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Parmi les interrogations ouvertes suggérées par ce grand questionnaire, élaboré par les élus de l’opposition à la municipalité, l’une d’entre elles n’aura pas manqué de surprendre les personnes sondées. Plus qu’une simple question, il s’agissait plutôt d’un exercice de style imaginatif où le panel de citoyens consultés devait esquisser en quelques lignes les caractéristiques propres à l’élu idéal de leur choix…

AUXERRE : Pour 53,63 % des personnes ayant répondu à cette enquête d’opinion, le profil type du futur maire est le suivant. Elles l’espèrent issue du secteur privé, sans se soucier plus particulièrement de son sexe, et qu’il ou qu’elle soit situé(e) dans une tranche d’âge, comprise entre 35 et 55 ans…   

Un enseignement judicieux et peut-être révélateur de ce que souhaitent véritablement les Auxerrois. Ceux-ci devront s’exprimer dans les urnes lors du prochain scrutin municipal prévu au printemps 2020.

Ce portrait-robot, certes un peu liminaire et simpliste, suffit-il en l’état pour identifier de manière catégorique l’une ou l’un des futurs prétendants à la succession de l’actuel édile, Guy FEREZ ? Ce serait sans doute aller trop vite en besogne, convenez-en !

« Je suis mal placé pour émettre un avis… »

Toutefois, présent lors de la restitution de ces informations faite au public, le candidat des Républicains et du centre droit Crescent MARAULT a réagi à brûle-pourpoint à la question que nous n’avons pas manqué de lui poser devant ces quelques bribes identitaires définissant l’élu idéal.

« Le profil type du candidat me correspond-il ? Je suis mal placé pour émettre un quelconque avis à la suite de la présentation de ce portrait-robot… ». Une courte répartie assurée avec un large sourire, il est vrai !

Respectant une réserve qui lui est propre, le candidat de la droite traditionnelle intègre néanmoins les cases initiales de cette mini-esquisse. Agé d’une quarantaine d’années, lui-même dirigeant d’entreprise, Crescent MARAULT possède sans qu’il veuille l’affirmer les caractéristiques identitaires qui semblent être liées aux desiderata d’une petite frange de la population locale.

La moitié des six cents personnes qui ont répondu à cette enquête et apporté leur avis sur ce point crucial du questionnaire. De quoi lui fournir déjà de précieuses indications sur la tendance actuelle !

        

 


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Les élus de l’opposition de la ville d’Auxerre ont procédé à la restitution de leur grande enquête d’opinion initiée il y a déjà quelques mois. Soutenue par les instances départementales des Républicains et du centre droit, l’initiative a eu reçu un accueil favorable de la part de la population. Plus de six cents réponses ont ainsi été collectées en l’espace de deux mois et demi. Elles ont donné naissance à une analyse fine et pertinente des souhaits des habitants de la ville qui se disent inquiets pour le devenir de leur agglomération. La mobilité, la dépendance, l’attractivité reviennent, entre autres, parmi les thèmes récurrents qui posent interrogation…

AUXERRE : Première observation à propos de ce sondage grandeur nature, concocté par les élus de l’opposition d’Auxerre : la pyramide des âges est très représentative. Qu’ils soient issus de la jeune génération ou bénéficiant du statut de personnes âgées, les Auxerrois qui se sont prêtés au jeu de ce questionnaire offrent une vraie représentativité démographique.

Second point, non dénué d’intérêt : ce ne sont pas uniquement les habitants du centre-ville qui ont fourni les réponses. Circulant via les réseaux sociaux ou remis en main propre lors de contacts directs avec le public, les documents ont ainsi essaimé vers une large frange de la population locale. Y compris vers les quartiers périphériques.

Le résultat, tel qu’il a été présenté par les élus, Elisabeth BILLEBAULT et Jean-Pierre BOSQUET, a atteint les espérances des concepteurs de cette initiative. Celle-ci avait été adoubée par les instances des Républicains et du centre droit de notre territoire.

Autre enseignement : le nom de code de cette restitution. Elle a été baptisée « Auxerre au cœur ». Il n’est pas besoin d’être devin en la matière pour appréhender les réels enjeux de cet exercice consultatif.

Une base de travail pour la stratégie du futur candidat…

Ce retour d’information tel qu’il a été dévoilé pour la première fois face à un panel d’Auxerrois (la plupart des personnes présentes étant issues de la corporation des commerçants) servira de trame de réflexion à la ligne politique établie par le futur candidat de l’opposition de la droite et du centre droit aux prochaines municipales du printemps 2020. En l’occurrence, le candidat tout désigné à porter le flambeau de ce projet de reconquête de l’hôtel de ville : Crescent MARAULT.

Sa présence parmi l’assistance n’était donc pas fortuite. Bien au contraire, l’ancien maire de Saint-Georges-sur-Baulche qui brigue le fauteuil d’édile de la ville d’Auxerre, a pu largement commenter les éléments instructifs délivrés par cette enquête exhaustive.

Explicité sous la forme de tableaux analytiques (un travail besogneux de fourmi selon Jean-Pierre BOSQUET qui devait en extraire la quintessence informative), le rendu de cette enquête abordera les points essentiels de ce que peut ressentir un échantillon vivant dans la capitale de l’Yonne.

« Certains des Auxerrois se sentent résignés et observent le déclin de notre agglomération, déplore Jean-Pierre BOSQUET, ils sont conscients que les choses ne vont pas dans la bonne direction. D’autres expriment leurs réelles inquiétude sur des items importants que sont la mobilité, la sécurité, la dépendance, l’attractivité économique, les transports… ».

Présentée de manière initiale lors de cette réunion publique, cette photographie des attentes locales fera l’objet d’autres rendez-vous avec la population. Une façon légitime de poser petit à petit les jalons de la future campagne électorale qui se peaufine avec réflexion dans l’état-major des Républicains.


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« Travailler plus pour gagner plus…». La rhétorique fit sensation sous la gouvernance du président Nicolas SARKOZY. Mais, le Premier ministre initial de l’ère MITTERRAND, Pierre MAUROY, nous asséna dès 1981 qu’il était beaucoup plus sage de travailler moins. En aménageant par exemple le temps de travail. Il fut alors amputé d’une heure symbolique, passant de 40 à 39 heures  hebdomadaires. Avant que ne s’engouffrent dans la brèche Martine AUBRY et Lionel JOSPIN. Tous deux optèrent pour une diminution plus drastique de la durée du labeur en France. Ainsi naquirent les incontournables 35 heures dont tout le monde se fit écho autour de nous mais que personne n’adopta jamais dans les pays occidentaux ! Peut-être, entendrons-nous bientôt fleurir à nos oreilles la formule suivante : « Travailler moins et gagner plus »...

TRIBUNE : Aujourd’hui, nous avons maintenu la semaine de 35 heures. Toutes les statistiques le confirment : nous sommes le peuple où l’on travaille le moins en Europe et où le chômage est le plus élevé. Dont acte. 
Donc qui va travailler plus ? Là encore, l’égalité ne règne pas.

La Cour des Comptes pointe régulièrement du doigt les abus que l’on trouve parmi certains organismes publics, parapublics et autres sur le plan du temps de travail. Il y a quelques années, Zoé SHEPARD, fonctionnaire d’une administration régionale, écrivit un livre au titre provocateur : « Absolument débordée !».

Elle décrivait le rythme de travail dans l’administration de la région où elle avait la chance, sinon de travailler, du moins d’être présente et de toucher un salaire à la fin du mois.

Évidemment, ce livre connu un relatif succès et fut à l’origine d’un profond scandale. Que pensez-vous qu’il arriva ?

Après sa publication, on aurait pu penser que les présidents de Région se seraient réunis pour faire effectuer un audit sur le travail dans leur administration respective. Afin de prendre les mesures qui s’imposaient pour valoriser une productivité quelque peu désastreuse. Ne rêvez pas !

L’auteure de l’ouvrage fut mise à pied pendant quelques mois. Souvenons-nous que Guy BEART chantait en son temps : « Il a dit la vérité, il faut l’exécuter… ».

Le mot « égalité » serait-il hermétique à une application dans le travail…

L’émission « Capital » a dénoncé les formidables inégalités de situation qui règnent entre des employés qui effectuent le même travail. Suivant qu’ils fassent partie d’une grande structure ou bien qu’ils soient employés d’une TPE, voire d’une structure indépendante. Le mot « égalité » qui, en France, est écrit sur tous les bâtiments publics et apposés sur tous les documents administratifs demeure, et on ne peut que le déplorer, vide de sens.

Pour travailler plus, je préconise une solution simple et facile. Mais, pour cela, voyons comment est rythmée la vie des hommes et des entreprises en France. Le début de l’année n’est pas le 01er janvier mais bel et bien le 01er septembre après la longue trêve estivale. A la rentrée, la France se remet péniblement au travail. Mais, moins de deux mois plus tard, ce sont déjà les vacances d’automne. Début novembre, la tâche reprend doucement mais, attention, à partir du 15 décembre, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon. On entend alors cette antienne : « on verra ça, après les fêtes !». Pathétique !

Tirer un trait définitif sur les ponts serait souhaitable…

Début janvier, une fois passée la trêve des confiseurs, c’est le retour au boulot. Sans conviction, aucune. Arrivent ensuite les congés de février. On repart tant bien que mal. Mais attention, les fêtes de Pâques se manifestent avec les absences habituelles, une fois de plus, liées aux zones géographiques. C’est une pagaille sans fin pour toutes les strates de l’économie française.

Puis, « le Grand Cirque national » recommence : ce sont les jours fériés innombrables avec ponts et viaducs à profusion. Enfin, en bout de course, la mi-juin réveille en nous d’insondables envies qui refont surface : l’été est là !

La période qui court d’avril à septembre constitue un vrai désastre économique. Les vacances et les ponts s’incrustent dans les esprits, cassant le rythme indispensable pour conserver l’efficience professionnelle.

Ce que je préconise ne coûte rien. Cela n’exige aucun sacrifice des Français. Mieux, cela pourrait rapporter gros à qui veut l’entendre ! Il faut tirer un trait définitif sur les ponts sans supprimer les jours de congés.

La fête du Travail ne tomberait plus le 01er mai mais le premier lundi de mai. Puis, comme l’avait pratiqué le président Giscard d’Estaing, sans que personne n’y trouve à redire, l’anniversaire de l’Armistice de la dernière guerre, le 08 mai, serait supprimé.

Si l’on a peur d’un mouvement contestataire de « Gilets tricolores », on appliquerait alors la règle à l’instar du 01ermai. C’est-à-dire que ce serait le deuxième lundi de mai et l’on appellerait cela la fête de la réconciliation franco-allemande. Le jour férié de l’Ascension serait déplacé au vendredi. Il ne serait plus figé de manière systématique dans le calendrier, un jeudi. Il suffirait d’une entente tacite avec le Vatican pour que ce principe puisse s’animer. D’ailleurs, qui connaît encore en France la signification exacte de l’Ascension ?
Enfin, puisque le lundi de Pentecôte a été supprimé de manière ambigüe, engendrant un flottement caractéristique dans les entreprises, faisons en sorte que ce jour-là ne soit plus un jour férié pour tous les Français. Fonctionnant à géométrie variable, son application représente une véritable absurdité pour le commun des mortels qui essaient d’y voir clair !

Espérons que tôt ou tard la bien-pensance du grand think tank gouvernemental que représente « France Stratégie », puisse apporter des réponses concrètes sur un sujet qui divise et concerne les Français…

Emmanuel RACINE

 


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Il possède la générosité et l'énergie d'un joueur de troisième ligne au rugby. Tout en ayant une belle âme d'entrepreneur. C’est un expert des clubs d'entreprises. Dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors de moments clés de leur existence a rencontré Thierry LOWYS, spécialiste des réseaux d’affaires. Extraite de son blog « 16h44 », son interview nous procure des éléments de réponse pour mieux comprendre cet expert, spécialiste du management.

TRIBUNE : Tout commence en 2002, au cœur du bassin minier dans le Nord-Pas-de-Calais. Alors président d'une Chambre de Commerce et d’Industrie, Edouard MAGNAVAL a l'intuition que la mise en réseau des entreprises est la clé de leur développement. Il engage le territoire dans cette dynamique. Thierry LOWYS est de l'aventure. Quinze ans plus tard, 1 500 entreprises sont connectées tout au long de l'année, développant des collaborations efficaces et un business de proximité.

Thierry, tu animes et conseilles avec ton équipe, des ateliers pour aider les entrepreneurs à réussir leur stratégie de réseau. Peux-tu nous parler de l'engouement que suscitent les clubs d'entreprise ?

Je dirais que l'homme, en général, n'a pas vocation à rester seul. A fortiori, le chef d'entreprise qui a tout intérêt à jouer le réseau, aujourd'hui plus que jamais ! Il y a encore quinze ans, on sortait et on échangeait peu. Vivre caché était une stratégie répandue. Mais aujourd'hui, l'accélération de l'évolution des technologies, la complexification des réglementations administratives, financières, techniques, rend indispensable l'échange entre un dirigeant et ses pairs. Par ailleurs, le chef d'entreprise est de plus en plus stressé. Tout bouge et se renouvelle vite. Pour accéder aux standards de la performance, les dirigeants doivent donc faire preuve d'une grande réactivité, être vifs. Cette position d'urgence permanente dans laquelle se retrouvent aussi bien les jeunes entrepreneurs, les patrons de PME ou les directeurs d'usines créent un sentiment d'isolement et le besoin d'être rassuré.

Imaginons la situation d'un dirigeant de PME : il y a des problèmes à résoudre quotidiennement, il faut faire preuve d'ingéniosité pour trouver le bon candidat, trouver des nouveaux marchés, se faire connaître pour développer son business, trouver des partenaires, etc... Ce n'est pas facile lorsque l'on est isolé. L'idée de se constituer un  réseau apparaît. Mais il ne suffit pas d'avoir l'idée pour savoir précisément comment s'y prendre. Beaucoup de questions se posent : par où commencer et auprès de qui, combien cela va-t-il coûter, en temps comme en argent ? Quels retours espérer ?

Développer une stratégie de réseau est devenue fondamentale, pour autant, ce n'est pas forcément évident et un dirigeant peut vite être submergé. Se faire conseiller peut alors s'avérer salvateur.

Comment construit-on une stratégie de réseau efficace ?

Pour commencer, trouvez le bon interlocuteur qui ait une vision large et précise de votre territoire. Pour cela, renseignez-vous, par exemple, auprès de votre Chambre de Commerce. Identifiez, avec son aide, vos besoins : développer mon business, sortir de mon microcosme, me connecter aux acteurs locaux, renforcer mon image, booster mon management... Quelles qu'elles soient, il est nécessaire de bien clarifier vos aspirations. C'est le moteur personnel qui vous permettra de réussir, alors il est important de trouver le club dans lequel vous vous sentez bien. Puisque s'investir dans un club demande du temps, il faut que ce temps vous ressource.

Enfin, définissez le temps que vous allez investir (une soirée par mois, deux soirées par semaine...). En effet, il s'agit d'une activité à part entière, intégrer un club est un engagement. Le retour sur investissement se dessine dans le temps. Donc comme pour le running, il faut tenir la distance pour en sentir les bienfaits : ouverture d'esprit, expérience, solidarité, capacité à être plus percutant, accéder à de nouveaux univers, étoffer son carnet d'adresses, augmenter la visibilité de son entreprise.

Quelles sont les fausses croyances en matière de club d'entreprise ?

J'en vois deux importantes : la première, c'est celle qui consiste à croire qu'il faut être très commercial pour être efficace. En réalité cela ne fonctionne pas ainsi. C'est l'assiduité qui crée l'empathie. L'empathie crée la confiance, qui va générer toute la valeur ajoutée. La seconde, c'est croire que les liens forts (ceux qui m'unissent à ma famille, à mes amis proches) sont plus efficaces que les liens faibles (qui me relient aux membres de mon réseau avec lesquels la proximité est plus faible). En réalité,  les liens faibles créent une forte valeur ajoutée. Car, ils me mettent en contact avec des expériences, des savoirs, des réseaux et idées auxquels je n'avais pas accès. C'est pour cela qu'il faut délibérément aller vers les gens que vous ne connaissez pas, et provoquer la rencontre.

À vous de développer votre réseau !

Dès ce soir :

  • Identifiez les besoins de votre entreprise et vos aspirations personnelles.
  • Dessinez la carte de vos liens forts et celle de vos liens faibles.

D'ici quinze jours :

  • Identifiez le contact qui connaît bien les réseaux de votre territoire.
  • Définissez le budget temps et argent que vous allez y consacrer cette année.
  • Intégrez et testez les clubs que vous avez identifiés (une ou deux réunions avant de vous y engager).

D'ici un mois :

  • Travaillez votre bande annonce (une présentation courte et percutante de votre activité)
  • En cas de difficulté, contactez Thierry LOWYS sur Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou LinkedIn

Bonus : trouver le club qui vous conviendra le mieux

Le club business : pour développer le business de proximité.

Souvent animé par des animateurs rémunérés. Efficace pour rencontrer des clients professionnels proches.

Le club géographique : pour la proximité.

Par exemple, le club de votre parc d'activités, de la commune où votre entreprise est implantée.

Pour connaître vos voisins, découvrir des savoir-faire, résoudre des problèmes collectifs (signalétique, mutualisation du traitement des déchets, gestion de la sécurité...).

Le club thématique : autour de votre passion (sport, intellectuel, management).

Souvent des clubs assez confidentiels, parfois tournés sur l'accompagnement ou le mentorat.

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com


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La méga-fusion entre FIAT, CHRYSLER et RENAULT est mort-née. Nous l’avons échappé belle ! On comprend qu’au départ les dirigeants de Renault aient pris en considération une telle proposition. On ne comprend pas que les dirigeants de Fiat aient oublié que le constructeur de l’Hexagone était imbriqué dans toutes sortes de liens avec Nissan et Mitsubishi. On comprend que les nouveaux dirigeants de Renault et le ministre français de l’économie, Bruno LE MAIRE, aient voulu réfléchir avant de sauter le pas. On ne comprend pas en revanche que les dirigeants de Fiat leur aient envoyé un ultimatum…

TRIBUNE : Le ministre de l’économie, Bruno LE MAIRE, s’est rendu à Belfort où, le moins que l’on puisse dire, c’est que l’accueil n’a pas été très chaleureux lors de cette visite impromptue. Mille emplois qui disparaissent en si peu de temps après qu’on ait claironné la cession du département énergie d’Alstom à General Electric et fait chanter le nombre d’emplois qui seraient créés, ça donne à réfléchir… Imaginez si le même scénario se dupliquait avec Renault !

La semaine dernière, lorsque l’on rêvait encore à des lendemains chantants en trois langues, nous avons rappelé l’histoire de plusieurs symphonies qui sont devenues de sinistres cacophonies. Pour les Français qui n’ont pas la mémoire courte, des images devaient revenir à l’esprit. En 1980, le futur Premier ministre d’une gauche qui allait revenir au pouvoir défilait avec les ouvriers de la sidérurgie à Denain en clamant : « Non seulement il ne faut pas réduire les capacités de nos usines mais il faut les augmenter ! ».

Il n’y a pas d’échec dont on ne puisse tirer parti…

Trois ans plus tard, il devait rentrer le week-end de Matignon à Lille en hélicoptère ; l’autoroute étant barrée pas les ouvriers des usines sidérurgiques du Nord. Beaucoup avaient alors compris que « les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent ! ». Depuis quarante ans c’est en millions que se comptent les disparitions d’emplois dans l’industrie française. Tout simplement parce que l’on n’a pas encore compris que dans l’industrie s’applique cette dure loi de la civilisation : « La continuité dans l’effort ». C’est évidemment différent des règles du poker.

Certains pensent que cette affaire est un échec. Prendre le temps de réfléchir ne m’a jamais paru être un échec. Bien au contraire ! Mais pour celles et ceux qui ont ce sentiment, je rappellerai le mot de Richelieu : « Il n’y a pas d’échec dont on ne puisse tirer parti… ».

Quelle était l’une des raisons avancées en faveur de cette méga fusion ? Oublions les billevesées de synergies, tarte à la crème qu’on nous a trop souvent servie et revoyons la belle antienne : la voiture électrique et l’auto-autonome.

Cela nécessite des investissements colossaux, paraît-il. D’où l’idée de la mégafusion pour dégager ces fonds.

À propos des voitures électriques, permettez-moi une digression qui va vous interpeller : comment est fabriquée l’électricité qui va faire rouler ces voitures magiques non polluantes ? En France avec des usines nucléaires auxquelles l’Allemagne a renoncé ! Elle a justement relancé ses centrales à charbon à base de lignite à forte émission de carbone ! Comprenne qui pourra ! Surtout dans un pays où les écologistes forment un parti qui vient de remporter un succès considérable aux dernières élections européennes.

Instaurer un outil commun à la dimension européenne…

Soyons sérieux. A-t-on besoin de fusionner en quelques semaines trois entreprises hétérogènes, issues de trois pays et donc de trois cultures différentes pour investir dans la voiture électrique ?

Ne pourrait-on pas réfléchir quelques instants et s’inspirer de celui qu’on appelle le père de l’Europe, Jean Monnet, et ses grands associés, le Belge Paul Henri Spaak et l’Italien Alcide de Gasperi ? Ils ont créé la CECA. C’est-à-dire la Communauté européenne du charbon et de l’acier. Et cela, à une époque où, à la sortie de la guerre, cela allait « à rebrousse-poil des esprits ».

Alors, pourquoi ne pas tenter de mettre sur pied la CEVEA. Une Communauté européenne de la voiture électrique et autonome. Est-il invraisemblable d’imaginer qu’un homme audacieux prenne son bâton de pèlerin comme le fit Jean Monnet en son temps et aille voir les dirigeants de BMW, Mercedes, Audi, Volkswagen, Volvo, Skoda, Peugeot, Seat ou Fiat ?

Comme disait Diogène à Athènes, sur l’Agora, « je cherche un Homme ! ». Un qui posséderait ce profil de fédérateur et d’unioniste autour d’un projet intelligent…

Emmanuel RACINE


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