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La chose semblait pourtant entendue. Et ce, de manière définitive au terme de la dernière assemblée plénière du Conseil régional. Soit le 11 décembre dernier. Date à laquelle l’important domaine de 9,5 hectares de l’abbaye cistercienne devait être cédé pour un montant d’1,8 million à la Fondation du mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER. Depuis, le RN ne désarme pas. Ses élus appellent à la mobilisation générale pour éviter la privatisation du site…

DIJON (Côte d’Or) : La trêve des confiseurs n’étant déjà plus qu’un lointain souvenir, on pensait que le feuilleton relatif à la cession du domaine de la fameuse abbaye cistercienne de l’Yonne avait connu son épilogue définitif après la vente de ce dernier à la Fondation SCHNEIDER.

Une transaction qui avait nourri de ses débats enflammés l’hémicycle du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté lors de l’ultime séance plénière organisée le 11 décembre 2020.

Souvenons-nous : le mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER accédait enfin à son désir d’entreprendre dans l’Yonne : celui d’acquérir ce site patrimonial pour la coquette somme d’1,8 million d’euros. Il coiffait au passage l’autre prétendant à ce rachat pour le moins singulier, la Fraternité Saint-Pierre qui avait poussé la surenchère à 2,1 millions d’euros.

A l’époque, seuls les élus du groupe Rassemblement National avaient de manière très véhémente fait entendre leur discordance avec la teneur de ce projet. Lui reprochant par ailleurs son orientation trop mercantile, articulé autour de la construction d’un hôtel haut de gamme, d’un restaurant gastronomique et d’un centre d’art contemporain. Sachant que le prestataire de ce futur complexe hôtelier restait encore à trouver pour finaliser ce concept.

Si les Républicains s’étaient abstenus dans leur grande majorité au moment du scrutin, les représentants de Marine LE PEN avaient signifié leur désapprobation absolue en votant contre cette cession.

 

Les dangers d’une vente à un groupe privé…

 

Or, rejetant toujours le principe que l’une des plus grandes abbayes cisterciennes de France ne bascule vers la privatisation, les élus du RN remontent en ce mois de janvier au créneau pour empêcher que cette transaction ne se fasse réellement.

Dans un communiqué de presse, daté du 12 janvier, le parti « bleu marine » dénonce le choix voulu par la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY, de sa majorité mais aussi de la gauche et de la droite qui, selon lui, ont succombé aux chants des sirènes de l’industriel François SCHNEIDER en lui cédant ce bien séculaire.

 

 

 

 

« Les intentions de l’homme d’affaires sont apparues au grand jour le 17 décembre lors d’une conférence de presse (cf : elle fut organisée dans les locaux de la Maison de l’Entreprise à Auxerre en présence de Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et de la sénatrice Marie EVRARD) où le nouveau propriétaire a clarifié sans nuance ni détour que ce serait une forme de privatisation où il serait indispensable d’intégrer l’abbatiale pour réussir le projet… ».

Dès le 26 novembre, en amont de la décision finale, les conseillers régionaux Julien ODOUL et Jacques RICCIARDETTI avaient mis en garde sur les dangers de cette vente du domaine régional en interpellant la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT. En vain, visiblement.

 

Sauver Pontigny, le nouveau leitmotiv contestataire du RN…

 

Dès lors, les élus du Rassemblement National n’ont eu de cesse de dresser  le flambeau contestataire contre cette opération en multipliant les appels à la mobilisation de l’ensemble des acteurs nationaux et locaux.

L’objectif étant d’éviter que ce joyau du patrimoine culturel, religieux et historique de l’Yonne ne tombe dans l’escarcelle de la fondation.

Arguant que ce lieu historique demeure la propriété de la commune et qu’il est encore à l’heure actuelle affecté au culte, les conseillers régionaux du Rassemblement National veulent par leur initiative sauver Pontigny. S’insurgeant que ce soit un propriétaire privé qui décidera à l’avenir des conditions d’accès, tant en termes de prix que de temporalité, des visiteurs sur ce site emblématique. Un combat qui ne fait que commencer selon eux…

 

Thierry BRET

 


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Veillée d’armes pour la députée de la troisième circonscription de l’Yonne Michèle CROUZET. Aux côtés de deux autres élus de l’Assemblée nationale, la parlementaire du Sénonais dévoilera le contenu du rapport de la mission d’information sur les sels présents dans l’industrie agro-alimentaire. Une conférence de presse organisée ce mercredi 13 janvier à Paris permettra de faire toute la lumière sur les additifs nitrés utilisés dans la conception des produits de la charcuterie.

PARIS : Producteurs artisans ou industriels, associations de consommateurs, experts scientifiques, représentants de la profession des bouchers, charcutiers et traiteurs, services administratifs de l’Etat… : tous ou presque ont eu voix au chapitre lors de la quarantaine d’auditions diligentées par la mission d’information sur les additifs nitrés dans l’industrie agro-alimentaire.

Une mission portée depuis le 03 mars 2020 par trois élus de l’Assemblée nationale, à savoir les députés Barbara BESSOT-BALLOT (LREM), Michèle CROUZET (MoDem) et Richard RAMOS (MoDem).

Objectif de cette initiative : interdire de manière progressive la présence des additifs nitrés dans l’un des produits phare de la gastronomie ayant les faveurs des consommateurs de l’Hexagone, la charcuterie. Des produits trop souvent pointés de l’index par une large frange du corps médical pour ses aspects cancérigènes…

Dès sa mise en place, la mission d’information a voulu faire toute la lumière sur l’utilisation de ces additifs nitrés (nitrites, nitrates…) dans les produits de charcuterie. Des additifs suspectés de provoquer des risques pour la santé humaine. Au bas mot, quatre mille cancers pourraient ainsi être évités chaque année si l’on retirait de l’alimentation ces nitrites et autres nitrates.

 

 

 

La FICT est prévenue face aux nouvelles règles…

 

Mercredi, les trois rapporteurs de cette mission d’information livreront leurs analyses fondées sur les enjeux scientifiques, économiques, industriels, culturels et sociaux attachés à l’emploi des additifs nitrés dans la fabrication de la charcuterie.

Conséquence : sept propositions seront ainsi formulées afin de permettre la mise en œuvre et l’accompagnement d’une interdiction progressive de l’utilisation de ces substances, conformément à la proposition de loi déposée par les trois rapporteurs le 14 décembre 2020.

Des préconisations qui ne devraient sans doute pas satisfaire les membres de la Fédération française des industriels charcutiers traiteurs (FICT) invités à ne plus ajouter d’additifs nitrés dans leurs produits dès 2023 pour les charcuteries crues et en 2025 pour les charcuteries cuites.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il est le premier des représentants d’organismes consulaires de notre département à formuler ses vœux à la presse avec cette nouvelle année qui débute. Sans attendre de quelconques salamalecs protocolaires, Arnaud DELESTRE est déjà dans les starting-blocks de la communication pour faire entendre la voix de l’agriculture. Sa conférence de presse ce mardi permettra de tracer les lignes directrices d’un monde agricole en proie aux doutes et autres interrogations…

AUXERRE : Bien sûr, il sera question de tirer les enseignements de cette « drôle » d’année 2020 dont beaucoup veulent oublier de leurs mémoires jusqu’à son existence !

Entre crise sanitaire et crise économique, le monde de l’agriculture a payé lui aussi un lourd tribut parmi cet environnement austère à toutes velléités entrepreneuriales.

Aussi, c’est surtout les perspectives qui peuvent augurer de la bonne qualité du nouvel exercice 2021 où le président de la Chambre départementale d’Agriculture Arnaud DELESTRE a choisi de mettre le curseur.

Pour le deuxième rendez-vous oratoire de la sorte depuis qu’il a succédé à Etienne HENRIOT, le président de la chambre agricole de l’Yonne aura tout le loisir de dérouler un aperçu détaillé, filière par filière, des grands enjeux de demain.

Gageons qu’ils seront nombreux à être décortiqués au millimètre près face aux représentants de la presse régionale tant les dossiers sont multiples…

 

Une nouvelle PAC sur la période 2021/2027…

 

Sachant que la nouvelle PAC (Politique agricole commune) à l’échelle de l’Europe couvrira la période 2021/2027. Les décisions prises au niveau continental sont très attendues par les agriculteurs de l’Hexagone. Tant sur la structuration des filières alimentaires que sur le développement des territoires ruraux et de l’éclosion de circuits de distribution de proximité. Auxquels il est nécessaire d’ajouter les questions inhérentes à l’environnement et au climat.

Toutefois, l’une des clés de voûte de la stratégie agricole en 2021 sera naturellement l’épineux sujet des revenus perçus par les professionnels. Et l’installation de jeunes agriculteurs près à assurer la relève.

Autant d’arguments informatifs que devraient étayer de ses propres réflexions le patron de la chambre consulaire dès mardi face à la presse…

Thierry BRET

 


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Sa plume aiguisée et son talent d’observateur font naître chaque semaine dans nos colonnes bien des réflexions pertinentes et acerbes sur le devenir de notre société. Pour autant, le garçon possède d’autres cordes à son arc. Toujours scripturales, certes, mais sur un tout autre registre que celui de la presse. Son dernier ouvrage le prouve : Jean-Paul ALLOU est bien le meilleur antidépresseur qu’il est judicieux de consommer sans modération en cette période de confinements successifs !

AUXERRE : L’ouvrage se lit de la première à l’ultime page, par dedans, à partir de n’importe où, sans masque ou avec lui si tel est votre désir, devant le feu de bois d’une cheminée chuintante, au fond de son lit douillet ou dans le salon, près du sapin illuminé !

Publié il y a quelques semaines, ce livre se définit tel le parfait antidote à la morosité ambiante, à la sinistrose galopante qui a envahi tel un lichen putride toutes les surfaces de notre âme et de notre corps, renvoyant cette existence qui ne se résume plus que d’ordinaire à cette litanie insupportable, auto, boulot, dodo, à sa triste réalité !

S’inspirer du règne animal pour en tirer des maximes profitables à notre condition humaine est le tour de passe-passe insolite et étonnant dans lequel se sont embarqués les deux co-auteurs de l’ouvrage.

France C. et Jean-Paul ALLOU, que les lecteurs de Presse Evasion, connaissent bien à la lecture de tribunes hebdomadaires qui ne manquent jamais de nous titiller les neurones. Et surtout nous permettre de nous interroger sur le sens profond de ce barnum planétaire où nous nous mouvons au quotidien.

Alors, quand ils décident de concert d’effleurer l’histoire et la culture de ces proverbes qui enjolivent parfois nos discours, c’est une vraie bouffée d’oxygène intellectuelle qu’ils soumettent à notre sagacité.

Une large parenthèse sur les procès d’animaux depuis le Moyen-Age à nos jours, nous offre l’heureuse opportunité de mieux comprendre le fonctionnement de l’humain autour de faits bien réels qui prêtent à sourire, voire à s’esclaffer. Cela va de l’excommunication d’un cochon au XIIème siècle jusqu’à la guillotine réservée à un malheureux perroquet qui osait crier « Vive le roi ! » en 1789. Sale temps pour le volatile !

 

Des bouquets de sourires et un feu d’artifice de bons mots en gerbes de fous rires !

 

Disons-le tout de go, « Animalement Vôtre » se découvre avec finesse et élégance. L’ouvrage ne sera jamais tiré à des millions d’exemplaires sauf si la Sécurité sociale en annonce le remboursement pour ses facultés antidépressives et joyeuses sur l’esprit humain !

A mettre entre toutes les mains, il traduit la belle complicité existante entre ces deux auteurs inclassables, iconoclastes mais tout aussi sages, loin des sentiers battus et qui refusent la dictature de la norme ! Leur humour est potache, décapant à souhait, et nous plonge le plus souvent dans les facéties de notre enfance.

On peut classer ce livre parmi les recueils de dictons, de proverbes et de citations à caractère animalier, agrémentés de jeux de mots et de commentaires tantôt caustiques, parfois aux limites du grivois et souvent aux antipodes du conventionnel ! 

Après deux romans autobiographiques, huit recueils de poésie et la chanson des fêtes du centenaire de la statue de la Liberté (« Liberté » chez Polygram), Jean-Paul ALLOU a su façonner sa prose en la mettant au service de l’humour.

Les illustrations de cet opus sont assurées par France C., écrivaine, artiste peintre, qui a illustré précédemment tous les recueils de poésie de Jean-Paul. Ce nouvel exercice où l’animal règne en maître puisqu’il en est la source d’inspiration organique lui offre la possibilité de démontrer son art et son talent.

Ses illustrations confèrent au livre la cohérence du texte et révèlent le parfum suranné de la légèreté des mots.

 

Un humour potache à partager sans modération au pied du sapin !

 

A la question, comment cette idée de livre a pu germer en vous ? L’auteur et confrère répond avec la complicité de sa proche collaboratrice, de la manière suivante : « Parfois nous joutons sur la foi, la politque, l’économie,…et autres réflexions du genre  « ne pas confondre l’homme et l’acte »… On fait de la philosophie à deux sesterces ! L’un de nous s’est écrié, on peut faire un peu de monnaie avec un bouquin écrit à deux mains ! L’autre répondit « ne vend pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué ! ». L’idée d’un ouvrage sur les proverbes mettant en scènes des animaux venait de naître… Avec la volonté de faire sourire et de donner l’envie de rire : attention, ça peut être très pénible une itération de proverbes… De toute façon, on a bien ri en écrivant ce livre et nous espérons partager notre bonne humeur. Comme le disait Coluche : « ce n’est pas parce qu’on est payé quand plus il faut qu’on s’emm… ! »

On ne peut résister devant cet humour contagieux de vous livrer un extrait de ce recueil : « Que dit un quiscale en passant au dessus d’un four à pizzas : cuit,cuit,cuit… ! Définition de quiscale. C’est un oiseau d’Amérique centrale ressemblant au corbeau. Afin que toutes les lettres de l’alphabet soient représentées, nous avons inventé ce dicton qui fera date dans la folle histoire du monde : quiscale un entonnoir sur la tête, psy sur le divan. Lacan Diraton.»

De l’humour au premier degré tel que pouvaient l’imaginer et le transcrire avec subtilité des sommités dans le genre tels Pierre DAC ou Pierre DESPROGES.

Après tout, un adage précise que « le rire vaut bien un bon bifteck », alors en cette période de tristesse absolue et de réveillons à se tirer une balle dans la tête afin de respecter les mesures sanitaires , il n’y a qu’un seul remède : se procurer au plus vite « Animalement Vôtre » et en faire sa saine lecture avant les douze coups de minuit !

 

En savoir plus :

« Animalement Vôtre » de France C. et Jean-Paul ALLOU

Editions EDILIVRE

Sur les plateformes numériques,

25 euros

 

Thierry BRET

 


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Le défi est de taille. Presque surréaliste par l’ampleur de sa configuration. Il en aurait rebuté plus d’un qui se serait déjà contenté de baisser les bras juste à l’idée de le faire. Oui, mais voilà : la directrice de publication du magazine « vitamines » en ingurgite suffisamment à forte dose pour conserver la foi en son « bébé ». Imposer sa revue dans tous les kiosques de l’Hexagone, ce qui n’est pas un rêve pieu. Et en cette période de Noël, on peut toujours croire en son destin quand on sait forcer les choses …

AUXERRE : Il lui en faut de la détermination et du tempérament chaque jour que Dieu crée. Et pas qu’à simple dose homéopathique pour tenir le choc ! Concevoir une nouvelle arborescence à son magazine arts de vivre qui gonfle de volume par rapport à sa version originelle (aujourd’hui 84 pages) nécessite beaucoup d’énergie et de la praticité. De cela, Isabelle COSEMANS n’en manque pas : elle en a à revendre !

Mais, diffuser sous la forme d’une immense phase test son dernier opus, intégralement relooké, auprès de 1 700 points de distribution répartis sur dix-sept départements du secteur Centre-Est ne s’appréhende pas tous les jours ! On la sent fébrile, impatiente de connaître les résultats des premières ventes et excitée par cette toute nouvelle aventure. Qui ne le serait pas en vérité !

 

Une nouvelle mouture diffusée en kiosque depuis un mois…

 

Le média du bien-être et de la détente made in Yonne s’offre donc une cure de jouvence salvatrice trois ans après la publication de son numéro initial. Avec un sérieux changement de cap et de stratégie à son actif.

Exit le support gratuit qui ornementait les devantures vitrées des commerces des cœurs de ville et s’étalaient sur les rayonnages publicitaires ou dans les salles d’attente, place à un tout autre challenge.

D’envergure national, celui-là, qui pourrait augurer de belles perspectives en cas de réussite. Celui de figurer parmi la liste pléthorique de cette presse spécialisée qui fait l’apologie de la détente, des arts de vivre, du bien-être et des loisirs. Des ouvrages pas uniquement destinés à satisfaire le lectorat féminin, on s’en doute…

Certes, la conjoncture liée à la crise sanitaire ne pouvait pas plus mal tomber pour rendre complexe la période de lancement de ce magazine. La fête prévue initialement par la responsable du titre afin d’en officialiser la sortie aura donc tourné court. Un couac indépendant de sa bonne volonté qui lui reste en travers de la gorge avec un brin de désolation dans le regard, en attendant des jours meilleurs.

 

 

Nonobstant, l’édition de ces exemplaires matriciels a pu être réalisée dans les délais impartis par CHEVILLON Imprimeur.

Accueilli en kiosque depuis un mois, avec le concours de la société de distribution MLP, le magazine « bonne mine » est tout de même entré dans la cour des grands. Aux côtés des majors de la presse parisienne spécialisée dans ces thématiques ludiques qui permettent d’éclairer à coups de projecteurs pratico-pratiques et de visuels très alléchants les lecteurs en quête d’inspiration sur la décoration, la mode, le logement, la gastronomie, la santé, le bien-être, l’enfance ou le tourisme. Des cibles de réflexion que reprend à son compte « Co’Coon Magazine » dans sa grille de lecture.

 

Une stratégie économique dûment réfléchi avec un club d’investisseurs

 

Affichant un prix de vente établi à 5,90 euros, le média devrait progressivement être implanté dans le reste de la France sans doute au printemps. Toutefois, la prudence reste de mise compte tenu du délicat contexte actuel.

Epaulée dans le choix de ses orientations stratégiques par le club d’investisseurs KUB, Isabelle COSEMANS cherche à lever des fonds pour rendre viable son produit, ouvert aux abonnements et à la publicité.

Sa présence sur la plateforme numérique ULULE lui offre aussi une tangente visible du côté de l’économie participative via le crowndfunding.

La responsable de la SASU PEP’S Communication qui porte le projet espère publier six numéros à l’année, en sollicitant une équipe de chroniqueurs s’exprimant sans standard et avec légèreté d’esprit dans les formes scripturales pour alimenter les différentes rubriques tendance. Un petit noyau dur, constitué d’autoentrepreneurs, apporte sa plus-value à la conception graphique et visuelle du support.

Vingt-trois numéros de ce magazine édités à 16 000 exemplaires étaient parus lors de la première tranche de vie de ce média au plan départemental qui avait vu le jour en 2017. Combien le seront à la suite de cette nouvelle aventure réalisée à l’échelle de l’Hexagone ? Le plus grand nombre, souhaite l’entrepreneuse icaunaise…

 

Thierry BRET

 


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