Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
puisaye forterre
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_small.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png
Puisaye Forterre

Sang pour sang. Le fils du père, certes, mais surtout « tel père, tel fils », sur la scène, parfois dans la gestuelle et le contact direct avec le public. La voix grave et surpuissante, en moins. Mais, pas de quoi décevoir, bien au contraire, les aficionados inconditionnels de Johnny, venus rendre un vibrant hommage à leur idole de toujours, par procuration avec son héritier musical, dont ils fêteront le 05 décembre le huitième anniversaire de sa disparition. Devant plus de 3 000 spectateurs, David HALLYDAY a glorifié le héros : un mythe éternellement vivant dans toutes les mémoires…

 

AUXERRE : Un membre de la famille HALLYDAY sur la scène du parc des expositions auxerrois ne pouvait représenter que le nirvana ou le Graal pour bon nombre des suiveurs musicaux et des fans de la première heure comme aux plus récents qui au fil du temps ont tissé des liens étroits avec le « Taulier », parti bien trop tôt rejoindre les cieux éternels le 05 décembre 2017, par disques, concerts et films interposés. Alors, c’est sûr : quand la programmation du parc des expositions local a été dévoilée en début de saison et que le patronyme de David HALLYDAY, le fils de…, figurait en bonne place en date du 15 novembre au soir, les billets proposés par le tourneur de l’artiste, « Le Bruit qui pense », une société de production franc-comtoise située à Besançon, s’arrachèrent tels des petits pains, devant nourrir une cohorte d’affamés !

Et affamées, elles le furent les quelques trois mille personnes venues d’horizons divers et variés, parfois de fort loin, pour voir, admirer, apprécier, écouter, rêver avec nostalgie et tendresse en compagnie du fils prodige qui aura consacré durant deux heures de son spectacle ou presque un large pan de son répertoire scénique aux œuvres immortelles de son père, Johnny ! Dont certaines portent sa signature, du reste !

 

Séquence nostalgie dès l’installation du public…

 

Déjà, en guise de préambule, côté nostalgie et style revival faisant référence aux grandes années de la musique intemporelle (les Sixties et sa déferlante de pop à la sauce anglo-saxonne), tout se présentait pour le mieux pour les spectateurs durant les minutes devant précéder l’entrée sur scène du fils de Sylvie VARTAN et de Johnny HALLYDAY ! Un natif de 1966 ! Quel grand cru…

Les puristes auront eu tout le loisir pendant que les trois mille personnes prenaient place, accompagnées de leurs ouvreuses à l’intérieur du grand espace d’Auxerrexpo de se délecter de quelques chefs d’œuvres internationaux d’autrefois. Entre un « Come together » de l’époque flamboyante des BEATLES de 1969 au « Good Vibrations » des BEACH BOYS fleurant bon le sable chaud californien, ou un « Sunny Afternoon » de la bande de Ray DAVIES et des KINKS, voire l’iconique « A Whiter shade of pale » de PROCOL HARUM où des millions de jeunes gens auront pu compter fleurette à l’être aimée sur des slows torrides de l’été 1967 : chacun y aura trouvé son compte ! Un premier bon point pour le décorum ambiant, surtout avec cette bande son, si délicieuse et subtile.

 

 

Puis, la lumière disparut avant que sur le grand écran placé au fond de la scène n’apparaisse le visage casqué de la vedette du soir : un David HALLYDAY loin de faire ses 59 ans, svelte et au visage juvénile.

Accompagné de six musiciens, sobres mais terriblement efficaces avec leurs instruments dont certains réalisèrent de belles prouesses tant derrière les fûts de la batterie qu’à la guitare solo, David HALLYDAY va dérouler le tapis rouge à la nostalgie et au culte de l’être disparu, durant deux heures en donnant une lecture scénique de son dernier opus, publié en 2024, « Requiem pour un fou », référence éponyme à la célèbre chanson interprétée par son paternel, en 1976. Une année charnière, comme bien d’autres, dans la carrière de Johnny qui caracolera en tête de tous les hit-parades de l’époque avec le titre « Derrière l’Amour », une reprise francisée d’un morceau italien, que David ne manquera pas de chanter avec sa griffe qui lui est personnelle.

 

La promesse de revenir à Auxerre !

 

A la guitare ou au piano, David HALLYDAY gratifiera ensuite les fidèles du père, comme les autres d’ailleurs de morceaux cultes interprétés jadis par son paternel : « Laura », le clin d’œil à sa petite sœur et  à la fille que Johnny a eu avec l’actrice Nathalie BAYE, « Vivre pour le meilleur », le vieux classique de 1972 « Oh ma jolie Sarah » repris par les quinquagénaires et plus de la salle qui chavire en transe, « l’Envie », « Mirador » chanté à la fois en anglais qu’en français, « Quelque chose de Tennessee » ou le célèbre « Diego », qui est toujours libre dans sa tête. Bref, le show bien huilé se déroule à la perfection, sans accroc et sans surprise. Notons de jolis effets de lumière sur « Allumer le feu » !

Naturellement, le chanteur en profitera aussi pour placer quelques-uns de ses grands succès, entre des instants de pure mélancolie avec « Ma dernière lettre » aux paroles à réécouter en boucle pour mieux comprendre sa souffrance intérieure, de souvenirs nostalgiques autour des premières amours (« High ») ou de « règlements de compte » bien assumés à certains de ses proches (« Tu ne m’as pas laissé le temps »), avant de revendiquer haut et fort sa descendance familiale et son nom de scène (« Sang pour sang »), nom de l’album que le fils avait réalisé pour le père, en 1999. D’ailleurs, il ajoutera à sa set-list le fameux « Père de personne » !

Par deux fois, et avec talent car il a la parfaite maîtrise de cet instrument qu’il a appris très jeune, David HALLYDAY s’installera derrière les fûts d’une batterie de belle taille pour satisfaire des spectateurs qui n’en demandaient pas moins. Il y a du Keith MOON (le légendaire batteur génial des WHO) dans ce garçon qui a affirmé ses qualités de multi-instrumentiste de génie, lors de ce concert épique accueilli à Auxerre. Un dernier petit tour derrière le piano dans un halo de lumière bleuté et David HALLYDAY tirera sa révérence avec la magnifique mélodie écrite par Jean-Jacques GOLDMAN, extrait de « Gang » en 1986, « Je te promets », aux inoubliables paroles. Une promesse ? Celle faite par le fils de Johnny de revenir un jour à Auxerre pour y chanter de nouvelles chansons, voire des plus anciennes…Histoire d’entretenir pour toujours la flamme de son père ?

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est le fruit d’une année de recherches acharnées tant au niveau littéraire que philosophique, voire mythologique, sur la transformation de l’homme en animal. Une explication fournie par l’artiste aux origines scandinaves, Catherine RYMARSKI, qui justifie pleinement l’appellation de ce nouveau travail, présenté à la galerie MOUV’ART à Auxerre et à admirer jusqu’au 16 novembre inclus. Des « Métamorphoses » qui n’ont rien à voir avec OVIDE mais qui n’en méritent pas moins le détour…

 

AUXERRE : L’incarnation animale, l’un des fondamentaux de la mythologie des pays du Grand Nord ? Absolument ! Fidèle à ses origines suédoises, l’artiste icaunaise Catherine RYMARSKI dévoile ses « Métamorphoses », une série de gravures de la plus belle conception, jusqu’à la fin de la semaine dans l’une des galeries les plus dynamiques de la capitale de l’Yonne, « MOUV’ART » qui l’accueille en son antre pour une nouvelle exposition.

Grâce à une multiplicité de technique – en priorité celles utilisées dans l’art de la gravure – l’artiste présente des œuvres qui l’auront mobilisé au fil de ces douze derniers mois. Suspendus aux cimaises de la galerie, le visiteur appréciera la vision originale de ces animaux mythologiques comme le bouc ou l’ours, empruntés à la mythologie nordique – on y ajoutera aussi le saumon ! -, mais également des animaux totems, des espèces à mi-chemin entre l’homme et l’animal, soit la parfaite illustration de la variante des thérianthropes. Mais, la part belle est faite aussi aux animaux fantasmagoriques qui peuplent les contes et légendes, ainsi que tout simplement la vie animalière du quotidien. Une forte imprégnation originelle de l’artiste qui aime s’inspirer de ces références qui lui sont chères.

 

 

Catherine RYMARSKI a été tentée également par l’apport de nouvelles techniques de gravure. Une concrétisation que l’on doit à l’usage du carborundum mais aussi avec le concours de plaques de lino, taillée à la gouge, ou de dessins réalisés à l’aide de l’acide sur cuivre. Le résultat de ces travaux est surprenant, avec un ancrage dans la matière. Des techniques de gravure différentes au service du sujet traité. Une fois n’est pas coutume, l’artiste auxerroise s’est entourée de la présence d’une jeune femme autiste, Suzanne LAROCHE, une invitée qui souhaite devenir artiste et qui collabore avec Catherine RYMARSKI depuis deux ans. Deux toiles illustrent cette collaboration. Ce jour, l’exposition accueillera un « finissage » avec la présence de comédiennes, Agnès de MARCO et Clotilde VUILLEMIN, qui proposeront des saynètes au thème appropriée pour clore cette dizaine de jours de présentation.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

On le savait déjà : l’AJA est un bien commun. Populaire bien au-delà de son territoire de prédilection, possédant des aficionados loin de nos frontières, le club de football nord-bourguignon, évoluant parmi l’élite hexagonale, commémore cette saison son cent-vingtième anniversaire. Un prétexte légitime à une longue célébration culturelle s’écoulant sur plusieurs mois qui se décline aussi au théâtre d’Auxerre, jusqu’au 17 décembre, avec l’installation d’une exposition collective, proposée par les élèves de l’école des Beaux-Arts. Nom de code : « Constellations » ! Une manière de faire briller les yeux de poussières d’étoiles artistiques !

 

AUXERRE : Des ballons aux multiples formes et couleurs. Des trophées, aussi. Ils s’ajoutent aux dessins représentants des sportifs en pleine action. Tiens, tiens, ne serait-ce pas des footballeurs par hasard ?! C’est un véritable patchwork artistique qui s’étale sur les murs et les cimaises du grand hall du théâtre auxerrois, où entre deux représentations scéniques et avant l’ouverture des « Entretiens d’Auxerre » consacrés une fois n’est pas coutume au devenir de l’art, les spectateurs et autres fidèles de cet antre de la culture et de l’intellectualisme icaunais auront tout le loisir de jeter un œil, voire les deux, sur les œuvres peintes qui s’affichent sur les surfaces murales.

Une découverte qui mérite de prendre son temps. Il n’est pas commun de célébrer le cent-vingtième anniversaire d’un club de football – oui, oui, c’est bien de l’AJ Auxerre dont on parle ! – ici même, par le biais d’une exposition de belle facture, que l’on doit à la sagacité et au travail méticuleux des élèves de l’école des Beaux-Arts locale.

Directeur de la communication du club sportif, Thierry HUBAC est on ne peut plus admiratif devant les réalisations qui se contemplent sans modération : « du plus petit au plus grand, tout le monde à sa manière a pu écrire une petite ligne de l’histoire de l’AJA, avec cette approche artistique… ».

Ce n’est d’ailleurs par la première fois que ces deux mondes que l’on dit parfois opposé, celui du sport et de l’art, se rapproche en étroite osmose. Un artiste anglo-américain a réalisé une affiche vintage très réussie à l’occasion de ces commémorations appréciées des Auxerrois. Une collaboration avec la structure associative « Lézard des Arts » a été également tentée avec succès quant au rendu des œuvres réalisées. Il y a eu des compositions florales posées çà et là dans Auxerre. Tout cela à titre d’exemples concrets.

« On a essayé de partager ce bien commun qu’est le club de football en rassemblant la population autour d’un concept qui crée de l’émotion et du plaisir… ».

 

 

La piste aux étoiles, entre art et football

 

Un concept, cette méga exposition baptisée « Constellations » qui devrait trouver après coup une seconde vie, sans doute dans l’enceinte de l’Abbé Deschamps, selon Thierry HUBAC. Mais, pour l’heure, le public auxerrois aura tout le loisir de pouvoir l’admirer jusqu’au 17 décembre inclus, et ce de manière gratuite. Y compris de nombreux enfants. Ceux qui ont réalisé ces dessins et ces esquisses où l’imaginaire a repris tous ses droits.

« Constellations, c’est bien plus qu’une exposition, ajoute Pierre KECHKEGUIAN, directeur du théâtre auxerrois, c’est un projet qui reflète un engagement commun, avec des élèves qui ont été guidés par leurs enseignants. Qu’ils en soient remerciés ! ».

Un travail artistique qui invite le public (et les amateurs du ballon rond) à voir le monde différemment. Directeur de l’école des Beaux-Arts d’Auxerre, Aurélien DOMERGUE prit ensuite la parole lors de cette séquence inaugurale, devant un parterre d’élus et de personnalités. « Je suis impressionné, lâcha le responsable des Beaux-Arts, ce projet a été un vrai challenge pour l’école. C’est un travail de six semaines consécutives, ce qui est très court pour réaliser un tel travail. Certains élèves n’avaient jamais fait de sérigraphie. Ou de monotypes, des tirages de gravure uniques… ».

 

 

 

Revenant sur le thème de l’exposition, Aurélien DOMERGUE parla alors des étoiles. Ces stars du ballon rond, mais aussi ces artistes en herbe qui le deviendront peut-être un jour, formant à leur ces « Constellations ». Deux univers, fédérant celui du football et des Beaux-Arts.

Puis, ce fut le tour de Baptiste MALHERBE de s’exprimer : « c’est une célébration de tout le territoire, l’AJA est un emblème pour l’Yonne et on a voulu que toute la population soit impliquée. Le sport est une sorte d’art avec cette intelligence collective, source d’inspiration… ».

Une exposition à déguster jusqu’à la mi-décembre…

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La chance ! Elle était bel et bien au rendez-vous de cette matinée de vendredi pour les organisateurs de la énième édition du cross, accueillie dans l’enceinte du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle à Auxerre. Sept cents élèves, classes de primaire et collégiens, le matin, tout autant l’après-midi pour les lycéens et les classes d’enseignement supérieur. Bref, il y avait un beau panel de coureurs ! Un cross où l’enthousiasme était de mise, d’autant que cette année, les dons récoltés au fil de la journée iront au profit de l’association auxerroise, « Maxime + »….

 

AUXERRE : Les petits, le matin ; les plus grands, dès l’après-midi ! Et toujours sous cet agréable soleil automnal qui, avec ses températures douces, aura permis aux participants de ce cross 2025 comme aux suiveurs et organisateurs de ne pas se prendre de l’eau en abondance sur la tête ! La physionomie de la manifestation en aurait été forcément changée.

Bruyants et passionnés, les élèves ayant déjà couru tôt dans la matinée et ceux en phase de l’être encourageaient avec ferveur leurs camarades qui s’époumonaient devant eux. Appuyés sur la barrière de la piste d’athlétisme du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, ils ont apprécié visiblement le spectacle. De petits groupes de gamins passaient devant eux, certains en sueur et rouges comme des écrevisses, pour un exercice sportif proposé chaque année par l’établissement privé auxerrois, pour une bonne cause. Chaque enfant était équipé précisément d’un dossard. Celui-ci a été préalablement acheté (deux euros minimum) en amont, occasionnant une source de financement à cette opération caritative au profit de la structure auxerroise « Maxime + ».

Cette grande fête de l’athlétisme à vocation altruiste offre la possibilité à tous les élèves depuis le CM2 jusqu’aux étudiants de pouvoir s’adonner à une discipline sportive assortie à un geste solidaire, dans le parfait esprit que l’on est droit de retrouver dans l’antre d’un établissement lassalien.

 

 

Le choix de « Maxime + » comme association bénéficiaire

 

Cette année, « Maxime + » était à l’honneur. Une première de l’aveu de son président, Bernard MARTIN, présent non loin de ces joutes sportives, il était accompagné de l’une des nombreuses bénévoles, Sylvaine. Leur petit stand, muni de calicots, était idéalement placé près de la piste. Une belle opportunité de se faire remarquer de tous, coureurs comme suiveurs !

« Ce qui me fait plaisir, précisa le président, c’est que ce sont les jeunes qui proposent quelque chose aux services des jeunes. C’est plutôt rare en effet… ».

D’ordinaire, « Maxime + » est très sollicitée par d’autres structures associatives, des donateurs, voire des clubs service pour recevoir des dons. Là, aujourd’hui, changement de registre radical avec la participation de tous ces enfants et adolescents qui peuvent courir, marcher ou aider à l’organisation de cet évènement, toujours apprécié de ses acteurs, sportifs ou…pas !

Depuis quatre décennies, « Maxime + » intervient auprès des enfants de l’Yonne ayant des pathologies lourdes (cancers pédiatriques, leucémies…) mais également de leurs parents. Les soutiens peuvent être de l’ordre financier mais également moral. Mais, il y a aussi le bon côté des choses avec la remise de cadeaux à Noël ou au moment des anniversaires des petits malades, sans omettre les sorties réalisées dans l’Aube, avec comme point de destination final, le parc d’attractions de « Nigloland », un objectif de ralliement vécu en famille.

On doit le choix de l’association bénéficiaire au jeune Younès, un bénévole de « Maxime + », scolarisé à St-Joseph dans la filière des métiers de la sécurité et parrain de cette édition 2025.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elles ont quasi disparu de nos bords de routes départementales et nationales, elles aussi, avec leur dénomination passée par pertes et profits. On se demande bien pourquoi. Qui ça ? Je veux parler de nos auberges traditionnelles, hélas. Terrassées par l'autoroute, les fast-foods graisseux et autres sandwichs triangulaires. C'est triste pour un pays encore défini, mais pour combien de temps encore, contrée de la Gastronomie…

 

ROSOY : Mais tout espoir n'est pas totalement perdu. Il en demeure encore quelques-unes. Des vaillantes, des volontaires et forcément, des courageuses. Au sud de Sens, à Rosoy, « L'Hélix » est de celle-ci. Cet hôtel-restaurant à la façade rougeoyante apparaît dans un virage pour le moins accueillant. Au siècle dernier, cela s'appela « Le Bon Abri ». Sous la férule d'un couple dynamique et travailleur, l'établissement s'est modernisé.

Dernier virage culinaire en date : la création récente d'un bouillon. Quesako pourra-t-on répliquer ? A l'instar du bouchon lyonnais (les vrais comme de bien entendu), le terme de « bouillon » résonne plutôt favorablement, lorsque l'on évoque les restaurants. La création des bouillons remonte au XIXème siècle sous le Second Empire. Petits restaurants bon marché, créés à Paris tout d'abord, l'on y servait initialement à la portion du bouillon accompagné de bœuf bouilli. Depuis lors, l'Yonne coula sous le Pont-Neuf et les cartes s'y sont un peu allongées ! L'œuf mayo cohabite avec le céleri rémoulade et le cervelas en salade, tandis qu'en plat, bœuf gros sel ou lieu noir meunière revigorent fort légitimement le convive.

 

 

Un œuf mayonnaise franc du collier !

 

Bon marché, tel est le cas, car bien des années plus tard, ici le menu (entrée,  plat, dessert) oscille entre 19 et 21 euros, selon les mets choisis. Combien coûte une immangeable pizza industrielle ou une formule « X » ou « Y » chez « Burger » machin ? Au bouillon rosaltien, la cuisine est faite sur place, avec des produits bruts.

L'œuf mayo y est servi à 2,90 euros. Quant aux poireaux vinaigrette, c'est un euro plus cher ! Il y a aussi la terrine du moment, voire les six escargots. L'œuf mayo est franc du collier, accompagné pour saucer d'un pain de bonne qualité. Sur les œufs, on n'aurait pas boudé un rien de persil ciselé, mais bon ! Les poireaux vinaigrette sont très joliment dressés, et la sauce y est des plus onctueuses : 3,90 euros, rappelons-le.... Une très bonne entrée. 

 

 

 

Le « parmentier » de canard nous fait de l’œil !

 

En plat, entre la saucisse et sa purée de pommes de terre, sauce échalotes, et la cuisse de poulet sauce suprême, agrémentée de son riz, trône la tête de veau à l'ancienne, sauce ravigote (9,90 euros). L'abat emporte les suffrages, en ce mois des produits tripiers, hommage mérité s’il en est au cinquième quartier. L'assiette, servie chaude, a de la gueule, et le plat de la mâche. La sauce complète parfaitement le tout et ravit légitimement tout amateur de triperie. On en profite pour saluer les sympathiques frangins MAGNONI, dernier tripier icaunais de nos marchés. Il y manque - éventuellement - un peu de persil ciselé, histoire d'y ajouter un brin de couleur. Autour de nous, ça se régale, aussi. Quant au « parmentier » de canard, accompagné d'un ramequin de salade, il semble nous faire de l'œil ! Allez, ce sera pour la fois prochaine…

 

 

En dessert, les classiques sont là aussi. Le flan pâtissier est bon, il est accompagné de l’inutile « chantilly » en bombe : il paraît que c'est la mode ! La mousse au chocolat possède une vraie texture, c'est déjà ça, mais de surcroît, elle est fort bonne. 

L'addition, parlons-en. A deux, entre l’apéro servi plus une petite bouchée, et le menu, ci-dessus, une bouteille d'un côte du Rhône très honnête et deux cafés : c’est 60,20 euros. Bravo à nos aubergistes pour ce très bon rapport qualité-prix.  En conclusion : venez nombreux ! 

 

 

En savoir plus :

 

L'Hélix

52 RN6

89100 ROSOY

Tel : 03.86.97.92.10.

Formule bouillon le midi, du mardi au vendredi inclus. Stationnement facile. 

 

Gauthier PAJONA 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Page 1 sur 434

Articles

Bannière droite accueil