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L’annonce d’une nouvelle conférence de presse donnée par le préfet de l’Yonne, quarante-huit heures après la prise de parole présidentielle, ne disait rien qui vaille sur le papier. Elle subodorait la mise en œuvre de mesures supplémentaires à appliquer dans le cadre du dispositif de santé publique pour juguler la circulation du coronavirus. Dès aujourd’hui, les rassemblements de plus de six personnes sur la voie publique ou dans des lieux ouverts sont proscrits. Et ce, jusqu’à nouvel ordre…

AUXERRE : L’étau se resserre un peu plus autour de la propagation galopante de la COVID-19. Loin de s’estomper avec les premiers frimas de l’automne, l’infection gagne de l’amplitude en matière de contagiosité dans l’Hexagone comme en Bourgogne Franche-Comté. Et, malheureusement, le territoire icaunais n’est guère épargné par ce nouvel afflux qualifié de « seconde vague » par les scientifiques.

Non seulement le nombre de cas dans l’Yonne a été multiplié par deux en un laps de temps phénoménal (à peine une semaine), passant de 57 personnes contaminées à 105 en date du 15 octobre selon les sources fournies par l’Agence Régionale de Santé (ARS) ; mais en outre, le taux de positivité s’avère être le plus significatif sur notre territoire avec 10,45 % contre 6,2 % il y a une semaine. Le niveau de la contrée reste en deçà de 10 %, soit 9,2 % précisément.

Conséquence, la préfecture de l’Yonne a emboîté dare-dare le pas présidentiel pour présenter une série d’actions complémentaires à ce qui avait été déjà mis en place antérieurement et qui sera maintenu dans les faits. Une liste de restrictions non exhaustive qui prend effet dès ce samedi 17 octobre.

L’une des interdictions principales concerne les rassemblements, les réunions et les activités sur la voie publique ou dans les lieux ouverts au public. Plus question de les pratiquer en nombre, dorénavant ! Cela est limité à la présence de six personnes au maximum. A l’exception des manifestations revendicatives, des séances collectives concoctées dans le cadre de la vie professionnelle et…des cérémonies funéraires (sic).

 

La symbolique du chiffre six…

 

S’inspirant sans doute de ce qui se pratique à l’heure actuelle en Italie, le chef de l’Etat a été le premier à évoquer la bienveillance de cette règle du « six » à respecter désormais en réunion.

Le gouvernement avait expliqué en complément via les réseaux sociaux que « lorsque l’on reçoit des amis à dîner, ou quand on se sustente dans un restaurant, six est la règle à concevoir en priorité… ».

Précisons qu’en numérologie, pour les adeptes de la chose, « six » n’est autre que le chiffre représentatif de l’harmonie. Plus sérieusement, et de l’avis des exégètes de la médecine, « six » est surtout recommandé en réunion publique et privée pour endiguer la prolifération du virus en brisant son processus de transmission. Ou du moins, en limitant considérablement cette chaîne inexorable qui fait tant de mal à nos libertés individuelles.

Si le port du masque demeure obligatoire dans tous les établissements accueillant du public (ERP), certaines dérogations restent possibles. Notamment dans l’exercice d’activités sportives et artistiques.

A ce titre, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST est dans l’attente d’un nouveau décret à paraître qui éclaircira ce dernier point.

 

 

Un protocole sanitaire strict à respecter à la lettre…

 

Il est évident, au vu des circonstances sanitaires actuelles, que les manifestations où la jauge de fréquentation excédait cinq mille personnes en présentiel demeurent totalement proscrites du calendrier.

Les lieux d’accueil de la catégorie L, c’est-à-dire les salles des fêtes et polyvalentes, salles de spectacle, tentes et structures, voire les chapiteaux, ne peuvent plus recevoir de manifestations festives.

D’autant, que le port du masque ne peut être garanti à 100 % de manière continue. On pense bien évidemment aux évènements familiaux qui supposent la prise de repas ou la dégustation de boissons. Mise en œuvre de cette décision ce lundi 19 octobre.

Du côté des ERP avec espace debout et circulant (on intègre dans cette catégorie les centres commerciaux, les musées, les parcs d’attraction et zoologiques, les salons…), une nouvelle jauge de distanciation sera à respecter de façon inéluctable à partir de 4 mètres carrés par personne.

Le respect de la norme sécuritaire d’un siège sur deux dans les établissements clos avec places assises (ou groupes de moins de six personnes) est imposé. Un dispositif touchant les bars et restaurants (leur ouverture n’est pas contestée fort heureusement pour les professionnels) qui entre en vigueur ce samedi.

Une fiche de renseignements où les consommateurs devront y coucher leurs coordonnées personnelles devra être remplie en guise de visa officiel pour aller s’asseoir à l’intérieur de l’établissement.

 

Maintien des mesures sanitaires antérieures…

 

Le domaine sportif n’est pas oublié par ces nouvelles mesures préfectorales. Ainsi, les stades et hippodromes doivent impérativement se conformer à la distance d’accueil suivante : un siège sur deux entre deux spectateurs ou groupes de moins de six personnes.

Le public est autorisé mais dans le respect stricto sensu du protocole sanitaire en vigueur. Il en va de même pour les lieux de culte avec une distance d’un mètre entre chaque fidèle.

Rappelons que les mesures prises antérieures sont maintenues sur le territoire de l’Yonne. Elles ont fait l’objet de multiples arrêtés. C’est le cas du port du masque sur tous les marchés, à proximité immédiate des établissements scolaires et centres d’apprentissage, dans les gares routières d’Auxerre et de Sens, dans les rues des cœurs de ville de ces deux agglomérations.

Les vide-greniers, activité très suivie dans notre zone géographique, n’ont plus lieu d’être. Tout comme les manifestations familiales ou festives de plus de trente personnes dans les ERP ou encore l’interdiction de pratiquer la danse dans ces mêmes établissements.

 


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La mobilisation demeure le mot d’ordre prioritaire dans la bataille livrée au coronavirus pour la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie. L’institution ne s’est jamais départie de sa mission première durant la longue période de confinement. Ainsi, elle a évité les interruptions de paiement des prestations versées aux assurés sociaux. Le télétravail a été préconisé en obtenant de réelles satisfactions quant à ses effets…

AUXERRE : Pas l’ombre d’un retard dans le traitement des innombrables dossiers gérés par la CPAM de l’Yonne. La caisse départementale a poursuivi ses activités comme si de rien n’était durant la période critique de la pandémie de la COVID-19. Privilégiant au passage la mise en place du télétravail pour une majeure partie de son personnel. Celui qui occupe des tâches facilement localisables, y compris à domicile.    

La direction de l’établissement a tenu à remercier lors d’un point avec la presse ses collaborateurs. Ces derniers ont su faire preuve d’abnégation durant la phase optimale de la crise. Ils n’ont pas rechigné à effectuer des heures supplémentaires qui auront permis de résorber le trop plein de travail.

Preuve que l’initiative du télétravail a convaincu les forces vives de l’organisme, il est aujourd’hui question de prolonger le dispositif. Au vu du contexte actuel avec l’amorce d’une seconde vague qui accentue la présence de l’infection virale dans l’Yonne.

 

Une dotation de 180 micro-ordinateurs à venir…

 

Une réflexion est menée à l’heure actuelle en concertation avec la CNAM, la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie. Un nouvel accord pourrait être signifié à l’issue de ces discussions. Sachant qu’en l’état actuel des choses, ce sont de 40 à 50 agents qui bénéficient encore de ces mesures sécuritaires au lieu de cent-trente personnes au plus fort de la crise.

La CPAM de l’Yonne se prépare à obtenir une dotation de 180 micro-ordinateurs. Ces appareils seront affectés aux collaborateurs pouvant faire l’objet de ces mesures. Précisons que la structure emploie localement 270 salariés.

Toutefois, le besoin du personnel de se retrouver en présentiel s’est également fait ressentir. D’une part pour optimiser les attentes liées à de la formation, et d’autre part, pour développer ce nécessaire lien social, qui représente le ciment utile à toute relation professionnelle pérenne.

L'application de cette stratégie est en attente de la signature d'un nouveau protocole...


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Pas de surprises dans les annonces du préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de la conférence de presse qui s’est tenue ce samedi 03 octobre en matinée. L’Yonne se retrouve de nouveau en état d’alerte. Notamment dans deux de ses plus grandes agglomérations. C’est la strate initiale d’une échelle de valeurs qui en comptabilise quatre pour mieux appréhender le risque sanitaire encouru par la population avec la présence du coronavirus. Dès lundi, les principales voies pénétrantes d’Auxerre et de Sens ne pourront être fréquentées sans le port du masque. Il faudra donc s’y habituer…

AUXERRE : C’était couru d’avance. Tant les statistiques dévoilées par les services de l’Agence Régionale de Santé (ARS) s’orientaient depuis plusieurs semaines vers l’inéluctable. A l’instar de la situation observée dans d’autres départements de notre contrée : la Côte d’Or et le Doubs. L’Yonne est donc confrontée une fois encore à cette situation complexe de l’état d’alerte du fait de la propagation active de l’épidémie de la COVID-19.

Et ce n’est pas de gaieté de cœur, on s’en doute, que le représentant de l’Etat Henri PREVOST a dû faire l’annonce via un point presse de nouvelles mesures de protection pour tenter d’enrayer la chaîne de contamination. Deux villes inquiètent plus spécifiquement le haut fonctionnaire : celles d’Auxerre et de Sens. Aujourd’hui, la capitale de l’Yonne est sous haute surveillance. L’épidémie s’y développe plus qu’à la normale.

Après avis de l’ARS, le préfet n’avait d’autres alternatives que d’adopter très vite une ligne stratégique proportionnée au contexte ambiant. Celle-ci se décline en plusieurs items. Tous seront applicables dès le lundi 05 octobre, et ce, pour une quinzaine de jours.

 

Limiter les risques de circulation du virus pour éviter le pire…

 

Depuis le 01er octobre, le département septentrional de la Bourgogne Franche-Comté faisait l’objet de tous les intérêts auprès des services de l’Agence Régionale de Santé. Via deux indicateurs très significatifs : le taux d’incidence sur une population de cent mille âmes et le taux de positivité des personnes testées.

Communiqués par la déléguée départementale de l’ARS dans l’Yonne, Eve ROBERT, les chiffres ne bercent pas les analystes vers un optimisme béat. En un laps de temps très court, le taux d’incidence s’est situé à 64 nouveaux cas pour 100 000 habitants. Alors que le dépassement du seuil d’alerte est en principe atteint dès que l’on excède les 50 cas, comparativement à ce même critère de 100 000 habitants.

Du côté de la positivité des tests, les ratios ne sont guère florissants là-aussi. A ce jour, le taux est de 7 % alors qu’il devrait se situer en deçà de 5 % pour que notre territoire demeure en vert.

Dans le concret, quatorze personnes ont été admises ces jours-ci dans les centres hospitaliers d’Auxerre et de Sens. Deux d’entre elles ont été affectées en réanimation. Rappelons que l’Yonne ne recense que dix-huit lits dans ce service, devenu le point névralgique de la lutte contre cette épidémie virale.

 

 

Des contrôles plus préventifs que répressifs des forces de l’ordre…

 

Face aux problématiques inhérentes à ce service et afin d’en maîtriser le plus possible les conséquences au niveau des tensions, Henri PREVOST a préféré abattre de son jeu la carte de l’anticipation. En prenant par arrêtés un certain nombre de dispositifs qui se mettront en place à la sortie du week-end. 

Des mesures qu’il explique dans le seul but de se protéger mutuellement et de ne pas exposer les plus fragiles de nos concitoyens à des risques éventuels.    

Le port du masque se retrouve ainsi en première ligne de ce plan de campagne pour gagner la bataille. La préfecture le rend obligatoire dès le 05 octobre sur l’ensemble des marchés (couverts et extérieurs) et aux abords des établissements scolaires du second degré (collèges, lycées, centres de formation par apprentissage…). Sans qu’il n’y ait réellement de périmètre indiqué pour son usage. Les gares routières s’ajoutent à cette liste.  

Mais, s’il ne fallait retenir qu’une seule décision dans cette panoplie de mesures, ce serait celle-là : l’adoption du port du masque dans les rues principales des cœurs de ville d’Auxerre et de Sens.

 

 

 

Le résident de l’hôtel de la préfecture a pris soin en amont de contacter les deux édiles de ces villes, Crescent MARAULT et Marie-Louise FORT pour établir la liste des rues impactées par ce dispositif. Il s’agit de voies d’accès pénétrantes, choisies délibérément pour leur cohérence et la densité de leurs fréquentations.

Le masque y sera obligatoire entre neuf et vingt-et-une heure chaque jour de la semaine, même le week-end. A Auxerre, les rues du Pont, celle du Temple, la place des Cordeliers ou la rue de Paris sont concernées. A Sens, le quartier des Champs-Plaisants ou encore les accès qui mènent de la gare SNCF au cœur de ville bénéficieront de ces mêmes mesures.

La surveillance sera assurée par des contrôles réguliers des forces de l’ordre qui feront preuve d’une relative souplesse avant de verbaliser les récidivistes. Le but n’étant pas de mettre une amende de manière systématique aux contrevenants. Mais, d’encourager aux gestes qui sauvent selon Henri PREVOST.

La difficulté pour les piétons sera de se souvenir des rues où il est nécessaire de porter le masque ou non. D’autant qu’aucune signalétique ne viendra mentionner si l’on est dans une rue autorisée à circuler librement.

Une cartographie détaillée indiquant les itinéraires précis a été réalisée pour les deux agglomérations icaunaises.

 

 

Ne pas développer de clusters familiaux…

 

Quant aux évènementiels d’origine familiale, ils se situent dans l’œil du cyclone des nouvelles directives préfectorales. Conséquence, dès le 05 octobre, les rassemblements festifs de plus de trente personnes dans les établissements accueillant du public sont proscrits jusqu’à nouvel ordre. Cela concerne les mariages mais aussi les anniversaires et les baptêmes. A contrario, les associations ont toujours la faculté de se retrouver pour une réunion statutaire de type assemblée générale.

Les rassemblements festifs chez les particuliers ne peuvent subir de contrôles, il va de soi. Le préfet en appelle à la vigilance accrue et à la responsabilité de chacun si de tels évènements devaient se tenir.

C’est un nouveau coup dur pour les professionnels des métiers de bouche, en particulier les traiteurs qui souffrent déjà de la conjoncture. Henri PREVOST a rappelé que ces entrepreneurs pouvaient bénéficier des mesures nationales mises en œuvre dans le cadre du plan de soutien.

L’exemple des vide-greniers (on le sait, ils font florès dans le département) a été également abordé. Partant du postulat qu’il est très difficile de faire respecter les gestes barrières durant ces animations, le préfet de l’Yonne en a décidé l’interdiction sine die.

 

 

 

La sphère sportive est aussi concernée par l’application de ces nouveaux arrêtés préfectoraux. Ainsi à l’AJA, les autorisations ponctuelles d’accueil de public de plus de cinq mille personnes sont remises en cause dès samedi. Le club de Francis GRAILLE qui livrera bataille ce soir contre l’Athlétic Club d’Ajaccio verra sa jauge de spectateurs qui plafonnait jusque-là à sept mille places revenir à cinq mille supporters.

Pour être tout à fait complet sur ce lot de nouvelles dispositions à venir, précisons que les autorisations d’ouverture tardive dans les bars ont été suspendues sur l’ensemble du territoire. Les débits de boisson devront cesser toutes leurs activités à une heure du matin en semaine. Un léger répit, jusqu’à deux heures, leur est accordé le week-end…

Quant à un retour au confinement pur et dur comme cela fut le cas au printemps, il n’est même pas hypothétique de l’envisager pour le préfet de l’Yonne, bien décidé à contenir la seconde vague de l’épidémie le plus longtemps possible.

 

 


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Référence mondiale dans l’art du dressage animalier, le dirigeant de la société « FAUNA et Films » était de passage à la Pyramide du Loup pour y animer une conférence. Avec plus de trois mille films et spots publicitaires à son actif, le personnage a tourné avec les plus grands, aux côtés de Jean-Paul RAPPENEAU « Le Hussard sur le Toit » ou de Ridley SCOTT, pour « Gladiator » où il a dû discipliner plus de 8 000 corneilles, pies et autres étourneaux dans une scène dantesque de ce blockbuster…   

 

INTERVIEW : Quelle est votre spécialisation ? 

Mon entreprise « FAUNA et Films » est spécialisée dans le dressage d’animaux pour des films, séries de télévision ou clips vidéo. Elle est également active dans la protection des espèces rares en favorisant la reproduction afin de relâcher dans les espaces naturels ces animaux. Comme des singes en Afrique ou des oiseaux dans le ciel des Balkans, par exemple. Nous sommes établis vers Fontainebleau.

Combien d’animaux composent votre ferme en plus des sept loups présents à ces journées spéciales de Toucy ?

C’est plus de 350 animaux de toutes espèces que nous accueillons : des oiseaux, panthères, cerfs, écureuils, singes mais aussi des chiens, chats, poules…. Avec les soigneurs dont Yzold, on les élève tout petit pour la plupart afin de les familiariser avec l’homme.

Quels sont vos projets en cours ?

On vient de finir une série pour NETFLIX : elle sortira prochainement. Cette semaine, je pars sur un tournage avec Jean-Pierre GENEY. Je suis également sur le projet de Quentin DUBIEUX. Ces projets étaient prévus avec le confinement et les tournages ont été décalés.

Avez-vous été touché par la crise sanitaire ?

Plutôt oui ! Je termine actuellement tous les projets signés avant la crise sanitaire. Mais, il n’y a rien de nouveau qui se profile à l’horizon ; et ça, c’est une première depuis que je suis dans ce métier. Les cinémas fermés mais surtout les conditions sanitaires imposées freinent la reprise des tournages ou de nouveau projet. Il ne faudrait pas que cela dure trop longtemps sinon cela va vite devenir compliqué, pour pouvoir continuer de s’occuper des animaux entre autres.

Propos recueillis par Maryline GANDON

 

En savoir plus :

En savoir plus sur Fauna et films https://www.fauna-films.com/ 

 


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La journaliste/écrivaine de l’Yonne, férue de belles mécaniques et fondatrice du site « Charlotte au volant », n’a pas la langue dans sa poche. Il suffit de lire son dernier opus, « Le Journal d’une Pétasse au volant », pour extraire de l’ouvrage la substantifique moelle de sa plume incisive et admettre que ce « bel esprit » débridé n’est jamais à court d’arguments. Eric BRUNET, dans son émission sur LCI, a pu juger de la répartie et du savoir de cette spécialiste de l’automobile…

PARIS : L’émission vedette de la matinale sur LCI, « BRUNET Direct », a reçu par webcam interposée, la visite inattendue de la journaliste et romancière icaunaise Anne-Charlotte LAUGIER ce vendredi 25 septembre aux alentours de onze heures.

L’une des séquences de la programmation était fort judicieusement consacrée au malus automobile. Avec en filigrane, la probable hausse de la fiscalité qui pénalisera via une nouvelle taxe les conducteurs en 2021. Hausse qui serait applicable en fonction du poids des voitures, une idée défendue par la ministre de la Transition écologique, Barbara POMPILI.

Celle-ci, interrogée aux aurores sur une autre antenne (BFM TV), soutenait mordicus que le projet devant être initialement discuté à l’Assemblée nationale fin septembre était ajourné. Qu’à cela ne tienne, le membre du gouvernement concluait ses propos en évoquant un probable retour de la proposition dans l’hémicycle dès le printemps 2021.

Le sujet étant chaud brûlant, il était donc traité tout naturellement dans le talk-show du transfuge de RMC, Eric BRUNET, ce vendredi matin avec plusieurs invités sur le plateau.

Toutefois, l’une des oratrices qui devait se distinguer par ses propos n’était autre qu’Anne-Charlotte LAUGIER, que les Icaunais ont découvert par le biais de son site informatif, « Charlotte au Volant » et surtout, depuis cet été, en suivant les aventures rocambolesques de l’héroïne de son « Journal d’une Pétasse… ». Un livre qui a déjà dépassé les trois mille exemplaires.

 

 

Le malus auto à partir du poids : idée peu crédible ?

 

Si la spécialiste des essais automobiles préfère, et de loin, les berlines aux SUV, question de standing sans aucun doute, mais aussi de sensations ressenties derrière le volant du fait du centre de gravité du véhicule qui la positionne plus près du sol, elle n’aura pas manqué de tacler comme il se doit « la fausse bonne idée » gouvernementale du jour.

Catégorique sur le sujet, Anne-Charlotte LAUGIER en exégète de l’actualité automobile depuis la création de son premier support médiatique, « Eve Auto » en 2006, s’est montrée intarissable sur les comparatifs entre berlines et SUV, modèles dont les femmes sont pourtant très friandes. Mais, visiblement, cela n’est pas son cas.

Si la journaliste spécialisée pense qu’une hausse de la taxation est inéluctable du fait de la conception de véhicules de plus en plus gros et consommateurs en énergie de surcroît, elle pense a contrario que le gouvernement ne pourra pas inclure dans cette future mesure fiscale les véhicules électriques, hybrides et hybrides rechargeables.

Des arguments bien ciselés qui ont épaté les intervenants du plateau de LCI !

 

 


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