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Il le clame haut et fort. « Ce sera mon ultime mandat ! ». Condition sine qua non de cette affirmation : s’il est élu, bien sûr ! Pourtant, Michel DUCROUX, conseiller sortant de cette équipe newlook, du haut de ses 73 printemps, ferait presque office de jeune homme tant il a de l’énergie à revendre et des idées qui lui fourmillent dans la tête. Aux côtés de l’adjointe à la Ville d’Auxerre Emmanuelle MIREDIN aux multiples casquettes, il forme un binôme orienté sur les investissements, la formation et la solidarité…

 

AUXERRE : Il est âgé de 73 ans Michel DUCROUX ? Qui pourrait le croire, en effet, lorsque qu’il annonce de manière anodine et tout sourire son âge en expliquant sa profession de foi ! Et ses motivations à reprendre le collier lors de cette campagne électorale amputée de ses réunions et autres meetings, à l’assaut d’un nouveau mandat.

Ce toujours fringuant jeune homme de la politique icaunaise possède pourtant un joli pedigree derrière lui. Il officie en qualité de premier adjoint dans la commune de Saint-Georges-sur-Baulche et est l’un des élus de la majorité départementale à porter aux nues vers le fauteuil de président, son candidat de prédilection pour cette joute 2021, Patrick GENDRAUD.

Alors, le retrouver sur la grille de départ de cette nouvelle compétition qui a débuté officiellement le 01er juin n’a vraiment rien de surprenant, en soi. Mais de là à l’entendre dire que quoi qu’il advienne (en cas de réélection, de toute évidence !) qu’il ne briguerait pas un autre mandat au terme de ces six prochaines années, c’est là que se situe l’effet de surprise.    

 

 

 

Parce que dès qu’il évoque le bilan de la majorité départementale (une réduction drastique de la dette qui offre aujourd’hui de réelles perspectives d’investissements à la collectivité), le regard de Michel DUCROUX brille de mille feux, enthousiaste. Surtout si les fruits de cet excédent qui n’a rien de providentiel peuvent arroser le canton qui lui est cher, soit celui d’Auxerre 1.

D’un mandat de pure gestion à ses débuts, la gouvernance voulue par Patrick GENDRAUD s’est donc transformée finalement en mandat d’investissement. Les conseillers sortants veulent désormais profiter de la manne pour resocialiser et développer les zones territoriales dont ils sont les porte-paroles.

Pour l’épauler dans cette phase de conviction à faire entendre à ses administrés, Michel DUCROUX ne sera pas seul, bien évidemment.

 

 

 

Un binôme au versant féminin orienté vers la solidarité et l’emploi…

 

L’autre facette de ce binôme inédit qui ne manque pas de peps à première vue se nomme Emmanuelle MIREDIN. On ne présente plus cette dernière. Secrétaire générale de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME), la quadragénaire a eu l’opportunité de se faire les dents et de les aiguiser sur moult dossiers d’importance dans le sérail complexe de ce corporatisme en apprenant les rudiments du métier avec Olivier TRICON, son président. Pas si simple, en vérité !

En outre, la jeune femme a esquissé ses premiers pas dans la sphère politique en 2020, figurant en pole-position des lieutenants inconditionnels inféodés à la cause de Crescent MARAULT ; devenu entre-temps président de l’Agglo et édile du chef-lieu de l’Yonne.

Grand bien lui en a pris ! Car, désormais Emmanuelle MIREDIN se taille la part du lion dans les délégations municipales à gérer. Puisqu’elle est en charge de la communication, du développement numérique et surtout de la formation professionnelle/insertion (sa véritable priorité) dont elle fait son cheval de bataille en cas de succès au soir des 20 et 27 juin.

 

 

L’autre item qui lui tient à cœur, c’est la solidarité. En créant, selon ses propos, des liens en étroite osmose avec l’emploi.

Du côté des suppléants, on retrouve dans cette liste aux couleurs de la droite, du centre droit et des indépendants, deux autres figures du landerneau politique. D’une part, Nordine BOUCHROU, adjoint à la Ville d’Auxerre en charge de l’urbanisme et des travaux, entrepreneur lui-même puisque dirigeant une PME spécialisée dans le conditionnement de bois, et d’autre part, la conseillère municipale de Lindry qui officie aux finances, Marie-Claire REROLE.

Au-delà du projet qu’ils incarnent, ces quatre composantes de cette liste qui veut offrir une vision globale sur la mandature à venir en appellent aux abstentionnistes de les soutenir, afin d’empêcher les candidats du Rassemblement National de glaner de précieuses voix…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Ils se définissent comme les candidates et candidats du pragmatisme, celles et ceux qui arborent les couleurs vertes de la liste « Ecologistes et Solidaires ». Emmené dans l’Yonne par le très communicant conseiller d’opposition de Sens Mathieu BITTOUN, cet assemblage hétéroclite de candidatures s’inscrit dans la droite ligne de conduite de leur tête de gondole régionale, Stéphanie MODDE. « Les Verts ne recherchent pas le problème mais ne veulent traiter que les solutions ». Une maxime très vertueuse dont ils ont fait leur credo au quotidien…

 

AUXERRE: Envers et contre tous, les candidats de l’écologie pour ces échéances régionales ? Même s’ils n’ont pas succombé aux chants des sirènes de la majorité socialiste et divers gauche incarnée par la présidente de Bourgogne Franche-Comté partisane de l’union sacrée (un réel regret que déplore dans ses conférences de presse Marie-Guite DUFAY), il n’empêche qu’ils tenteront par tous les moyens de briller en convertissant grâce à leur programme plutôt copieux un maximum d’électeurs à leur cause afin de perpétuer les excellents résultats obtenus par leurs représentants lors des Européennes 2019.

Toutefois, à y regarder de très près, les écologistes traditionnels, ceux du vaisseau amiral d’Europe Ecologie Les Verts, ne se présentent pas seuls, en ordre de marche dans cette joute électorale d’importance, à disputer en deux temps et deux mouvements les 20 et 27 juin.

L’alliance a bel et bien eu lieu dans le sérail « verdoyant » de la politique de notre contrée puisque plusieurs partis de la même obédience intellectuelle ont pris soin de mutualiser leurs forces afin de constituer la liste de ces 116 noms la plus représentative possible à l’assaut de l’hémicycle régional à Dijon.

 

 

Deux leaders écologistes icaunais habitués aux joutes électorales…

 

Au-delà de la majorité de candidatures à l’estampille EELV, le nouvel élan écologiste et solidaire qui est dévoilé à la presse au détour de conférences rondement menées par leurs interlocuteurs place aussi en exergue les candidats issus de Génération Ecologie et de Cap Ecologie, qui résulte de la convergence d’intérêts entre Cap21 et de l’Alliance écologiste indépendante.

L’impulsion de cette équipe icaunaise est donnée par son chef de file, le conseiller municipal d’opposition de Sens, Mathieu BITTOUN. Un garçon parfaitement rôdé à ce genre d’exercice au vu de ses engagements antérieurs. Lui, il aime défendre ses idées et celles qui émanent de sa formation pour « sortir » des phases de vide. Celles-ci ne manquent pas, il est vrai, tant en matière de dossiers strictement environnementaux que sociétaux !

 

 

Chantre de la démocratie participative, Mathieu BITTOUN pourra donc compter sur une structure décisionnaire finement choisie, articulée autour d’enseignants, d’élus, de spécialiste de la communication, de médecins, de fonctionnaires ou d’étudiants. En seconde position de cette liste : ce n’est pas une surprise, on retrouve Florence LOURY.

L’ancienne candidate aux municipales à Auxerre, devenue depuis conseillère d’opposition, tant à l’Agglo qu’à la ville, pose suffisamment de questions pertinentes durant les séances plénières de ces institutions pour se faire rappeler au bon souvenir de l’édile Crescent MARAULT !

Et démontrer ainsi qu’exercer un mandat dans le rôle de l’opposant ne signifie pas de garder le silence en attendant des jours meilleurs !

 

 

Un second lycée dans le Sénonais : une réelle priorité…

 

Si vingt-deux grandes propositions figurent dans le programme à mettre en application en cas de succès de la liste au soir du 27 juin, retenons quelques mesures phares.

A l’instar de la transition écologique qui est créatrice de moult emplois ne pouvant être délocalisés, citons également parmi ces axes de travail le développement de la formation professionnelle, la résilience écologique des établissements scolaires de l’Yonne (lycées), le soutien massif à l’agriculture bio avec des aides à la reconversion et l’installation du maraîchage bio, l’essor des circuits courts, le tourisme solidaire, la démocratie participative, etc.

Un particularisme plus local vient se greffer également sur ce programme écologiste : la création d’un second lycée dans la partie septentrionale de l’Yonne. Ce nouvel établissement viendrait résoudre une sérieuse problématique : le trop plein d’élèves qui fréquentent le lycée Janot-Curie. Une récurrence observée de longue date mais qui n’a pas fait l’objet de changement de fusil d’épaule à Dijon.     

 

 

 

 

A contrario, le volet sécuritaire ne semble pas être la priorité des écologistes. D’une part, le sujet n’intègre pas les compétences régaliennes de ladite institution régionale. D’autre part, les Verts désavouent la stratégie « alarmiste » du Rassemblement National qui fait son beurre avec le désespoir et les effets de caisse de résonnance d’une société surmédiatisée.

Quant au contournement sud de la capitale de l’Yonne, Auxerre, devenu l’un des items référentiels de chacune des têtes de file régionales de passage en terre icaunaise, les candidats d’Europe Ecologie Les Verts et des partis écologistes associés n’y voient pas d’inconvénient.

Mais, s’ils sont élus fin juin, les défenseurs des idées de Stéphanie MODDE veilleront à ce que soit réalisée une route simple, comprenant quelques passages de deux à trois voies, sans qu’il y ait une artificialisation des sols. Et que cela ne soit pas préjudiciable à l’environnement…mais, c’est une évidence lorsque l’on est écologiste !

 

 

La liste


1. Mathieu BITTOUN, EELV, directeur de projets informatiques, élu municipal et communautaire à Sens

2. Florence LOURY, EELV, enseignante, élue municipale et communautaire à Auxerre
3. Didier IDES, sans étiquette, maire de Sauvigny-le-Bois, agriculteur retraité
4. Florence MOULINET, EELV, artiste peintre, adjointe à la culture à Deux-Rivières
5. Jean-Marc COLLET, CAP ECOLOGIE, fonctionnaire territorial
6. Laurane BEGUINE, EELV, étudiante
7. Victor COSTA, sans étiquette, couvreur, membre de la Convention Citoyenne pour le Climat

8. Laure TIMON, EELV, enseignante
9. Benoit CHAISY, EELV, professeur d'EPS, cadre national du SNEP-FSU
10. Monique BEL, sans étiquette, ancienne responsable de communication et informatique
11. Ludovic AUDIARD, EELV, professeur histoire géographie
12. Elodie BERTIN, EELV, auto entrepreneure en archéologie, militante One Voice
13. Claude BUREAUX, sans étiquette, maître jardinier, écrivain, ancien chroniqueur jardin à Radio France, ancien directeur du Jardin des Plantes à Paris
14. Annie GHESQUIERES, EELV, kinésithérapeute en retraite

 

 Thierry BRET

 

 


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La France aurait-elle atteint un point de non-retour en matière de sécurité et de liberté profanée ? C’est ce que pense sans ambiguïté le leader du Rassemblement National qui, profitant de la présentation de ses partenaires icaunais engagés à ses côtés pour les échéances régionales, a pointé du doigt l’état de non-droit actuel. Bénéficiant du soutien inconditionnel des militants de l’Avenir Français, transfuges de Debout La France, le membre du bureau national de la formation bleu marine a placé sur le curseur des priorités les arguments sécuritaires en pôle-position…

 

AUXERRE : La France est-elle en état de déliquescence absolue en matière de sécurité ? Sans fioritures, la réponse formulée par le très médiatique porte-parole du Rassemblement National est plus que positive ! D’ailleurs, l’essentiel de ses propos, tenus lors de la présentation de ses colistiers icaunais lors d’une récente conférence de presse, ne laisse nullement la place aux doutes. L’Hexagone traverse une situation de crise aigüe et qui risque de perdurer longtemps si des mesures drastiques ne sont pas appliquées avec force et immédiateté.

Déplorant la perte de deux fonctionnaires dans l’exercice de leurs métiers, Julien ODOUL a eu une pensée et un temps de recueillement en mémoire du gardien de la paix Eric MASSON, abattu froidement dans une rue en Avignon.

Une tragique interpellation d’un dealer qui a viré au drame, provoquant l’ire du porte-étendard du RN en Bourgogne Franche-Comté : « La France doit mener un combat impitoyable contre ces trafiquants… ». Une véritable déclaration de guerre pour le conseiller municipal d’opposition de Sens qui s’insurge contre les perpétuelles incantations d’un gouvernement, laxiste à ses yeux parce que ne prenant pas les bonnes mesures coercitives.

 

Deux leitmotivs prioritaires : la sécurité et la protection des citoyens…

 

Au-delà de ces mots introductifs sans ambages, on l’aura compris : la tête de liste du Rassemblement National qui brigue un nouveau mandat d’élu à la Région tout en convoitant le fauteuil suprême de président de l’institution, place la sécurité et la protection de ses concitoyens parmi ses leitmotivs prioritaires.

Un choix stratégique dont il ne dérogera pas jusqu’au terme de son intervention puisque pour lui, « aucun organisme ne peut se dédouaner de cette mission ». Balayant d’un revers de la main ses nombreux détracteurs qui préfèrent être obnubilés sur d’autres thèmes de campagne que sont la santé ou l’éducation. Toutefois, le volet de la sécurité n’entre pas dans le domaine de compétence de l’organe régional. Il n’est de ce fait l’apanage que de l’Etat et de lui seul.

Qu’à cela ne tienne en vérité pour le communicant Julien ODOUL qui égrène ensuite une panoplie de mesures visant à renforcer la sécurité dans le territoire. Depuis le recrutement de compétences armées devant officier dans les gares routières et ferroviaires, y compris dans les moyens de transport, mais aussi d’agents assermentés qui viendraient grossir les rangs des effectifs de la police municipale.

Certes, elle n’est pas la panacée absolue mais la vidéo-protection gagnerait également les entreprises, soumises à de nombreux cambriolages depuis plusieurs mois. Les « bandes des pays de l’Est », visées par l’orateur du jour, n’auront plus qu’à pointer à Pôle Emploi !

Mais, au-delà de ces dispositifs anti-empêcheurs de tourner en rond, le chef de file de la formation bleu marine n’en oublie pas les victimes de ces actes d’incivisme et de non-respect d’autrui.

Ainsi, une enveloppe de 5 millions d’euros serait attribuée aux personnes ayant subi des violences conjugales et autres méfaits du même acabit qui paraissent à la une des pages faits divers des médias.

 

 

Des flèches acerbes adressées à ses adversaires…

 

Soucieux d’apporter du concret et du réalisme dans les réponses que souhaitent entendre son électorat, Julien ODOUL, s’il est aux commandes de la région, coupera les vivres à celles des structures et autres organisations associatives qui alimentent la délinquance. Un vivons ensemble à reconstruire qui passerait immanquablement par le haro sur le gaspillage public dont il dénonce avec véhémence la pratique quotidienne depuis des lustres.

Voulant un moratoire sur la politique des villes et les cinq quartiers réputés les plus dangereux de ces mêmes agglomérations qui paradoxalement sont les plus riches du territoire, le candidat trentenaire veut mettre le paquet en termes de subventions pour aider les secteurs ruraux.

Dans le viseur, on s’en doutait : le département de l’Yonne, qui à l’instar de la Nièvre ou de la Haute-Saône, demeure l’un des parents pauvres côtés retombées financières avantageuses.

Se fendant d’une formule toute faite (« Rien n’est possible sans la sécurité que ce soit l’économie, le développement des transports et la protection environnementale…), le trublion de l’hémicycle régional fustige les « magouilles de tout poil » qui se vivent chez ses adversaires durant cette campagne, précisant, quant à lui, avancer sans masque.

Maniant le verbe et la gestuelle à son habitude, l’élu de l’Yonne n’épargne personne dans cette succession de reproches et de petites piques acérées qu’il adresse à ses opposants.

La première de ces cibles n’est autre que la présidente de l’exécutif. Une Marie-Guite DUFAY qui « aurait pu avoir d’autres ambitions compte tenu de son cursus que de ne faire barrage qu’au RN ». « C’est la candidate du passé et du passif, inodore et incolore… ».

Traité de « Tartuffe », le patron des Républicains Gilles PLATRET se voit qualifier de spécialiste des « tambouilles politiques » avec à la clé le débauchage d’anciens frontistes convertis entre-temps à la cause de Debout La France. Sans omettre des écologistes issus d’un « nébuleux mouvement » dont le « gourou » n’est autre qu’Antoine WAECHTER !

Bref : pour Julien ODOUL, cette cuisine politicienne a le goût au palais d’un « mauvais bœuf bourguignon indigeste ! ».

 

 

Quant au troisième personnage marquant de ces régionales, le maire de Nevers Didier THURIOT, à l’estampille de la République en Marche, il ne serait « qu’un adepte du recyclage de grumeaux comprenant un assemblage hétéroclite qui est la marque de fabrique de LREM, avec tout et le contraire de tout ! ». La messe des critiques est dite !

Désireux réduire la fracture sociale et économique observée entre les grandes villes du territoire et les zones rurales, Julien ODOUL a trouvé avec les représentants de l’Avenir Français des alliés de circonstance. Unis pour la même idéologie, en tentant de remporter le gain de la victoire.

« Nous possédons les mêmes valeurs, a rappelé le responsable politique RN, la commission d’investiture nationale a validé cette liste, la plus représentative de nos convictions… ».

A noter parmi celle-ci, les patronymes de Pascal BLAISE, ancien responsable de Debout La France dans l’Yonne et aujourd’hui membre fondateur de l’Avenir Français qui occupe la troisième position ou encore Annick VILBOIS, de la même mouvance politique à la quatorzième place ; mais également Audrey LOPEZ, conseillère municipale de Villeneuve-sur-Yonne, Xavier ROSALIE, premier adjoint de la commune de Piffonds ou encore Alexandre BROCHIER, ancienne figure du mouvement des « Gilets Jaunes ».

Avec ce groupe, Julien ODOUL entend bien jouer un rôle plus que de favori au soir du 27 juin, adoubé par Marine LE PEN qui est venue lui apporter son soutien lors d’un déplacement ce mardi à Chalon-sur-Saône. Dans le fief de Gilles PLATRET, comme c’est étrange !

 

 

Liste des candidats :

 

Julien ODOUL, président du groupe RN à la Région BFC,

Audrey LOPEZ, conseillère municipale à Villeneuve-sur-Yonne,

Pascal BLAISE, Avenir Français, membre fondateur,

Anissa BEERRAHO,

Alexandre BROCHIER,

Patricia GRASSET,

Romain LUBOUE, conseiller municipal de Pont-sur-Yonne,  

Elodie REBILLON,

Daniel GRENON,

Vanessa HERNANDEZ,

Léandre CROENNE,

Karine CHICANNE,

Xavier ROSALIE, premier adjoint à Piffonds,

Annick VILBOIS, Avenir Français.

 

Thierry BRET

 


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Elus en 2015 à l’issue d’une triangulaire au Conseil départemental, Isabelle JOAQUINA et Christophe BONNEFOND remettent leur fauteuil en jeu. Ils se présenteront aux électeurs les 20 et 27 juin sur le canton d’Auxerre 3. Une candidature sous l’étiquette de la majorité départementale qui s’appuie sur le travail réalisé lors de la précédente mandature. L’ambition du tandem est double : renforcer l’attractivité et faire avancer les grands dossiers qui marqueront la vie du territoire pour les six ans à venir. 

 

AUXERRE : Les prétendants aux élections départementales ne sont pas si nombreux à se présenter aux électeurs sous la forme du même binôme qu’il y a six ans. Candidats à leur succession, Isabelle JOAQUINA et Christophe BONNEFOND sont de ceux-là. Ils espèrent gagner une fois encore la confiance du plus grand nombre, avec l’ambition affichée de « pouvoir enfin mener nos projets et non uniquement ceux de nos prédécesseurs, tout en allant au bout des choses avec des finances plus saines », explique le maire de Venoy.

Les 50 millions d’économie dégagés lors du mandat précédent représentent autant de marges de manœuvre inscrites à leur programme pour de futurs investissements de rénovation, à destination notamment des collèges, des EHPAD et du réseau routier icaunais. Mais le contexte est difficile. Avec un département qui vieillit et des besoins en matière de solidarité qui n’en finissent pas d’augmenter : ils pèsent aujourd’hui pour 62 % du budget global.

 

 

L’inéluctable serpent de mer du contournement sud d’Auxerre inscrit au programme…

 

Longtemps considéré comme un serpent de mer, le projet de déviation sud d’Auxerre prend forme et fera partie des chantiers majeurs de la prochaine mandature. Le canton d’Auxerre 3 est d’autant plus concerné que le sujet touche aussi bien les communes rurales de la zone que le centre-ville d’Auxerre rive droite, pénalisé chaque jour un peu plus, par un trafic de poids lourds exponentiel.

Christophe BONNEFOND se veut confiant : « Le démarrage des travaux est prévu en 2023 pour une livraison en 2026. Les discussions autour du financement pour la part émanant de l’Etat et de la Région devraient se régler au second semestre, avant les présidentielles, mais il faut rester vigilants… ».

 

 

 

L’enveloppe du département avoisine pour sa part les 30 millions d’euros. Un chiffre à rapprocher des 130 millions d’euros d’investissement qui seront consacrés au réseau routier icaunais dans le futur budget départemental.

 

 

Surfer sur la vague de l’olympisme pour renforcer l’attractivité du territoire…

 

Les ambitions marquées des deux candidats passent aussi par une plus grande attractivité du territoire. Que ce soit en y faisant venir plus de jeunes médecins ou en terme de promotion, explique pour sa part Isabelle JOAQUINA : « On a beaucoup travaillé sur le sujet, comme ces panneaux installés en bordure d’autoroute, pour faire connaître le département et rappeler notamment que Chablis était bien dans l’Yonne ».

L’adjointe au maire d’Auxerre, espérant bien pour cela, surfer sur la vague olympique au travers de l’opération « Yonne 2024 » : « l’on a repéré sept sites  susceptibles d’ici les Jeux d’accueillir des bases arrière pour l’entraînement des délégations, avec en retour des répercussions touristiques, sportives ou autres ».

Privilégiant au poids des étiquettes politiques, la proximité du terrain et le contact avec les habitants, le binôme en campagne mise sur la dizaine de rencontres publiques programmées d’ici le premier tour à travers tout le canton pour en convaincre les électeurs.

Un canton où se côtoient la campagne viticole et l’histoire au travers du vieil Auxerre souligne d’un sourire Christophe BONNEFOND : « trait d’union entre Auxerre et Chablis, c’est le plus beau canton du monde ! ». Ite missa est !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Et si la majorité départementale actuelle réalisait son meilleur score au soir du 27 juin ? Ce serait certes du jamais vu, dans le landerneau icaunais. Même si le territoire est solidement ancré à droite et au centre droit depuis des lustres. Toutefois avec le bénéfice de 36 élus qui l’ont soutenu durant la mandature qui s’achève sur les 42 composants l’exécutif départemental, Patrick GENDRAUD dispose d’un confortable matelas de sécurité, pouvant l’emmener vers sa réélection au sommet du perchoir. Mais, cela ne reste que de la pure théorie !

 

AUXERRE : L’adage le précise à sa juste valeur : « il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ! ». Pourtant à bien y regarder de près même en soupesant le tout, l’effet naturel de la prime au sortant pourrait avoir, s’il était encore appliqué en ces temps troublés du « dégagisme », bien des conséquences heureuses pour l’actuelle majorité départementale.

Celle composée de représentants de la droite, du centre droit et des indépendants –mais avec une inclinaison préférentielle dans la balance tout de même ! – qui sont rassemblés sous la bannière de « Unis pour l’Yonne », au service de la candidature sur la plus haute marche du podium électif de Patrick GENDRAUD.

Il y a quelques jours, c’était donc branle-bas de combat à Migennes, fief de l’un des leurs, le conseiller sortant et édile de la ville François BOUCHER, pour accueillir cette équipe renouvelée à 30 % à la conquête du Graal suprême : celui de l’exécutif départemental.

D’entrée de jeu, et au-delà des sourires qui s’affichaient de circonstance sur les visages radieux des binômes en séance photo officielle, ceux qui partent en ordre de marche pour tenter de se qualifier au second tour de ces échéances départementales (20 et 27 juin), un mot d’ordre était lâché par l’ancien maire de Chablis, lors de son explication de texte face aux journalistes, « unité » !

Alors, fi des querelles de quartier qui peuvent parfois exister y compris entre élus du même bord ou des ego surdimensionnés qu’il est nécessaire de contenir dans sa poche, rien ne doit transpirer désormais dans cette volonté unioniste devant impérativement placée sur orbite céleste le vaisseau amiral de l’Yonne : celui que pilote la majorité départementale.

 

Trois cantons sans soutien de la majorité départementale…

 

Au plan comptable, l’équation se révèle très simple même pour un mathématicien en herbe. Quatre-vingt binômes soit 160 candidats vont se disputer les 42 sièges à pourvoir permettant d’assurer la gouvernance de cet hémicycle dont les prérogatives ont été rognées avec la loi Notre et qui aura bien du mal à pencher autrement qu’à droite et au centre droit in fine.

70 % des conseillers sortants issus de la majorité actuelle repartent à l’assaut d’un nouveau mandat. Quand on sait que nos concitoyens sont réfractaires au changement et à ses impacts parfois imprévisibles, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour envisager la suite.

Serein, peu avare en détails, prenant le temps de l’analyse et de l’explicatif, Patrick GENDRAUD évoque donc les caractéristiques essentielles de cette liste qui lui est foncièrement acquise.

Ici, pas de logique partisane et politicienne entre représentants des Républicains et l’UDI qui la constituent, ces candidats sont « des élus de terrain, de proximité, qui travaillent pour servir les intérêts de leur territoire et de leurs habitants avant toute autre chose… ».

 

 

Une curiosité fait tilt toutefois dans les esprits avisés des représentants de la presse : le soutien de la majorité départementale aux candidats de 18 cantons sur 21. Cas d’école intéressant : le ticket Pascal HENRIAT et Delphine BILLON (Auxerre 4) n’est en fait soutenu que par le président en exercice de la vénérable assemblée mais pas par le collectif majoritaire ! En outre, deux autres cantons ne reçoivent pas la bénédiction de la majorité, ceux de Joigny et de Vincelles.

Le credo de la liste est le suivant : un bilan, des ambitions. L’exécutif considère qu’au terme de la mandature écoulée, il n’a pas à rougir de ce qui a été entrepris, bien au contraire !

Dans les faits, la dette s’est réduit considérablement ce qui a permis de dégager un excédent de cinquante millions d’euros. D’où la sérénité dans l’appréciation de ces données de la part de l’élu de l’Yonne.

« Les investissements étaient au rendez-vous durant le mandat effectué : cent millions d’euros accordés à la réfection des réseaux routiers, 66 millions dédiés au SDIS (Service départemental d’incendie et de secours), 210 millions priorisés vers le dossier de l’éducation ou encore 44 millions d’euros pour soutenir les milieux associatifs et les communes… ».

 

Le numérique, la mère des batailles pour rendre attractif le territoire…

 

Mais, invariablement, le cheval de bataille, la mère de tous les combats que mène Patrick GENDRAUD depuis sa prise de fonction tout en haut de l’échelle institutionnelle, c’est la lutte contre la fracture numérique.

Celle qui prive encore, du fait de zones blanches et de lenteurs techniques habituelles, des secteurs de notre territoire des bienfaits de la digitalisation.

« En 2023, l’Yonne sera raccordé à la fibre optique. Son déploiement est fondamental pour l’attractivité de notre territoire qui en a besoin dans l’approche sanitaire et médicale, le télétravail avec l’essor des visioconférences. Grâce à une DSP (délégation de service public) accordée fin 2019 à une société privée, le département a gagné sept ans dans l’accession à la fibre optique. Ce n’est pas rien ! Puisque j’évoque le volet santé, nous souhaitons installer des médecins dans l’Yonne en mettant en place dès le mois prochain une expérimentation à l’identique de celle vécue en Saône-et-Loire où le salariat est la primauté pour se densifier en praticiens.

Du côté de la voirie, nous allons renforcer nos compétences régaliennes en prévoyant un budget de 130 millions d’euros sur six ans qui sera engagé après le scrutin ».

Non soucieux du temps qui file, Patrick GENDRAUD aborda ensuite sa vision personnelle qu’il a de l’environnement. Via la nécessaire valorisation des produits du terroir et des circuits courts, devant permettre de sustenter les 14 000 collégiens qui désirent manger autre chose, c’est-à-dire du frais, du local et du goûteux !

 

 

Le président s’épanchera aussi sur le maintien des services à la population avec ce fameux moyen mobile, auréolé d’un label France Service, un bus qui offre des fonctions de guichet unique dans les secteurs les plus reculés. « Nous allons développer le principe du « aller vers », résume-t-il.

Le volet du RSA lui tient également à cœur. Même s’il déplore que l’aide de l’Etat (28 millions d’euros annuels sur les soixante requis) demeure insuffisante. L’Yonne est le premier département rural de l’Hexagone à porter, avec le concours de Pôle Emploi, le SPI, soit le Service public de l’insertion par l’emploi afin de favoriser le retour des personnes inactives sur le marché du travail.

Les collèges, du domaine d’appétence de l’institution, sont également concernés par la baisse des dépenses de la consommation énergétique. Une maîtrise supplémentaire de 12 % fait figure de priorité dans le cadre d’un nouveau mandat.

Enfin, Patrick GENDRAUD ne pouvait conclure ce tour d’horizon exhaustif des grands dossiers devant constituer le programme de « Unis pour l’Yonne » sans évoquer le tourisme et ses enjeux, surtout après la crise.

La politique d’aménagement de véloroutes mais aussi un réel travail de partenariat conduit avec les EPCI confortera la vision globale que le candidat à la présidence du Conseil départemental à la date du 01er juillet prochain souhaite imprimer à ce territoire, cher à ses yeux, puissant dans son cœur.

 

Thierry BRET

 

 

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