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Première plateforme à promouvoir des logements senior dans l’Hexagone, l’entité de l’Yonne poursuit en toute sérénité son petit bonhomme de chemin. Soit son développement à l’échelle du territoire. Apparue en 2016, la société conçue par Joachim TAVARES gagne ainsi en notoriété en région Centre après s’être rapprochée de la Banque Populaire Val-de-France avec qui elle vient de contracter un partenariat…

 

JOIGNY : Vocation de ce rapprochement constructif pour la start-up bourguignonne : élargir le potentiel d’offres de services qui seront proposés dans son portefeuille. La cible privilégiée de cette nouvelle étape qui étoffe un peu plus le savoir-faire de la TPE : la clientèle d’un établissement mutualiste, la Banque Populaire Val-de-France, active sur le Loiret.

Créée en 2016, PAPYHAPPY développe un outil de recherche qui offre une réponse opportune aux seniors et aidants. Ce dispositif d’aide à la décision facilite l’accès à l’information et redonne le choix aux personnes âgées et à leurs familles de bénéficier d’un choix de logement en phase avec leurs attentes. Pour couronner le tout, l’entreprise accompagne également les collectivités, les assurances et les banques.

C’est dans ce cadre qu’a été conclue cette étroite osmose entre les deux partenaires. L’alliance va permettre aux deux structures de se dynamiser sur le territoire Val-de-France et de proposer des services adaptés à leur clientèle.

L’établissement bancaire présent à Gien ou à Montargis proposera à sa clientèle de bénéficier d’un bouquet de services à destination des seniors, soucieux d’optimiser leur quête de logement.

 

 

S’appuyer sur l’expertise de la start-up…

 

Collaboratrice de la Banque Populaire Val-de-France, Béatrice HUE livre ses impressions : « PAPYHAPPY, première plateforme collaborative et participative du logement senior nous a parue correspondre à nos attentes. À la fois digitale et humaine, cette start-up propose des conseils et un accompagnement sur-mesure dans la recherche d’un logement adapté aux besoins des seniors. Nos clients pourront donc s’appuyer sur leur expertise dans ce domaine... ».

La philosophie du fondateur de la start-up, lauréate du réseau Entreprendre Bourgogne, Joachim TAVARES fait écho aux valeurs de proximité et d’engagement solidaire de la Banque Populaire Val-de-France.

Gageons que d’autres établissements financiers de l’Hexagone ne manqueront pas de suivre les mêmes prérogatives opérationnelles envers leur clientèle âgée à l’instar de la structure du Loiret !

 

Thierry BRET

 


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Les larmes de Julia CATTIN à la douloureuse évocation du décès de son père Roland, survenu soudainement en 2016, vont émouvoir la ministre de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO, de passage sur notre territoire. Immergée chez l’un des fleurons de l’activité industrielle de l’Yonne, FIMM, la représentante du gouvernement a salué le modèle d’adversité et le courage de la jeune trentenaire qui a succédé brillamment à son père. Le cas d’école idéal pour illustrer la réussite de l’entrepreneuriat au féminin…

 

JOIGNY : Il est de ces douleurs insondables qui à leurs simples allusions au détour d’un échange verbal laissent des bleus à l’âme et font couler des larmes sur les joues. Bouleversantes, celles de la PDG du groupe MANUVIT, Julia CATTIN, auront ému l’aéropage de personnalités qui accompagnait la visite de la ministre en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO.

Difficile, voire insurmontable malgré le fil des ans de se remettre du départ d’un proche. Même si le deuil remonte à quelques années déjà (2016). D’autant que la perte de son père, dirigeant de plusieurs sociétés industrielles, aura chamboulé à 360 degrés le chemin de vie d’une jeune femme qui se destinait à embrasser une carrière dans les ONG, son master d’économie obtenu à Milan dans la besace.

 

 

A 34 ans, Julia CATTIN a su pourtant endosser la vêture d’un PDG de l’industrie, porté par le succès de son aventure professionnelle. Etonnant parcours que celui-là ! Dans un milieu où la gent féminine est loin d’être pléthorique. Où les termes de diables, de transpalettes, de chariots… intègrent désormais son vocabulaire au quotidien.

Alors quand la jeune femme, investie également d’une mission de représentativité au sein du monde consulaire, celui incarné par la Chambre de Commerce et d’Industrie, a su que la ministre de l’Egalité des chances avait biffé sur son agenda l’adresse de l’une de ses structures, l’icaunaise FIMM, pour une visite officielle, son cœur a dû battre la chamade et connaître l’état de grâce de la jubilation. La reconnaissance de l’Etat pour la présidente directrice générale du groupe MANUVIT et de ses équipes !

 

 

 

Une entreprise qui se positionne aussi sur les marchés publics…

 

Spécialiste de la manutention, la PME conçoit et fabrique ce matériel indispensable pour le port de charges lourdes que la morphologie humaine ne peut gérer seule et dont sont friands les industriels. Mais, aussi les collectivités, les commerces de la grande distribution, la filière du bâtiment et des travaux publics.

L’enseigne sait se positionner sur les marchés publics. Dans le secteur des maisons de retraite ou celui des centres hospitaliers. De précieuses informations que ne manqueront pas de glaner Elisabeth MORENO et ses accompagnateurs lors de cette découverte studieuse aux côtés de leur jeune guide.

 

 

 

A l’issue de la traversée de la multitude d’espaces où circulent sur des chaînes les tubulures en inox aux couleurs rouges chatoyantes permettant de concevoir la gamme éclectique de produits à l’estampille de la PME, la membre du gouvernement s’est prêtée à un exercice oratoire plutôt inattendu avec la cheffe d’entreprise : son interview ! Telle une journaliste curieuse devant officier devant les caméras et appareils photographiques des médias.

 

 

 

Un exercice inédit : quand une ministre devient journaliste…

 

Se glissant dans la peau d’une intervieweuse chevronnée du petit écran, la ministre interrogea la dirigeante de l’entreprise sur son ressenti personnel en sa qualité de femme à la tête d’un groupe industriel. Surtout dans un secteur peu enclin à la féminité !

Les réponses, plutôt positives de son interlocutrice, illustrèrent finalement en toile de fond la thématique du jour, celle qui était le prétexte à ce déplacement en Bourgogne du Nord.

C’est-à-dire l’annonce faite, quelques minutes plus tard, en faveur de l’entrepreneuriat des femmes dans le territoire (voir par ailleurs l’article déjà publié dans nos colonnes le 23 avril).

« Les femmes doivent oser prendre leur destinée en main dans le domaine de l’économie et celui de la création/direction d’entreprise, insista lourdement la ministre déléguée auprès du Premier ministre.

Saluant au passage la force de caractère, le volontarisme et le courage de Julia CATTIN, personne à qui Elisabeth MORENO prédit un avenir exceptionnel. Et pourquoi pas en s’engageant davantage dans la vie consulaire d’autant que des élections sont programmées avant le terme de cette année ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Au-delà de la découverte d’entreprise par une représentante de l’Etat (la société industrielle FIMM portée par la valeureuse et battante Julia CATTIN), le scoop figurait aussi parmi les invités de ce rendez-vous que la ministre déléguée auprès du Premier ministre en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO a consacré ce jeudi au territoire de l’Yonne. C’est à Joigny, en effet, qu’elle a lancé au terme de cette visite son appel à projets national en faveur de l’entrepreneuriat au féminin !

 

JOIGNY: Nicolas SORET devait en plaisanter quelques minutes avant que la prise de parole de la représentante du gouvernement soit immortalisée face aux caméras et autres appareils photographiques : « On se souviendra longtemps que cet appel à projets a été prononcé dans la ville de Joigny ! ».

Du pain béni promotionnel pour la localité de prédilection du président de la Communauté de communes du Jovinien et édile de l’agglomération !

Ce dernier avait accueilli un peu plus tôt dans l’après-midi de ce jeudi 22 avril la ministre en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO sur le parvis de la société FIMM.

La flamboyante PME du groupe MANUVIT s’est spécialisée dans la conception et fabrication de solutions de manutention. La structure est dirigée depuis quelques années par une femme au tempérament dynamique, reconnue et appréciée parmi la sphère institutionnelle et économique de l’Yonne, la PDG du groupe Julia CATTIN.

De l’entrepreneuriat à l’inspiration féminine, il en sera grandement question lors de l’intervention médiatique d’Elisabeth MORENO. Sur le papier, soit la note explicative adressée vingt-quatre heures auparavant aux rédactions, il avait bel et bien été mentionné que la représentante du gouvernement effectuerait une annonce importante en faveur de l’entrepreneuriat des femmes.

 

Créer une saine émulation des talents dans l’Hexagone…

 

Impatients d’en savoir davantage sur cette déclaration, les journalistes rongeaient leur frein en attendant d’écouter les propos de la ministre, qui fut elle-même une entrepreneuse chevronnée agissant dans le secteur du bâtiment et du numérique.

Au terme de son immersion dans le monde industriel tel qui est préconisé par FIMM (la conception de diables et de chariots servant à la manutention), l’ancienne présidente de HEWLETT PACKARD Afrique se prêta volontiers à l’exercice du micro tendu, un jargon propre aux relations presse lui permettant de répondre aux inévitables interrogations des médias.

Dire que les représentantes de la gent féminine sont capables de diriger des entreprises, y compris dans des filières dites masculinisées, semble être une évidence pour la ministre. « Les talents n’ont pas de genre ! », précisa-t-elle tout de go dans ses propos liminaires.

 

 

La défenseuse de l’Egalité entre les femmes et les hommes a voulu frapper fort en ce 22 avril qui ne sera plus dorénavant considéré comme une journée ordinaire telle que l’avait prédit Nicolas SORET.

En lançant un appel à projets en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes dans l’entrepreneuriat, le successeur de Marlène SCHIAPPA entend bien créer une saine émulation parmi toutes celles qui désirent assumer les rênes du pouvoir, en dirigeant une entreprise. A l’instar de Julia CATTIN, maintes fois plébiscitée par la ministre.

 

 

Que vise plus précisément cet appel à projets ?

 

 

D’une part, l’autonomie économique des femmes. Via des actions de soutien à l’entrepreneuriat et aux outils qui favorisent la sensibilisation à cette prise d’initiative. Celle-ci pouvant se traduire par la création ou la reprise d’une entreprise.

« Les femmes doivent émanciper le paysage économique, lâchera Elisabeth MORENO au cours de cette interview.

Il est vrai que les freins au développement de cet entrepreneuriat à la griffe féminine demeurent encore trop nombreux dans l’Hexagone.

D’autre part, le volet de l’insertion professionnelle de ce public représente une indispensable nécessité. A promouvoir coûte que coûte du fait de cette période de crise.

En dernier lieu de cet argumentaire spécifique se situe la promotion de la mixité dans certains secteurs identifiés comme insuffisamment mixtes à l’image des métiers de l’environnement, du numérique, du bâtiment ou de l’aéronautique. Seuls 15,5 % des travailleurs appartiennent à une famille professionnelle mixte. On constate qu’il reste un long travail à effectuer pour faire bouger les lignes, voire les mentalités.

 

 

Une enveloppe de 500 000 euros débloquée par l’Etat

 

Ouvert aux personnes morales à but non lucratif (associations, partenaires sociaux, fondations, établissements publics…), l’appel à projet dévoilé en avant-première par Elisabeth MORENO s’applique à l’instant « t ». Pour une durée de quatre semaines, jusqu’au 22 mai. Il a nécessité le déblocage d’une enveloppe budgétaire de 500 000 euros.

 

En savoir plus :

A consulter la référence suivante : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/appel-a-projet-2021-egalite-economique-entre-les-femmes-et-les-hommes

 

Thierry BRET

 

 


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Coupler les Assises de l’Energie au traditionnel Salon de l’Eclairage public et de l’Innovation en les réunissant à la même date est une hypothèse de plus en plus pertinente pour le président du Syndicat départemental des Energies de l’Yonne, Jean-Noël LOURY. D’autant que le rendez-vous initial prévu le 03 juin devant accueillir le second évènement est désormais passé à la trappe, crise sanitaire oblige…

 

AUXERRE : Les prémices d’une sortie de crise s’échafaudent dans les têtes bien pensantes de nos gouvernants. Mais cela n’empêche nullement le lot continu de reports d’événementiels de persister dans les agendas.

Annoncé en date du 03 juin prochain, le Salon de l’Eclairage Public et de l’Innovation intègre une fois de plus la case des pertes et profits. Du moins pour un temps qui serait provisoire car la manifestation pourrait refaire surface dès l’automne, d’après les récentes déclarations du président du SDEY (Syndicat départemental des Energies de l’Yonne), Jean-Noël LOURY.

Le contexte sanitaire est encore bien trop malléable pour que la structure organisatrice de cet évènement ouvert aux élus et représentants des collectivités prenne des risques.

L’évènementiel qui avait réuni la bagatelle de plus de 350 participants l’année dernière (il était l’une des rares manifestations d’envergure à avoir été maintenue sur le parvis de la salle des fêtes des Joinchères à Venoy) devrait être décalé en octobre. La date n’est pas encore arrêtée.

 

 

 

 

Le particularisme de ce report pourrait être la tenue en simultanée des Assises de l’Energie, autre moment fort du calendrier évènementiel du SDEY.

Partant du simple postulat que la cible demeure la même (les collectivités via leurs élus et leurs techniciens interpellés par la transition environnementale et les économies d’énergie), le président Jean-Noël LOURY placerait cette année 2021 sous le sceau de la mutualisation en offrant à ce public les deux animations à une date unique.

Un concept « du deux en un » qui apparaît presque comme une évidence et qui ne demande qu’à être testé en grandeur nature à l’automne !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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La rémunération est bien meilleure que celle octroyée dans le monde de l’automobile. Surtout lorsque l’on s’y connaît un peu sur le registre de la mécanique. Pourtant, le recrutement dans les services entretien poids lourd se révèle chaque année de plus en plus complexe pour les entrepreneurs spécialisés. Faute de combattants et de cursus appropriés pour répondre à une demande croissante !

 

APPOIGNY: C’est la croix et la bannière pour les sociétés spécialisées dans l’entretien de poids lourds lorsqu’il s’agit de dégoter la perle rare côté recrutement. Une situation de plus en plus délicate que n’aura pas manqué d’évoquer Fabrice LEFEVRE, patron de la SAS Joël LEFEVRE, ce lundi 19 avril après-midi.

L’entrepreneur aura profité de la visite de la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne et sous-préfète d’Auxerre Dominique YANI pour glisser quelques messages pertinents sur la formation telle qu’est vécue dans l’Hexagone. Il s’avère au vu des exemples concrets cités par le chef d’entreprise qu’il n’est pas aussi simple de trouver le collaborateur idoine dans cette spécialité que représente la mécanique applicable à la motorisation des poids lourds. Nonobstant, le travail est bel et bien là !

Il suffit d’observer l’effervescence des salariés dans l’atelier de cette PME dynamique qui jouxte les bureaux administratifs pour s’en convaincre. Partisan de l’intégration régulière de jeunes apprentis, Fabrice LEFEVRE privilégie l’alternance qui constitue un excellent vivier favorable à une embauche définitive.

 

 

 

 

Des recrutements annuels de niveau bac et plus…

 

 

Chaque année, ce sont de deux à trois jeunes apprenants issus de centres de formation préparant aux métiers de la mécanique qui rejoignent les effectifs de ces différentes unités de production.

Celles-ci se répartissent sur un vaste territoire du quart Grand-Est de la France, allant de Strasbourg à Troyes, de Besançon à Mulhouse, sans omettre Dijon, Sens ou encore Auxerre. Bref, le potentiel d’employabilité existe et le dirigeant de la PME est ouvert à l’accroissement du nombre de ses collaborateurs car la demande est forte côté clientèle.

 

 

 

Fabrice LEFEVRE n’hésite pas à effectuer annuellement son « marché » de jeunes pousses prometteuses, de niveau Bac, voire BTS, en prenant attache avec l’AFTRAL, un organisme de référence national à la formation des futurs diplômés du transport et de la logistique.

« Nous avons besoin d’intégrer des techniciens hautement qualifiés dans nos ateliers, souligne-t-il, de futurs responsables qui auront ensuite des équipes à manager… ».

Cela n’empêche nullement le responsable de la SAS d’accueillir de plus jeunes néophytes dans ses ateliers. Et ce dès les fameux stages dits de découverte initiés par l’Education nationale pour éveiller les élèves des classes de troisième à la vie active.

 

 

Et pourquoi pas un référent pour aider les jeunes à trouver leurs stages !

 

 

« C’est une manière pour eux de prendre goût avec une activité professionnelle qu’ils ne connaissent pas nécessairement, explique Fabrice LEFEVRE.

Des propos qui font office de « petit lait » pour le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ, présent en compagnie du directeur de la chambre consulaire Jérôme MAYEL, sur cette visite, décidément ô combien réconfortante pour les défenseurs de l’alternance, facilitatrice d’emplois.

Changer les mentalités de ces jeunes adultes sur le monde de l’entreprise et certaines filières où subsistent encore des préjugés représente le meilleur des remèdes pour rendre ses lettres de noblesses à l’artisanat et aux métiers industriels.

 

 

En ce sens, ces intégrations de jeunes gens dans les ateliers se veulent être un modèle vertueux qui ne demande qu’à croître à l’avenir.

D’ailleurs, ne serait-il pas judicieux de créer un référent reconnu par tous les acteurs de la vie économique pour aider les jeunes à trouver des entreprises qui leur proposeraient des stages en immersion directe ?

La suggestion a été lancée par un Alain PEREZ jamais en manque d’inventivité. Elle a eu le mérite de faire mouche auprès de la représentante de la préfecture Dominique YANI. Le directeur de la CCI Jérôme MAYEL a pris bonne note : les agendas n’ont plus qu’à s’ouvrir désormais sur les bonnes pages pour déterminer la date d’un futur rendez-vous propice à plus amples réflexions…

 

Thierry BRET

 

 


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