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Et si la majorité départementale actuelle réalisait son meilleur score au soir du 27 juin ? Ce serait certes du jamais vu, dans le landerneau icaunais. Même si le territoire est solidement ancré à droite et au centre droit depuis des lustres. Toutefois avec le bénéfice de 36 élus qui l’ont soutenu durant la mandature qui s’achève sur les 42 composants l’exécutif départemental, Patrick GENDRAUD dispose d’un confortable matelas de sécurité, pouvant l’emmener vers sa réélection au sommet du perchoir. Mais, cela ne reste que de la pure théorie !

 

AUXERRE : L’adage le précise à sa juste valeur : « il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ! ». Pourtant à bien y regarder de près même en soupesant le tout, l’effet naturel de la prime au sortant pourrait avoir, s’il était encore appliqué en ces temps troublés du « dégagisme », bien des conséquences heureuses pour l’actuelle majorité départementale.

Celle composée de représentants de la droite, du centre droit et des indépendants –mais avec une inclinaison préférentielle dans la balance tout de même ! – qui sont rassemblés sous la bannière de « Unis pour l’Yonne », au service de la candidature sur la plus haute marche du podium électif de Patrick GENDRAUD.

Il y a quelques jours, c’était donc branle-bas de combat à Migennes, fief de l’un des leurs, le conseiller sortant et édile de la ville François BOUCHER, pour accueillir cette équipe renouvelée à 30 % à la conquête du Graal suprême : celui de l’exécutif départemental.

D’entrée de jeu, et au-delà des sourires qui s’affichaient de circonstance sur les visages radieux des binômes en séance photo officielle, ceux qui partent en ordre de marche pour tenter de se qualifier au second tour de ces échéances départementales (20 et 27 juin), un mot d’ordre était lâché par l’ancien maire de Chablis, lors de son explication de texte face aux journalistes, « unité » !

Alors, fi des querelles de quartier qui peuvent parfois exister y compris entre élus du même bord ou des ego surdimensionnés qu’il est nécessaire de contenir dans sa poche, rien ne doit transpirer désormais dans cette volonté unioniste devant impérativement placée sur orbite céleste le vaisseau amiral de l’Yonne : celui que pilote la majorité départementale.

 

Trois cantons sans soutien de la majorité départementale…

 

Au plan comptable, l’équation se révèle très simple même pour un mathématicien en herbe. Quatre-vingt binômes soit 160 candidats vont se disputer les 42 sièges à pourvoir permettant d’assurer la gouvernance de cet hémicycle dont les prérogatives ont été rognées avec la loi Notre et qui aura bien du mal à pencher autrement qu’à droite et au centre droit in fine.

70 % des conseillers sortants issus de la majorité actuelle repartent à l’assaut d’un nouveau mandat. Quand on sait que nos concitoyens sont réfractaires au changement et à ses impacts parfois imprévisibles, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour envisager la suite.

Serein, peu avare en détails, prenant le temps de l’analyse et de l’explicatif, Patrick GENDRAUD évoque donc les caractéristiques essentielles de cette liste qui lui est foncièrement acquise.

Ici, pas de logique partisane et politicienne entre représentants des Républicains et l’UDI qui la constituent, ces candidats sont « des élus de terrain, de proximité, qui travaillent pour servir les intérêts de leur territoire et de leurs habitants avant toute autre chose… ».

 

 

Une curiosité fait tilt toutefois dans les esprits avisés des représentants de la presse : le soutien de la majorité départementale aux candidats de 18 cantons sur 21. Cas d’école intéressant : le ticket Pascal HENRIAT et Delphine BILLON (Auxerre 4) n’est en fait soutenu que par le président en exercice de la vénérable assemblée mais pas par le collectif majoritaire ! En outre, deux autres cantons ne reçoivent pas la bénédiction de la majorité, ceux de Joigny et de Vincelles.

Le credo de la liste est le suivant : un bilan, des ambitions. L’exécutif considère qu’au terme de la mandature écoulée, il n’a pas à rougir de ce qui a été entrepris, bien au contraire !

Dans les faits, la dette s’est réduit considérablement ce qui a permis de dégager un excédent de cinquante millions d’euros. D’où la sérénité dans l’appréciation de ces données de la part de l’élu de l’Yonne.

« Les investissements étaient au rendez-vous durant le mandat effectué : cent millions d’euros accordés à la réfection des réseaux routiers, 66 millions dédiés au SDIS (Service départemental d’incendie et de secours), 210 millions priorisés vers le dossier de l’éducation ou encore 44 millions d’euros pour soutenir les milieux associatifs et les communes… ».

 

Le numérique, la mère des batailles pour rendre attractif le territoire…

 

Mais, invariablement, le cheval de bataille, la mère de tous les combats que mène Patrick GENDRAUD depuis sa prise de fonction tout en haut de l’échelle institutionnelle, c’est la lutte contre la fracture numérique.

Celle qui prive encore, du fait de zones blanches et de lenteurs techniques habituelles, des secteurs de notre territoire des bienfaits de la digitalisation.

« En 2023, l’Yonne sera raccordé à la fibre optique. Son déploiement est fondamental pour l’attractivité de notre territoire qui en a besoin dans l’approche sanitaire et médicale, le télétravail avec l’essor des visioconférences. Grâce à une DSP (délégation de service public) accordée fin 2019 à une société privée, le département a gagné sept ans dans l’accession à la fibre optique. Ce n’est pas rien ! Puisque j’évoque le volet santé, nous souhaitons installer des médecins dans l’Yonne en mettant en place dès le mois prochain une expérimentation à l’identique de celle vécue en Saône-et-Loire où le salariat est la primauté pour se densifier en praticiens.

Du côté de la voirie, nous allons renforcer nos compétences régaliennes en prévoyant un budget de 130 millions d’euros sur six ans qui sera engagé après le scrutin ».

Non soucieux du temps qui file, Patrick GENDRAUD aborda ensuite sa vision personnelle qu’il a de l’environnement. Via la nécessaire valorisation des produits du terroir et des circuits courts, devant permettre de sustenter les 14 000 collégiens qui désirent manger autre chose, c’est-à-dire du frais, du local et du goûteux !

 

 

Le président s’épanchera aussi sur le maintien des services à la population avec ce fameux moyen mobile, auréolé d’un label France Service, un bus qui offre des fonctions de guichet unique dans les secteurs les plus reculés. « Nous allons développer le principe du « aller vers », résume-t-il.

Le volet du RSA lui tient également à cœur. Même s’il déplore que l’aide de l’Etat (28 millions d’euros annuels sur les soixante requis) demeure insuffisante. L’Yonne est le premier département rural de l’Hexagone à porter, avec le concours de Pôle Emploi, le SPI, soit le Service public de l’insertion par l’emploi afin de favoriser le retour des personnes inactives sur le marché du travail.

Les collèges, du domaine d’appétence de l’institution, sont également concernés par la baisse des dépenses de la consommation énergétique. Une maîtrise supplémentaire de 12 % fait figure de priorité dans le cadre d’un nouveau mandat.

Enfin, Patrick GENDRAUD ne pouvait conclure ce tour d’horizon exhaustif des grands dossiers devant constituer le programme de « Unis pour l’Yonne » sans évoquer le tourisme et ses enjeux, surtout après la crise.

La politique d’aménagement de véloroutes mais aussi un réel travail de partenariat conduit avec les EPCI confortera la vision globale que le candidat à la présidence du Conseil départemental à la date du 01er juillet prochain souhaite imprimer à ce territoire, cher à ses yeux, puissant dans son cœur.

 

Thierry BRET

 

 

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La créativité traduite dans ses multiples expressions artisanales se dévoile comme un livre ouvert jusqu’au 24 mai dans cette bourgade de l’Yonne. Quatorze esthètes de l’art présenté sous sa meilleure carapace invitent les visiteurs à s’immerger dans leur univers fait de rêveries et de lyrisme. Une manière très agréable de renouer enfin avec les plaisirs contemplatifs de l’actualité culturelle…

 

SAINT-AUBIN CHATEAUNEUF : Répartis dans une demi-douzaine d’ateliers, ce sont quatorze chantres de la pratique artisanale poussée jusqu’à son paroxysme artistique qui accueilleront tout au long de ce week-end de Pentecôte des visiteurs curieux de se délecter de pièces uniques et d’œuvres d’art savamment travaillées.

Qui s’en plaindrait après la période d’immobilisme intellectuel qui nous a privés d’une multitude de contacts enrichissants aux côtés de ces créateurs et de la vision de leurs œuvres.  

Connu et apprécié pour son judicieux parcours, « Le Chemin des Arts », sur lequel les badauds se doivent de cheminer durant ses trois kilomètres de balade pour en apprécier toute sa quintessence, le village de l’Aillantais se veut être le repère idéal de ces artistes contemporains qui ont ponctué le lieu de leurs œuvres parfois monumentales nées de leur imaginaire.

 

 

Pour cette opération, quatorze d’entre eux (sculpteur, photographes, peintre, designer, céramiste, plasticienne, spécialiste de l’expression artistique sur papier végétal…) nimberont de leur lumière ce week-end placé sous le sceau de la découverte et de l’admiration. Entre deux nuages et un salvateur rayon de soleil, personne ne boudera son plaisir d’être présent à pareille fête pour le regard !

 

 

En savoir plus :

Les artistes à découvrir : 

Chemin du Fort – Atelier UGO :

Ugo GUTTADORO et Yvon TONNERRE, sculptures

4 Ruelle Falcucci :

Philippe CIBILLE et Anne Nguyen Dao, photographies

4, grande rue – Atelier YILDIRIM :

Ismail YILDIRIM, peinture et sculpture ; Sandrine BEAUDUN, artiste papier végétal et Olivia BARDINA, photographe

Au 26 de la rue chaude :

Laureline Lê, artiste plasticienne et Hugo DUINA, designer

14, rue Vendôme :

Patrice LAGRANGE et Christine BERTHONNET, peinture

9 de la rue Vendôme – Atelier Gaudebert :

Alain GAUDEBERT et Virgile LOYER, céramistes, et Marie MARCELL plasticienne. Ainsi que l’atelier du 19B et le musée Jean-Larcena.

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 

 


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Comprendre les enjeux et perspectives d’une belle PME positionnée dans le traitement des matières plastiques, tel était le sens de la visite préfectorale concoctée ce 18 mai au sein de la société RECYTHERM. Henri PREVOST, préfet de l’Yonne, a pris soin de questionner ses hôtes sur toutes les subtilités techniques qui ont amené la structure icaunaise à être bénéficiaire des subsides accordés dans le cadre du plan France Relance…

 

BRIENON-SUR-ARMANCON : Contexte sociétal oblige, le représentant de l’Etat a fait du soutien économique l’une de ses priorités régaliennes, multipliant les visites sur des sites industriels qui lui étaient jusqu’alors inconnus. Une immersion passionnante dont il ne se lasse pas, de semaine en semaine, annonciatrice de nouvelles positives pour les entrepreneurs qui ont le privilège de l’accueillir.

En effet, quand Henri PREVOST se déplace au sein de ces unités de production, c’est dans la plupart des cas, du moins depuis plusieurs mois, pour évoquer le soutien du gouvernement qui s’est pleinement mobilisé en apportant une réponse immédiate et forte avec la mise en œuvre du plan de relance. Un plan synonyme de distribution d’enveloppes financières.

 

 

 

Donner une seconde vie au plastique recyclé…

 

En se rendant au sein de la société RECYTHERM, spécialiste du recyclage de matières plastiques par broyage, le haut fonctionnaire n’a pas dérogé à la règle. Non seulement, il a remis aux dirigeants de l’entité le fameux trophée de plexiglas symbolisant le dispositif France Relance. Mais, en outre, il s’est félicité que l’entreprise icaunaise ait pu bénéficier d’une coquette somme de 281 124 euros, des fonds destinés au développement des actions de recyclage de ces matières plastiques envahissantes.

Analysé, qualifié dans le laboratoire du site, le plastique sera transporté après sa collecte et son traitement par broyage vers l’unité d’extrusion où il deviendra une nouvelle matière première sous forme de feuilles et de plaques destinés à la production de pièces thermoformées.

 

 

Lors de sa visite, Henri PREVOST a par ailleurs rappelé que « dans le cadre de ce plan de relance exceptionnel, le soutien à l’investissement et à la modernisation dans l’Yonne concernait huit entreprises industrielles ayant bénéficié de près de quatre millions d’euros d’aides leur permettant de réaliser 15 millions d’euros d’investissement ».

Parmi ces huit structures se trouve RECYTHERM qui pourra ainsi poursuivre ses projets de développement.

 

Thierry BRET

 

 


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De l’espoir en perspective pour les personnes en quête du Graal en matière d’emploi sur notre territoire. Le dernier baromètre relatif aux besoins en main d’œuvre dans les entreprises du département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté se révèle être franchement positif. Fruit de Pôle Emploi, cette livraison sociologique se veut plutôt rassurante pour les mois à venir…

 

AUXERRE : Estimation prévue : + 4 % de hausse sur le seul territoire de l’Yonne. Malgré la sinistre année 2020, synonyme de recrudescence de la pandémie de la COVID-19, la reprise du nombre de recrutements dans les entreprises de notre territoire s’oriente vers l’optimisme pour les personnes en quête d’emploi. Le rapport annuel conçu par Pôle Emploi et réalisé avec le concours du CREDOC est en ce sens très révélateur d’une certaine amélioration de l’employabilité.

L’Yonne représente plus d’un projet de recrutement sur dix de la région, avec à la clé l’éventualité de 10 160 embauches en 2021 contre 9 750 seulement en 2019. 2020 n’entrant pas en ligne de compte pour la comparaison des données chiffrées, suite au triste épisode épidémiologique que l’on a connu.

La nouvelle se révèle être très intéressante. Car, malgré les affres récurrentes du coronavirus, les intentions de recrutement repartent de plus belle, démontrant ainsi les prémices d’une reprise de la part des entreprises.

Au plan sectoriel, Auxerre se taille la part du lion, avec 5 330 projets à venir, soit 52 % du volume d’embauches de l’Yonne ! Puis viennent dans l’ordre les bassins de Sens (2 240 projets), Joigny (1 350 projets) et Avallon (1 240 projets).

53 % des intentions d’embauches concernent des emplois durables. C’est-à-dire ceux essentiellement liés à des remplacements initiés à la suite des départs définitifs de salariés pour 42 % des cas.

A contrario, l’apparition de nouvelles activités permet de créer 28 % de postes supplémentaires. Quant au surcroît de travail généré dans les entreprises, il explique à lui seul une progression de 23 % de ces embauches futures.

 

 

Certains domaines professionnels peuvent engendrer des difficultés…

 

La typologie sectorielle de ces projets de recrutement se rapporte pour le plus grand nombre au secteur de l’agriculture. 1 816 d’entre eux pourraient ainsi voir le jour cette année du fait de l’importante activité saisonnière.

Toutefois, le commerce (1 530) et l’industrie manufacturière (956) demeurent les principaux recruteurs au niveau de notre territoire départemental devant le bâtiment (539). In fine, les métiers des services rassemblent plus de la moitié des intentions d’embauche.

Du côté des difficultés à recruter, les entrepreneurs jugent délicat de pouvoir embaucher avec aisance des profils spécifiques comme ceux des ouvriers non-qualifiés dans le secteur du papier/carton et du bois ainsi que ceux de type artisanal. Cependant, il est à noter que la part de ces projets jugés difficiles à concrétiser enregistre une baisse substantielle, passant de 54 % en 2019 à 53 % en 2021.

Il est à noter qu’une catégorie professionnelle présente de réelles difficultés de recrutement selon les employeurs : celui d’ouvrier non qualifié divers de type artisanal. Une denrée suffisamment rare, visiblement, qui fasse que ce domaine soit incorporé au top dix en Bourgogne Franche-Comté.

Enfin, petit focus sur l’année 2020, pour conclure. 31 % des établissements professionnels ont cherché à renforcer leurs effectifs de collaborateurs dont les trois quarts ont recruté autant que prévu et un sur dix a embauché plus que prévu.

Signalons, néanmoins, qu’un peu moins de 10 % des sociétés de la région ont finalement renoncé à leur recrutement. La crise sanitaire étant passée par là. C’est d’ailleurs ce que considère un employeur sur trois au terme de cette année quasi blanche pour l’emploi.

 

Thierry BRET

 


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Aujourd’hui, le pays entame la seconde phase du déconfinement, avec notamment l’allégement d’un certain nombre de restrictions parmi lesquelles : le couvre-feu décalé à 21 h, les terrasses des bars et restaurants accessibles à 50 % de leur capacité, la réouverture des musées et cinémas ou encore, la reprise sous conditions, de certaines activités sportives. Un assouplissement sous surveillance et progressif rappelle le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, qui dans un nouvel arrêté, en a fixé les modalités opérationnelles.

 

AUXERRE : Nul doute que le 19 mai au matin, nombreux seront les cafetiers et restaurateurs icaunais à scruter le ciel, avec l’espoir que la pluie ne vienne gâcher la fête et doucher leurs attentes.

L’impatience à rouvrir était palpable ce mardi après-midi dans les rues d’Auxerre, où l’on se préparait activement, éponge et mètre à la main pour certains, à rendre accessibles des terrasses, en mal de clients depuis la fermeture effective des établissements le 29 octobre dernier. La vie sociale va reprendre un peu de couleurs mais pour autant, les règles et les gestes barrières perdureront, souligne l’autorité préfectorale : « ce qui caractérise cette sortie des mesures restrictives, c’est la progressivité et il est important de la respecter si l’on veut éviter de perdre tout ce que nous avons gravi grâce aux restrictions que l’on a tous dû supporter pendant plusieurs mois ».

A commencer par le port du masque dont l’usage demeure, dans les zones à forte concentration humaine comme les marchés ou les centres villes à Auxerre, Sens, Avallon, Joigny, Tonnerre, Migennes, Saint-Florentin, mais aussi Noyers-sur-Serein, du fait de l’affluence touristique. A Auxerre, le périmètre reprendra celui de l’hiver dernier, délimité par les boulevards ceinturant le centre historique, ainsi que le secteur du parc de l’Arbre Sec.

 

Des manifestations culturelles probables mais sous certaines conditions…

 

Si les terrasses des bars et restaurants peuvent rouvrir, ce ne sera pas sans un protocole sanitaire strict : tables de six convives maximum, une capacité d’accueil réduite de moitié et obligation de consommer assis. Des contrôles seront effectués prévient le préfet et tout attroupement sera interdit, de même que la consommation d’alcool sur la voie publique. La  Fête de la musique du 21 juin prochain sera autorisée, précise Henri PREVOST, mais « un travail sera mené en lien avec les collectivités, pour établir de nouvelles mesures sans prise de risques excessive ». Autre rendez-vous attendu en ce début de l’été : le festival CATALPA à Auxerre. Un évènement d’envergure qui avait accueilli 39 000 personnes en 2019 et dont l’accès pourrait cette année être conditionné à la mise en place d’un pass sanitaire. Les stades vont rouvrir leurs portes aux supporters, mais la jauge ne devra pas dépasser le millier de personnes ou 35 % de leur capacité d’accueil.

En ce qui concerne le sport amateur, il faudra patienter jusqu’au 09 juin, pour voir autorisée la reprise des matchs de football ou de rugby. Les activités sportives de plein air et sans contact pourront pour leur part reprendre dès ce mercredi, mais limitées à dix personnes.

 

 

Une baisse notable de la présence virale observée depuis deux semaines…

 

Sur le front sanitaire, 31,6 % de la population icaunaise ont pu bénéficier d’une première injection vaccinale et ils sont 16 % à avoir reçu les deux doses ou considérées comme définitivement vaccinés.

Pour autant, l’on est encore loin de la cible de 90 %, synonyme d’immunité collective et les centres de vaccination se multiplient. Pas moins de 19 sites sur l’ensemble du département fonctionnent dont une quinzaine chaque semaine, en capacité de proposer des injections Pfizer et Moderna. Au niveau du taux d’incidence, la barre est redescendue à 138 pour 100K habitants. Une baisse notable alors qu’il y a deux semaines, elle était encore à 300 souligne Eve ROBERT, déléguée départementale de l’Agence Régionale de Santé (ARS) : « pour autant, cela reste à un niveau qui n’est pas rassurant, loin de ce que l’on a pu connaître l’été dernier. Je rappelle que le seuil d’alerte épidémiologique est de 50 pour 100 000 habitants ».

Si le nombre d’hospitalisations diminue, avec 183 personnes comptabilisées cette semaine contre 250 fin avril, 17 d’entre elles sont toujours en service réanimation. Des chiffres qui ont conduit le Centre hospitalier de Sens à réclamer l’appui de la réserve sanitaire, face au taux d’absentéisme engendré par la fatigue grandissante des équipes de terrain, sur le pont depuis plus d’un an : « si les signes optimistes sont encourageants, il ne faudrait surtout pas laisser croire que les difficultés sont toutes et définitivement derrière nous… ».

 

Dominique BERNERD

 


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