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Profitant de l’échange entre le président du Sénat, Gérard LARCHER, et les forces économiques de l’Yonne, lors de la visite de ce dernier ce lundi 24 juin, le secrétaire général délégué des Républicains et député de la première circonscription de l’Yonne est revenu le temps d’une brève mais percutante intervention sur une thématique lui tenant toujours à cœur. La mobilité ferroviaire et ses carences coutumières, vécues par les voyageurs entre Paris et la capitale de l’Yonne. Il souhaite que cette liaison reliant la métropole francilienne aux villes d’Auxerre et d’Avallon soit enfin améliorée…pour le confort de tous.

APPOIGNY : « Nos concitoyens doivent pouvoir voyager à l’avenir à bord de trains qui ne ressemblent pas à des bétaillères ! ». La formule s’est voulue tonique. Elle l’aura été afin de bien marquer les esprits des nombreux participants !

Réaffirmant son désir de voir un jour s’améliorer la liaison ferrée entre la capitale de l’Hexagone et deux des villes importantes de notre territoire (Auxerre et Avallon), le député de l’Yonne a profité de la tribune qui lui était offerte par la présence de très nombreux chefs d’entreprise venus échanger avec le troisième personnage de l’Etat pour vilipender le moyen de transport existant.

« Il est impérieux de moderniser la ligne ferroviaire actuelle entre Paris, Auxerre et Avallon, rappela-t-il avec véhémence, les Icaunais qui effectuent régulièrement les navettes vers la capitale méritent autre chose que ces trains sortis d’un autre temps ! ».

Et d’ajouter ensuite que de disposer de véhicules plus confortables et ergonomiques ne seraient pas un luxe pour renforcer le développement de la mobilité ferroviaire.

« Ces wagons devraient même pouvoir bénéficier des nouvelles technologies usuelles ! ». Faisant référence à la WI-FI, indispensable auxiliaire à bord des moyens de locomotion.

Concernant l’ouverture d’une hypothétique TGV dans l’Yonne, Guillaume LARRIVE s’est montré encore plus catégorique et un brin sarcastique : « j’ai 42 ans et je ne verrai pas de sitôt le fonctionnement d’une gare TGV dans notre département ! ». Une conclusion à ses propos prononcée avec une pointe d’humour ironique.

Ajoutant ses propres arguments à ce sujet, Gérard LARCHER rappela que dans pareil cas, « il croyait nécessaire d’utiliser le pouvoir qui sera donné aux régions pour parvenir à ces objectifs de modernisation ».

Citant au préalable des exemples concrets qu’il a eus à observer récemment en Normandie ou dans la région Centre. Et le président du Sénat de résumer sa prise de parole : « de toute façon, c’est un vrai sujet de décentralisation... ».

 

 

 

 

 


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Comme Martin Luther KING, ai-je fait un rêve ? Avez-vous déjà vu ces images choquantes, tournées lors de certaines sessions de l’Assemblée nationale au moment de votes sur des sujets qui captent l’attention de l’opinion publique. C’est-à-dire des citoyens. C’est-à-dire de nous. Nous autres qui sommes à la fois les électeurs et les contribuables. L’hémicycle et ses travées sont vides et souffrent de l’absence de nos représentants. Eux, les élus du peuple qui s’expriment en notre nom ! Je rappelle que les contribuables paient l’impôt. Et que celui-ci sert à payer la gent politique à accomplir leurs tâches. Au service des citoyens que nous sommes ! La classe politique a donc des devoirs et des comptes à rendre à son électorat…

TRIBUNE : Cela ressemble à une photo prise sur le cirque de Gavarnie en hiver ! Il n’y a pas grand monde à visualiser sur le cliché. Lors d’un vote récent qui se rapportait à l’intégration des enfants handicapés dans l’enseignement, on a pu constater l’absence éloquente de la plupart des député(e)s. La République En Marche venait pourtant d’obtenir la majorité à l’Assemblée nationale. Mais, ses propres député(e)s n’avaient pas daigné aller voter ! J’avais déjà observé le même vide désolant lors d’un échange sur la formation professionnelle.

Il y avait toujours aussi peu de monde interpellé par ce thème sociétal important dans l’hémicycle que précédemment. Pourtant, dans le chômage de masse, que notre pays enregistre depuis des lustres, tout le monde sait que la formation constitue le socle de base pour sa résorption. Celles et ceux qui ne sont pas assez qualifiés ou doivent se reconvertir en optant pour une nouvelle carrière ont un immense besoin de formation pour s’extraire des limbes inextricables du chômage.

Qu’il s’agisse d’enfants handicapés ou de demandeurs d’emploi, et au vu de ces états de fait, nous pouvons dire que la majorité de ces honorables parlementaires s’en moquent. Triste constat en vérité ! Une question s’impose derechef : pourquoi, à l’instar de 26 millions de Français, ces élus du peuple portés par nos voix ne nous représentent-ils pas et ne vont pas à leur lieu de travail lors de ces sessions si importantes ?

Les élus devraient s’inspirer de ce que vivent les collaborateurs en entreprise…

Que dire du Sénat ? Selon une enquête analytique sur l’assiduité des sénateurs aux séances de cette noble institution, il apparaît ceci : près d’un quart des sénateurs ne sont pratiquement jamais présents au Palais du Luxembourg. Un autre quart effectue des apparitions erratiques lors de certaines séances. Toutefois, la moitié de ces élus intègre la catégorie des assidus. Ce qui est un moindre mal, convenez-en !

Nous savons tous que ces séances proposées dans cet hémicycle feutré et de belle facture (les ors de la République !) ne se réalisent pas à une cadence de stakhanoviste. Franchement, nos sénateurs ne risquent pas d’être victimes de « burn-out » en cette période de canicule !

Maintenant, que se passe-t-il si un ouvrier, un employé ou un cadre de n’importe quelle entreprise ne se rend pas  à son travail ? Il doit justifier obligatoirement son absence.

Si cette dernière est motivée par une raison médicale, cela entraîne automatiquement une réduction de son salaire pendant la période de carence. Puis, si la maladie se prolonge et s’il n’a pas la chance d’être dans une entreprise qui complète le montant versé par la Sécurité sociale, son revenu est fortement amputé. Grevant de facto son budget.

Supposons maintenant que cet ouvrier, cet employé ou ce cadre ne vienne pas à son travail et ne justifie pas son absence. Que se passe-t-il ? Eh bien, il est tout simplement viré !

Le songe évanescent d’une nuit d’été…

Alors, je m’interroge une fois de plus : pourquoi les parlementaires qui bénéficient de revenus très élevés, sans omettre des compléments de salaire divers et variés non soumis à l’impôt, constituent-ils une caste à part entière dans notre société ?  

Procédons à un petit détour via le Parlement européen. A Strasbourg où bon nombre de politiques se sont empressés d’y avoir un siège après les récentes échéances. En langage populaire, on appelle cela « une bonne gâche » ! La sémantique militaire qualifie cet état de fait de « bonne planque » ! Je vous laisse juge !

Là encore, dans l’hémicycle européen, force est de constater que l’assiduité n’est pas de mise parmi les élites. Une chaîne de télévision allemande a diffusé une séance qui vaut son pesant d’or ! Une scène indécente et qui prête à réflexion en nos âmes et consciences.

Des parlementaires européens, munis de leur esthétique petite valise à roulettes défilaient un vendredi matin près de la pointeuse pour être enregistrés comme étant présents à l’Assemblée européenne. Les journalistes nous en ont donné la raison : « les élus perçoivent une allocation de l’ordre de 350 euros par jour de présence ».

Et puis, hop, comme par enchantement, une fois qu’ils étaient répertoriés et sûrs de toucher « leurs émoluments », sous la forme de jeton de présence, ces derniers repartaient immédiatement dans l’autre sens afin de profiter d’un agréable week-end prolongé chez eux à nos frais !

Comme le regretté Martin Luther KING, « j’ai fait un rêve ». Celui que tôt ou tard, les élus de la République devenaient tous des modèles de vertu en étant l’exemplarité incarnée de ces valeurs sociétales que nous chérissons tous ! A commencer par la probité...

Oui mais voilà, après avoir visionné ces images déconcertantes de la chaîne allemande, je me suis réveillé et la réalité m’a rattrapée. Ce n’était qu’un songe. Ephémère comme l’insouciance de nos jeunes années à jamais disparue…

Emmanuel RACINE

 

 


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Nouvellement promu au poste de directeur-adjoint de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de l’Yonne, Thierry GALISOT a tenu sa première conférence de presse, mardi 19 juin, au siège de la vénérable institution. Ce premier contact oratoire le fut aussi auprès d’un panel d’assurés sociaux. Celles et ceux qui eurent le privilège de remporter la récompense d’un jeu de hasard mis en place pour la création de leur DMP, le fameux Dossier médical partagé…

AUXERRE : L’exercice de prise de parole face à un auditoire n’est jamais chose aisée. De surcroît lorsque la présence de représentants de la presse, jamais avares en questions pertinentes, est confirmée.

Pour rajouter davantage de piment à ce rendez-vous, agrémentons-le de la présence d’une dizaine d’assurés sociaux. Des personnes encore toutes auréolées à leur joie d’avoir été choyées par le sort : elles devaient quitter l’assemblée munie d’un nouveau smartphone dans leur besace. Le gain subtil d’une tombola qui a été associée à la création de leur propre dossier médical, le fameux DMP dont la CPAM nous abreuve en informations statistiques depuis l’automne !

C’est pourtant avec ce surplus d’ingrédients que le nouveau bras droit de Patrick KAZANDJIAN, directeur de l’établissement icaunais, avait choisi de s’exprimer. Une intervention concise, avec détails à l’évocation de certains points, professionnelle.

Bref, l’ancien spécialiste des ressources humaines que fut Thierry GALISOT dans une vie antérieure, lorsqu’il exerça ses talents au plan national au sein de l’UCANSS (Union des caisses nationales de sécurité sociale), possède la maîtrise du verbe et l’art de le vulgariser. Les oreilles profanes, lors de cette conférence, mêlant presse et public, purent s’en nourrir à satiété avec aisance.

Faire connaître la CPAM auprès d’un large public…

Quel est le profil de ce nouveau cadre supérieur ayant pris ses fonctions au 15 avril dans l’Yonne ? Agé de 54 ans, Thierry GALISOT a consacré les cinq dernières années de son temps professionnel à exercer des responsabilités de directeur de mission nationale juridique et de chef de projet utilisateur de l’ONGC. C’est-à-dire l’outil national de gestion des contentieux qui sera par ailleurs livré dans l’ensemble des CPAM à compter du quatrième trimestre 2019.

Se définissant comme un vrai militant de la renommée de l’institution et de sa connaissance auprès du public, le nouveau directeur-adjoint de la CPAM présente le profil type du parfait communicant. Il suffit pour s’en persuader de relever quelques phrases, distillées lors de cette rencontre, pour le constater : « je souhaite faire connaître et reconnaître la Caisse primaire d’assurance maladie par le prisme de ses partenariats… ». Ou encore « je pense volontiers aux organismes traditionnels qui collaborent en étroite osmose avec l’assurance maladie mais aussi aux associations et aux collectivités locales… ».

Thierry GALISOT n’est pas arrivé dans l’Yonne par hasard. « Je suis venu apporter mon investissement et ma force de travail auprès de l’encadrement afin de les aider à piloter et accompagner leur unité dans l’application des services rendus aux assurés, livre-t-il en guise d’explications.

Celui qui dispose d’une solide expérience vécue parmi les trois branches de l’institution (assurance maladie, famille et retraite), fait valoir son intérêt personnel qu’il accorde à l’humain.

Gageons que Thierry GALISOT disposera de nombreuses occasions pour décliner ce précepte au plus près du terrain et de ses collaborateurs. Lui qui connaît parfaitement bien le territoire septentrional de la Bourgogne, y possédant des attaches familiales paternelles…


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Organisée par la Chambre régionale d’agriculture et CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté, avec le soutien de la Région et de l’Etat, cette conférence ouverte aux exégètes de la filière agricole s’est déroulée en présence de Bernard SCHMELTZ, préfet de la région Bourgogne-Franche-Comté et de Marie-Guite DUFAY, présidente de la Région. Une excellente opportunité pour échanger sur les pistes concrètes à mettre en place dans cette lutte inégale que l’humain livre aux modifications climatiques…

DIJON (Côte d’Or) : Comment les professionnels du monde agricole peuvent-ils faire face à la récurrente problématique du moment : à savoir les évolutions inhérentes au changement climatique ?

Près de deux cents décideurs de la filière étaient conviés dans l’hémicycle de l’Hôtel de la Région pour en débattre. Et surtout découvrir les résultats peu satisfaisants obtenus par la filière après une année 2018 qui restera particulièrement complexe. Tant pour sa sécheresse persistante que pour les effets dévastateurs observés dans notre région du fait d’un épisode de canicule très spectaculaire.

Un printemps très pluvieux suivi d’une sécheresse estivale et automnale avec des températures élevées : le tableau météorologique de l’année dernière n’a pas prêté à l’optimisme. Les agriculteurs ont été en première ligne, côté dégâts !

Toutefois, sur les plateaux, certaines récoltes ont été satisfaisantes. A l’identique des fourrages de printemps. A contrario, les rendements se sont révélés médiocres dans les plaines et pour les prairies après juillet.

Pire : les éleveurs ont dû acheter des aliments pour compléter les rations à fournir à leurs animaux. Des cours élevés ont limité la dégradation des résultats pour les grandes cultures (le résultat courant 2018, estimé par actif familial, s’élève à 22 000 euros) et le lait de plaine (résultat courant : 18 000 euros).

L’élevage allaitant, les coûts alimentaires élevés et les cours bas se sont cumulés. Engendrant la baisse des revenus qui perdure (résultat courant : 9 000 euros). Heureusement, les AOP régionales viticoles et fromagères du massif jurassien affichent toujours une belle santé, avec des résultats courants respectivement de 60 000 euros et 27 000 euros.

Dans ce contexte, particulièrement âpre pour la profession agricole, plusieurs pistes de réflexion ont été envisagées : évolution des itinéraires techniques, écoconception des bâtiments, sélection variétale, lutte contre de nouveaux ravageurs, développement de l’autonomie alimentaire et réorganisation des filières.

A noter : l’intervention de Nathalie BREDA. La co-directrice du programme INRA, « adaptation de l’agriculture et de la forêt au changement climatique » a ouvert le champ des possibles. En présentant des scénarii de changements, leurs conséquences et les perspectives d’adaptation à long terme.

 


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Le spécialiste de la résilience sera sur la scène du théâtre d’Auxerre ce soir pour une rencontre animée par la rédactrice en chef de « Sciences Humaines », Héloïse LHERETE…

AUXERRE : Comment retrouver le chemin d’une vie heureuse après un traumatisme ? Peut-on reprendre un développement harmonieux après un accident, un deuil, une blessure, une expérience de la violence, de l’abandon, de la maltraitance, de la rupture, de l’horreur ?

A ces questions, le neuropsychiatre Boris CYRULNIK, lui-même rescapé du nazisme, répond par un constat : malgré les blessures de la vie, certains s’en tirent, travaillent, aiment, créent, fondent une famille, développent de l’ambition, des projets, des inventions,  parfois des œuvres… Ce processus de réparation de soi porte un nom : la résilience.

Dans son nouveau livre, « La nuit j’écrirai des soleils » (Odile Jacob), Boris CYRULNIK s’intéresse plus particulièrement aux écrivains qui ont su « écrire des soleils » malgré des enfances fracassées. Il montre que le récit est un puissant opérateur de résilience. La mise en récit reconfigure le fonctionnement cérébral. Elle a le pouvoir faire surgir deux éléments essentiels : du sens et du soutien. Du sens, car le récit permet d’organiser son histoire et de modifier la manière dont on perçoit les événements. Du soutien, car partager son récit avec d’autres, du moment qu’ils sont en capacité de l’entendre et le comprendre, a un effet sécurisant.

Reconnu mondialement comme l'un des spécialistes de la résilience, le conférencier s'est fait connaître du grand public avec la publication de nombreux ouvrages comme « Un merveilleux malheur » (1999), « Les vilains petits canards »  (2001), « Sauve-toi la vie t’appelle » (2012), « Psychothérapie de Dieu » (2017).  Il a aussi préfacé « Les Troubles de l’enfant », coordonné par Héloïse LHERETE et Jean-François MARMION (éd. Sciences Humaines).

Grande Salle. Entrée Libre, ouverture des portes à 17 h 30…


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