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Ca y est : il est enfin planté ! Ce fameux végétal nous arrivant tout droit du pays des Bataves, et qui défraie la chronique depuis plusieurs jours déjà, tant dans les médias que sur les réseaux sociaux, a donc trouvé sa place, en ce jour de grâce du 13 décembre 2023, au beau milieu de la cour de la mairie auxerroise. Un chêne écarlate aux allures chétives qui a donc perdu de sa superbe durant le transport (de cela rien de très surprenant après tout puisque transitant par camion depuis les Pays-Bas) et qui ne demande qu’à retrouver force et vigueur maintenant qu’il a goûté à la terre de l’Yonne…

 

AUXERRE : Il nous avait caché cela, Nordine BOUCHROU, l’adjoint à l’Urbanisme ! Sa faculté à s’exprimer, face caméra, dans une courte vidéo produite par la Ville d’Auxerre pour les besoins des réseaux sociaux, en évoquant les caractéristiques, certes sommaires, d’un végétal qui est devenu une véritable star, bien avant de prendre racine par chez nous !

Le végétal en question n’est autre qu’un chêne écarlate. Bon, à première vue et en tentant d’y regarder de plus près, au moment fatidique de sa levée matinale vers le ciel avec moult renforts logistiques ce mercredi, les couleurs de ses feuilles ne sont pas si flamboyantes que cela ! D’écarlate, il n’y a pas. Du moins, il faudra s’armer de patience et attendre la période automnale en croisant les doigts pour en apprécier la vivacité.

D’ailleurs, des feuilles, ils n’en restent guère sur les branches maigrelettes et faméliques de ce « géant » de 13 mètres de haut et de 9 mètres de circonférence. Serait-ce imputable à son âge, déjà mature ? Nordine BOUCHROU, casque de chantier vissé sur la tête, fixant la caméra annonce d’autres indicateurs.

« Cet arbre a trente ans. Mais, ajoute-t-il très vite, il peut vivre près de deux cents ans ! ».

 

Dans quatre à cinq jours, l’arbre va retrouver sa forme…

 

Fichtre ! Il nous survivra tous ! Quel que soit le degré d’affection ou de colère que l’on peut avoir en cet instant, selon ses appartenances politiques, ses intérêts divers et variés à entretenir la polémique ou pas, ou que l’on aime les arbres ou qu’on les déteste – certains les coupent même à la tronçonneuse dans une commune des Yvelines !-, il faut avoir un peu de respect envers cette pauvre plante qui a l’air plutôt mal en point, après un si long voyage depuis les Pays-Bas. En outre, il serait mal venu qu’elle ait à subir les effets retors de Dame Météo, toujours capricieuse, ces prochains jours, juste au moment des fêtes de fin d’année, propices à des gelées persistantes. Voire fatales pour les végétaux, venant d’être replantés !

Le « docteur » BOUCHROU se veut même rassurant quelques images plus loin sur l’état physique de ce jeune patient de trois décennies à peine : « c’est vrai, il est un peu rabougri car cela fait deux jours que cet arbre voyage dans une semi-remorque… ».

Mais, le végétal, toujours selon notre spécialiste en chêne écarlate, de préciser : « d’ici quatre à cinq jours, il devrait retrouver sa forme normale dès que l’on aura retiré les ficelles qui maintiennent ses branches… ».  

L’adjoint à l’Urbanisme s’est-il inspiré de ce qu’il a entendu l’avant-veille lors de la cérémonie des « Villes et Villages Fleuris dans l’Yonne », où il représentait la Ville d’Auxerre ?! Espérons donc qu’il ait la main verte !

 

6 000 euros pour le chêne écarlate, le reliquat pour la logistique…

 

Quant au coût d’acquisition de cet arbre « exotique » - l’espèce est originaire du nord-est des Etats-Unis et du Canada, mais que l’on se rassure, il n’a pas été exporté depuis là-bas ! -, son prix réel s’élève seulement à 6 000 euros ! Une paille, puisqu’il intègre le budget global du plan de réaménagement de la place du Maréchal Leclerc dont la somme est égale à 1,6 million d’euros.

Reste en parallèle l’aspect logistique mais nécessaire à l’installation de notre hôte fait de bois comprenant grue, transport, personnel, moyens de sécurisation, etc. La Ville d’Auxerre annonce un budget de 70 000 euros. Moins que le chiffre de 100 000 euros qui circulait ces jours-ci via les réseaux sociaux ou avancé par les opposants à ce projet « verdoyant ».

Et justement, l’opposition ne décolère pas et voit rouge comme le côté écarlate de ce chêne de la discorde. Il y a quelques jours, les écologistes Florence LOURY et Denis ROYCOURT, se sont fendus d’une tribune assassine sur la future plantation de cet arbre. Dont nous publions l’intégralité du texte ci-dessous afin de se faire une opinion, à défaut susciter le discernement. Serait-ce l’arbre qui cache la forêt ?

 

 

En savoir plus :

Tribune de Florence LOURY et Denis ROYCOURT (Auxerre Ecologie Solidarités)

« Un chêne en or ne suffit pas à rendre notre ville résiliente aux événements climatiques extrêmes !

Les périodes de fortes chaleurs arrivent de plus en plus tôt dans l’année et leur intensité ne cesse d’augmenter à cause du changement climatique. Il est indispensable de penser à la qualité de vie des Auxerrois lors de ces épisodes de canicule. Durant la dernière campagne des municipales, nous avons proposé de planter des arbres pour lutter contre les îlots de chaleur mais aussi les inondations. Aussi, nous étions favorables à la végétalisation de la place du Maréchal Leclerc.

Seulement, nous venons d’apprendre que Crescent MARAULT avait programmé une opération de plantation d’un arbre à 100 000 euros ! Un seul arbre, 100 000 euros ! Ce chêne vient de Hollande, il sera acheminé au centre-ville mercredi 13 décembre, jour de marché, pour être planté dans la cour de la mairie. Planter un arbre mature limite ses chances de survie, un arbre adulte a un réseau racinaire déjà bien établi : le transplanter le prive de sa base. De plus, cette essence étant peu adaptée à nos températures l’été, ce grand chêne risque de souffrir.

Nous sommes consternés par ce choix ! C’est beaucoup d’argent public dépensé, dans un moment où des Auxerrois ont des difficultés pour vivre décemment et où le maire augmente les impôts fonciers.

Nous désapprouvons cette opération, son bilan carbone et son coût.

Nous défendons au contraire un grand plan de végétalisation de notre  ville, en commençant par les cours de récréation de nos écoles et par les quartiers d’habitat social aux bâtiments mal isolés. Aujourd’hui, les urbanistes recommandent d’atteindre 30 % de couverture arborée pour lutter efficacement contre les effets du réchauffement climatique. Les arbres rendent de nombreux services écosystémiques : absorption du gaz carbonique, production d’oxygène, filtration des particules et des polluants dans l’air, filtration de l’eau, stabilisation des sols, apport d’ombre. Il faut désimperméabiliser les sols pour laisser s’infiltrer l’eau de pluie et planter des arbres adaptés afin de rafraîchir la ville. Une étude menée par l’ADEME (L'Agence De l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) démontre qu’un arbre mature peut évaporer jusqu’à 450 litres d’eau par jour, soit l’équivalent de cinq climatiseurs qui tourneraient pendant 20 heures. Pour que les arbres puissent jouer leur rôle de climatiseurs naturels en ville, il est important de faire attention aux essences choisies, créer des micro-forêts urbaines, c’est à dire planter des arbres et arbustes d’origine locale, de façon très dense sur une surface réduite de quelques centaines de mètres carrés.

Il faut mener une politique cohérente, aussi nous redisons notre opposition à la vente du terrain du camping municipal à l’AJA. Le projet du club sportif aboutira à la disparition du parc arboré de 3 hectares : 400 beaux arbres, bien installés, en bonne santé. Nos vieux arbres sont des trésors, avant d’en planter de nouveaux, prenons déjà soin de notre patrimoine existant… ».

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le Conseil départemental de l’Yonne transforme l’essai de ce qui avait été adopté le 10 décembre 2021 en séance plénière. Une métaphore permettant de mieux cerner la signature du jour, accueillie dans le bureau très lumineux du président au « 89 » – pour une fois, on s’éloigne de la Pyramide ! -, se rapportant aux aides apportées aux étudiants en médecine et professionnels de santé, sous la forme de bourses. La convention s’inscrit dans le Pacte Santé 2022-2024…

 

AUXERRE : Les deux parapheurs font la navette sur le vaste bureau où sont assis, tout autour, les signataires. Au bas des documents, deux emplacements sont réservés à la pose de la griffe du bénéficiaire de cette aide salvatrice, une bourse destinée aux étudiants et professionnels de santé, et à la signature du représentant du Département. En l’occurrence, aux côtés de Patrick GENDRAUD, président très engagé en faveur de la défense des priorités sanitaires sur le territoire – il ne cesse de le marteler à la moindre occasion, mais cela n’intègre pas le domaine de compétences de la vénérable institution dont il a la responsabilité depuis deux mandats -, Gilles PIRMAN rappelle les règles du jeu.

Elles sont d’une limpidité extrême. Le Conseil départemental de l’Yonne a adopté en fin 2021 (c’est presque une date anniversaire puisque c’était le 10 décembre !) une action destinée à soutenir les étudiants dans leurs études de médecine générale, de chirurgie dentaire, d’infirmiers en pratique avancée (les fameux IPA dont on entendra beaucoup parler durant ce rendez-vous protocolaire) ainsi que les professionnels de santé dans leur installation.

 

Un engagement de cinq années sur le territoire, et plus si affinités !

 

Le vice-président du CD 89, en charge de la Santé, profitera même de son temps de parole – il n’était pas minuté outre mesure dans son exercice – pour évoquer la nouvelle initiative portée depuis peu par le GEPS (Groupement d’employeurs des Professionnels de Santé) en faveur de la formation et de la recrudescence d’embauche des assistants médicaux dans l’Yonne.

Pour l’heure, les signataires de ce conventionnement liant le milieu médical au Conseil départemental de l’Yonne étaient au nombre de trois. On notait donc la présence d’Aurore CHARPENTIER, professionnelle en formation d’infirmière en pratique avancée, son collègue, Loïc MESBAH-LESSIRE et le docteur Nathalie KUZARA. Consciencieusement, chacun prit soin d’apposer son plus beau paraphe sur les documents, mobiles sur la table, allant de l’un à l’autre comme dans une partie de « oui-jà » !

Mais, là, s’arrête la comparaison métaphysique ! Car, les aides allouées par le Département n’ont rien d’évanescentes ni de vaporeuses ! Elles sont bien réelles contrairement aux ectoplasmes ! Des aides soumises, naturellement, à des conditions. Dont la première d’entre elles, que les bénéficiaires de ces bourses s’engagent à rester sur une période de cinq années sur le territoire icaunais.

« Et plus si affinités plaisante Patrick GENDRAUD, qui aura présenté les arcanes de cette convention permettant de lutter avec efficience contre la désertification médicale.

 

 

 

Libérer du temps dans l’agenda des praticiens pour davantage de patientèle…

 

Gilles PIRMAN mit aussi l’accent dans ses propos sur le doublement de ces subsides. Une décision prise au mois de juin sous l’égide du président de l’institution départementale afin de permettre le doublement de la prime d’installation pour les futurs praticiens qui s’installeront dans les zones de sous-densité médicale, selon les critères définis par l’Agence Régionale de Santé (ARS). Une incontestable bonne nouvelle pour l’Yonne.

Cela s’ajoute au coup de pouce apporté récemment par le Département avec l’aide de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) aux médecins généralistes et aux spécialistes à les décharger de leurs contraintes administratives (beaucoup trop importantes) d’employeurs. Dans les faits, le CD 89 a décidé de créer son groupement d’employeurs destinés aux professionnels de santé (GEPS). Cet outil gère les recrutements des assistants médicaux ainsi que les contrats de travail. Sachant que le Conseil départemental prend à sa charge durant les trois premières années de contrat ce que le praticien devrait verser sur le salaire de ces postes ô combien nécessaire pour que le praticien puisse se dégager du temps, soit de 15 à 20 % du planning du médecin. Des postes, le plus souvent subventionnés par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie.

Dans l’absolu, la formule est plutôt séduisante à plus d’un titre. Plutôt que d’être « envahi » par des hordes de médecins ayant choisi comme destination pour s’installer le département le plus septentrional de la Bourgogne, l’exécutif départemental préfère libérer du temps aux praticiens déjà installés pour qu’ils prennent davantage de patientèle plutôt que de le perdre en besognes administratives et parfois futiles.

D’ailleurs, Gilles PIRMAN devait confirmer la signature des premiers contrats ces jours-ci, suite à la réunion de présentation du GEPS la semaine dernière dans l’hémicycle de la Pyramide. Un cocorico car c’est un cas unique, validé par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Vingt ans. C’est l’âge adulte. Un chiffre mythique dans la chronologie humaine, entre le possible et l’improbable. Celui du temps des anniversaires. De la célébration festive, des bilans analytiques. Celui de la rétrospective, aussi : cela fut assuré par la directrice de la structure associative, spécialisée dans l’insertion, Patricia FLAVIN. Mais, c’est aussi le temps de la projection. Des perspectives et des projets. MOBIL ECO, au carrefour de sa jeune existence, possède tous les arguments pour mieux s’affirmer dans le futur…

 

ROSOY : Il est joli le scooter au coloris jaune paille trônant près de l’estrade. Une petite merveille de technologie, à la pointe de l’alimentation électrique. Pendant les diverses causeries des intervenants, lui, ce mode de locomotion utile et apprécié de ses utilisateurs, se recharge de manière tranquille sous le regard indifférent du public. Un peu en déconnexion de ce qui se joue ici. C’est-à-dire un anniversaire ! Mais, attention, pas n’importe lequel. Celui d’une structure associative dont le patronyme rayonne bien au-delà de sa base arrière du Sénonais : « Mobil Eco ». Vingt ans, déjà ! Vingt années d’offres de service de tout poil pour faciliter l’accès à cette sacro-sainte mobilité, indispensable à celles et ceux qui cherchent, notamment, à se réinsérer dans la vie active, la formation et l’emploi.

 

 

La plateforme mobilité a tout d’une grande !

 

A écouter les speechs des nombreux orateurs – protocole cérémonial oblige ! – qui vont se succéder sur la petite estrade de la salle des fêtes locale, il semblerait que l’entité n’a pas pris une ride depuis sa création. Mieux, pour rester dans le contexte de la mobilité partagée, Mobil Eco a toujours un tigre dans le moteur ! Vrai ! Il suffit de lire la petite plaquette, fraîchement imprimée sur fond orangé qui est remise à l’entrée de la salle pour en apprécier toute la vitalité. Et la subtilité !

Transport solidaire, location de véhicules, garage solidaire, auto-école sociale, conseil mobilité, garage itinérant…, le décor est planté. Toutes celles et tous ceux qui sont inscrits dans une démarche de prospective recherche de formation et d’emploi (et bénéficiaires des minima sociaux en guise de corollaire financier) sont à même de profiter de cette cascade de possibilités, qui ne tombent pas tout cru du ciel. Mais, c’est tout comme !

La plateforme de mobilité sénonaise est devenue une grande fille. Prête à s’émanciper davantage, comme le suggérera l’excellent Wassim KAMEL, sous-préfet de l’arrondissement le plus septentrional du territoire. Oui, il a raison. Car pour gagner en pérennité et rayonner bien au-delà de son périmètre originel, l’association reconnue d’intérêt général doit sans doute voir un peu plus grand dans la taille du costume à endosser. Au niveau départemental, c’est sûr !

 

 

Insertion et mobilité, les fondamentaux d’une entité à l’efficience bien rodée

 

Aujourd’hui, cinq intercommunalités du nord de l’Yonne ont recours à ce dispositif que recommandent tous les acteurs de l’emploi icaunais, de Pôle Emploi à la Mission Locale, en passant par le PEIPS/PLIE à CAP Emploi. Y compris le Conseil départemental, les mairies et les agences d’intérim.

De la naissance à la croissance et au développement, Mobil Eco a su gérer du mieux possible ces différentes étapes. Voire en évitant les crises de l’adolescence. « Il y en a eu dixit le président Jean-Luc KLEIN ; aujourd’hui, notre structure arrive à l’âge adulte, après moult péripéties… ».

La directrice, en phase de départ, Patricia FLAVIN – cette figure de l’insertion icaunaise ayant formé un truculent binôme sur plusieurs années avec l’ancien président René CORNET cèdera sa place à Stéphane PERENNES au 01er janvier 2024 – fit un long résumé de ces deux décennies, ponctuées de moments forts dans la vie de cette association populaire. Celle-ci fonctionnant sur deux fondamentaux : l’insertion, l’accompagnement de personnes vers un emploi stable et une forme pérenne d’existence, et surtout la mobilité. Son principal credo.

Celle-ci se décline en différentes strates. Le transport solidaire, d’une part, qui permet aux demandeurs d’emploi d’accéder à des formations et entretiens d’embauche ainsi que les déplacements sanitaires des seniors. La location de véhicules est un autre point fort de cette stratégie. Elle s’appuie sur les automobiles, certes, mais aussi les scooters – nous l’avons dit de très belle esthétique ! -, de cycles, voire même de trottinettes pour les plus véloces au maniement de ces engins. Le garage associatif intervient en second rideau afin de gérer la maintenance et les réparations de ce parc mobilité. Sa version itinérante est fonctionnelle grâce à un camion équipé.

Quant au permis de conduire, il est facilité grâce à une auto-école sociale. Un service de conseil à la mobilité fait même office de guichet unique au sein de cet organigramme afin de chapeauter l’ensemble des besoins des utilisateurs. Un système bien établi et puissamment rodé.

 

Thierry BRET

 

 


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Un quart des épiceries sociales et solidaires sont en déficit. Il s’en était fait l’écho auprès de la ministre des Solidarités et des Familles, Aurore BERGE et il a bien fait ! Interpellé par l’Epicerie Solidaire de l’Auxerrois et la structure équivalente qui intervient sur le Sénonais (Magali), le sénateur de l’Yonne Jean-Baptiste LEMOYNE a défendu avec succès un amendement au Palais du Luxembourg afin d’obtenir des crédits supplémentaires en faveur des épiceries sociales et solidaires. Le Sénat et le gouvernement se sont mis d’accord : deux millions d’euros supplémentaires vont ainsi aider ces entités dont un quart d’entre elles étaient dans le rouge…

 

PARIS : Les épiceries sociales et solidaires ? Manifestement, le parlementaire de l’Yonne y croit dur comme fer ! Sous son impulsion, lors de la défense d’un amendement proposé au Sénat afin d’abonder les crédits de ces structures de proximité si utiles à nos concitoyens, Jean-Baptiste LEMOYNE a donc obtenu gain de cause. Un amendement qui a été adopté après avoir reçu le soutien de sénateurs issus de tous les groupes politiques ; sachant que le gouvernement y a été aussi de son avis favorable !

Conséquence : le secteur de ces commerces équitables au profit des plus désargentés d’entre nous, soumis à un marasme budgétaire pour le quart d’entre eux, a donc obtenu deux millions d’euros supplémentaires, somme versée au profit du Crédit National des Epiceries Solidaires (CNES). Un budget qui n’avait pas été abondé depuis…plusieurs années ! Presque une décennie alors que la situation des Français ne cesse de se détériorer parmi les plus précaires…

 

 

Qualifiées d’essentielles par le sénateur de l’Yonne, ces structures enregistrent de sérieuses contraintes depuis plusieurs mois, avec le contexte galopant de l’inflation, l’envolée des prix sur les produits alimentaires même de première nécessité et surtout une hausse record de la fréquentation.

D’ailleurs, l’élu bourguignon est devenu le porte-voix de deux structures, implantées à Auxerre (Epicerie Solidaire de l’Auxerrois) et à Sens (Magali) qui l’avaient alerté sur les épreuves traversées. Preuve que le message a finalement été entendu ! Un beau cadeau de Noël à glisser au pied du sapin, en quelque sorte…

 

Thierry BRET

 

 


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Permettre à sa clientèle d’accéder à toutes les solutions préconisées par ses services au moment où elle en a besoin, voilà l’alchimie qui se matérialise comme la transformation du plomb en or avec la réouverture du bureau postal du centre-ville auxerrois. Après quatre mois de travaux, l’agence principale de l’entité au logo jaune – elle a ouvert ses portes début novembre - a été inaugurée. Une infrastructure se positionnant sur la complémentarité de la présence physique et des vertus du digital…

 

AUXERRE : C’est le nouveau visage de La Poste. Il se décline de manière factuelle via une nouvelle génération de bureaux, proposant un service à la fois universel et personnalisé. Un lieu de vie où règnent l’espace, la luminosité, l’esthétique. D’emblée, les impressions sont très agréables. Rien à voir avec l’ancienne configuration du site dont on peine à se remémorer les souvenirs. Moderne, ergonomique, aérée, accessible : la vitrine représentative de l’entreprise, filiale de la Caisse des Dépôts et de l’Etat, surprend. Ici, promet-on, « l’ambition est d’offrir une expérience client aux meilleurs standards du marché ». Selon le principe de la stratégie omnicanale. Au vu du résultat, on ne peut que le croire !

Concrètement, de quoi s’agit-il ? Pour s’adapter aux nouveaux enjeux consuméristes et aux besoins de sa clientèle, La Poste a décidé de proposer en ces murs, ces fameux bureaux postaux toujours très fréquentés par la population, un mix entre le relationnel physique, avec la présence de conseillers, mais aussi de se doter des meilleurs outils numériques, lui permettant de répondre à la puissance du e-commerce et de la digitalisation. Un deux en un des plus efficients qui satisfait au final tous les utilisateurs de ce système.

 

Entre confort et confidentialité : un nouvel espace d’accueil valorisant

 

D’où ce terme de distributeur omnicanal. Une combinaison judicieuse propre au marketing, qui offre vente et contact avec la clientèle, en employant de façon simultanée tous les canaux disponibles, en relation les uns avec les autres à l’instar d’un lieu d’échange (le bureau de poste dans le cas présent), la téléphonie, Internet et ses dérivatifs numériques, les produits, etc. Les sociologues parlent alors de « omniconsommateurs » dans l’évolution de la consommation. Une stratégie que La Poste, via sa filiale bancaire, aura su mettre en exergue dès l’année 2018 avec l’ensemble de ses réseaux…

Dans les faits, l’application de cette stratégie se traduit par la fluidification des parcours clients, ces derniers à peine franchis les portes du bureau postal ! Equipés de smartphones, les postiers peuvent orienter le flux plus facilement ou encore traiter des opérations simples comme l’envoi de colis ou le retrait des instances. Ainsi, il est désormais possible de retirer un colis grâce à l’identité numérique La Poste sans présenter de pièce d’identité.

Au-delà de l’élégance cosy du mobilier, on notera l’effort effectué par l’entreprise envers ses usagers en termes de confidentialité. Ces évolutions, le confort et la discrétion, ont été réalisées en parfaite osmose avec la Banque postale. Preuve de ce croisement d’idées qui se veut pertinent et efficace.

 

 

 

Un projet de 774 000 euros d’investissements

 

Présents lors de ce rendez-vous inaugural, les élus auxerrois (le premier édile Crescent MARAULT, Carole CRESSON-GIRAUD, première adjointe à la Ville d’Auxerre qui en fera l’éloge lors de son discours, Vincent VALLE, adjoint à la politique du logement et de l’habitat, etc.) ont été admiratifs par le travail de rénovation effectué en ces murs. Incontestablement du bel ouvrage pour un univers commerçant !

Directrice exécutive de La Poste en Bourgogne Franche-Comté depuis le 01er juillet, Sylvie GUILLAUME a pris soin d’ouvrir solennellement la cérémonie protocolaire de cette inauguration importante, présentant la nouvelle génération de ses bureaux ouverts à la clientèle.

En préambule, celle-ci ne manqua pas de saluer l’équipe de collaborateurs (conseillers bancaires, chargés de clientèle, managers) en place au sein du bureau d’Auxerre centre-ville, piloté par son directeur de secteur, Fabien BASSARD.  

Le secteur d’Auxerre est composé de 24 agences postales communales et de 9 relais poste commerçants. Soit un maillage géographique qualifié de « puissant » par la dirigeante.

Evoquant la genèse de ce projet d’un coût de 774 000 euros d’investissement, Sylvie GUILLAUME expliqua les différentes étapes de la modernisation du site. Des travaux qui ont couru sur une courte période comprise de juillet à octobre 2023. A date, ce sont environ trois cents clients qui fréquentent au quotidien le bureau du cœur d’Auxerre, et plus de 800 clients journaliers sur la totalité du secteur auxerrois.

 

 

S’adapter entre digital et présence physique…

 

D’une surface de 450 mètres carrés, dédiés aux 19 500 clients particuliers et 500 professionnels, le bureau central d’Auxerre occupe une place prédominante dans la stratégie de La Poste.

« On est un point de commerce attaché aux services, rappela Sylvie GUILLAUME, insistant sur l’aspect présence postale. C’est notre philosophie et notre ADN d’être à l’écoute de nos clients. On doit naviguer entre digitalisation et de présence de proximité. On est là aussi pour aider les personnes qui ont besoin de chaleur humaine… ».

Grâce à ce dispositif, La Poste renforce son leadership économique dans l’ancrage territorial. « Un modèle qui se tient, selon la responsable régionale, malgré l’attrition du volume de lettres en décroissance, mais c’est un contexte auquel  nous devons faire face en nous diversifiant car nous écrivons plus de mails que de courriers ! On se renouvelle avec des modèles différents… ».

Sylvie GUILLAUME aborda également sous les yeux du président de la CDPPT 89, Gilles DEMERSSEMAN, la présence postale sur le territoire de l’Yonne.

« C’est notre troisième défi, affirma-t-elle, dans l’Yonne, on est très présent avec 181 points de contact. Nous avons rénové le bureau de Sens (centre-ville) récemment ainsi que celui des Champs-Plaisants dans la même ville avec le concept France Services. Nous allons rafraîchir le bureau de poste de Toucy. Sans omettre l’Etape numérique de Monéteau, ouverte depuis peu. Afin d’accompagner les clients qui sont en difficulté avec le digital. Nous travaillons à un maillage important qui correspond aux besoins des habitants de ce territoire en concertation avec la Commission départementale de la Présence Postale du Territoire dont je salue le président... ».

Du pain bénit pour Gilles DEMMERSEMAN et Marcel CHEVILLON, membres de la commission, qui assistaient à la cérémonie !

 

Thierry BRET

 

 


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