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L’univers artistique des Inuits se découvre jusqu’au terme de ce mois d’août dans l’espace culturel auxerrois. Avec en sus, la présence d’œuvres d’art aborigène d’Australie et des îles Tonga…

AUXERRE: Accueillies jusqu’au 25 août, les estampes et sculptures nées de l’imaginaire créatif de la civilisation Inuit garantissent un décalage « nordique » assuré en cette période de chaleur excessive.

On doit cette incursion insolite sur les terres des aurores boréales à Claude ROUSSEAU-ANDRE. Le galeriste d’Auxerre qui gère avec maestria l’espace dédié à cet effet, CARA MARS au 4 de la rue Milliaux à l’angle des rues Joubert et Saint-Pèlerin, propose aux aficionados de culture exotique une immersion attachante parmi l’univers de ces artistes du Grand-Nord Canadien.

Cerise sur le gâteau : l’exposition se constelle d’œuvres d’art supplémentaires, originaires des peuples des îles Tonga et des aborigènes australiens. Les visiteurs ponctuent leur découverte initiatique par l’Inde en admirant les pièces oniriques de l’art warli…

Galerie d’art CARA MARS

4 Rue Milliaux

Auxerre

Ouvert du jeudi au dimanche de 11h à 12h30 et de 14h30 à 19 heures.

 


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Le candidat à la présidence des Républicains ne se satisfait nullement de l’invitation faite par le gouvernement à la nouvelle passionaria de la cause environnementale, la jeune Suédoise Greta THUNBERG. Celle-ci aura l’opportunité de s’exprimer ce mardi à la tribune de l’Assemblée nationale. A l’instar d’autres de ses collègues LR, le député de la première circonscription de l’Yonne est vent debout contre cette visite qu’il juge inopportune à ses yeux. Mieux : il a appelé les députés à pratiquer le boycott en règle de la jeune Scandinave afin de ne pas cautionner ce rendez-vous…

PARIS : La « Sirène Scandinave » de 16 ans n’en finit pas de faire du prosélytisme aux quatre coins de la planète, mobilisant toute une génération de jeunes gens acquis à sa cause.

De passage dans l’Hexagone où elle recevait le Prix Liberté 2019 à Caen, elle a été invitée à rencontrer ce mardi 162 parlementaires d’un collectif sur le climat durant près de deux heures. Objectif : échanger sur les problématiques inhérentes au développement durable et au réchauffement climatique. Cela suscite beaucoup de controverses…et de réactions hostiles.

Les dernières en date émanent de plusieurs députés LR qui ne lui souhaitent pas la bienvenue dans l’hémicycle. Ils en suggèrent même un boycott de principe.

C’est le cas de Guillaume LARRIVE, député de la première circonscription de l’Yonne, et l’un des candidats à la présidence des Républicains. Il a appelé ses collègues parlementaires à ne pas assister à la prise de parole de l’adolescente.

Son tweet est très explicite : «  pour lutter intelligemment contre le réchauffement climatique, nous n’avons pas besoin de gourous apocalyptiques mais de progrès scientifique et de volonté politique… ».

Puis, il conclut en précisant accorder davantage de crédit aux élus, aux entrepreneurs et aux citoyens qui pratiquent une écologie raisonnable et concrète au quotidien. Chez lui, dans l’Yonne, comme partout en France.

Mais, il n’est pas le seul député des Républicains à avoir fait état publiquement de cette note discordante : Julien AUBERT a montré, lui aussi, sa désapprobation totale, étant tout à fait raccord avec son rival de l’Yonne, autre prétendant à la présidence du parti.

Notons que le Rassemblement national ne voit pas d’un très bon œil la venue dans l’hémicycle de la jeune Suédoise. Et que, curieusement, par voie de presse, la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène SCHIAPPA, a également émis ce lundi une « petite réserve » sur la faculté de la jeune fille à pouvoir changer le cours des choses.

Plus globalement, beaucoup d’élus et d’intellectuels ne cautionnent pas le mode opératoire choisi par Greta THUNBERG qui, elle-même, a lancé le principe de la grève scolaire, la fameuse journée du vendredi, pour mieux se mobiliser à la défense environnementale.

Un boycott, un jour par semaine, du système éducatif qu’elle développe depuis plusieurs mois désormais. Comme toute médaille a son revers, il n’est alors pas illogique que la jeune fille subisse elle-même des travers identiques lors de ses pérégrinations à travers la planète !


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Alors que l’Assemblée nationale a acté le report du vote du CETA, accord commercial conclu entre l’Union européenne et le Canada au 23 juillet prochain, plus de 70 organisations (notamment des ONG, associations de défense de l’environnement et acteurs agricoles)  mettent  en garde la représentation nationale sur ses effets néfastes sur le climat et nos filières agricoles. Présidente de l’exécutif en Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY fait part de son avis par le biais de cette tribune…

TRIBUNE : Si cet accord devait être signé, c’est notre capacité à légiférer en matière environnementale, sociale et sanitaire qui se trouverait obérée alors que nous empoignons à peine le combat pour le climat.

L’institut VEBLEN et la Fondation Nicolas HULOT ont ainsi documenté les effets du CETA sur la hausse des émissions de gaz à effet de serre en totale contradiction avec l’Accord de Paris. Plus encore, par les conditions laxistes d’importation concédées, il organise la destruction des filières bovines françaises au profit du bœuf canadien, produit dans des conditions moins vertueuses (farines animales, activateurs de croissance, …) et insécurise notre alimentation.

Aujourd’hui, en examen au Sénat, c’est un troisième accord avec les pays d’Amérique du sud, le MERCOSUR, qui pourrait déstabiliser un peu plus notre agriculture. Avec l’importation massive de viandes et autres produits agricoles au bilan carbone catastrophique, à bas coût de salaire… quand nos éleveurs peinent à tirer un SMIC de leur exploitation.

Un risque de déstabilisation de nos territoires à vocation d’élevage…

Ce ne sont alors pas seulement les éleveurs qui pourraient en pâtir, mais les paysages, la biodiversité et toute une économie agricole, agro-alimentaire et rurale en déstabilisant des zones entières de nos territoires à vocation d’élevage.

La région Bourgogne-Franche-Comté, forte de ses atouts industriels et agricoles, limitrophe de la Suisse et au cœur de l’Europe, est un acteur éclairé du libre-échange gagnant-gagnant. 

Mon opposition, en tant que présidente de Région, à ces accords ne saurait donc être caricaturée comme du protectionnisme primaire.

Nous, acteurs locaux et élus de la Région Bourgogne-Franche-Comté, refusons que ces accords déséquilibrés sacrifient notre modèle agricole basé sur des exploitations familiales engagées en faveur des attentes sociétales de nos concitoyens (polyculture élevage,  prairie  permanente,  bien-être animal, niveau sanitaire exigeant, fermes de taille humaine, ...).

Nous refusons qu’une concurrence déloyale conduise au moins disant environnemental, social et sanitaire sous prétexte de libre-échange. Nous affirmons que le libre-échange doit être équilibré en imposant pour les produits importés la réciprocité des normes et les accords en vigueur dans les pays concernés.

J’appelle donc le gouvernement et nos parlementaires français et européens à remettre l’ouvrage sur le métier en étant à l’écoute des forces vives de la Nation.

Marie-Guite DUFAY


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Repenser le commerce et l’artisanat du centre-ville constitue une nécessité. La cause prend ses sources dans l’évolution constante de la technologie numérique et l’essor exponentiel du e-commerce. Des éléments exogènes qui ont totalement chamboulé les aspects consuméristes des acheteurs. Pour en savoir davantage afin de mieux anticiper l’avenir, la Ville s’est rapprochée de ses  deux partenaires consulaires : la Chambre de Commerce et d’Industrie et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat. Ensemble, ils vont travailler à la réalisation d’une étude afin de recueillir les besoins, perspectives et projets des professionnels de la filière…

SENS : Il est question d’attractivité dans ce projet tripartite mené sous la touffeur de la chaleur estivale. Celle qui se rapporte à l’amélioration du centre-ville par le prisme de sa dynamique commerciale. L’étude, menée conjointement par la Ville de Sens, la Chambre de Commerce et d’Industrie et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, accouchera d’une analyse fine du tissu économique local. L’objectif in fine est connu : définir une stratégie applicable sous la forme d’un plan d’actions.

Connaître les desideratas des spécialistes du commerce au plus juste de leur réalité quotidienne s’est traduit, il y a peu, par l’envoi d’un questionnaire détaillé. L’idée est de tâter le pouls des professionnels. D’autant que, dans le cadre du plan national, Action Cœur de Ville, dont bénéficie Sens (l’une des 222 villes sélectionnées par l’Etat), un dispositif spécifique est décliné en matière de redynamisation du territoire.

Celui-ci vise à améliorer l’attractivité de ces communes et de leur agglomération dans divers domaines dont l’habitat, la mobilité, le transport, l’enseignement, la culture, le numérique et de surcroît l’économie, sous sa physionomie commerciale et artisanale.

Du 22 au 25 juillet, deux représentants des chambres consulaires étayeront grâce à des entretiens individuels ce processus d’enquête. Ils rencontreront méthodiquement les professionnels destinataires du questionnaire.

On l’aura compris : la mobilisation est donc totale pour recueillir les avis des professionnels du commerce et de l’artisanat ; une première étape indispensable à cette quête efficiente menant à la dynamisation du cœur de ville de Sens.

Un article réalisé en parteneriat

avec la Ville de Sens et la Communauté du Grand-Sénonais.

 


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Les caisses de retraite s’acheminent lentement mais sûrement vers la cessation de paiement. Il s’agit désormais pour la gouvernance de prendre le taureau par les cornes. En appliquant les vraies mesures qui s’imposent. Et pas de gesticuler avec de pseudos réformettes comme il se pratique usuellement en France depuis trois décennies. Quelles réformes successives ont ainsi été faites ? Elles se résument par la formule lapidaire suivante : « consolider la tour Eiffel avec un morceau de sparadrap ! ». Deux ans après chaque réforme, la presse se fait l’écho de la descente vers l’abîme de notre système de retraite par répartition et observe de manière inexorable que le déficit des régimes AGIRC ARRCO est encore plus profond que prévu !

TRIBUNE : C’est presque devenu une litote récurrente dans notre univers sociétal : l’ineffable Conseil d’orientation des retraites (COR) annonce régulièrement que les caisses AGIRC ARRCO seront en déficit d’ici dix à douze ans. Et chaque fois, à peine publié, le rapport nous apprend que le passif prévu pour cette perspective est déjà là !

Prenons les derniers chiffres dans leur brutalité : le déficit cumulé de l’AGIRC ARRCO en 2016 s’élevait à 4 milliards d’euros. Celui de 2017 s’établissait à 3 milliards d’euros. Quant à l’exercice antérieur, il culmina à 2 milliards d’euros. Bref, une simple arithmétique totalisant le déficit de ces trois dernières années nous amène à 9 milliards d’euros !

Comment cela est-il possible ? C’est tellement simpliste que personne ne le voit. Alphonse ALLAIS nous a déjà expliqué pourquoi les mouches qui, bien qu’elles passent toute leur journée en marchant sur des ex folio, ne savent pas lire ! La réponse est basique comme pour les déficits des caisses complémentaires : elles sont trop près des lettres !

Examinons donc ces références statistiques qui expliquent ce déficit : la caisse ARCCO fédère douze millions de retraités. Celle de l’AGIRC en regroupe 2,7 millions. Or, le nombre de cotisants n’est pas proportionnel au nombre d’inscrits. Les actifs cotisants de l’ARRCO sont 18 millions de personnes. Ils sont quatre millions à cotiser à l’AGIRC. Depuis la publication de ce ratio, les chiffres ont quelque peu évolué… en pire au niveau du ratio cotisants/retraités.

Un système insoutenable dans le temps…

Comment voulez-vous que 4 millions d’actifs cotisants puissent financer une retraite complémentaire de 2,7 millions de personnes ? Même chose pour les 18 millions d’actifs cotisants de l’ARRCO face aux 12 millions de retraités.
Quelqu’un a eu un jour une idée de génie : fusionner les caisses ARRCO et  AGIRC. C’est ce que l’on a pu appeler derechef « le trou dans le trou ».

En quoi cette fusion a-t-elle changé ce ratio d’actifs cotisants par rapport à des retraités en nombre croissant ?

Comme vous le savez, les caisses AGIRC ARRCO fonctionnent selon le système à points. Un processus que le « Grand Réformateur » veut instaurer en France à l’instar du modèle suédois.

Sur le principe de mettre de l’ordre dans cette jungle de 42 caisses de retraites, on ne peut qu’acquiescer. Encore ne faut-il pas donner au système de retraite à points une fonction qu’il n’a pas : celle d’assurer l’équilibre financier des caisses de retraite.

En ce sens, le Premier ministre, Édouard PHILIPPE l’a clairement explicité : « le système à points n’a pas pour objet d’apporter un financement aux retraites ». Voilà qui est dit… mais personne ne l’a écouté !

La retraite à points ne finance pas les caisses de retraite…

Soyons clairs : le système de retraite à points permet d’unifier l’inextricable fouillis du système français qui génère des injustices indignes de la République. Et, de surcroît, dans lequel personne ne comprend plus rien.

Le système de retraite à points a pour objectif, également, de mesurer au niveau individuel, à tout instant, le montant de la pension auquel un actif aura droit. C’est un thermomètre.

Au niveau national, il permet d’évaluer l’engagement total des retraites, également à tout instant. C’est un baromètre. 

En aucun cas, le système de retraite à points ne constitue un moyen de financement des retraites. Un exemple suffit pour nous remettre les pieds sur terre : la valeur du point ARRCO en 2002 était de 1,0530. En 2018, elle était de 1,2588. Soit une augmentation de 20 % alors que l’inflation pendant ce même laps de temps a été de 30 %. 

Le point de retraite a une valeur arbitraire, modifiable à volonté.  Ainsi, les caisses AGIRC ARRCO en difficultés ont recours à cet expédient : on réduit la valeur du point et on arrive même à faire encore mieux. On décide qu’une partie des cotisations ne donnera pas lieu à des points qui se transformeront en retraite.

C’était simple, il suffisait d’y songer. La retraite à points, fort de ce constat, a effectivement un bel avenir devant-elle !

Emmanuel RACINE


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