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« Ciels Grands Formats ». Passionnante initiative que celle-ci ! Consacrée à de talentueux artistes fréquentant ce collectif « MOUV’ART » que l’on ne présente plus, elle aura permis depuis novembre de se réapproprier ce qui nous manquait le plus durant la période de confinements : l’émerveillement face à des œuvres picturales ! Quant aux lauréats de cette édition 2022, le verdict est tombé. Jean-Jacques PETIT s’est vu attribuer le Prix de la Ville d’Auxerre. Florence BERTRAND suscitant tout l’intérêt du public…

 

AUXERRE : Le cadre, tout d’abord. A lui seul, il mérite le détour. Le Cellier de l’Abbaye Saint-Germain. Un pan historique de ce patrimoine local, cher aux Auxerroises et aux Auxerrois. Une plongée dans ce passé si réconfortant et envoûtant qui met du baume aux âmes.

En ce temps-là, l’humain se complaisait d’ingéniosité dans la construction d’édifices séculaires devant lesquels on se pâme encore. Un cellier propice pour l’accueil de manifestations artistiques du meilleur effet. Surtout lorsqu’elles sont pavées de bonnes intentions et réussies de surcroît !

Il est vrai que l’équipe du collectif « MOUV’ART » maîtrise allègrement son sujet. Organiser des expositions, c’est son dada !

Alors quand il s’agit de scénariser un rendez-vous aussi fondamental que peut l’être la réception d’artistes exerçant leur passion sur des toiles et supports grands formats, on ne s’inquiète pas outre mesure sur la qualité des peintres présents ni sur leur potentiel créatif.  

 

Un grand moment de profonde sérénité artistique et intellectuelle…

 

En témoigne, Céline BAHR ! Madame la conseillère régionale aime le beau, l’onirique et l’émotionnel dans la représentativité artistique. Elle ne devait pas être déçue à la découverte de cette manifestation dévoilant ses plus atours picturaux depuis novembre.

Le thème était connu : le ciel. Un sujet tout à fait en harmonie et approprié avec le lieu de l’exposition, enclin à des pensées spirituelles profondes, à défaut d’être strictement religieuses.

Commentaires avisés de la troisième adjointe de la Ville d’Auxerre, en charge du développement durable, de la culture, du patrimoine et de l’enseignement supérieur : « Les artistes du collectif « MOUV’ART » possèdent cette qualité rare de savoir chacun, à leur façon, contempler le ciel… ».

Une édition 2022 qui aura su véhiculer un véritable message d’espoir, en conquérant le public, malgré les aléas d’une crise sanitaire omniprésente dans les esprits.

Du pain béni (vu l’endroit !) pour l’une des chevilles ouvrières de l’association auxerroise, Agathe VAN DER LAAN, accompagnée de son président, Dany PONNELLE. Les organisateurs de ce moment de grande sérénité intellectuelle furent plébiscités par l’élue pour leur investissement.

 

Deux artistes récompensés pour la qualité de leur travail…

 

Du côté des accessits, il devait en être question au terme de ce premier grand rendez-vous de la nouvelle année. Deux artistes se détachaient du lot des prétendants pour décrocher la précieuse timbale.

Tout d’abord, celle offerte par la Ville d’Auxerre, décernée par un jury de professionnels indépendants. Le prix a été remis à Jean-Jacques PETIT. Sa réalisation, un tableau grand format conçu à partir d’acier, a subjugué les admirateurs.

« C’était une sacrée aventure de réaliser ce travail sur une tôle, confia après la remise de son trophée l’artiste, c’est une première pour moi mais qui m’a donné le goût de recommencer ! ».

Le public, habitué à s’exprimer en pareille circonstance, par la voie d’un scrutin, désigna la nivernaise Florence BERTRAND au décompte des bulletins obtenus qui lui étaient favorables.

Ce qui n’est pas une surprise en soi pour cette artiste, diplômée de l’ENSAD Paris, et habituée aux expositions individuelles et collectives entre l’Ile-de-France, la Nièvre et l’Yonne.

Qualité quand tu restes ancrée en nous !

 

Thierry BRET

 


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Découvrons aujourd'hui une commune, bien peu paritaire, selon les canons de 2022 ! Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes. Pardonnez-moi, mesdames ! Mais, là dans ce village d’environ 420 habitants, au nord-est icaunais, se trouve une adresse ouverte depuis avril dernier. Nous la tenons de Vanessa, la dynamique patronne de « GORISSE Primeurs », très bel étal sur les marchés de Sens, de Pont-sur-Yonne mais aussi de Bray-sur-Seine, le vendredi.

 

SAINT-MAURICE-AUX-RICHES-HOMMES : Signalons qu’à Bray, il y a une jolie table poissonnière, « Les Bons Laboureurs », comme son nom ne l'indique pas forcément d'ailleurs !

Mais revenons au village initial. En ce midi d'avant Noël,  tout y est paisible. Raison de plus pour pousser la porte du « Comme chez soi » !

La serveuse y est souriante et aimable - ce qui est toujours plaisant - et une fois mon passe sanitaire composté m'installe sur une banquette confortable, dans une salle lumineuse où trône le buffet de mère-grand, un peu plus joli que les modernistes éléments à base de sapins suédois ! Les fenêtres sans PVC portent des décalcomanies de basilic ou de romarin. Je crois que c'est sa  maman qui cuisine...


Ah la Corrèze et ses balades à moto !


La formule du jour comprend une salade variée plutôt bien assaisonnée. Le pain est correct, même si peut-être gagnerait-il à quelques minutes de cuisson en sus ! Le verre de vin, honnêtement annoncé en « bib », est bon. La maison propose aussi en bouteille un petit choix de vins icaunais.
A la table d'à côté, un frère et sa sœur, vraisemblablement. Elle annonce que vu ses 22 ans, elle ne veut pas avoir d'enfants mais plutôt en adopter un. Son interlocuteur dément mollement. Mais la conversation s'interrompt car « Fun Radio » diffuse alors  un tube que notre miss reprend joliment. Il s'agit d'une ode corrézienne interprétée par le groupe « Trois Cafés Gourmands ».

C'est joli la Corrèze ! Même si en juin dernier,  y passant à moto, nous nous y fîmes copieusement rincés !

 

Le délice d’un gratin dauphinois met en appétit…

 

Le plat arrive : il s'agit d'un filet mignon de porc en croûte. La viande est copieuse - un peu trop peut-être, mais bien assaisonnée. Le gratin dauphinois qui l'accompagne est délicieux,  vraiment. Quant aux haricots verts, ils n'apportent rien à cette bonne assiette.

Derrière  moi, un monsieur, est seul. Il est « véner » - comme disent les jeunes    - car finalement sa sœur ne viendra pas pour Noël et refuse de s'arrêter à la proche sortie de l'A5  afin d'y déposer ses nièces !

Pourtant un joli menu semble prévu : poêlée de Saint-Jacques avec pommes et marrons, suivi d'un chapon farci aux fruits secs. Notre serveuse amatrice de moto Harley et de bagnoles 4X4 le console tant bien que mal.

 

 

Faire vivre ces établissements fleurant bon la ruralité…

 

Vient le moment du dessert : un gâteau fait maison au citron, pas trop sucré, et plutôt bon.

Ah ! Petite info : les toilettes, propres, sont chauffées  mais à l'extérieur de cette jolie bâtisse chargée d'âme.

Un bon déjeuner dans ce petit village, où l'on est heureux de trouver un endroit pour s'attabler ! Ce midi-là, nous n'y étions que quatre. Ce serait chouette de s'y retrouver à quelques-uns de plus. Grâce à vous demain ? Qui sait ?

Sans clientèle, ces endroits, de moins en moins nombreux, disparaîtront. Quel dommage ce serait.

 

En savoir plus :

Le "Comme chez soi"

42 Rue de la Forêt de Lancy

Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes

Contact : 09.70.51.53.85.

 

Gauthier PAJONA

 


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Finalement, les Français vont-t-ils réellement céder à la tentation de casser leur tirelire et entamer ainsi le « trésor de la COVID » ? Vont-ils poursuivre l’effort d’épargne de précaution ? Le début d’année commence mal avec les soldes d’hiver qui affichent déjà une chute de 40 %. Cela en dit long sur l’état d’esprit de nos concitoyens ! L’épargne est cependant stabilisée. Le début 2022 est marqué par une très légère décollecte…

TRIBUNE : L’Elysée et le gouvernement espèrent la fin prochaine de l’épidémie. Les annonces spectaculaires fleurissent aux quatre coins du pouvoir ! On va voir ce qu’on va voir ! Le terme de la crise sanitaire est prévu vers le mois de juin. Ce sera le retour aux libertés de circuler, la disparition des confinements et autres contraintes…

Bref, le message est subliminal à lire : « vous pouvez profiter dès maintenant de vos réservations des vacances d’été, vous pouvez investir dans une nouvelle voiture (à condition de patienter plus de douze mois pour les véhicules neufs haut de gamme en rupture !), dans les équipements ménagers… ». Tous les experts  louchent sur les quelques centaines de milliards d’euros, propres à relancer l’économie et à augmenter le PIB.

N’oublions pas que « l’épargne COVID » est liée à une dimension psychologique évidente : la crainte de l’avenir. Pour que les Français se décident à vider leur bas de laine, il faut réunir plusieurs conditions : la fin certaine de la pandémie avec les vaccins qui portent l’espoir d’un retour à une vie normale (mais les variants font craindre de nouveaux reconfinements) ; la stabilité sociale avec la fin des grèves qui vont marquer les mois à venir jusqu’aux élections présidentielles ; la stabilité économique où trop d’incertitudes se profilent engendrant une situation d’endettement catastrophique.

Il est vrai que l’inflation galopante sur les produits de première nécessité (pain, pâtes, énergie, carburants…) grève de plus en plus le pouvoir d’achat des ménages. Nos dépendances industrielles et pharmaceutiques vis-à-vis de la Chine vont encore perdurer. Et ce pour longtemps !

 

La confiance : un argument à changer comme programme électoral…

 

Enfin, il y a la stabilité politique : elle ne pourra s’envisager qu’après les élections présidentielles et législatives, après la nomination du premier gouvernement et les premières mesures qui seront décidées. Reste l’international. De gros nuages noirs s’accumulent aux frontières orientales de l’Europe…

Pour consommer, il faut donc de la confiance. Le résultat est clair : il n’y a plus de confiance en les politiques de tout genre, dans les scientifiques du secteur de la santé et encore moins sur l’avenir. De toute façon, la confiance, facteur clef de succès d’une reprise par la consommation ne pourra se faire que progressivement. Pas avant le troisième trimestre 2022.

Il va falloir que notre président trouve un autre domaine électoral s’il veut assurer sa réélection ! Il peut toujours reporter les élections sine die s’il juge que la pandémie est trop forte, et que pour des raisons sanitaires, il ne faut pas risquer la santé des français… Pourquoi pas ?

 

 

Anecdote autour d’une vision imaginaire devenue réalité !

 

Un bon client, alors que j’étais encore son conseil patrimonial, me posa un jour cette question. « Et si vous aviez mon patrimoine (l’équivalent de deux millions d’euros à l’époque), vous me conseilleriez quoi ? ».

Comme il était amateur de « kir », je consentis à lui livrer ces quelques clefs, délivrés en 1984) : « Situons d’abord un contexte imaginaire : une crise économique forte associée à un environnement perturbé par de mauvaises conditions climatiques (sécheresse, tempêtes, ruptures d’électricité…), alors vendez votre portefeuille d’actions et alimenter vos livrets à hauteur de 10 à 15 % du patrimoine. On a tous en tête la carte « chance » du Monopoly : faites des travaux dans vos maisons ! ET n’oubliez pas l’acquisition d’une propriété avec la résidence, des dépendances, un étang pour le poisson, un verger, un potager, et éventuellement une basse-cour. De l’autosubsistance pour faire face à toutes les situations de crise… : on ne sait jamais ! ».

Aujourd’hui, j’ajouterais volontiers des panneaux solaires ! Bien sûr, nous sommes sûrement dans une stratégie imaginaire… elle n’est donc pas inimaginable ! « Ma philosophie ne m’a rien rapporté mais elle m’a beaucoup épargné » dixit Arthur SCHOPENHAUER…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Battre le pavé. Toujours et encore. Dans le froid, si agressif, d’un après-midi blême hivernal où le ciel se mêle lui aussi à la tristesse des regards. Ils ont beau se héler, se saluer joyeusement comme s’ils se rendaient à une kermesse bon enfant, se redresser fièrement en arborant les couleurs de leurs syndicats : ils savent ce qu’est la dure réalité de la vie. Celle de la paupérisation et de la pénibilité au travail. Celle de la faiblesse des revenus (et encore pour celles et ceux qui en ont) et la crainte du chômage. Ce couperet impitoyable au-dessus de leur tête, prêt à tomber…

 

AUXERRE : Jusqu’à quand devront-ils défiler dans la rue pour se faire entendre ? Jusqu’où devront-ils aller pour montrer qu’ils existent ? Ces femmes et ces hommes dépités parce qu’ils endurent au quotidien, ces citoyens qui se serrent continuellement la ceinture et qui ne savent plus à quels saints se vouer (et encore si Dieu existait dans tout ça, daignerait-il enfin leur accorder une faveur ?!).

Le nez rougi, les yeux larmoyants, les doigts gourds, tétanisés par des températures à ne pas mettre un quidam dehors, elles et ils se rassemblent pourtant, sur la place de l’Arquebuse, prêts à crier leur colère. Une poignée, à peine aux alentours de 14 heures. De quatre à cinq cents, trois quarts d’heure plus tard. Tous ont cette volonté farouche, chevillée au corps, de conspuer ce gouvernement qui ne les écoute pas. Qui ne les voit plus.

 

 

L’emploi et la revalorisation des salaires : la priorité…

 

Priorité à l’emploi, tel est le premier des slogans revendicatifs. Mais, aussi à la hausse des salaires alors que l’inflation n’est même plus galopante dans ce pays qui croule sous les impôts et les taxes. Elle fait exploser les bas de laine déjà percés de bon nombre de Français. Elle réduit à néant les espoirs les plus fous de s’accorder quelques vacances salvatrices en famille à l’été. Elle assassine les automobilistes qui n’en peuvent plus de supporter la valse des étiquettes, changeantes comme la météo.

Le reste n’a guère d’importance à leurs yeux. Qu’importe que la froidure de l’instant les paralyse avant que le cortège ne s’ébranle enfin. Qu’importe qu’ils soient obligés de débrayer et perdre une journée de salaire. La cause est trop importante. Le mot d’ordre n’est-il pas la mobilisation générale ?

 

 

Le pari de la mobilisation, une fois de plus réussi…

 

Enseignants, cheminots, fonctionnaires : ils ont répondu présents. Y compris les retraités qui ne manquent pas de faire parler d’eux. Ils ne se contentent pas de suivre le cortège dans la queue du peloton. Le misérabilisme dont ils souffrent qui équivaut aux pensions et aux retraites ridicules que certaines personnes touchent chaque mois les a fait lever de leur fauteuil. Certains déambulent à l’aide d’une canne, péniblement mais l’œil malin. Ils voulaient être là.

Les syndicats ont donc réussi leur pari. Réunir une fois de plus, sous l’égide de la CGT, de FO, de la FSU, de Solidaires, mais aussi du Parti Communiste, la foule compacte de ces mécontents, de ces aigris du système, de ces laissés pour compte, de ces bannis de la profitabilité : bref, une frange nombreuse de ce peuple de France à la veille de l’échéance présidentielle. Celle qui fera l'élection.

 

 

Ne plus être les laissés pour compte de la société…

 

Et ce ne sont pas le chèque énergie de cent euros et le relèvement de la grille des indemnités kilométriques qui devraient y changer quelque chose.

Les plus modestes ne veulent plus être les oubliés continuels de la société. Les profits capitalistiques obtenus par quelques-uns sont dénoncés haut et fort par un cortège qui scande des mots durs et acerbes contre le système, à l’angle de la poste au sortir de la rue du Temple. Les manifestants longent la place des Cordeliers, leurs voix portent loin et s’envolent vers les flèches de la cathédrale, toute proche. Tout un symbole et quel contraste !

Et si Dieu, à défaut de la gouvernance, apportait enfin les bonnes réponses en éradiquant enfin la misère de ce monde…On appellerait cela un miracle. En vain ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Tournée dans le pays de la Salers, au cœur du Cantal, cette comédie de Christopher THOMPSON s’affiche sur les écrans des cinémas de l’Yonne depuis plusieurs jours. Un hommage à un corporatisme qui pratique l’élevage de qualité dans le respect des paysages et des saisons…

 

BILLET : Fort bien interprété, ce long-métrage aurait pu être tourné dans nos campagnes. Actuellement à l’affiche, « Tendre et Saignant » est une comédie de fort bon goût, une belle ode bouchère ainsi qu’un hommage qualitatif pour toute la filière artisanale.

Cette charmante comédie, mettant en scène Géraldine PAILHAS et Arnaud DUCRUET, narre les aventures d’un commis-boucher qui décide de se battre pour sauver une boucherie de proximité. Alors que l’héritière de ce commerce, une rédactrice en chef d’un magazine de mode n’en a cure. S’en suit une cohabitation presque impossible entre la néo-propriétaire et le commis non sans humour !

Ces deux dernières années, cinq boucheries artisanales furent reprises dans l’Yonne et l’on ne peut que s’en réjouir. Situées à Gron, Cravant, Tonnerre ou encore à Ouanne, ces bouchères et bouchers vous attendent le sourire aux lèvres, légitimement fiers de leur bel étal.

Quant à celle de Saint-Bris-le-Vineux, elle vient juste de rouvrir ! Bon film, comme dirait l’autre, et longue vie à l’entrecôte !

 

Thierry BRET et Gauthier PAJONA

 


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