Associé pour la première fois sur les championnats du monde de la discipline, catégorie kayak biplace sur la distance de 500 mètres, le tandem auxerrois se nourrit d’excellentes ambitions à quelques semaines de ce rendez-vous estival au Portugal. Les deux athlètes de l’OCKA possèdent déjà un sérieux palmarès à eux deux qui devrait les placer dans la peau de favoris potentiels avant cette course tant attendue par les spécialistes…
AUXERRE : Nouveau venu au sein de l’Olympic Canoë Kayak Auxerrois (OCKA) depuis le début de la saison, Francis MOUGET justifie sa présence en terre icaunaise par son désir de pouvoir travailler avec l’ancien champion du monde, Cyrille CARRE, figure emblématique du club de l’Yonne. Aujourd’hui, cet attelage qui n’a rien de providentiel force le respect de son entourage par l’entraînement intensif qu’il s’impose.
De grandes échéances attendent ce duo cette saison. Les deux garçons possèdent à leur actif une belle brassée de breloques qu’elles soient mondiales, européennes et nationales. Qui plus est, Cyrille CARRE a encore le goût bien ancré au fond du palais de ces joutes extraordinaires accomplies parmi les plus grandes références de la discipline lors des Jeux Olympiques de Pékin et de Londres où il décrochera une méritoire 6ème place lors de la grande finale sur le bassin olympique.
Avec les Mondiaux en point de mire (l’épreuve se déroulera du 24 au 26 août au Portugal), les deux sportifs de haut niveau se fixent de sérieux objectifs. Leur bateau pourrait peut-être bien tutoyer les sommets et, pourquoi-pas, ramener à la France la plus belle couleur de ses médailles.
Sélectionnés tous les deux en équipe nationale, Cyrille et Francis auront aussi l’opportunité de pouvoir s’exprimer dans d’autres courses, en monoplace sur mille mètres pour Cyrille mais aussi avec des partenaires différents dans le cas de Francis. Associé à Franck LEMOIL, avec lequel il a terminé à la troisième place d’une manche de coupe du monde en K2 sur 200 mètres, l’ex-pensionnaire du club de Nancy ne cache pas son envie de glaner un podium, si ce n’est le titre.
Si l’on ajoute la prometteuse comparse de club, Eugénie DORANGE, elle aussi très ambitieuse sur ces compétitions internationales, l’OCKA dispose d’un trio de choc pour conquérir les étoiles qui mènent à la renommée. Les kayakistes de l’Yonne n’ont pas fini de nous surprendre…
Portant en priorité sur les secteurs de l’agriculture, du tourisme, de l’éducation mais aussi dans la promotion des énergies renouvelables, de la culture, du sport et de l’innovation, la convention de coopération décentralisée, effective depuis le 05 juillet, rapproche ces deux territoires aux antipodes l’un de l’autre. Pourtant, entre la Province du Cap occidental et la Bourgogne Franche-Comté, il existe de réelles similitudes et de véritables enjeux de développement économique. Plusieurs projets dans les sphères viticoles et la filière touristique ont déjà vu le jour depuis 2001 visant à renforcer cette coopération internationale inédite…
DIJON : Vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, en charge notamment de l’action internationale, Patrick AYACHE s’est félicité du rapprochement significatif avec cette province sud-africaine. Aux côtés du ministre des Opportunités économiques de la Province du Cap occidental, Alan WINDE et d’un aéropage de personnalités institutionnelles régionales, l’élu a paraphé une convention de partenariat très importante ce jeudi 05 juillet. Le document engage les deux collectivités pour une durée de cinq ans. Il stipule point par point le cadre dans lequel s’inscrira cette collaboration internationale très dense.
Priorité aux échanges économiques et au développement de la politique agricole…
Ce renforcement coopératif concernera prioritairement les secteurs de l’agriculture (les axes de formation afin d’initier les bonnes pratiques in situ qu’il s’agisse de la viticulture, de l’agro-alimentaire ou des filières agricoles…). Le développement des échanges commerciaux constituera une seconde priorité non négligeable au même titre que les rapprochements touristiques ou éducatifs. Quant à l’environnement, le sujet sera traité avec beaucoup d’intérêt avec le volet promotionnel sur les énergies renouvelables. Il sera aussi question de culture, d’encouragement aux échanges entre les écoles et les clubs sportifs et d’innovation.
En outre, la volonté d’initier de nouveaux partenariats économiques entre les deux parties fut au centre des discussions. Y compris en matière de politique agricole. A ce titre, la visite de deux centres de formation professionnelle du territoire intégrait le copieux programme de cette journée avec la découverte pour la délégation sud-africaine du CFPPA de Beaune (Côte d’Or) et l’ENIL de Mamirolle (Doubs).
Cela expliquait la présence d’un ensemble d’acteurs institutionnels et économiques impliqués dans la coopération internationale. Ainsi, on notait la présence de représentants de la BURGUNDY SCHOOL of BUSINESS, de la Chaire UNESCO et de nombreux chefs d’enreprise.
Une coopération avec l’Afrique du Sud vieille de plusieurs années…
En 2001, le centre de formation CFPPA de Beaune initie les premiers cycles pédagogiques en direction des salariés viticoles sud-africains. En coordination avec le Ministère de l’Agriculture de la Province du Cap occidental, des ouvriers de domaines viticoles mais aussi des sommeliers et des tonneliers s’immergent en Bourgogne pour y vivre cette expérience originale.
Petit à petit, le programme se diversifie. D’autres thématiques liées au renforcement des capacités agricoles s’ajoutent au cursus initial. Des stagiaires de la région du Cap occidental se forment en Côte d’Or depuis 2005. Même le Ministère de l’Agriculture de cette province sud-africaine y envoie des conseillers en charge de l’accompagnement à la création et au développement de projets agricoles majeurs depuis 2008. Plusieurs cadres suivent dès 2010 des échanges nourris en matière d’ingénierie de formation.
In fine, ce sont plus de 300 sud-africains qui ont pu ainsi bénéficier de ces séances informatives riches et intenses en Bourgogne Franche-Comté depuis les origines de ce partenariat. Parallèlement, près de 150 jeunes Français, issus de notre territoire, s’envoleront dans cette province du continent noir pour y accroître leurs connaissances.
La filière de l’hôtellerie/restauration noue des liens fructueux avec l’Afrique du Sud…
Il faudra attendre l’année 2014 pour que prenne naissance un nouveau projet de rapprochement éducatif entre les deux régions. Il se rapporte à la formation professionnelle dispensée en hôtellerie/restauration.
Dans l’absolu, le lycée Le CASTEL de Dijon prend attache avec différents centres de formation professionnelle de la Province du Cap occidental dont le TVET (« Technical and Vocational Education Training collèges »). Commencent alors des échanges réciproques de professeurs.
Puis, l’école hôtelière privée, basée à Johannesburg (« JHB Culinary and Pastry school »), organise des échanges d’étudiants via des stages professionnels conçus avec le concours des établissements de la région partenaire. Ces liens intéressants peuvent se développer favorablement grâce à l’implication de l’industrie hôtelière (hôtels, restaurants…) de Bourgogne Franche-Comté.
Eiryo KUDO, jeune prodige de la cuisine nipponne, en poste à l’ambassade de l’Empire du Soleil Levant à Paris, a eu la divine surprise de découvrir, aux côtés du Premier secrétaire aux affaires économiques de l’archipel et de son attaché agricole, les méthodes d’affinage d’une viande bovine labellisée qui ont établi la notoriété de l’artisan sénonais à travers la planète. Aujourd’hui, les plus belles références des arts culinaires et de la gastronomie française, dans l’Hexagone comme dans leurs établissements à l’international, se fournissent chez ce virtuose du goût et de l’authenticité. Ce long et délicat travail de maturation a conquis les officiels japonais en visite dans l’unité de production de Sens. Ils n’oublieront pas de sitôt cette immersion surprenante dans cet univers du savoir-faire, poussé à son paroxysme et à sa maîtrise absolue…
SENS : Moins 21 degrés. Les espaces frigorifiques où sont entreposées les carcasses de bœufs ne se visitent pas. Furtivement, le maître de cet antre atrophié par le froid daigne ouvrir le temps d’une courte séance photographique l’une des zones d’affinage de cette viande succulente au palais qui fait désormais le bonheur gustatif des esthètes et la renommée planétaire de l’artisan icaunais.
Bienvenue au cœur des établissements DENAUX ! Munis de leurs smartphones, les membres de la délégation nippone immortalisent ces instants, très cordiaux et chaleureux, menés dans une langue de Shakespeare parfaite. Répondant de manière positive à l’invitation de l’entrepreneur, les personnels de l’ambassade, accompagnés de Karine BERTHOLON, chargée de mission Asie de l’Est à la Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises, au sein du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, et de Nadège PALANDRI, chef du service régional de l’économie agricole au sein de la DRAAF (Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Bourgogne Franche-Comté), furent accueillis en fin de matinée de ce vendredi 15 juin par le chef d’entreprise et son épouse.
Des liens déjà privilégiés entre la société DENAUX et le Japon…
Une présence asiatique qui n’avait rien de surprenante dans cette structure moderne dont l’histoire fut narrée par le dirigeant avec moult précisions. Depuis cinq ans, les établissements DENAUX distribuent leurs produits au Japon. Cibles privilégiées : les restaurants gastronomiques. Certes, il y a ceux tenus par les grandes signatures françaises de la gastronomie dont les noms illustres tutoient toujours les sommets (Pierre GAGNAIRE, Joël ROBUCHON…). Mais, l’appétence des jeunes chefs nippons pour la gastronomie de qualité n’est plus à démontrer. Nombreuses sont les tables qui ont fleuri au cours de cette dernière décade avec de jeunes chefs ambitieux et respectueux du goût et des saveurs.
A l’image d’Eiryo KUDO, un talent à l’état pur, qui est au service de l’ambassadeur de son pays en France, et qui agrémente avec maestria les délices sucrés et salés à l’envie, essence même de cette cuisine d’Extrême Orient à redécouvrir sans modération.
Avec ses deux compagnons de voyage, Hideki YAZAWA, Premier secrétaire aux affaires économiques à l’ambassade et le responsable du volet agricole de cette même délégation, Kensuke ASAHI, le chef cuisinier aura pris soin de découvrir avec beaucoup d’intérêt les méthodes d’affinage de la viande de bœuf travaillée par l’entrepreneur sénonais.
Présentation de la société familiale, de ses effectifs, de sa stratégie à l’export mais aussi de sa modernité avec un site à l’ergonomie éprouvée, Jean DENAUX déroula avec conviction et sens du détail les objectifs mis en place depuis une vingtaine d’années au sein de la structure.
« Le Japon a toujours été ouvert à la découverte de la viande française de qualité, glisse l’entrepreneur, désireux d’optimiser cette visite courtoise en potentialité économique réelle. D’ailleurs, depuis cinq ans, je livre des produits carnés pour les besoins de l’ambassade à Paris ».
L’affinage de la viande : un discours comparable à la vinification et à l’élevage du vin…
S’en suivit un échange passionnant sur la perception de la nourriture française vue par le prisme du consommateur nippon. Et les moyens de l’accommoder. Puis, séance tenante, Jean DENAUX fit goûter à ses hôtes une variété de plante avec laquelle il aime préparer ses produits, le fenouil des Alpes, mieux connu sous l’appellation de cistre.
« Le processus de maturation de la viande requiert de la patience et un goût immodéré pour le travail approfondi du produit, stipula le chef d’entreprise de l’Yonne, la viande du Charolais, connue et reconnue à travers le monde, se prête idéalement bien à ces techniques naturelles… ».
Ce procédé a été développé au cours de cette décennie par l’établissement artisanal qui possède même une boutique intégrée à son lieu de production. Là, les aficionados de la viande de grande qualité y découvrent des pièces de bœuf mais aussi de porc et d’agneau à la saveur et la tendreté exceptionnelles.
« L’affinage de la viande courant sur des périodes de plusieurs semaines peut se comparer à la vinification d’un vin, explique Jean DENAUX, voire celle de charcuteries ou de fromages. Aujourd’hui, cette technique est devenue la signature de notre enseigne ».
Affineur exclusif de la viande de bœuf de Charolles et de viandes d’appellation aux origines certifiées (AOC, Label Rouge, IGP…), l’artisan a conçu en 2013 un site de production exceptionnel de 1 400 mètres carrés à l’image de son talent et de ses ambitions.
Pour la réalisation de ce site hors normes, il s’est appuyé sur les conseils avisés d’experts en salaison et affinage de fromages. La présence de chambres froides, destinées à préserver une température, l’hygrométrie et la ventilation idoines à la maturation allant jusqu’à six mois, justifiait ces choix. En développant pour la première fois en France cette méthodologie, Jean DENAUX, avec son âme et tempérament de précurseur, a pu ainsi améliorer la tendreté de ses viandes de 40 %, tout en évitant la perte de poids du produit et en restant respectueux des qualités microbiologiques naturelles.
Une quarantaine de pays dont ceux de l’Asie du Sud-Est apprécient cette viande qui confine à l’excellence. Gageons que les représentants du Japon se feront les ambassadeurs de ce produit made in France bien au-delà de la représentation diplomatique de leur instance à Paris. La vingtaine de kilos de produits maturés, acquise par le jeune chef nippon au terme de cette visite, atteste que les Japonais y ont trouvé le plus grand intérêt…
Le directeur de la filiale française de ce leader mondial dans la fabrication et la commercialisation de machines et systèmes de nettoyage par ultrasons, Rudy BADEY, a rencontré une cinquantaine d’industriels et artisans lors d’un déplacement qualifié d’instructif effectué à Sens. Invité par la structure associative « défiSON », le dirigeant a pu expliquer, exemples à l’appui, les caractéristiques vertueuses de ce procédé à la conquête de la planète industrielle. Même si, a contrario de l’Europe et de l’Amérique du Nord, la France accuse une nouvelle fois un retard important dans l’application de ce dispositif…
SENS : Bientôt implanté en Allemagne, TIERRA TECH, groupe international rayonnant sur le Vieux continent depuis son unité de production espagnole et en Amérique du Nord via son antenne mexicaine, conçoit et développe des machines de nettoyage par ultrasons, adaptées aux besoins spécifiques de chaque secteur industriel.
L’entreprise, leader en ce domaine, intervient aussi bien auprès de structures positionnées dans l’industrie de la pêche que les milieux agricoles, les arts graphiques et les sociétés d’imprimerie, l’industrie minière, le secteur électronique ou naval, le textile ou l’aéronautique, l’alimentaire ou encore la filière métallurgique. Grâce à l’emploi des techniques utilisées, les bénéficiaires réduisent ainsi leurs coûts de nettoyage et améliorent la compétitivité, tout en obtenant des finitions de haute qualité dans le traitement de pièces et de surfaces.
Un marché exponentiel dans toute l’Europe sauf en France…
Décapage, décalaminage, dégraissage, décolletage sont devenus désormais des termes techniques qui prennent ici toute leur dimension. Profitant de l’énorme marché européen, TIERRA TECH commercialise ses machines de différentes capacités vers le Portugal ou l’Italie tandis que la France montre davantage de réticence face à ce processus de nettoyage par ultrasons.
« Souvent, explique le directeur de la filiale hexagonale, nos contacts en France s’imaginent que l’on préconise de petites machines. Or, ce n’est pas toujours le cas ! ».
Visuels à l’appui, au cours de son exposé, le dirigeant laisse défiler des diapositives saisissantes de cuves de très grande taille, certaines pouvant accueillir jusqu’à 24 000 litres de solution de traitement.
Il y a peu, TIERRA TECH a installé une cuve de 12 000 litres destinée à équiper une société sous-traitante pour AREVA. La fabrication de machines permet aussi de moduler la démarche technique, en y conférant les aspects du sur mesure répondant aux réelles attentes d’un partenaire industriel.
Deux contacts aboutis avec des sociétés industrielles de l’Yonne…
La société aux origines ibériques conçoit également ses propres produits lessiviels, indispensables à l’emploi des ultrasons. Ceux-ci sont les plus alcalins possibles. Car, dans sa quête d’optimiser les bienfaits du développement durable, l’ingénierie de TIERRA TECH propose des solutions alternatives afin de réduire, voire d’éradiquer les produits nocifs.
Pouvant ôter la corrosion dans les moindres recoins, le nettoyage par ultrasons suppose en revanche une plus forte consommation électrique du fait du temps de chauffage des bains qui peuvent monter en température de 40 ° à 75 °. Mais, une fois stabilisé, la consommation énergétique demeure tout à fait correcte.
TIERRA TECH possède parmi ses références au portefeuille clientèle, le groupe allemand SIEMENS. Pour eux, l’entreprise de nettoyage a automatisé certaines machines et développé des produits lessiviels spécifiques.
A l’issue de cette conférence, fort utile pour en savoir davantage sur les pratiques des ultrasons dans le secteur industriel, deux entreprises adhérentes au concept économique de « défiSON » ont accepté de travailler avec la filiale française basée à Mérignac (Gironde). Elles devraient en tester très prochainement les effets sur leur site de production.
https://www.tierratech.com/FR/home
En s’implantant chez notre voisin d’Outre-Rhin, le leader français dans les ingrédients et auxiliaires technologiques au cœur de la filière blé, farine et pain souhaite proposer des services novateurs, notamment la création d’un fournil d’essais franco-allemand. Mais, l’ouverture de cette dixième filiale à l’international permettra aussi au groupe piloté par Jean-Philippe GIRARD, PDG et créateur de l’entreprise, et Benoît HUVET, directeur général délégué de favoriser les liens de proximité avec sa clientèle et ses prospects allemands en vue d’y développer des relations pérennes…
DIJON (Côte d’Or) : Porté sur les fonts baptismaux en 1989 (bientôt trente ans), le groupe EUROGERM n’en finit pas de conquérir de nouvelles parts de marché à l’international. Côté sur le marché Euronext de Paris, la structure dont le siège social est localisée en territoire de Bourgogne (Dijon) vient de créer sa nouvelle entité en Allemagne ce mercredi 15 mai. Sa dixième filiale étrangère. Située à Francfort, dans l’une des places fondamentales de l’économie européenne, cette société, baptisée « EUROGERM GmbH » optimisera la croissance du groupe dans les pays germanophones.
Présent depuis plusieurs décennies en Allemagne, Autriche et Suisse, le concepteur-producteur de correcteurs de meunerie, des améliorants de panification et des ingrédients servant à améliorer la régularité et à valoriser la qualité des produits de la filière blé, farine et pain renforce ainsi sa dynamique. L’objectif étant d’accroître ses parts de marché sur cette zone géographique.
L’Allemagne et les pays satellites représentant des cibles commerciales très importantes pour l’entreprise, la nouvelle filiale aura pour vocation de rayonner très largement vers ces territoires depuis Francfort sur le Main, plaque tournante non négligeable. L’entité sera dirigée par Grégoire FAIVRE D’ARCIER, qui était précédemment responsable commercial de la zone méridionale de l’Allemagne.
Après sa récente implantation en Italie, le groupe EUROGERM continue sur sa lancée qui s’avère très positive : son développement sur l’ensemble des territoires du continent européen…et de la planète. L’entreprise bourguignonne occupe des positions importantes en matière de présence physique aux Etats-Unis, au Mexique, au Brésil mais aussi au Maroc ou au…Sénégal.
En 2016, le groupe réalisait près de 95 millions d’euros de chiffre d’affaires et tutoyait le cap des 310 collaborateurs.