matinal et frisquet – ce jour-là un vent glacial balayait le stade Pierre BOUILLOT en tétanisant de froid les sportifs en herbe et les observateurs qui auraient se munir d’une surveste ! – est de ne concerner que les plus jeunes d’entre nous. Celles et ceux, pas de sectarisme entre les sexes, qui bénéficient d’un CEJ, acronyme bien connu de tous évidemment (!), désignant le « Contrat engagement jeunes ».

Conçu il y a deux années, ce CEJ semble déjà donner de bons résultats d’après les spécialistes de la question.

Rappelons qu’il offre au jeune un parcours entièrement personnalisé et ce sur une durée de douze mois. Grâce à un programme intensif d’au moins vingt heures par semaine, le jeune adulte peut ainsi accéder à différents types d’activités qui le rapprocheront à terme d’un emploi durable en sortie de contrat. Ce sont les Missions Locales, qui en sont les porteurs auprès de jeunes gens âgés de 16 à 25 ans…

 

 

« L’Emploi entre en jeu » : recrutés et recruteurs mouillent le maillot !

 

Jusque-là, c’est bien mais rien de vraiment insolite dans l’opération, me direz-vous. Sauf que dans cette manifestation coordonnée entre les services de France Travail et de la MILO (Mission Locale), les recruteurs potentiels sont de la partie !

Tout cela sous couvert de l’anonymat, en se mêlant aux jeunes gens, celles et ceux qui effectuent des exercices de remise en forme sur le terrain, encadrés par les coaches du club de rugby local.

Et là, ce petit jeu – l’opération a été baptisée d’ailleurs « L’Emploi entre en jeu » - mérite tout notre intérêt à bien des égards. Car combiner une animation assumée par ses organisateurs dans un esprit ludique, convivial, voire bon enfant entre recruteurs et recrutés change de cadre habituel !

On se situe donc à des années lumières du sempiternel entretien d’embauche, en face-à-face sinistre dans un bureau sentant bon l’encaustique et ripoliner de frais pour faire bonne impression et surtout intimider le néophyte ! 

 

 

Et pourquoi ne pas étendre l’initiative à d’autres sports ?

 

Ici, c’est vivant, cela a du punch, c’est incroyablement efficace pour gagner en confiance surtout quand on se sent bourrés de complexes ; le plus souvent d’infériorité.

Que des jeunes demandeurs d’emploi pratiquent le temps d’une matinée quelques exercices rugbystiques face peut-être à leurs futurs patrons, ça ne manque pas de sel. J’en vois certains qui, à la lecture de ce propos, imagine très bien plaquer durement au sol leur responsable de service, tamponner allègrement le directeur des ressources humaines, s’agripper en mêlée (attention, tous les coups ne sont pas permis !) à leur patron, mettre un doigt dans l’œil de son collègue irascible ou terminer joyeusement la troisième mi-temps avec les camarades féminines du service administratif d’à côté !

Plus sérieusement, mêmes des réseaux officiels de l’entrepreneuriat, à l’instar de celui porté par la préfecture et de la CCI (« Les Entreprises s’engagent »),  soutiennent une telle initiative qui ne manque pas de piment, en vérité.

Au-delà de la rencontre, c’est le secteur de l’industrie qui vire en grand gagnant à la fin de la matinée avec quelques recrutements assurés au terme de cette initiative à redéployer très vite. Peut-être à base d’autres catégories sportives ?

Cela prouve en cette année olympique que sport et entreprise font bon ménage à plus d’un titre. Même si le rugby dans sa configuration à quinze ne figure pas dans les épreuves disputées tous les quatre ans sous le prisme des célèbres anneaux…

 

Thierry BRET

 

 


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Déjeuner à la maison Doucet : une table étoilée, c'est toujours un peu la fête, songeai-je, en entrant dans cette salle lumineuse, aux tables nappées (bravo !). L'équipe de salle est prête. Leur tenue est impeccable : nous n'y sommes plus guère habitués. Quant aux chaussures, elles sont cirées, ce qui devient rare, par baskets  interposées ! Cette rigueur dans la tenue fait honneur à cet établissement classifié « Relais & Châteaux ». A découvrir, sans modération du côté de Charolles… 

 

CHAROLLES (Saône-et-Loire) : Un mot avant de consulter les menus, à propos d'Alex, truculent maître d'hôtel, sommelier et conseil, de cette belle table. Il est arrivé ici, sitôt son bac pro en poche, voici une vingtaine d'années. Il n’en est jamais reparti. La classe, souriant, naturellement gentil avec la clientèle,  tout en étant un vrai pro, il contribue largement au plaisir du repas. Sacré Alex !

Les menus, c'est la mission de Mélanie. Elle explique avec sourire et conviction, les formules (premier menu à 75 euros), leur esprit, et toujours, cette sorte de fil rouge Charolais qui unit tables et cuisine. Un déjeuner émaillé de moult attentions gourmandes et donnant au déjeuner, comme une sorte de rythme atypique, l'esprit de la maison. Je choisis donc l'immersion bourguignonne (180 euros).

 

 

Un bout de viande fumé agrémenté de sa glace à la moutarde…

 

Le repas commence avec un mets puissant comme un bouillon des sous-bois charolais. Ce  liquide est d'une grande pureté gustative et laisse à imaginer le meilleur pour la suite. Le pain d'une boulangerie locale et servi tiède est délicieux. Il est accompagné d'un véritable beurre au lait cru, mais aussi d'une huile de noisette de la proche huilerie Leblanc. Le chef DOUCET, tout sourire, passe saluer ses tables et tombe forcément sur un ancien artisan-peintre ayant œuvré dans la maison !

C'est alors qu'arrive une table roulante pilotée par Valentin, stagiaire de l'institut Paul BOCUSE. Il explique clairement qu'il va nous fumer un petit bout de bœuf charolais, accompagné d'une onctueuse glace à la moutarde. C'est aussi sidérant que délicieux et rompt quelque peu avec le sempiternel déroulement du repas, par le biais de cette ponctuelle et plaisante animation.

 

 

Le chemin parcouru depuis 2017 !

 


En salle, le personnel s'active avec sourire et aisance et l'on ne perçoit aucune tension dans le rythme. Sur les recommandations d'Alex, je choisis une véritable pépite vineuse, le « Pouilly-Fuissé Premier cru Les Ménétrières » 2021 du domaine FERRET. Il est juste magnifique. Que la fête commence !

Et c'est véritablement le cas, avec cette sublime truffe noire en tartelette, velours de vin jaune. Souvent évoqué ici, ce cépage savagnin jurassien donne des sauces au caractère exceptionnel ! Ce mets simple en apparence est tout simplement sublime  et digne des plus grandes tables. Je n'avais pas déjeuné ici depuis 2017 et mesure le chemin parcouru ! C’est impressionnant. A la table voisine, un convive découvre  ravi, le champagne Dom Pérignon. C'est aussi cela le plaisir du restaurant avec un grand « R ».

 

 

La truite de Crisenon met l’Yonne à l’honneur !

 

La fête continue avec ce sandre de Loire, miroirs de pistils de crocus, ail sauvage fermenté. L'excellence saucière accompagne ce déjeuner, c’est encore le cas avec cette délicatesse de l'ail sauvage. Le poisson a une belle mâche. C'est délicieux et convient aussi à cet excellent vin. A une table proche, déjeune un client japonais. Il semble ravi de découvrir notre gastronomie. Cela se voit, il se régale véritablement...
Ensuite, et cela fait plaisir, car elle est présente dans nombre de belles tables bourguignonnes, l'Yonne est  à l'honneur grâce à la fameuse et délicate truite de Crisenon. Ici, elle est cuite à la noix avec un sublime beurre noisette aux aromates.  C'est délicieux, avec un rien d'acidité, toujours plaisant lors d'un repas !
Avant le délicat ris de veau, une autre surprise nous attend. L'un des chefs de rang nous emmène en cuisine pour y déguster une onctueuse petite  bouchée de bœuf, préparée devant nous. Les locaux sont impeccables et il y sent bon !

 

 

 

A quand la seconde étoile qui serait méritée


Puis, l'on se rassoit dans de confortables fauteuils, avant que n'arrive un impeccable ris de veau (moelleux à l'intérieur et croustillant sur l'extérieur). Il est délicatement imprégné de Pastis de La Clayette (localité voisine). L'alliance est parfaite avec le fenouil confit fort bien assaisonné. 
Quelques lichettes fromagères se présentent à la dégustation dont le charolais de la fromagerie voisine « La RACOTIERE », toujours au rendez-vous depuis moult années. Puis, on termine avec légèreté par un soufflé à la luzerne, cazette du Morvan, glace au foin.
Le café conclut ce déjeuner d'anthologie. Ici, la deuxième étoile ne serait pas déméritée. Viendra-t-elle ? Difficile de comprendre que dans son pays natal (1900), MICHELIN soit  beaucoup plus économe de ses distinctions que dans les nombreux - trop ? - pays où il œuvre désormais. Un dommage immérité pour nos restauratrices et restaurateurs, bien souvent à leur compte de surcroît. Bravo au chef DOUCET : avec votre brigade, vous pouvez être fier de ce beau parcours qui ne pourra que continuer de bien jolie manière. Et avant de remonter dans le train, nous crions à l'unisson, vive le Charolais !

 

 

Contact

Maison DOUCET, avec chambres et impeccable petit déjeuner

01 Avenue de la Libération-

71120 CHAROLLES

Tel : 03.85.24.11.32.

Fermé dimanche soir, lundi, mardi.

Premier menu : 75 euros.

 

Gauthier PAJONA


 


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Incontestablement, il a le vent en poupe, le club d’affaires sénonais CARBAO ! Pour s’en apercevoir, il aura fallu s’immerger, lors de la dernière rencontre business aux vertus conviviales accueillie dans la concession automobile « Etoile 89 » du groupe CHOPARD, pour mieux en cerner les avantages proposés à ses adhérents. Certes, les cartes de visite circulaient entre les membres et les prospects. Mais, il se dégageait de cette soirée entrepreneuriale un petit quelque chose en plus comme un supplément d’âme…

 

SENS : On se salue, on se tutoie, on se reconnaît, on se découvre, on se parle, on s’écoute ! C’est la base même de toute structure associative qui se respecte, celle-là plus qu’ailleurs, puisque telle est sa vocation première : nouer des liens entre chefs d’entreprise afin d’y développer du réseau, au préalable, et du business, si affinités et convergence d’intérêts !

A l’instar de tous ces clubs d’affaires qui font florès depuis plusieurs années dans le paysage icaunais, CARBAO poursuit son développement sur l’un des territoires de prédilection qui est le sien dans l’Yonne : le Sénonais. Le poumon économique de la Bourgogne septentrionale, diront certains. Gageons qu’ils n’ont pas tout à fait tort, au moins sur la strate industrielle puisque les deux bassins d’emploi que sont le Sénonais et le Jovinien, possèdent le plus gros des troupes des salariés travaillant pour ce secteur d’activité dans notre département.

Représentaient-ils tous une enseigne ou une référence de l’industrie nord-icaunaise les invités de cette Rencontre spéciale business ? Pas nécessairement, loin s’en faut. Qu’importe, cela démontre aussi l’éclectisme absolu qui règne au sein de ce réseau qui compte aujourd’hui 130 clubs similaires à celui de Sens répartis aux quatre coins de l’Hexagone.

 

 

Posons les jalons autour de ce concept qui peut être encore de l’hébreu, voire de l’araméen, pour certains de nos lecteurs aux antipodes des clubs d’affaires ! Celui-ci qui représente environ 1 400 dirigeants d’entreprise se définit comme un club de recommandation par le bouche à oreille avec pour background le business, l’échange et l’éthique. Important, cela l’éthique par les temps qui courent ! C’est avec ces trois critères que la structure associative qui ne cesse de s’étendre à travers la France marque ses différences avec d’autres clubs dont les noms sont plus connus.

Et précisément, dans ce code déontologique de l’éthique, on y retrouve des valeurs fortes telles que la confiance, la solidarité, le partage, la bienveillance, le professionnalisme…

Il revenait au président du club local, David de FREITAS de présenter ces valeurs aux soixante-dix personnes accueillies dans la concession de Paulo PIMENTEL, promoteur des produits automobiles à l’estampille de MERCEDES. Un club dont les membres sont fédérés depuis 2019 (16 adhérents) au détour de plusieurs réunions par mois, le jeudi à partir de 11 heures et d’actions communes. Un tour de table façon job dating permit ensuite à chacun de se découvrir par la parole dans un laps de temps précis. Cette troisième rencontre business a été couronnée de succès selon ses organisateurs qui poursuivirent les échanges le verre à la main en seconde partie de soirée…

 

Thierry BRET

 


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Rien que le nom de la structure associative vaut son pesant de cacahuètes ! « Les Grandes Oreilles » ! Insolite et original pour désigner un ciné-club. Celui de la jolie commune de Saint-Bris-le-Vineux, à la sonorité douce à nos tympans, ne serait-ce que pour les nectars fruités qui y sont élevés et à déguster avec modération ! Ce n’est d’ailleurs pas pour parler de « Cristalline » que s’est déplacé Guy ROUX il y a peu dans la bourgade. Mais, bel et bien de cinéma et de…football, par ricochet, avec la projection de « Coup de Tête », dont le rôle principal était incarné par le trublion hexagonal du septième art, Patrick DEWAERE…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Coup de cœur pour un « Coup de tête », sorti en 1979, le fameux long métrage signé de l’œil avisé et aguerri de Jean-Jacques ANNAUD qui a toujours eu un faible pour réaliser ses tournages en terre de l’Yonne. Qui ne se souvient pas, d’ailleurs, du mémorable film consacré à Notre-Dame, dont certaines scènes furent réalisées dans l’un des plus beaux édifices de l’art gothique flamboyant, à Sens !

En 1978, le créateur de « L’Ours », « Deux Frères «  ou « L’Amant » posa ses caméra à…Auxerre ! Une satire féroce sur l’univers footballistique et la progression à peine croyable d’un lilliputien du ballon rond, le club de « Trincamp » alias l’AJ Auxerre, qui se retrouve propulsé vers les sommets de la Coupe de France grâce à son joueur vedette, caractériel et imprévisible, nommé et cela ne s’invente pas François PERRIN !

Un nom d’emprunt de la culture cinématographique à la française largement usité par un certain Francis WEBER, scénariste du film (« Le Dîner de Con », « La Chèvre », etc.). Le personnage est interprété de main de maître par le très sombre, Patrick DEWAERE, difficile à cerner du fait de ses états d’âme récurrents en dents de scie et de ses problématiques inhérentes aux stupéfiants.

 

 

Les bons mots et les souvenirs de Guy ROUX

 

Pour évoquer ce souvenir filmographique qui fera date dans les annales du cinéma hexagonal, pour le traitement du sujet sportif et l’envers de son décor mais pas vis-à-vis du nombre des entrées (à peine un peu plus de 900 000 spectateurs in fine, sachant que Patrick DEWAERE ne souhaitait pas en assurer la promotion sur les plateaux de télévision), qui d’autre que l’inénarrable Guy ROUX aurait pu assurer la prestation ?

Invité par le ciné-club local, celui qui se fait appeler « Les Grandes Oreilles », le coach éternel de l’AJ Auxerre raconta avec sa verve et ses bons mots habituels les souvenirs liés à ce long métrage où il officiait auprès des équipes de Jean-Jacques ANNAUD en qualité de conseiller technique et sportif. Une soirée que l’on suppose haute en couleurs, que l’on doit aux maillons forts de cette association culturelle, née il y a peu, sous l’impulsion de quelques personnalités locales, éprises des arts et de culture, la journaliste, écrivaine et comédienne Anne-Charlotte LAUGIER ou encore Marie BAHR, professeur de philosophie et conseillère municipale à Saint-Bris-le-Vineux, à l'initiativede la création du ciné-club. Mais aussi, Eve et Cyril SEBILLOTTE et Isabelle KLOUKPO...

 

Thierry BRET

 

 


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