Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
puisaye forterre
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png
Puisaye Forterre

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

On connaît l’appétence des élèves fréquentant l’établissement public local d’enseignement agricole des Terres de l’Yonne à se distinguer au niveau des titres honorifiques, chaque année. Une fois de plus, comme devait le signaler l’édile de la commune de Venoy, Christophe BONNEFOND, lors de la cérémonie des vœux, un de ces jeunes gens a encore reçu une récompense de la bourgade périphérique d’Auxerre. Et excusez du peu : la médaille de la commune ! Elle a été remise à Gaëtan CHIGNARDET ; il a terminé sur le podium d’un concours hexagonal…

 

VENOY: Le garçon est plutôt du genre taiseux quand son professeur, Philippe PETIT, lui tend le micro afin d’exprimer son ressenti après avoir reçu des mains du maire, Christophe BONNEFOND, la médaille de la commune, une belle distinction honorifique à exposer dans sa chambre. Quelques mots de remerciements à l’égard de son établissement et de son enseignant. Serait-ce de la timidité ? Ou la parfaite maîtrise de l’intériorisation d’une joie pourtant bien réelle ?

Nonobstant, on ne peut que saluer le brillant parcours de Gaëtan CHIGNARDET, élève de la classe de terminale du lycée agricole en section Bac Pro techno et production, qui a participé à l’opération nationale, « Dix de Conduite », une animation annuelle portée par la Gendarmerie nationale et l’assureur mutualiste, GROUPAMA, autour de la découverte de la conduite automobile. Sauf que là, il y avait un particularisme : la déclinaison de ce concours se pratiquait sur les engins agricoles, en l’occurrence le pilotage d’un tracteur !

Qualifié pour la finale nationale qui se disputait à Besançon en présence de vingt-quatre concurrents – plus de 6 000 lycéens prenaient part à cette épreuve dès les premiers tours de la compétition ! -, le jeune scolaire devait in fine accéder à la troisième marche du podium. Troisième sur six mille : il n’y a pas à dire mais le jeune homme peut intégrer une exploitation agricole les yeux fermés quant à la conduite de ces fameux tracteurs qui font toujours rêver les plus petits !

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Organisée dans le cadre du Contrat d’Objectifs Territorial (COT) Nord Yonne, cette opération où il est proposé d’alléger ses déchets domestiques tout en s’amusant est de retour pour la deuxième année consécutive dans les territoires du Jovinien, du Gâtinais en Bourgogne, Yonne Nord et de la Vanne et Pays d'Othe. L’objectif se veut simple : la réduction de ses déchets à son rythme !

 

JOIGNY : Nom de code de l’opération qui va être proposée sur une large partie septentrionale de notre territoire de mars à juin 2025 : le défi « Zéro Déchet » ! Le principe est on ne peut plus simple : les personnes intéressées vont bénéficier de l’aide d’un coaching personnalisé et d’ateliers pratiques à la clé, permettant d’adopter les gestes durables en toute simplicité. En filigrane, il s’agira de vous accompagner au quotidien pour vous permettre de mettre vos poubelles au régime !

Dans le concret, les participants de ce défi un brin écologique et environnemental pourront partager leurs trucs et astuces afin de progresser dans leur quête, sans pression, ni quotas imposés.

Parmi les sujets qui seront proposés dans le cadre de ce coaching judicieux, citons un accompagnement individuel et collectif par des professionnels, des animations variées qui comprennent des ateliers, visites et découverte des éco-gestes adaptés à tous, ainsi qu’un espace d’échanges pour s’entraider et partager des conseils pratiques.

 

 

Ouvert à tous, ce défi a pour éthique de gérer ses déchets en s’amusant et en progressant à son rythme. Pour y prendre part, c’est très simple : les inscriptions sont possibles jusqu’au 30 janvier 2025, en s’inscrivant dès maintenant via ce formulaire : https://urlz.fr/trN8.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur https://www.dechetscentreyonne.fr

Alors, pas de perte de temps !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Triste nouvelle que celle-ci. Elle ouvre l’actualité de cette première vraie semaine de 2025. Le décès du cuisinier, Jean-Pierre SAUNIER. Il fut une sorte de « parrain de la cuisine auxerroise », quarante années durant. L'ami Jean-Pierre s'en est donc allé ce dimanche, avec élégance et discrétion. Il était veuf et père aimant de Claire et Eve, ses deux filles…

 

AUXERRE : Cet homme attachant et bourguignon dans l'âme naquit à Chaudenay en 1951, paisible village de Saône-et-Loire. Une maman, mère au foyer et plutôt bonne cuisinière avec ses quatre fistons (le civet de lapin ainsi que le gras-double à la lyonnaise qui deviendra bien plus tard une sorte de « madeleine de Proust » de notre cuisinier). Roland, le papa, est routier. Il appréhende l'hiver la fameuse côte de Sombernon, en Côte d’Or. Lorsqu'il emmène Jean-Pierre avec lui, le gamin est ravi se souvenant des haltes-déjeuner dans un restaurant routier.

L'école, ce n'était pas trop son truc à Jean-Pierre. Même avec son institutrice bien-aimée,  Mme GARNAULT. Alors un lundi de 1965, sa maman l'emmène chercher un apprentissage à Chagny, la bourgade voisine. Il voulait être coiffeur ou cuisinier, mais en ce lundi, seul l'hôtel-restaurant « Lameloise », étoilé Michelin à l'époque, est ouvert.

 

La rencontre avec Jean LAMELOISE à Chagny !

 

Va pour cuisinier sous la férule du chef Jean LAMELOISE et de sa gentille épouse, Simone. La jeune « arpette » garda toute sa carrière en mémoire les plats type de son apprentissage (terrine « Lameloise » aux foies de volaille, truite à l'aligoté beurre échalote, coquelet en pâte sauce Janick...).

Une fois, son cap en poche, notre jeune mitron voyage : « le Royal » à Evian où il fut rôtisseur. Puis, c’est l'est de la France où il rencontra Marie-Paule, sa future épouse. Ils partirent ensuite sur la Côte d'Azur.

Jean-Pierre SAUNIER œuvre dans un palace monégasque. Il aime ce climat, les tomates ensoleillées, le romarin qui l'accompagnera culinairement toute sa carrière ainsi que l'huile d'olive. Mais la jeune maman de Claire ne se plaît guère dans cette contrée, dans laquelle « JP » se serait bien vu faire carrière. Retour en Saône-et-Loire, où ils reprennent « L'Auberge bressanne » à Serley. Forcément après les fastes d'un palace, le coq au vin du banquet des soldats du feu locaux fut quelque peu dépaysant ! 

A cette époque le grossiste en alcool offrait une caisse de six bouteilles pour tout achat de rhum « Négrita », une autre époque assurément !

 

 

La reprise du « Maxime » : le summum de sa carrière…

 

Un jour de semaine, au hasard d'une promenade en auto, le long de la RN6, la famille débarque en 1978 à Auxerre, en cette année d'élections législatives, où par affiches interposées, l'édile local affirme que « la majorité aura la majorité ». Cet homme politique, c'est Jean-Pierre SOISSON. Même prénom,  mêmes initiales et le début d'une longue et fidèle amitié. C'est une rue du pont des plus commerçantes qui accueille « La Marmite », premier restaurant de la famille SAUNIER, là où est installée « L'Aspérule », désormais.
Cela marcha de suite se rappelait l'ami Jean-Pierre, adepte d'une cuisine classique bien troussée avec sa marmite d'escargots et sa pièce de bœuf sauce béarnaise qui furent notamment deux de ses piliers gourmands.
Quelques années plus tard, au milieu des années 80, c'est la reprise du « Maxime », sur les quais de l’Yonne. Sûrement sa plus grande époque culinaire, que j'eus grandement aimé connaître d'ailleurs ! Vivier et rôtisserie y sont au programme  et l'on pouvait s'y délecter d'un homard patte bleue rôti à la seconde près. Quant à la sauce, le jus de cuisson tombant dans le « lèchefrite » était récupéré, puis monté au beurre, agrémenté d'échalotes. Pour accompagner ce mets délicat,  il fallait bien un joli flacon bourguignon dont Jean-Pierre était friand ! C'est aussi la grande époque de l’AJA et de ses matchs européens, suivis de quelques agapes pour lesquelles notre chef était aux commandes.

 

 


Le « Rendez-Vous », une ode conviviale et gourmande…

 

 

Une fois « Le Maxime » vendu à l'aube du nouveau siècle, on retrouve Jean-Pierre et Claire SAUNIER, Rue du Pont, pour l'histoire du « Rendez-Vous », la taverne bourguignonne, ode culinaire et conviviale. C'est là que je le connus, lorsque j'étais le chroniqueur gastronomique de France Bleu Auxerre. D'un naturel liant et sympathique, Jean-Pierre, connu et reconnu dans la capitale de l’Yonne, attirait forcément une sorte de réciprocité. Les gens l'aimaient parce qu'il les aimait. Et au « Rendez-Vous », du balayeur au directeur, l'accueil était à l'unisson. Avec l’animatrice Nathalie RIVAUD, nous l'avons souvent accueilli en studio pour nos émissions culinaires, nous réjouissant de sa venue, mais aussi de sa drôlerie.

Moult souvenirs me reviennent en mémoire, dont nos passages réguliers au bistrot « Le Dolet » dans la rue éponyme, des estaminets comme il n'y en aura plus demain. Avec ce bel ami, nous aimions la même France, et ne comprenions pas tout - loin s'en faut !- au monde d'aujourd'hui et ses valeurs disparues....

Impossible de l'évoquer sans mentionner son côté croyant, la charité pratiquée à sa façon originale mais bienfaisante et discrète, comme l'offre d'un foie gras maison pour Noël à ses proches veufs ou veuves. Il aimait l'église Saint-Pierre, proche de son estaminet. Il appréciait  aussi ses jeunes collègues, dont Jérôme JOUBERT, le chef du « Rive Gauche » à Joigny, ou se réjouissant de l'étoile Michelin en 2019 de Franco BOWANEE « Au Vault-de-Lugny ».

Sa journée était rythmée. Ce matinal aimait aller chaque jour faire ses approvisionnements chez « Métro », ayant apprécié un directeur y étant passé,  Philippe BULANT.

 

 

Un amoureux sincère de son métier et de la gastronomie

 

Impossible d'évoquer notre Jean-Pierre sans ses plats fétiches : les œufs en meurette et leur sauce d'anthologie, le croustillant de pied de veau, la roulade d'œuf au foie gras, les asperges sauce cressonnette - sa sauce ! - les ris de veau aux girolles, la lotte au romarin et huile d'olive (un souvenir de Monaco sûrement ), la cervelle de veau meunière et sa superbe purée bien beurrée, et le pigeonneau, servi à la goutte de sang.

Cet amoureux sincère de son métier fut deux fois complimenté par des inspecteurs du Michelin. A l'époque où le guide sillonnait encore la France et pas uniquement Courchevel et la Côte d'Azur ! Et que ses inspectrices et inspecteurs se présentaient parfois après règlement de l'addition. Une fois pour la différence de sauce entre les œufs meurette et la joue de bœuf à la bourguignonne, et une autre fois pour sa béarnaise d'anthologie !

Las ! La COVID, la retraite ainsi que le décès de son épouse l'avaient quelque peu désorienté ces temps derniers. Au revoir, Jean-Pierre, je t'embrasse comme tu le faisais avec chacun de nous, avec franchise et affection. Ton personnage truculent marqua tout ou partie de nos vies. Repose en paix, et...à la tienne avec promis un « p'tit » canon de ta Saône-et-Loire bien aimée. 


Gauthier PAJONA

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La voix, grave, résonne dans la salle, amplifiée par une sonorisation de belle facture. Sa chaleur est envoûtante. A l’instar de l’écrin, à l’épure parfaite, qui accueille les amateurs du septième art, réunis pour vivre un moment merveilleux. Soit l’inauguration de ce site, un cinéma-théâtre flambant neuf, après de longs mois de réhabilitation, astucieusement baptisé le « Cyclope ». Tel l’Ulysse mythique reconnu pour sa grande intelligence, Lambert WILSON sort de la pénombre et avance au centre de la scène, en adoubant en qualité de parrain ce concept cinématographique novateur, véritable aubaine pour la localité de Cédric CLECH.

 

TONNERRE : L’acteur de 66 ans n’est pas le seul à apporter son total soutien au projet culturel porté dans la commune de l’est de l’Yonne. Comédienne de talent et à l’avenir prometteur, Solène RIGOT, jeune trentenaire à la verve pleine de fraîcheur, a le cœur plein de nostalgie à l’évocation de sa première « rencontre » avec la ville à la Fosse Dionne, quand elle tourna pour le compte du réalisateur Guillaume BRAQUE, en 2013, dans son long métrage, intitulé sobrement « Tonnerre ». Le dénominateur commun avec Lambert WILSON est évident. Elle sera la marraine, lui le parrain, de cet endroit qui ravit depuis qu’il est opérationnel dans sa nouvelle configuration les férus du septième art et de la chose artistique dans sa globalité.

 

Un drôle de nom qui n’a rien de mythologique !

 

« Le Cyclope » ! Quel drôle de nom de baptême pour un site artistique qui se veut résolument moderne dans ses aspirations et ses choix de programmation – on doit cela à la très professionnelle et toujours souriante Mariana GIANI, responsable de la salle -, bien loin de la mythologie grecque. D’ailleurs, que l’on ne s’y méprenne pas, foi de Cédric CLECH, l’édile, qui en apportera l’explication : le nom est une référence à l’œil de bœuf situé sur la façade à l’avant de l’édifice. Tout simplement ! De quoi décevoir les aficionados de tragédies grecques ou les férus de symbolisme à la limite de l’ésotérisme !

Ouvert depuis février dernier, le complexe culturel sis à proximité de l’hôtel de ville aura en Lambert WILSON – il est devenu un peu le régional de l’étape culturelle depuis qu’il s’est installé dans notre contrée dont il est fier – un ambassadeur de poids à la voix agréable et magnétique. Une histoire d’amour que le fils du regretté Georges WILSON, grand homme de théâtre, revendique bec et ongles.

Chanteur et comédien, à la renommée internationale, Lambert WILSON aime le verbe. Et le maîtrise si bien, dans toutes les occasions. A la scène comme dans la vie comme auront pu l’apprécier la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY qui n’a pas hésité à faire le déplacement depuis Dijon pour cet évènement inaugural ou le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, grand amateur de belles lettres, un souvenir de son passé de recteur au sein de l’Education nationale.

 

 

Un western en guise de premier film projeté à la campagne

 

L’intervention de l’acteur qui a incarné Charles de Gaulle ou Jacques-Yves COUSTEAU dans « l’Odyssée » - pas étonnant qu’il soit associé au parrainage du « Cyclope » et par ricochet aux aventures mythiques d’Ulysse ! -, aura en ce point été remarquable. Avec le phrasé posé et réfléchi qu’on lui connaît. Une balade dans l’intime puisque l’acteur évoquera même un épisode de sa prime enfance…

« Quand j’étais petit dans un village de la région parisienne, très agricole, il y avait une épicerie café qui organisait très régulièrement une projection de cinéma. C’est là que j’ai vu mon premier film, c’était un western ! Cela réunissait les gens du village et l’ambiance se voulait joyeuse même si la projection était « pourrie » ! Pour moi, cette première vision du cinéma dans un village correspondait à une réunion, de joie de vivre et d’excitation pour l’enfant que j’étais… ».

Puis, il s’attardera sur la tournée promotionnelle, effectuée à travers l’Hexagone en 2023 aux côtés de la réalisatrice Emilie DELEUZE – son film « 5 hectares » dans lequel apparaît la merveilleuse Marina HANDS était à l’affiche le soir même au Cyclope – dans des cinémas associatifs et d’art et essai.

« Je me suis rendu compte de l’importance du tissu associatif pour la défense du cinéma, souligna l’acteur, et du soutien des salles municipales. On a ratissé une France plus rurale à travers des cinémas indépendants. J’ai été épaté par le travail de toutes ces personnes qui s’en occupent et bouleversé par la présence du public, dans ces salles pourtant très isolées… ».

 

 

Un cadeau inestimable fait au public qui aime le cinéma

 

Logique, en somme, que Lambert WILSON devienne le parrain naturel de ce « Cyclope » qui va offrir désormais un autre regard sur le septième art.

« C’est un grand honneur d’être le parrain d’une salle comme celle-ci, je suis fidèle à la Bourgogne depuis quarante ans et à Tonnerre… ».

Délivrant ensuite un message aux Tonnerrois, le comédien et chanteur – on n’oublie pas son excellente interprétation des grands succès du regretté Yves MONTAND, ce qui lui permit d’enregistrer un album de reprises en 2016 -, qualifia cet outil de culture local comme étant un « trésor ».

« C’est rare aujourd’hui de posséder cela, car les cinémas disparaissent de nos villes de province, c’est aussi une mission qui va dans les deux sens pour celles et ceux qui promeuvent le cinéma. Il y a la mission des gens qui font cette proposition comme les responsables d’une équipe municipale et celle des gens du cinéma qui le font vivre avec sa programmation. Mais, il y aussi la mission du public qui se doit d’encourager l’initiative en allant voir les films. C’est un cadeau que l’on vous fait ! ».

Un luxe inouï avec cette salle qui propose une programmation de belle qualité assurée par Mariana GIANI, dans des conditions optimales.

« Prenez-en soin de votre salle, conclut un Lambert WILSON enthousiaste, faites en sorte que le cinéma vive ! C’est encore un dernier endroit alors la société est froide comme le théâtre où chacun peut recevoir une respiration commune dont on a grandement besoin… ».

Une formule qui fut longuement applaudie au final par l’assistance. Normal, la parole du « Parrain » vaut de l’or. Comme ce « Cyclope », bon pied, bon œil, qui a vu sa fréquentation progressée de 55 % depuis sa réouverture…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

De la solennité pour une belle cérémonie. Dans le plus pur respect des traditions, liées à la fameuse fête de la « patronne » protectrice des sapeurs-pompiers. La Sainte-Barbe a été célébrée comme il se doit, le week-end dernier, dans les locaux du CPI, le Centre de Première Intervention de la localité périphérique de la capitale de l’Yonne. L’occasion pour son édile, Cyril CHAUVOT, de remettre quelques décorations récompensant la valeur et la témérité des soldats du feu de la commune…

 

GURGY : Cinq remises de décoration. Cinq femmes et hommes de la commune, placés sous le feu des projecteurs pour services rendus à leur collectivité, en ayant incorporé au titre de sapeurs-pompiers volontaires, les effectifs du CPI local, le Centre de Première Intervention, élément primordial dans le dispositif du SDIS 89. L’occasion aura été donnée au maire de la bourgade septentrionale de l’Auxerrois, Cyril CHAUVOT, de remercier et de féliciter les récipiendaires de ces distinctions honorifiques, remises publiquement dans le cadre de la commémoration de la Sainte-Barbe, la fête de la « protectrice » de la filière. Un réel dévouement qui suscitait de l’admiration parmi les citoyens présents.

L’élu devait souligner l’abnégation et le civisme de ces administrés dévoués au service des autres. Avant de clore la cérémonie par une invitation au cocktail devant suivre, dans un esprit de parfaite convivialité.

 

 

 

En savoir plus :

 

La liste des personnes décorées

Ludovic MOINE, médaille pour  la première année de chef de corps et médaille des 30 ans de services.

Marion HENRIET, grade de première classe.

Marc THUREAU, diplômé en sécurité incendie et assistance.

Daniel GHYS, médaille honorifique des 15 ans de chef de corps du CPI de Gurgy et médaille des 10 ans d’encadrant des JSP (Jeunes Sapeurs-Pompiers).

Alain ROTHE, médaille honorifique de 5 ans d’encadrant des JSP.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Page 1 sur 407

Articles

Bannière droite accueil