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Ne boudons pas notre plaisir ! On espérait voir depuis longtemps l’artiste se produire sur une scène de l’Yonne. Elle qui assène de truculentes chroniques assassines sur les ondes de France Inter. Un bain de jouvence et de franche rigolade, inspiré de sujets qui en sont pourtant très éloignés. Caustique à la limite du dévergondage, l’humoriste égrènera sur la scène du théâtre d’Auxerre un florilège de ses sketchs les plus désopilants : son «Pot-pourri »…

 

AUXERRE : Fichtre ! Pour son retour sur le devant de l’actualité culturelle après une trop longue période de léthargie (bien involontaire on s’en doute !), le théâtre d’Auxerre a mis les petits plats dans les grands pour l’une de ses premières représentations de la saison. Sous le sceau du rire et de la qualité.

Rien de tel que l’irrésistible (et agréable) Constance pour faire travailler nos zygomatiques à satiété après ces mois d’inertie intellectuelle ! Et d’humour renvoyé aux calendes grecques au passage !

Celle qui a dénoncé les puritains moralisateurs de tout poil en osant dévoiler sa poitrine dans les studios de France Inter en direct (!) et devant les animateurs qui n’en croyaient pas leurs yeux sera là en chair et en os sur la scène auxerroise.   

La comédienne, affublée en nonne des plus vertueuses et à qui l’on donnerait le « bon dieu » sans confession ne devrait pas faire dans la dentelle avec ce spectacle, proposé en avant-première au Festival d’Avignon en 2018. Sa quatrième présence scénique articulée autour d’anciens et de nouveaux sketchs.

Depuis, elle le joue aux quatre coins de l’Hexagone, rencontrant toujours la même ferveur parmi ce public qui souhaite rire à gorges déployés et sans complexes.

 

 

Oreilles chastes, passez votre chemin !

 

Auteure à la plume acerbe et finement ciselée, Constance n’y va pas par quatre chemins pour prêcher la bonne parole auprès de ses ouailles nombreuses. Celle de rire de tout et de rien, ce qui parfois peut choquer les chastes oreilles de moralisateurs de bon ton. Et Dieu sait qu’ils se reproduisent sur un rythme effréné en ce début de vingt-et-unième siècle déconcertant.

Les perles, elle les enfile les unes après les autres, incarnant une dizaine de personnages à peu près tous déjantés. Pour ne pas dire plus ! Ici, dans sa bouche, l’humour noir excelle. Même sur des items pourtant très sensibles.

« Si ce spectacle était un plat, ça serait une sorte de hachis Parmentier avec des vrais morceaux de Constance à l’intérieur, explique-t-elle. Dans ce «Pot-pourri», on trouve des anciens comme des nouveaux sketchs fourrés avec soin à la violence verbale poétique et libératrice. Chaque personnage rappelle combien la comédie humaine est absurde : je propose d’en rire plutôt que de se pendre ! ».

C’est sûr : à Auxerre, Constance va faire tomber les masques en bousculant les archétypes de la bienséance et les idées reçues lors de ce spectacle à ne manquer sous aucun prétexte.

Celles et ceux qui aiment la vie et ses réjouissances débusqueront chacune de ses névroses caricaturales à l’excès. En s’esclaffant d’une allégresse à peine contenue. Les autres, les moroses et autres coincés du bocal, ignoreront à jamais cette rencontre salvatrice avec le bonheur d’en rire. Tant pis pour eux !

 

 

En savoir plus :

Constance au théâtre d’Auxerre

Samedi 02 octobre à 20h30

« Pot-pourri »

Durée : 1h15 environ

Renseignements et réservations : 03.86.72.24.24.

Site : www.auxerreletheatre.com

 

Thierry BRET

 


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Avant de procéder à sa dissolution, l’Association des Amis de Marc MENEAU ne pouvait manquer d’honorer ce pôle de l’excellence pédagogique que représente le centre de formation de l’Yonne. Un geste, et non des moindres, a été réalisé dans l’intérêt de quatre jeunes apprentis qui suivent les pas du fameux chef bourguignon, autodidacte. Chacun a bénéficié d’une distinction en numéraire. En ayant une pensée pour ce créatif de la saveur sublimée en bouche…

 

AUXERRE: C’est en lisant de multiples ouvrages consacrés à la gastronomie que la célèbre toque de l’Espérance est entrée, comme d’autres en religion, dans les ordres de l’art culinaire en suivant les préceptes de l’un des symboles de la cuisine française, Escoffier.

Autodidacte, n’ayant jamais suivi de formation particulière dans cette noble filière qui deviendra la sienne, Marc MENEAU aura appris son métier, alimentant son savoir-faire de recettes publiées par ses glorieux prédécesseurs dans les livres de cuisine. De ceux qui garnissaient, non pas pour la simple décoration, les étagères de la pièce principale de la maison, jadis. Du temps de grand-mère !

On connaît la suite et l’extraordinaire parcours émérite de celui qui fit les heures de gloire de cet établissement à la notoriété internationale : « L’Espérance », sis à Saint-Père-sous-Vézelay.

Aussi, lorsque le président de l’Association des Amis de Marc MENEAU, Patrick GEORGE, retraça la fabuleuse carrière du maître de Vézelay, les deux jeunes apprenties présentes lors de cette cérémonie (Elise MAQUIN et Sarah LAROCHELLE) ne purent que boire ces paroles si élogieuses à l’égard de cet esthète de la gastronomie, trop tôt disparu.

Entre le CIFA de l’Yonne et Marc MENEAU, c’était une histoire d’amour. Tenace, vibrante tant ce monstre sacré des fourneaux, créateur de références succulentes comme les huîtres en gelée d’eau de mer, aimait transmettre son savoir aux plus jeunes.

 

 

Le souvenir de Marc MENEAU immortalisé sur une fresque murale…

 

Emue, et on l’a comprend à l’évocation de tant de savoureux souvenirs, son épouse, Françoise, ne put retenir ses larmes. Surtout lorsqu’elle découvrit la représentation de son défunt mari sur l’immense fresque réalisée dans le gymnase de l’établissement où le personnage de Marc MENEAU pose, éternel, aux côtés d’une autre référence de la cuisine tricolore : Jean-Michel LORAIN. Troublant de vérité !

Parrain à maintes reprises de promotions talentueuses, Marc MENEAU s’est éteint à l’âge de 77 ans le 09 décembre 2021. Une plaque commémorative évoque dans la cuisine du CIFA sa mémoire. Un souvenir que les quatre jeunes bénéficiaires de ce geste altruiste n’oublieront sans doute jamais. Outre Elise et Sarah, Maidi PSHURTER et Mathias OJALVO auront perçu eux aussi leur précieux subside de deux mille euros chacun, leur assurant le financement de leur permis de conduire indispensable à leur employabilité ou à l’acquisition d’une mallette contenant des ustensiles de cuisine.

Au total, et avant de refermer définitivement le chapitre de son existence, l’Association des Amis de Marc MENEAU aura déboursé la coquette somme de dix mille euros pour encourager les jeunes pousses du centre de formation icaunais à emprunter le chemin suivi par le maître. Une transmission de témoin vécue sous le prisme de l’excellence…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Le geste se situe bien au-delà des symboles. Ceux de l’altruisme, de la générosité, de cette solidarité sans borne qui caractérise le plus souvent le bien-fondé d’un club service. Douze mille euros. Ni plus, pas moins. Une somme rondelette dont bénéficie désormais le service hématologie du Centre Hospitalier Universitaire de Dijon. Une obole conséquente, affectée à la recherche et à l’espérance. Celles des malades qui entrevoient la guérison au bout du tunnel…

 

DIJON (Côte d’Or) : Apporter son concours à une œuvre sociale, c’est la résultante d’une action menée tambour battant sur le terrain, ensemble et dans un esprit collectif, pour essayer de glaner les sommes nécessaires à sa réalisation.

Or, il est vrai qu’au vu de la configuration imputable à la pandémie de coronavirus, les opérations déclinées vers le grand public et leur sensibilisation à cette fameuse œuvre sociale se sont réduites à peau de chagrin depuis déjà une très longue période. Pas de soirée de gala officielle pourvoyeuse de gains appréciables ! Exit les habituelles manifestations populaires qui permettent de récolter des fonds indispensables au remplissage de la caisse dédiée ! Oubliées les animations ludiques qui nourrissent les bas de laine utiles lorsqu’ils sont redistribués à bon escient.

Bref : en un mot comme en cent, ce fut Waterloo morne plaine pour la plupart des clubs service qui interviennent sur l’Hexagone au nom du sacro-saint principe vertueux de l’entraide et de la solidarité. Un paradoxe alors que dans le même temps, et au vu de la conjoncture sanitaire et sociale, les besoins n’ont jamais été aussi importants.

 

 

Concrètement, comment ont-ils fait les membres du KIWANIS Club d’Auxerre en remettant un chèque de 12 000 euros au service hématologie du CHU de Dijon ? Ils ont tout bonnement puisé parmi leurs réserves. Certes,  celles-ci ne sont pas insondables. Mais, elles traduisent de l’efficience d’une structure associative qui a su, besogneuse, au fil des ans conserver une poire pour la soif et se garder de tout écart financier démesuré durant cette interminable période d’atermoiement.

Car mine de rien, il faut les posséder ces fameux douze mille euros dans sa cagnotte. D’autant que les clubs service, par coutume et éthique, ne bénéficient d’aucune subvention aux origines municipales…

Bien sûr : 12 000 euros dans la corbeille d’un centre hospitalier de l’envergure de celui de la capitale des ducs de Bourgogne ne représente qu’une modeste goutte d’eau dans un vaste océan à traverser avec son esquif pris dans les tourments de la tempête. Mais, c’est avec les petites rivières que l’ont fait les grands fleuves qui s’écoulent ensuite vers l’immensité de zones aquatiques navigables.

 

 

 

Tous les dons sont les bienvenus pour faire progresser la recherche…

 

 

Le geste du KIWANIS Club d’Auxerre n’a rien d’anodin. Surtout pas aux yeux du responsable du service concerné, le docteur CAILLOT. Car, le nerf de la guerre dans ce combat implacable contre ces maladies demeure…l’argent. Pour accroître les potentialités et les progrès de la recherche. Pour améliorer la qualité de vie des personnes traitées au quotidien dans cet immense complexe que représente le CHU. « Un don tel que vous le faites aujourd’hui nous est tout à fait bénéfique, ajouta le praticien, nous allons promouvoir ainsi nos recherches dans tous les compartiments de l’hématologie maligne… ».

Chiffres à l’appui, le spécialiste lâchera quelques données statistiques pour étayer ses propos. Des chiffres chargés d’optimisme afin de réinstaurer la confiance auprès de celles et de ceux qui souffrent. Parfois dans la solitude et en silence.

 

 

 

« En 1981, renchérit le thérapeute, il y avait moins de 5 % des personnes qui guérissaient de leucémies aigües. Aujourd’hui, la fourchette de guérison se situe entre 40 et 80 % selon les cas… ».

Des sommes astronomiques sont englouties dans la recherche, chaque année. Mais, ces investissements ne sont pas vains. Ils se traduisent par des succès progressifs sur l’adversité. Des victoires réelles, là où les causes semblaient perdues d’avance.

« Tous les dons sont donc les bienvenus, devait conclure avec optimisme le docteur CAILLOT au terme de sa prise de parole.

 

 

Près de 2 millions d’euros de dons reversés chaque année par le KIWANIS…

 

A l’initiative de ce don, Didier PHILIPON. Lui-même concerné par la pathologie.

« Je suis soigné depuis de nombreuses années dans ce service, explique-t-il, je ne peux que souligner la rigueur et le professionnalisme de ces soignants qui nous accompagnent… ».

Membre historique du KIWANIS Club d’Auxerre, l’entrepreneur auxerrois porte l’opération au sein de sa structure associative, bénéficiant du soutien de ses adhérents, dont Jean-François FINANCE, l’actuel président en tête.

Réaffirmant sa fierté de remettre ledit chèque au CHU, ce dernier a souligné l’adhésion totale du club et de ses membres à ce projet. Une action qui correspond pleinement au credo de l’association : « Servir les enfants du monde ». Même si les petits n’étaient guère concernés par les soins prodigués dans l’établissement de Côte d’Or, le docteur CAILLOT précisa que bon nombre d’adolescents et de jeunes adultes fréquentaient son service.

Lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, Claude GUILLLEMOT rappela les contours de sa fonction, assimilable à celle d’un président de région. Il retraça un succinct historique du club service depuis ses origines centenaire aux Etats-Unis jusqu’à son implantation en France au début des années 60 (Metz fut la première ville française à accueillir un club en 1965).

 

 

Mouvement international rassemblant plus de 600 000 membres, le KIWANIS (nous construisons dans sa traduction littérale de ce terme de l’amérindien) comprend 230 clubs dans l’Hexagone pour environ 4 000 représentants.

S’en suivit une brève intervention de Joseph MATICOT, ancien gouverneur (président) national aujourd’hui à la tête du club satellite de Dijon. Ce dernier énuméra les actions majeures du mouvement ; des opérations internationales ayant une réelle portée médiatique comme le Tour des France des Jeunes, les baptêmes de l’air, Vaincre la mucoviscidose, les Colosses aux pieds d’argile.

L’une des actions, toujours d’actualité, ELIMINATE concerne l’éradication du tétanos néo-natal, pathologie lourde qui sévit dans les pays émergents. Précisons que le KIWANIS hexagonal dispose de sa propre fondation, rattachée à la Fondation de France. Chaque année, le mouvement composé de « personnes ordinaires pour des actions extraordinaires » comme il se définit verse près de deux millions d’euros aux œuvres sociales dont il est un généreux soutien.

En charge des PME, des start-up, de la recherche et des transferts technologiques, Marie-Hélène JUILLARD-RANDRIAN, vice-présidente de Dijon Métropole, exprimera toute sa satisfaction à être présente au moment de cette remise de chèque, porteuse d’espoir…Elle n’était pas la seule, visiblement…

 

Thierry BRET

 

 


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Prolifique, Caroline PANDELE ? Sans doute ! L’artiste photographe plasticienne ne manque jamais une opportunité pour aller à la rencontre de l’autre. Lors de ses interventions en milieux scolaires ou à l’instar des stages et ateliers auxquels elle participe. Jusqu’au 30 octobre, les amateurs d’art contemporain auront la possibilité de découvrir ses œuvres chez Hors Cadre, rue Joubert à Auxerre…

 

AUXERRE: On peut être diplômé de l’école supérieure d’art de Grenoble et se passionner pour des études en criminologie et les sciences pénales ! C’est l’un des particularismes de Caroline PANDELE, plasticienne et photographe originaire de Cognac, qui présente ses nouvelles réalisations dans la galerie la plus branchée de la place, au 49 de la Rue Joubert.

Précisément chez Nathalie AMIOT, qui n’a de cesse d’inciter les amateurs d’art (et ils sont légion sur l’Auxerrois et dans l’Yonne) à pousser de nouvelles portes informelles où culture et intellectualisme font bon ménage.

Programmée jusqu’au beau milieu de l’automne, la nouvelle exposition accueillie dans cet antre de l’esthétisme et de la créativité exacerbée offre une excellente vitrine à Caroline PANDELE de rencontrer son public.

D’autant que l’artiste a conçu son nouveau travail spécifiquement pour ce lieu qui gagne en ampleur de fréquentation de mois en mois.

« Ce qui reste du ciel tombé à la surface de l’eau », la raison d’être de cette expo, dont le vernissage a eu lieu vendredi soir, invite au lyrisme et à la poésie.

C’est l’évocation d’un paysage composé d’éléments colorés, de reflets et de mots oniriques. L’ensemble dessine une ligne, une frontière entre ciel et terre où se réfléchit la lumière…

On peut se perdre de longs instants dans cette contemplation qui fait du bien à l’âme. Et par les temps qui courent, ce n’est pas négligeable d’en profiter à satiété…

 

En savoir plus :

 

Une exposition à découvrir depuis le 04 septembre jusqu’au 30 octobre

Du mercredi au samedi entre 14h et 18 h.

Entrée libre.

Passe sanitaire obligatoire.

 

Thierry BRET

 


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Comment établir un groupe de dix-huit joueurs susceptibles d’évoluer dans une rencontre aussi capitale que peut déjà l’être ce match opposant l’AJ Auxerre à l’AS Nancy-Lorraine quand l’effectif est un peu faible du fait de quelques absences imputables à des blessures ? C’est l’insurmontable casse-tête cérébral auquel est confronté l’entraîneur du club bourguignon à la veille d’un déplacement dans l’ancien club de Michel PLATINI !

 

AUXERRE : C’est une affaire d’arithmétique, visiblement. Et cela turlupine sérieusement le coach de l’AJ Auxerre qui, on le sait, ne pratique jamais la langue de bois dans ses propos dispensés en public.

De là à s’inquiéter pour la suite de la compétition ? Après cinq journées de championnat où le club de l’Yonne occupe une méritoire septième place, au plan comptable avec un total de huit points (une défaite seulement enregistrée depuis le début de saison face à l’En Avant Guingamp la semaine dernière), des soucis d’effectif semblent affectés le tacticien auxerrois. Voire le rendre morose lors de cet exercice de style qu’il affectionne : la conférence de presse.

« On est un peu juste au niveau de l’effectif, lâche-t-il dès le début de sa prise de parole, je ne dispose seulement que de onze joueurs qui connaissent bien la Ligue 2 (une épreuve réputée complexe et âpre comme bon nombre de championnats nationaux), c’est un peu court. On va essayer de s’adapter du mieux possible et faire avec ! ».

Pas fataliste pour un sou, le coach met cette situation sous le compte de la magie du football ! Car, le football demeure une discipline où la moralité n’existe pas puisqu’il peut toujours se passer quelque chose à tout instant pour perturber les plans arrêtés par les plus fins stratèges.

Faire le dos rond, en attendant le retour des blessés, correspond à la philosophie de cet esthète es football. En tentant grappiller quelques points dès que l’opportunité se présentera.

 

 

Résoudre l’équation pour renouer avec la victoire…

 

Face au dernier de Ligue 2 (l’AS Nancy-Lorraine ne possède qu’un unique petit point au compteur avant cette rencontre) et qui n’est plus au sommet de sa forme, le coach de l’AJ Auxerre a des raisons d’espérer de se refaire la cerise après la défaite de la dernière journée.  

Soucieux de mener à bien et en y mettant la forme la construction de son projet qu’il souhaite pérenne, le coach auxerrois prend son mal en patience.

« Nous ne sommes pas les seuls à connaître ces problématiques d’effectif en ce début de saison, confie-t-il, deux ou trois autres clubs vivent les mêmes difficultés avec un groupe peu étoffé ».

Est-ce qu’il puisera dans la réserve naturelle constituée par les jeunes pousses évoluant en Nationale 2 ? Jean-Marc FURLAN tentera de résoudre l’équation de l’offensive de son groupe malgré la présence de trois milieux défensifs. La clé pour combler les absences des valeurs sûres comme Mathias AUTRET, victime d’une élongation, et d’Hamza SAKHI, blessé à la cheville…

 

Thierry BRET

 

 


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