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Les réunions se suivent mais ne se ressemblent pas forcément pour l’égérie du Mouvement Conservateur. A la veille de son déplacement en terre icaunaise, mercredi 23 février à l’abbaye de REIGNY, c’est aux côtés de Jean-Frédéric POISSON, chef de file de VIA La Voie du Peuple, que l’oratrice, prêchant le programme de campagne de Reconquête !, aura chauffé à blanc une salle acquise à la cause d’Eric ZEMMOUR. Dans l’Yonne, son alter ego masculin ne sera autre qu’Antoine DIERS…

 

VERMENTON : Une abbaye cistercienne pour accueillir une rencontre publique des militants et partisans de « Reconquête ! » ne manque pas de symboles à plus d’un titre ! Ni de piquant !

C’est ici, dans ce haut-lieu du patrimoine architectural, site classé monument historique depuis 1921 que la coordination départementale soutenant la candidature d’Eric ZEMMOUR dans l’Yonne a finalement choisi de jeter son dévolu logistique afin d’y accueillir deux des ténors de la sphère souverainiste de l’union des droites : Laurence TROCHU, présidente du Mouvement Conservateur, et Antoine DIERS, directeur-adjoint de la stratégie de campagne et porte-parole de l’ex-polémiste, reconverti depuis en leader politique.

Un meeting, ouvert à celles et à ceux que la politique passionne mais uniquement par voie d’inscription, qui se déroulera ce mercredi aux alentours de 20 heures sans qu’il n’y ait besoin de passe vaccinal, comme simple formalité d’accueil.

L’ancienne responsable de « Sens Commun », fervente défenseuse d’une droite dure et conservatrice, issue des Républicains, s’est finalement ralliée à la démarche élyséenne de l’éditorialiste Eric ZEMMOUR le 04 décembre dernier. Au soir de la défaite d’Eric CIOTTI, coiffé sur le fil du congrès des Républicains par la modérée Valérie PECRESSE.

 

 

L’idée d’une Europe des nations où le respect de subsidiarité des pays est roi…

 

Favorable à l’idée d’une « Europe des nations qui se doit de respecter la subsidiarité propre à chaque pays », Laurence TROCHU est désormais la porte-parole du prétendant à la présidence de la République.

Si la veille, c’est aux côtés de  l’ancien candidat à la primaire de la droite en 2017 Jean-Frédéric POISSON qu’elle aura tenu meeting à Fontaine-Française en Côte d’Or (là aussi tout un symbole en termes de sémantique !), l’oratrice partagera l’affiche avec le médiatique Antoine DIERS, directeur adjoint de la stratégie de campagne d’Eric ZEMMOUR et porte-parole de « Reconquête ! ».

Tous les thèmes chers au candidat devraient être largement abordés lors de cette rencontre qui se tiendra dans l’une des salles de réception de cet édifice chargé d’histoire.

Rappelons que la coordination départementale de l’Yonne regroupe en son sein des représentants du parti Reconquête !, de VIA La Voie du Peuple, du Mouvement Conservateur et du CNIP, le Centre national des Indépendants et des Paysans.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Sur fond de résurgence possible de la COVID 19 ou d’un nouveau variant, et de défiance profonde envers les institutions, la participation, déjà faible lors des régionales, pourrait l’être à nouveau. Ces dernières élections furent marquées par 67 % d’abstention, dont plus de 97 % chez les jeunes de 18 à 24 ans. Habituellement, les présidentielles sont plus mobilisatrices que les autres scrutins. Mais, dans un contexte de crises (politique, sanitaire, économique…), l’abstention peut être déterminante pour l’élection du futur président : dans un sens comme dans l’autre.

 

TRIBUNE : Soit il s’agira d’une abstention record, soit ce sera une mobilisation plus forte que d’habitude. L’institut IPSOS indique que 67 % des Français connaissent les dates des futures élections. Conclusion : certains journalistes indiquent en conséquence que 33 % se désintéressent de cette échéance. Plutôt simpliste comme raisonnement !

Entre les dates de levées progressives des contraintes sanitaires, les dates de congés… : on ne peut absolument pas conclure par un désintérêt marqué pour la campagne électorale ! 

Lors des sondages, l’abstention est le plus souvent masquée par les interviewés. Mais, une perturbation est possible : lors du premier tour des élections, près de la moitié de la France sera en vacances et au second tour, c’est la totalité du territoire qui sera en période de congés scolaires. Alors qu’en penser ? La date fixée est-elle fortuite ou manipulée à des fins manichéennes ? A qui profite le crime, si crime il y a !

 

 

 

Les abstentionnistes : un profil issu des classes populaires…

 

 

Les enquêtes sur la participation électorale réalisées par l'INSEE, qui confrontent les listes d'émargement et les données du recensement, font ressortir certaines caractéristiques. L'abstentionniste type est moins diplômé que l'ensemble de la population et appartient plutôt aux catégories populaires, donc les ouvriers et les employés non qualifiés.

Il se situe dans une situation de précarité avec un travail répétitif, à la chaîne. Surtout, il va être plus jeune. Par ailleurs, on retrouve aussi des facteurs familiaux, notamment le fait d'être dans une famille monoparentale ou de vivre dans un relatif isolement social. Toutes ces situations contribuent à une abstention beaucoup plus forte. Effet gigogne, les candidats concernés par ces populations, pourront être lourdement pénalisés.

 

 

En revanche, plus on avance en âge et plus on préfère Valérie PECRESSE et même Eric ZEMMOUR. Dans la mesure où les anciens votent par devoir et plus que les plus jeunes, une forte abstention peut bénéficier aux trois candidats de la droite.

 

 

 

Abstention, vote blanc et vote nul : quelles différences ?

 

 

Le vote nul correspond à des bulletins déchirés ou annotés qui ne peuvent pas être pris en compte dans les résultats de l’élection. Il est parfois difficile d’interpréter le sens d’un vote nul. L’électeur n’a pas forcément souhaité que son vote soit nul. Il a cru, par exemple, qu’une mention manuscrite ajoutée n’aurait aucune incidence. Mais, il arrive également que l’électeur ait volontairement déposé un bulletin nul pour manifester son opposition aux différents candidats et programmes présentés.

Le vote blanc consiste à déposer dans l’urne une enveloppe vide ou contenant un bulletin dépourvu de tout nom de candidat ou de toute indication dans le cas d’un référendum. Ce type de vote indique une volonté de se démarquer du choix proposé par l’élection.

Depuis la loi du 21 février 2014 visant à reconnaître le vote blanc aux élections, les bulletins blancs sont décomptés séparément des votes nuls et annexés en tant que tels au procès-verbal dressé par les responsables du bureau de vote. Mais, comme auparavant, ils ne sont pas pris en compte dans le nombre des suffrages exprimés (ensemble des bulletins moins les votes blancs et nuls). L'objectif de la réforme est de reconnaître que le vote blanc est un acte citoyen qui se distingue de l’abstention. L'électeur s’étant déplacé jusqu'à son bureau de vote, il exprime une volonté politique de participer au scrutin pour dire son refus de choisir entre les candidats en lice. La prise en compte du vote blanc pourrait permettre de faire reculer le taux d’abstention.

Par rapport aux inscrits, on note une progression des votes blancs ou nuls : 5 % en 2002 pour atteindre 12 % en 2017. La hausse de l’abstention ne constitue pas une fatalité : les dernières élections présidentielles aux Etats-Unis ont vu une forte participation de la population, et le vote continue de progresser dans les Etats scandinaves. Il est clair que le taux d’abstention peut entacher la légitimité du candidat élu.

 

Fin de la première partie.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Ils n’en démordent pas ! Après la manifestation organisée sous les fenêtres de l’hôtel de ville le 10 février, les partis de gauche et écologistes lancent une nouvelle action. Elle prend la forme d’une pétition pour exiger la démission du maire d’Auxerre, Crescent MARAULT. Reprochant à l’élu de ne pas avoir assumé ses actes après sa condamnation, les signataires du document en ligne remettent le couvert. Logique, après le récent concert de casseroles !

 

AUXERRE : Après la rue, la toile ! C’est sur Internet que les opposants au maire d’Auxerre se manifestent désormais, en lançant une pétition qui réclame sa démission sine die. Proposée par Europe Ecologie Les Verts, La France Insoumise, le Parti Radical de Gauche, le Parti Communiste et le Parti Socialiste, l’initiative n’a d’autres objectifs que de rassembler le plus de signataires possibles afin de faire pression sur le maire-président de l’Agglomération auxerroise. En exigeant son départ des manettes de la gouvernance.

A ce jour, une vingtaine de personnes ont déjà rempli le bulletin électronique faisant foi de leurs protestations. Parmi elles des personnalités de la gauche et de l’écologie à l’instar de Mani CAMBEFORT (PS), Isabelle POIFOL-FERREIRA (PRG), Alain RAYMONT (PCF), Marie-Noëlle LEHODEY (LFI) ou encore Denis MARTIN (Auxerre Ecologie Solidarités).

 

 

Reprochant à l’élu auxerrois de ne plus être irréprochable après sa condamnation pour prise illégale d’intérêt, le 14 décembre dernier, les pétitionnaires souhaitent son retrait de la vie publique. Au nom de la confiance accordée par les citoyens à la démocratie.

Lors de la tribune audiovisuelle, « L’Auxerrois à la Une », Crescent MARAULT avait répondu à la question du présentateur Jean-Marc SYLVESTRE concernant ce point précis d’actualité : « la justice a été rendue, je me consacre entièrement au projet de territoires que je porte… ».

Faisant clairement entendre qu’il n’avait pas l’intention de renoncer ni à son poste de maire ni à son mandat de président de la Communauté d’agglomération.

 

Thierry BRET

 

 

 


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De l’humour, il sait en distiller à doses non homéopathiques autour de lui. Affable, jovial, enthousiaste, mais toujours attentif à la moindre des déclarations qui est prononcée avant son intervention, le second personnage de l’Etat, après le Président de la République, hume l’air de cette salle (le SKENET’EAU) totalement acquise à la cause. La sienne, la leur qui l’a fait devenir coprésident du comité de soutien national à Valérie PECRESSE. Un orateur qui sait aussi décocher des flèches assassines à ses adversaires quand il le faut…

 

MONETEAU : Stylo feutre dans la main et assis derrière la tribune de l’orateur, le président du Sénat annote au bas des documents qui lui font office d’aide-mémoire, la trame de son futur discours, quelques réflexions personnelles. Il relève les yeux en les plissant légèrement et écoute studieusement ses prédécesseurs qui se succèdent au pupitre.

Dodelinant de la tête de manière affirmative comme pour accentuer une idée forte émise par la bouche de Dominique VERIEN, un élan de combativité appuyé par Guillaume LARRIVE ou une attaque en règle contre le macronisme en provenance de Laurent WAUQUIEZ qui n’est pas avare sur le sujet.

Bref : Gérard LARCHER affectionne tout particulièrement l’exercice oratoire du jour et prend manifestement du plaisir à être là. L’ancien vétérinaire n’a pas la langue dans sa poche et sait manier haut et fort avec la gestuelle qui s’impose le verbe et la parole avec très grande aisance. Un sens inné de la communication qu’il aime partager avec un auditoire. Comme lorsqu’il exerce au perchoir de la chambre haute du parlement son arbitrage sur les débats du Sénat.

Oui, mais voilà, ici, dans ce complexe qui accueille le comité de soutien à la candidate de la droite et du centre droit, il en oublie l’aspect feutré et si intimiste du Palais du Luxembourg, pour se retrouver face à un vrai public de citoyens, certes qui n’apportera pas l’ombre d’une contradiction, mais qui se délecte de ses paroles. Alors, avec sa faconde qu’on lui connaît bien et un humour qu’il a l’art de cultiver, Gérard LARCHER entame son récital de mots et de phrases qui le plus souvent font mouche auprès du public.    

« Vous êtes (en évoquant la proximité de Monéteau avec celle d’Auxerre) la ville la plus sportive de ce département de l’Yonne ce qui pour moi qui suis un adepte de Winston CHURCHILL n’est pas nécessairement une qualité (en montrant sa silhouette) ! ».

 

 

Des « fleurs » adressées à la sénatrice Dominique VERIEN…

 

Rires fusionnels de la salle. Le ton est donné. Durant vingt-deux minutes, le président du Sénat va faire son show. Pointant le doigt au ciel. Se tournant vers ses trois camarades qui partagent la scène pour renforcer une idée motrice. Regardant droit devant lui afin de mobiliser celles et ceux qui douteraient encore de se rendre aux urnes. La force de la conviction et le dynamisme pour y parvenir.

Un par un, il s’amuse à brosser le caractère de ses trois condisciples du jour. Laurent WAUQUIEZ, tout d’abord, coprésident comme lui de ce comité de soutien national dont il essuie les plâtres ou presque lors de cette série de meetings hexagonaux à la rencontre des militants qui débutent par l’Yonne.  

« Laurent ? C’est un tempérament ! Mais, c’est aussi un élu régional (Auvergne-Rhône-Alpes) exemplaire. Je me souviens de notre première rencontre : il venait d’être désigné par Nicolas SARKOZY et nous nous sommes vus un soir dans un bar improbable ! Nous nous sommes enrichis de nos différences… ».

Vient le tour de Guillaume LARRIVE. Un député qui « possède un fort ancrage solide ». Ce dernier ayant abordé la paix civile, la puissance de la France et la meilleure des façons à exercer le pouvoir. Puis, il y a le clin d’œil de complicité avec l’une des sénatrices du Palais du Luxembourg. Dominique VERIEN : « j’ai été très touché par tes propos anticipateurs se rapportant à Valérie PECRESSE de la soutenir dès que possible avec l’UDI de l’Yonne. Tu as parfaitement cerné la personnalité de Valérie… ». Un compliment à l’intention de l’élue de Puisaye qui en cache un autre puisque Gérard LARCHER comparera Dominique VERIEN à la digne héritière d’un Aristide BRIAND.

 

 

 

Les vraies différences entre Valérie PECRESSE et Emmanuel MACRON…

 

Puis, s’adressant à Henri de RAINCOURT, installé au premier rang, Gérard LARCHER, nature, se remémore des souvenirs. « Nous avons été élus le même jour et nous étions trois à vivre cela, explique le président du Sénat, Il y avait donc Henri de RAINCOURT, Gérard LARCHER et…Jean-Luc MELENCHON. Vous voyez que de nous trois, c’est Henri et moi qui avons le mieux tourné ! ».

Eclats de rires dans la salle. Le dernier zeste d’humour avant de se lancer dans le dur et le nerf de la guerre. Rassembler les citoyens derrière la candidate plébiscitée par les Républicains au soir du 04 décembre 2021.

« C’est notre défi de soutenir Valérie PECRESSE, renchérit l’ancien ministre du Travail, elle doit rassembler les Français qui sont divisés, qui sont désabusés et qui sont usés… ».

S’enchainera une longue circonvolution orale autour des trois problématiques majeures qui préoccupent les Français : l’accès à la santé, le pouvoir d’achat et les questions d’identité.

« La santé, c’est le premier sujet dont on me parle dans les assemblées de maires partout dans le pays et je dois dire que cette question est essentielle… ».

Puis taclant le chef de l’Etat sur sa manière de gouverner (« on a réduit la décision politique à un conseil de défense mais pas au conseil des ministres »), Gérard LARCHER le clame haut et fort, avec véhémence parfois, « nous, nous redresserons le pays, non pas en affaiblissant l’Etat, mais à partir du levier que représentent les collectivités territoriales ».

Serait-ce cela la vraie différence entre Valérie PECRESSE et Emmanuel MACRON ? L’expérience territoriale ? C’est sûr pour l’ancien maire de Rambouillet qui argumente en expliquant la manière de gouverner de sa favorite dans la région Ile-de-France et ses 13 millions d’habitants. « Sans arrogance, sans mépris, sans condescendance... devait-il ajouter.

Invitant les élus de proximité à interroger leurs administrés sur le bilan du quinquennat, le président du Sénat sort un peu de ses gonds, en énumérant les échecs qu’il constate.

 

 

« Est-ce que les Français sont moins emmerdés qu’il y a cinq ans ? »…

 

« Croyez-vous que ce quinquennat ait été une réussite pour notre pays ? Croyez-vous que les Français sont plus heureux aujourd’hui qu’il y a cinq ans ? Qu’ils gagnent mieux leur vie ? Qu’ils vivent plus en sécurité ? Qu’ils se font mieux soignés ? Qu’ils soient moins « emmerdés » ? Une citation qui n’est pas de moi ! ».

Vient le moment où le tribun s’aventure sur l’un des sujets chauds brûlants de cette campagne présidentielle : l’immigration non contrôlée. Et sa place dans le concert des nations.

« Est-ce que l’influence de la France s’est accrue en Europe et dans le monde ? Valérie PECRESSE est la seule à tenir un discours de vérité aux Français. Le discours d'une candidate d'alternance crédible, aux antipodes des utopies de la gauche et des simplifications et caricatures de la droite radicale. D’ailleurs, si les électeurs votent pour Marine LE PEN ou Eric ZEMMOUR dès le premier tour, et qu’ils nous empêchent de remporter le second tour, nous allons en reprendre pour cinq années supplémentaires. Est-ce de cela que la France a besoin ? ».

Tirant des statistiques de son chapeau, Gérard LARCHER fait tomber les chiffres. A l’état brut. 3 000 milliards d’euros de dettes, 84 milliards d’euros de déficit commercial, le taux de dépenses publiques le plus élevé de l’OCDE (60 % du PIB), des prélèvements obligatoires en termes de fiscalité qui sont les plus hauts du monde et une inflation qui ne cesse d’être galopante.

« On ne peut plus travestir la réalité, poursuit l’orateur en verve, ce sont les 70 milliards d’euros supplémentaires qui ont été accordés avant même que ne débute l’épidémie de la COVID ».

Puis, ciblant directement Emmanuel MACRON : « le président doit se déclarer et ne plus refuser éternellement le débat. Il n’a pas le droit de nous confisquer cette élection ! ».

Réaffirmant ce besoin de mobilisation derrière sa candidate, le président du Sénat croit en cette force. « Il faut allumer la mèche de la campagne électorale, vous devez être ces allumeurs de mèche pour nous permettre l’explosion du premier tour et nous permettre d’être au second ! ». Un ultime sursaut au nom de l’unité de sa famille politique. Un message entendu pour l’auditoire de cette salle. Qu’en sera-t-il exactement pour les Français dans leur globalité ?

 

Thierry BRET

 

 


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Le contexte sanitaire aura une nouvelle fois raison de la convivialité. Dommage. Les assemblées générales des caisses locales du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne ne dérogeront donc pas à la règle du respect absolu du protocole anti-COVID. Seul l’aspect statutaire sera abordé lors de cette série d’évènements. Avec, en sus, un dispositif de vote en ligne pour élire les représentants/administrateurs de chacun de ces établissements.

 

DIJON (Côte d’Or) : Mesures de protection anti-COVID oblige, cette année encore, les traditionnelles assemblées générales des caisses locales de la Banque Verte feront l’impasse sur l’un des instants attendus des sociétaires : la phase de convivialité.

Ces réunions se dérouleront selon le protocole sanitaire en vigueur, avec les seuls membres du Conseil d’administration. Alors que l’établissement prône les valeurs du mutualisme et la place de l’humain au cœur de ses priorités.

Ces derniers, au nombre de 283 000 sur le territoire inter-régional, auront la possibilité d’exprimer leur choix pour élire leurs représentants/administrateurs par le biais d’un scrutin électronique.

Ouvert depuis le 12 février, le vote peut également se réaliser en agence durant les quinze jours qui précèdent l’assemblée générale. L’envoi d’une convocation personnalisée par mail ou par courrier apporte son lot d’explications aux intéressés.

Précisons que l’assemblée générale de la caisse régionale se tiendra, quant à elle, le 23 mars à Dijon.

 

Thierry BRET

 

 


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