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Le secteur des travaux publics peut-il devenir l’un des vecteurs essentiels de la transition écologique ? C’est en substance l’une des pistes de réflexion que souhaitera aborder le président de la Fédération régional Vincent MARTIN lors de son futur point avec la presse régionale le 27 juillet…

DIJON  (Côte d’Or) : Parmi les items intéressants qui seront exposés lors de cette rencontre estivale avec les médias régionaux en présentiel mais aussi par visioconférence, il y aura celui de la relance verte.

Une thématique tendance chère au président de la FRTP Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN.

Ce dernier a décidé de convier les journalistes lors d’un exercice oratoire où il exposera son point de vue sur le plan de relance gouvernemental ainsi que les futures actions de la fédération.

 

 

Il n’en omettra pas pour autant de réagir aux récentes déclarations présidentielles et celles du nouveau Premier ministre Jean CASTEX qui a décline son discours de politique générale à l’Assemblée nationale en début de semaine.

Selon le président de la FRTP régionale Vincent MARTIN, « la filière des travaux publics peut être un véritable acteur de la transition écologique… ».

Une affirmation qui sera sans aucun doute étayée d’une kyrielle d’arguments…

 


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Le décret du 17 mars 2020 fait des émules notamment au sein du monde de la protection animale. En cause : une modification des termes du Code Rural et de la Pêche Maritime concernant les conditions de délivrance d’une dérogation pour la fourniture d’animaux aux laboratoires. L’association « 30 millions d’amis » craint que cette réforme ne favorise la vente d’animaux domestiques aux laboratoires par les éleveurs non-agréés.

TRIBUNE : L’association « 30 millions d’amis » monte au créneau. Bien que cette pratique soit règlementée, nombreuses sont les associations qui la combattent depuis des années. En septembre 2019, le parti animaliste demandait la fermeture définitive du centre d’élevage de Mézilles dans l’Yonne, qualifié d’« élevage de la honte » par ses détracteurs.

La colère de certains s’est amplifiée avec le décret voté le 17 mars qui semble assouplir les conditions de recevabilité des demandes de dérogation.

Reha HUTIN, présidente de l’association « 30 millions d’amis », estime que ce décret constitue « un retour en arrière de plus de trente ans » et qu’il bafoue la directive européenne à laquelle il fait normalement écho.

« Les élevages de chiens de chasse, d'animaux de compagnie ou encore les particuliers peuvent désormais... vendre leurs animaux à des laboratoires ! » s’est indignée l’association dans un communiqué du 26 juin 2020.

 

Quelles sont les modifications apportées au décret ?

 

Selon l’article R214-90 du Code rural et de la Pêche Maritime, le ministère de la Recherche, conjointement avec les ministres chargés de l'environnement et de l'agriculture, a toujours eu la possibilité d’accorder une autorisation exceptionnelle aux éleveurs non agréés « sur la base d’éléments scientifiques dûment justifiés ». Mais également « lorsque la production des éleveurs agréés est insuffisante ou ne convient pas aux besoins spécifiques du projet ».

Cette dernière mention a tout bonnement été supprimée par le décret du 17 mars. Une question se pose : qu’entend-on exactement par éleveur non agréé ?

Le ministère de l’Enseignement, de la Recherche et de l’Innovation s’est indigné de la réaction de « 30 millions d’amis » qui constitue, selon lui, une « désinformation » auprès du public.

Il spécifie bien dans un communiqué datant du 27 juin que « les animaux de compagnie ne sont en rien concernés et cela ne sera jamais le cas… ».

En effet, selon la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes), « est considérée comme un éleveur, toute personne vendant au moins un animal issu d’une femelle reproductrice lui appartenant ».

De plus, ces éleveurs doivent répondre à de nombreuses obligations en termes d’accueil des animaux et de vente à commencer par une déclaration auprès de la Chambre d’Agriculture. Dans tous les cas, il ne s’agit donc pas de simples particuliers.

 

 

Comment interpréter cette modification du Code rural ?

 

La suppression de cette condition peut suggérer que le ministère de la Recherche et de l’Enseignement supérieur n’est plus obligé de motiver un refus par l’impossibilité des fournisseurs agréés à répondre aux besoins des laboratoires. Seul l’argument scientifique pèserait dans la balance.

Les chances d’obtenir une autorisation de fournir un laboratoire seraient, par conséquent, multipliées. Cela pourrait même générer un climat concurrentiel entre éleveurs agréés et non agréés.

Or, le gouvernement en a une toute autre lecture. Selon lui, « le décret du 17 mars vient encore limiter les cas possibles justifiant une demande de dérogation notamment liés à une production insuffisante chez les éleveurs agrées ».

En d’autres termes, le ministère de la Recherche serait davantage à même de rejeter un dossier bien que les arguments scientifiques soient valables et même si les éleveurs agréés ne sont pas capables de satisfaire les laboratoires.

Floriane BOIVIN

 

 

 


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Et si diriger une collectivité territoriale forte de ses 36 000 âmes réparties dans 57 communes s’apparentait à plus d’un titre à la gestion d’une véritable entreprise ? L’actuel maire de Moulins-sur-Ouanne, conseiller régional et président sortant de l’intercommunalité de Puisaye-Forterre en serait-il pour autant le PDG absolu ? Pas si sûr ! Ce serait plutôt, à ses dires, un dirigeant s’appuyant sur des compétences qui souhaite rebattre les cartes, ne stigmatiser personne et aller de l’avant, avec un discours d’apaisement, au service de ses administrés…

MOULINS-SUR-OUANNE : A 67 ans, tout est possible ! Ce n’est pourtant pas le credo du candidat Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI à sa propre succession. Mais, celui d’un exégète de la chose publique, habitué à évoluer dans la sphère politique depuis pas mal de temps.

Il en connaît ainsi tous les rouages et les subterfuges. A l’instar des chausse-trappes et autres peaux de banane qui se sont déjà dressées sur sa route. Où il lui aura fallu les éviter avec une certaine maîtrise.

Aujourd’hui, à l’avant-veille d’un scrutin qui pourrait paraître capital sur le papier (une réélection au poste de président de l’intercommunalité la plus étendue de l’Yonne), le responsable départemental d’Agir La Droite Constructive mène campagne dans sa « zone de chalandise » en quête de ces indispensables soutiens d’édiles qui pourraient lui apporter in fine les voix nécessaires.

Sans rien préjugé du résultat final (« une élection n’est jamais gagnée d’avance… dixit l’intéressé), le président de la CCPF s’enveloppe d’une certaine sérénité dans sa posture. Même s’il reconnaît que ces trois années de mandature exercées depuis sa prise de fonction en janvier 2017 ressemblaient davantage à une sinécure kafkaïenne à appréhender plutôt que d’être vécues comme un long havre de paix !

Bref, on l’aura compris dans ses propos distillés sans modération lors d’une conférence de presse accordée il y a quarante-huit heures, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI veut convertir ces trois premières années de galère noire en un nouveau challenge plus abouti tant dans le consensus que dans les réalisations.

 

Faire abstraction des querelles de personnes et privilégier l’intérêt général

 

Alors, quand il abat ses cartes comme des pions qu’il avancerait sur un échiquier pour expliciter son programme, l’élu de l’Yonne admet bien volontiers que son tempérament vif et clairvoyant lui joue parfois des tours : « peut-être ai-je été un peu trop rapide dans la prise de certaines décisions mais je ne voulais pas perdre de temps… ». Ni les subventions de fonds divers et variés à glaner çà et là auprès d’instances régionales voire européennes dont il était judicieux de bénéficier pour le portage financier de certains dossiers.

A sa décharge, il explique que l’un de ses plus grands regrets aura été une dépense d’énergie constante pour lutter contre une adversité qualifiée de « mauvaise foi ». Il est vrai que ce court mandat de trois ans imputable à la constitution de la nouvelle communauté (il est de six ans en temps normal) aura paru interminable pour l’ancien avocat d’affaires.

Le paysage plutôt mouvementé de ce landerneau kaléidoscopique comprendra dans ce laps de temps : la fusion de trois intercommunalités, l’additif d’une commune nouvelle (Charny-Orée de Puisaye), l’ajout de quatre communes (Charentenay, Coulangeron, Migé et Val-de-Mercy), le retrait de cinq autres, la présence d’un PETR et celle d’un syndicat mixte des déchets…Qui dit mieux ?

 

Un problème de fonctionnement, pas d’investissements

 

Se référant à un rapport analytique publié par le cabinet STRATORIAL PUBLIC AVENIR, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI évoque la fiscalité. Un item toujours épineux dans la besace de n’importe quelle collectivité.

« L’effet de la fusion engendrera selon cette étude une augmentation de quatre taxes de 2,5 % par an et ce pendant au moins six années… ».

Prônant les vertus de l’intérêt général, le candidat lance quelques pistes de réflexion concrètes extraites de sa feuille de route. Pour cette prochaine mandature, il désire l’ouverture des commissions aux conseillers municipaux.

« Il existe bon nombre de compétences parmi ces élus alors qu’ils ne sont pas délégués communautaires. Ils doivent s’approprier cet organe et en parler entre eux… ».

Proposer un écrémage dans l’ordre du jour communautaire (des sessions longues parfois de plusieurs heures) s’inscrit parmi les priorités. Les questions de moindre importance se réguleraient dans le cadre d’un bureau délégataire. Quant aux appels d’offres, autre serpent de mer insondable dans la vie des élus, ils seraient traités par un service centralisé ad hoc. La résultante se traduirait par le biais d’une embauche d’un agent supplémentaire.

Tel un entrepreneur déclinant son business plan et sa copy stratégie à son staff directionnel à la barre d’une grosse PME, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI pose son regard managérial de l’organe communautaire autour de trois axes : la vision du territoire, l’organisation et les moyens humains, complétés par le volet financier.

 

 

Des projets comme s’il en pleuvait…

 

Les engagements pris lors de la première mandature devraient se poursuivre en cas de réélection du président actuel. Ainsi, le dossier de la piscine intercommunale bâtie à Toucy, projet d’un coût de 6,6 millions d’euros mais subventionné à 52 %.

A ce titre, le maire de Moulins-sur-Ouanne rappelle le bénéfice des 700 000 euros de subsides qu’il a su obtenir auprès du ministère des sports sans trop de difficultés !

La constitution d’une SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) est destinée à la mise en exergue de la filière énergie bois. L’aménagement des zones d’activité (Toucy, Charny-Orée de Puisaye, Saint-Fargeau…) est en phase d’étude. L’idée de créer une entité supplémentaire aux abords de l’autoroute à Villefranche est dans l’air.

La refonte des bâtiments du CNIFOP à Saint-Amand-en-Puisaye dans lequel la Région mais aussi le Département de la Nièvre voire l’ADEME pourraient être des contributeurs financiers s’envisage très sérieusement.

Le volet sanitaire n’est pas omis de la discussion par le président-candidat. Bléneau, Courson-les-Carrières ou Toucy sont concernés par l’édification de maisons de santé ou d’extensions de leurs sites existants.

Reste le volet environnemental. C’est une priorité capitale dans la bouche de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI. La voie douce (ou voie verte) devant relier Moutiers-en-Puisaye à Briare et son fameux canal figure en pôle-position dans les tuyaux.

De même, il existe une réflexion autour du rail où se grefferait un partenariat entre différentes collectivités territoriales de la Nièvre, du Loiret et de l’Yonne.

Quant à la construction du nouveau siège intercommunal prévu à Saint-Fargeau, rien n’est encore fait. Le président de la CCPF possède différentes options dans son jeu pour trouver l’alternative la plus judicieuse à ce projet qui permettrait de regrouper sur un site unique l’ensemble des salariés de la collectivité, soit une centaine d’agents.

Seul tacle critique à l’endroit de son vice-président Jean-François BOISARD mais néanmoins adversaire pour le perchoir présidentiel de ce samedi 11 juillet à Saint-Fargeau : une petite allusion emplie de sous-entendus et décochée comme une flèche sur l’attitude de son rival qui a tout accepté des projets en cours en les votants de manière positive durant son mandat…

 


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Ce site patrimonial d’exception situé à quelques kilomètres de Pouilly-en-Auxois a été choisi par la présidente de l’exécutif régional pour y lancer officiellement la saison touristique. Tout un symbole pour montrer que la vie culturelle reprenait enfin ses droits après une trop longue période de mise entre parenthèses…

DIJON (Côte d’Or) : Mercredi en début de matinée, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY effectue un déplacement dans l’un des édifices les plus somptueux de Côte d’Or : le château de Châteauneuf.

Cette ancienne forteresse moyenâgeuse possède des vestiges originels qui datent du XIIème siècle.

L’élue profitera de ce court voyage dans l’Auxois depuis Dijon pour y dévoiler le principe vertueux du « Pass Découverte ». Un passeport spécifique qui est décliné par Bourgogne Franche-Comté Tourisme.

Ce document facilite en effet l’accession de ses possesseurs à différents sites touristiques. Il propose des balades et des visites, sans omettre l’un des aspects les plus attrayants qui en justifie son existence : des séances de dégustation de produits locaux.

Outre la visite de ce haut-lieu du tourisme régional, Marie-Guite DUFAY s’entretiendra avec les journalistes dans la salle des gardes de la fortification. Une belle occasion de donner le coup d’envoi d’un jeu qui permettra aux habitants de notre territoire de gagner l’un des deux mille passeports touristiques et culturels qui leur est réservé dans un objectif promotionnel.

 


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La question a le mérite d’être posée. Sera-ce un pari risqué pour le secteur de l’automobile en proie à de profondes mutations ? Ou une réelle opportunité de créer un marché à fort potentiel de développement ? C’est tout l’enjeu en termes de réponses du premier grand évènementiel concocté en présence physique le 10 septembre dans l’Yonne. Avec trois des protagonistes de la Maison de l’Entreprise pour son pilotage : le MEDEF, l’UIMM et GISAéro…

AUXERRE : C’est l’évidence même ! Et les explicatifs liminaires formulés par le délégué général de la Maison de l’Entreprise Claude VAUCOULOUX ne peuvent qu’étayer cette première information de poids destinée à rassurer les acteurs de l’univers économique.

L’évènement consacré à l’avenir de la mobilité électrique prévu le 10 septembre à Auxerre sera de manière incontestable le rendez-vous phare de la rentrée automnale.

Un moment fort qui sera placé de surcroit sous l’égide de la protection environnementale et surtout de la réduction de la consommation énergétique, sujet majeur pour beaucoup d’entre nous après les stigmates laissés par la crise sanitaire de la COVID-19.

Alors, au-delà du véritable enjeu sociétal inhérent à cette thématique mobilisatrice, la Maison de l’Entreprise ne pouvait laisser de côté une telle opportunité d’aborder tôt ou tard sous la forme d’un colloque cet item si fédérateur.

 

 

 

On en aura déjà eu un aperçu au cours de la conférence de presse organisée cette semaine afin de présenter les diverses facettes du futur projet.

Réunis dans l’une des salles de l’institution entrepreneuriale, différents acteurs de la mobilité électrique (et non des moindres) se prêtaient au jeu sans trop regarder la pendule de la prise de parole en public leur permettant d’expliquer leur présence.

Concessionnaires automobiles au nombre de neuf (un signe très positif), représentants de l’Agence Economique Régionale (AER) qui dialoguèrent avec leurs hôtes grâce à la magie de la visioconférence depuis Dijon, personnalités du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY), d’EDF ou d’ENEDIS purent tour-à-tour apporter de l’eau à ce moulin très instructif de l’intelligence collective mise au service des milieux économiques.

 

 

La présence d’un dirigeant du groupe VALEO, Michel FORISSIER…

 

Dans les faits, ce colloque était initialement programmé en date du 02 avril. On connaît la suite : il fut annulé et reporté à la rentrée pour cause de propagation importante du coronavirus. Qu’importe !

Aujourd’hui, les interrogations restent nombreuses autour des réelles potentialités offertes par la mobilité électrique. Elle représente l’une des pistes de la transition écologique suivie par la Région Bourgogne Franche-Comté qui, par le prisme de son agence économique (AER), développe des aides en faveur de son essor.

Au sein de la Maison de l’Entreprise, les deux chevilles ouvrières du projet, Jean-Marc DENIS, en charge du développement industriel et de l'innovation et la responsable de la communication, Florence POULAIN, travaillent de concert depuis plusieurs semaines sur l’articulation de cet évènement.

 

 

Ils ont répertorié les thèmes qui porteront à débats et commentaires lors de différentes tables rondes : le coût de la mobilité électrique pour une entreprise, la place de l’hydrogène considéré par une multitude d’exégètes comme le carburant propre de demain ou encore le retour d’expériences vécu par plusieurs entrepreneurs et institutionnels interpellés par cette thématique.

Le jour J, l’évènement bénéficiera d’un sérieux coup de pouce médiatique avec la venue de Michel FORISSIER, l’une des têtes pensantes du groupe VALEO.

Universitaires, chercheurs, représentants nationaux des marques et distributeurs automobiles s’ajouteront à la liste déjà très longue de personnalités devant intervenir ce 10 septembre qu’il convient de biffer sur les agendas s’il l’on est un professionnel.

En savoir plus :

Conférence sur la mobilité électrique à la Maison de l’Entreprise à Auxerre

6 Route de Monéteau

Le 10 septembre 2020

Sur inscription uniquement sur www.mobilite-electrique-yonne.org

Gratuit

 

 


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