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Cette réflexion à l'harmonie s'édifie il y a plus de 5 000 ans en Inde par une ouverture d'esprit au mieux-être. Cette rencontre à soi la relaie également dans une approche philosophique orientale : « tout être et les choses sont constamment en mouvement et en perpétuel changement ». C'est une alliance à l'apaisement entre le corps et l'esprit, face aux intempéries de la vie. Très répandue aux Etats-Unis et dans les pays nordiques, la méditation s'infiltre de plus en plus dans « l'air » de tous nos  champs de conscience. Y compris en entreprise…

TRIBUNE : La méditation pondère le superflu. Elle se distingue dans différents canevas de vie. Sa pratique permet de se positionner dans le quotidien, à l’expansion du bien-vivre dans les entreprises et dans une démarche plus innovante mais encore réfractaires dans des structures scolaires.

Dans une démarche individuelle, face à un mental ou un environnement trop « bruyant », l'esprit se galvanise de douceur et de tempérance. La méditation a ce potentiel, dans un timing plus ou moins long, à une prise de distance partielle mais salutaire pour temporiser ce brouhaha intérieur.

Cet axe de détente se planifiera à tout moment de la journée, en fonction des attentes et des besoins de chacun et de leur challenge à se fourvoyer de leur  forme pensées envahissantes.

Telle une promenade fusionnelle à la sagesse et à la tempérance de ses différents sentiments, la méditation ajourne et aplanit un conflit en appuyant momentanément sur « Reset ». Elle se conditionne au lâché prise en s'octroyant quelques minutes de relâchement, en imaginant un environnement apaisant ou en se baladant consciemment à l’affût du moindre mouvement.

Le recueillement à soi s'invite pour reprendre un souffle de vie, une réflexion à l’harmonie pour un équilibre ajusté à ses propres désirs. Il lie pour un instant tout un ensemble de paramètres à être.

 

 

Des grands groupes l’ont testée à l’instar de rares établissements scolaires…

 

Dans le cadre où l'entreprise aborde la valeur travail et le bien-être de ses salariés, la pause méditation peut s'imposer. En 2012, une école de management crée une chair « mindfullness, bien-être au travail et paix économique  » où de grands groupes comme L’OREAL ou EDF en ont fait leur cheval de bataille.

Cette solution à l'introspection propose un état des lieux de son corps et de ses émotions. Cette clarté optimise les performances des salariés. Là, le jeu « gagnant-gagnant » prend enfin tout son sens. Un salarié apaisé et relaxé aura une prise de recul et un angle de vue différent à une problématique pesante. Le savoir-être est le vecteur d'un savoir-faire épanouissant. Combiner cette méthode à son activité salariale peut ergonomiquement soulager mentalement une logistique souvent contraignante.

Sur le banc de l'école, la méditation s'invite encore très discrètement dans nos sphères institutionnelles. En 2017, une soixantaine d’établissements français du primaire au lycée pratique le « mindfulness ». Et notamment un collège dans le nord de l’Hexagone qui a remplacé les heures de retenue par cette pratique.

De plus, envers ces bambins peu influencés au diktat de la vie, la méditation va leur apporter une valeur ajoutée aux capacités d'apprentissage et d'attention. Un temps de pause va initier l'enfant à une écoute et une sérénité plus orientée à l’accalmie. Que ce soit dans une démarche alignée à du silence ou de pleine conscience, l'élève ressentira moins d'anxiété, de stress et l'ambiance générale de la classe s’harmonisera à cette éthique.

Catalyseur au bien-être et à la quiétude, la méditation a une démarche thérapeutique au relâchement pour un retrait. Elle temporise une conscience à des problématiques environnantes et latentes. Remède à un vague à l'âme par un voyage intemporel dans le silence, elle se fourvoie de la peur pour se mesurer en toute conscience à sa confiance. Elle chemine doucement et en toute pondération vers un état d'être à soi « m'aime ». 

Alors que vous soyez dirigeants de grands groupes ou de PME, êtes-vous enfin prêts à vous relaxer, inspirez et expirez pour le bien-être de vos collaborateurs et de vous-même ?

Lyvia ROBERT

 


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Prônant les idées de Franck RIESTER sur l’Auxerrois (la Droite constructive),  travaillant aux côtés du référent départemental, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, Daniel DELVERT jouit d’une solide expérience parmi les arcanes stratégiques de la sphère politique. Créateur des Jeunes Giscardiens avec Dominique BUSSEREAU et Jean-Pierre RAFFARIN, membre de l’association « S’engager pour l’Auxerrois », cet exégète es communication auprès des milieux politiques souhaite sans plus tarder une rencontre avec le nouveau « chouchou » de La République en Marche, à Auxerre, son maire, Guy FEREZ qui vient d’obtenir l’investiture du parti présidentiel. Oui mais à quelles fins ? Interview…

AUXERRE : Vous venez de prendre connaissance de la décision de la Commission nationale d’investiture de LREM concernant la désignation de Guy FEREZ. Quels sont vos premières analyses suite à cette nomination ?

Ce n’est guère une surprise en soi. Cette orientation semblait être évidente. Le maire d’Auxerre avait annoncé il y a peu avoir quitté le Parti socialiste. En outre, ses choix récents en termes de scrutin électoral le plaçaient parmi la catégorie des hommes politiques, « Macron compatible ». Qu’il prenne un tel positionnement me semble, par ailleurs, aller dans la bonne direction…

Pourtant, cette désignation officielle vous amène à vous interroger quelque peu sur la nature profonde de ce choix stratégique…

Oui, car la décision attendue était de choisir le chef de file de LREM et non de départager différents prétendants à ce poste, comme pouvaient l’être Pascal HENRIAT ou Mathieu DEBAIN. D’ailleurs, la situation semble jouer en faveur de ce dernier. Toutefois, j’émettrai un léger bémol : il ne semble pas que la dénomination de chef de file lui soit attribuée. Cela reste du domaine de LREM…

Quelle est la position d’AGIR La Droite constructive vis-à-vis de cet accord ?

Je constate avec curiosité qu’on associe le MoDem à l’accord et AGIR. Pour le MoDem, cela semble logique : Pascal HENRIAT est également le chef de file du Mouvement des démocrates dans l’Yonne. Mais, concernant AGIR La Droite constructive, je découvre le contenu de cet accord dont je ne connaissais pas la teneur. Représentant cette formation sur l’Auxerrois, je précise qu’AGIR n’a pas été associée à ces négociations antérieures, qui ont été orchestrées strictement entre LREM et le MoDem.

 

 

Fort de cela, que demandez-vous ?

Il conviendrait désormais de rencontrer Guy FEREZ pour en connaître davantage sur ses intentions réelles avec AGIR La Droite constructive. Car, une question se pose en toile de fond à l’aune des futures échéances municipales : combien serons-nous parmi la liste des quatorze noms annoncés et pour quelles responsabilités ? Notre manière d’appréhender les choses est de réfléchir de concert sur quel projet municipal. Il est impératif, fort de ces nouveaux éléments, de rencontrer Guy FEREZ afin de pouvoir en discuter librement…

AGIR La Droite constructive représente-t-elle une force politique dans le département dont on ne peut ignorer les prétentions ?

Oui, même si la création de ce mouvement, issu des Républicains et du centre droit, est récente. Il est une composante essentielle de la vie politique. Plusieurs élus dont des maires intègrent cette famille dans l’Yonne. D’ailleurs, je m’insurge sur cette considération erronée que pourraient avoir certains élus qui prennent la valeur et le poids d’un parti politique à son nombre d’adhérents : ce n’est pas un bon critère. Nous nous définissons comme un sas de décompression qui peut accueillir tantôt des adhérents déçus de LREM ou ceux des Républicains.

Derrière vos propos, dénoncez-vous l’aspect un peu trop unilatéral des commissions d’investiture, notamment celle qui fait foi au sein de LREM ?

Oui, je regrette sincèrement cet état de fait. Par exemple, dans le cas présent, la commission nationale d’investiture de LREM a fait davantage la part belle aux représentants de LREM et du MoDem au détriment de ceux d’AGIR. Vous savez, la question fondamentale autour du rôle du centre est essentielle. En son temps, Valéry GISCARD d’ESTAING l’avait déjà signalé : deux Français sur trois ont des préférences pour le centre. Compte tenu de la poussée des extrêmes, il est grand temps que le centre reprenne ses droits et sa véritable place dans le paysage politique national…

Puisque vous évoquez le centre, que pensez-vous de l’autre grande famille que représente l’UDI ?

Sur le plan local, je suis étonné de voir que l’UDI de l’Yonne a pris position ouvertement en faveur de la liste de Crescent MARAULT. Question que je me pose au sujet de cette personne : est-elle vraiment « Macron compatible » ?

Une autre candidature a déjà fait couler beaucoup d’encre depuis quelques semaines dans le microcosme auxerrois. Celle portée par le duo Maud NAVARRE et Denis ROYCOURT avec cette coloration « verte et écologique ». Votre avis ?

Je suis très curieux de connaître le réel degré d’ouverture de cette liste qui défend les causes de l’environnement. Si cette volonté d’ouvrir était le cas, je serais plus enclin à nous rapprocher des Verts. Et de réfléchir à de nouveaux axes politiques qui semblent devenus depuis inéluctables. AGIR représente aujourd’hui l’épicentre, le noyau et la source d’un changement de la tradition des alliances politiques. Cessons de pratiquer les alliances traditionnelles et soyons prêts à mettre en exergue des modifications de stratégie importantes. La démocratie locale attend beaucoup de ces changements de paradigme…

Comment tout cela se formaliserait-il au niveau d’une municipalité, voire d’une agglomération ?

Avec un petit groupe de travail, nous avons élaboré de solides pistes de réflexion, nous engageant à améliorer le devenir de la ville, autour de projets qui nous rassemblent. Parmi ces exemples à suivre : Auxerre doit gagner son rôle de défenseur des intérêts des 29 communes intégrées dans l’Agglomération. Mais, dans le même temps, il nous faut être acteur de la transition écologique en préservant le cadre de vie des habitants. Initier une démocratie locale, plus participative et plus directe, constitue un socle de travail essentiel à notre projet. Nous devons aussi réconcilier les administrés avec la gestion de leur ville. Bien sûr, Auxerre doit être un modèle numérique, une ville intelligente qui favorise la création de l’emploi et dynamise l’économie. Tout cela sous le prisme du bien-vivre et de son corollaire légitime, le vivre ensemble en parfaite harmonie…

Et vous, quelle mesure concrète prendriez-vous tout de suite pour améliorer la vie des Auxerrois ?

Je suis favorable à ce qu’il y ait plus de bancs en ville pour que la population des seniors (ils sont plus de 9 000 à résider à Auxerre) puisse bénéficier d’endroits pour s’asseoir ; ne serait-ce que pour se reposer…

 

 

 

 

 

 

 


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La région Rhône-Alpes Auvergne a reçu des crédits de l’État approchant les neuf milliards d’euros pour subventionner l’implantation de panneaux solaires. Entre les retraites, les Gilets jaunes qui tentent de nous rejouer l’acte II de la pièce, les élections municipales qui se profilent, les éclats de BOLSONARO, l’affaire FERRAND qui pourrait devenir une nouvelle affaire de RUGY : le gouvernement ne sait plus où donner de la tête. Alors, il y a l’écologie pour nous sauver et surtout, faire diversion. Dans la panoplie « écologico-électorale » s’inscrit donc l’installation de panneaux solaires, hic et nunc !

TRIBUNE : Et les perches, que viennent faire les perches là-dedans ? Pour avoir souvenance des perches, il faut approcher la soixantaine. Les perches ! Il ne s’agit ni des poissons d’eau douce, ni des longs bâtons de ceux qui tentent de sauter très haut. Les perches ; ce fut une marotte d’EDF après 1973. Pourquoi donc ? Faisons un saut dans l’Histoire. En octobre 1973, une coalition de l’Égypte, de la Syrie et de l’Irak franchit le canal de Suez et avança vers Jérusalem. Tsahal, l’armée israélienne se ressaisit et marcha vers Le Caire. L’ONU, les Américains, les Russes dirent : « Les enfants ça suffit. Que chacun retourne sur ses positions antérieures... ».
On croyait que l’affaire était terminée. Pas du tout. Les Arabes se rappelèrent « qu’ils avaient du pétrole sous les pieds ». Et ils multiplièrent le prix du pétrole par trois. Les Européens et, à un moindre degré, les Américains, découvrirent que le pétrole ce n’était pas comme l’air. C’était un bien qu’il fallait payer. Ce fut un réveil brutal. D’autant plus que quatre ans plus tard, ils reçurent un deuxième coup de massue dans les réservoirs de leurs automobiles et dans les cuves de leur chauffage. Le pétrole avait triplé une deuxième fois.


Se soustraire du joug énergétique du Moyen-Orient… 


C’est à cette époque que l’on ferme la parenthèse de cette période unique dans l’histoire économique de l’humanité qu’on appelle « les trente glorieuses »’. Mais à l’époque on n’en avait pas encore conscience. On a simplement constaté que le pétrole appartenait aux Arabes, entre autres, et qu’il fallait le payer.

« Quand on n’a pas de pétrole, il faut avoir des idées », disait-on à l’époque. Donc, des ingénieurs eurent l’idée des perches. Les perches, c’était un système pour pomper les calories des nappes phréatiques. Perches par-ci, perches par-là : on voyait partout des publicités sur les perches. Donc on plongeait hardiment ces appareils dans l’eau et on captait sans retenue les calories.
Seulement voilà, quand on a absorbé toutes les calories d’une nappe phréatique, il ne reste que des frigories ! Ça, c’est un phénomène naturel auquel nos brillants ingénieurs n’avaient pas songé. Et tous les braves « gogos », qui avaient adopté sans retenue les perches, se retrouvaient Grosjean comme devant !

Des perches autrefois, aujourd’hui des panneaux solaires… on a repris la rengaine. Certes, direz-vous, le soleil, ce n’est pas une nappe phréatique. Il va luire encore pendant des milliards d’années. Donc la comparaison n’est pas justifiée. En êtes-vous si sûrs ?

 

Dépendance à la Chine au niveau des terres rares…

 

Savez-vous à partir de quoi fabrique-t-on les panneaux solaires ? À partir des terres rares. D’où viennent les terres rares ? Essentiellement de Chine. La Chine extrait 80 % des terres rares et en raffine 90 %. Donc, à l’heure actuelle nous sommes vis-à-vis des terres rares, totalement dépendants de la Chine. Comme nous étions dépendants des Arabes pour le pétrole lors des crises de 1973 et 1977. Or, nous, les Européens et les Français en particulier nous n’avons pas de réserves significatives de terres rares… guère plus que de pétrole !
De plus, le développement de mines et d’usines métallurgiques de terres rares est aussi complexe que coûteux. En effet, l’extension de la production est bridée par la faible teneur du minerai, qui suppose une extraction extensive, et la difficulté de séparer des produits mystérieux qu’on appelle les lanthanides, (il y en a 15 !) auxquels on ajoute l’yttrium et le scandium.

Et maintenant, le coup de grâce : tout ce processus est très consommateur d’énergie et source de pollution énorme pour l’environnement. Dernière question : que fera-t-on de tous ces panneaux quand ils seront hors d’usage ? Vous voyez, on n’est pas sorti de l’auberge !

Entre perches et panneaux, c’est un véritable imbroglio !

Emmanuel RACINE

 


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Une nouvelle liste de 46 personnalités investies par le parti présidentiel a été communiquée en début de soirée par nos confrères de la presse nationale. Parmi les noms qui se sont détachés de cet inventaire à la Prévert : celui de l’édile d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois, Guy FEREZ. Sa désignation officielle coupe court désormais aux diverses supputations quant à une hypothétique candidature de l’intéressé…

AUXERRE : Décidément, La République en Marche distille toujours au compte-goutte les patronymes de ses futurs chefs de file devant incarner les valeurs de la « Macronie » aux prochaines échéances municipales.

Alors que l’investiture à Sens avait été donnée à l’heureuse élue (Claude VIVIER LE GOT) dès la fin du mois d’août, il aura fallu attendre quelques semaines de plus pour qu’enfin sorte du panier le nom du candidat investi dans la préfecture de l’Yonne.

Cette fois-ci, c’est fait ! L’actuel maire de la ville phare de l’Yonne dispose de son précieux sésame, lui permettant de briguer si les suffrages lui sont favorables les 15 et 22 mars son quatrième mandat consécutif. A l’instar de 45 coreligionnaires dont l’ancien footballeur professionnel de la glorieuse équipe de Saint-Etienne, Patrick REVELLI, il rejoint de fait le rang des têtes de liste officialisées depuis juin par le parti présidentiel : soit 183 personnes dans les communes de plus de 9 000 habitants.

 

 

L’attente de la déclaration avant de connaître les alliances…

 

Divorcé du Parti socialiste (PS) depuis plusieurs semaines, Guy FEREZ se voit ainsi adouber par le néo-parti au pouvoir, un conglomérat de forces politiques disparates venues de la gauche, de la droite et du centre. Bref : une vision socio-démocrate de la politique qui lui sied à merveille au plan intellectuel.

La suite sera sans doute connue dans les jours qui vont suivre quant à la position officielle de l’édile auxerrois à se déclarer. Et surtout de mieux appréhender sa stratégie en matière d’ouverture et d’alliances, afin de bâtir un programme éclectique à soumettre à l’approbation des Auxerrois lors du scrutin du printemps 2020…

 

 


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L’exercice se définissait comme un contact participatif avec les habitants de la capitale de l’Yonne. Articulé autour d’une vingtaine d’items indissociables du quotidien, un questionnaire a circulé via de multiples canaux (Facebook, e-mail, papier…) avant d’atteindre sa cible. Celle qui compose les strates de la citoyenneté. Plus de deux cents réponses ont permis aux instigateurs de cette enquête, les représentants de la majorité présidentielle (AGIR, LREM et MoDem) de récolter de précieux renseignements sur les attentes des Auxerrois à l’aune des municipales. Une somme d’indicateurs devant nourrir leurs réflexions…

AUXERRE : Problématique du stationnement en centre-ville, désir d’une démocratie participative renforcée avec les élus ou souhait de voir booster le commerce de proximité représentent le lot de réflexions, parmi tant d’autres, émis par les Auxerrois se prêtant au jeu de cette enquête d’opinion.

Adressé il y a plusieurs mois, le questionnaire instruit par les formations proches de la majorité présidentielle, AGIR La Droite constructive, le MoDem et La République en Marche ainsi que des représentants de la société civile aura recueilli plus de deux cents réponses en un laps de temps relativement court.

Distribué sur les réseaux sociaux, par courrier ou remis à la main, ce document contenait une vingtaine de thématiques. Celles-ci englobaient la sécurité, l’environnement, la propreté, le commerce, le sport, l’économie ou la culture. Analysées, les informations ont été restituées lors d’un point presse en présence de plusieurs ténors de la politique locale, dont deux soutiens inconditionnels aux valeurs de LREM Malikha OUNES et Nordine BOUCHROU, ainsi que le chef de file du MoDem dans l’Yonne, Pascal HENRIAT.

  

Circulation et stationnement : une sinécure à Auxerre ?

 

Si 35 % des personnes interrogées désirent une vraie réflexion autour de sujets qui engagent l’avenir de la ville, d’autres espèrent la recrudescence d’une démocratie plus orientée vers le participatif. Voire une évolution du rôle de l’élu qui pourrait optimiser la communication envers les citoyens.

La lutte contre les incivilités se dégage parmi les arguties prioritaires qui ressortent de cette lecture affinée de ce sondage. Il en est de même de ce besoin sécuritaire que réclament les habitants. Même la propreté de nos rues doit s’améliorer pour 29 % des personnes testées. Curiosité qui ne manque pas de sel : le cas des sempiternelles déjections canines. Elles apparaissent comme un fléau pour celles et ceux qui aiment flâner sur les trottoirs (20 %).

La présence des poids lourds en ville (24 %) nuit à la tranquillité des riverains. Amenant la récurrente question qui se rapporte à la fameuse déviation et son prolongement. Enfin, le stationnement figure en bonne place des priorités à traiter par une municipalité. « Nous ne savons plus où garer nos véhicules ? » constatent 36 % des sondés.

Le volet économique n’a pas été omis. Près de 20 % des testés aimeraient l’accueil plus significatif de nouvelles entreprises sur le bassin auxerrois. Tandis que le petit commerce indépendant trouve encore intérêt et gain de cause auprès de 24 % de ce panel.

Si 34 % de la population interrogée refusent l’idée de nouvelles taxes, 31 % indiquent que le patrimoine et sa réhabilitation constituent un cheval de bataille important dans la préservation des valeurs de la ville.

Le transport (surtout le ferroviaire) interpelle et interroge. 26 % des sondés se plaignent du manque de places assises sur certaines liaisons entre Auxerre et Paris lorsque les trains sont bondés (le dimanche soir).

Un item qui a pour résultante de se pencher sur la mythique électrification de la ligne Laroche Migennes-Auxerre et du devenir de ce nœud gordien ferroviaire, identifié par le passage à niveau de Jonches…

Quant à l’environnement, il occasionne des réponses pertinentes obtenues avec le retour de ces documents. 18 % aimeraient l’installation de panneaux solaires sur les toits des bâtiments publics de la ville. 19 % veulent lutter contre les ilots de chaleur. 19 % disent traiter leurs déchets verts alors que 6 % se disent fiers de la qualité du fleurissement de la cité.

Enfin, l’un des points sensibles de toute projection financière sur l’état de santé d’une collectivité, son désendettement, a également été abordé lors de cette compilation non exhaustive de résultats. La ville a vu ses dettes se réduire entre les deux échéances électorales. De 65 millions d’euros en 2014, Auxerre est passée aujourd’hui à 57,8 millions d’euros de dettes. Une diminution qui lui permet d’être classifier parmi les critères normatifs acceptables.

Gageons que l’ensemble de ces éléments statistiques représentatifs exprimés par une frange, certes minoritaire, de la population auxerroise serve à densifier les bases d’un futur programme porté par une équipe. Celui de cette union hétéroclite, née de la mouvance « la Renaissance » qui arborait les couleurs de la majorité présidentielle aux récentes européennes et qui perdure depuis ?


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